Plan de carrière Szp8Plan de carrière 4kdkPlan de carrière 4kdk
Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

Le deal à ne pas rater :
Bon plan achat en duo : 2ème robot cuiseur Moulinex Companion ...
600 €
Voir le deal

more_horiz
Assis sur le siège de son vaisseau, l’ex-Turk feuilletait les rares informations qu’il avait réussies à décrocher pour le travail de ce jour. Ce qui se résumait pas à grand-chose. Toutefois, Kurt éprouvait un certain besoin d’accomplir ce contrat exigé par le Centurio lui-même. Une façon comme une autre pour se convaincre, comme quoi, il n’était pas aussi insensible que ce qu’il prétendait être.

L’objectif était simple Le propriétaire d’une carrière de pierres à Thèbes venait de passer l’arme à gauche sans aucun hériter, sachant cela, il n’avait pas fallu attendre longtemps pour que les vautours se ramènent dans l’espoir d’obtenir le titre de propriété.

En ce jour, il n’y avait plus que trois candidats en lice à se livrer une lutte pour obtenir l’héritage. Le problème venait d’un seul et unique point, ils sont aussi éligibles l’un que l’autre et c’est ici qu’allait intervenir le mercenaire. Lenore avait la douce idée de construire une école, une sorte de promesse d’espoir au milieu de l’histoire du port et il n’avait pas résisté à l’idée de l’aider dans ce projet. Même si, au fond de lui, il savait que cela n’allait mener à rien.

- Bon… Il soupirait une fois de plus, prenant une énième cigarette de son paquet.

Eole, Tite et Nicétas. Il regrettait instantanément la limite des moyens que pouvaient disposer les mercenaires, il aurait vendu son vaisseau pour une photo ou un dossier plus complet que quelques bribes entendues dans le coin d’une taverne.

Avant d’aller toquer à l’une des chaumières, il devait choisir qui serait l’heureux élu et il ignorait totalement comment orienter son choix. Il savait que Tite était le plus costaud des trois et qu’il serait parfait pour tailler des pierres, alors qu’Eole brillait pas son intelligence. Hypothétiquement, il serait bien plus indiqué pour la gestion d’une carrière même s’il ne risquait pas de tenir un maillet et un burin. Quant au dernier candidat, il restait une énigme pour l’humanité. Kurt possédait une adresse ainsi qu’une rumeur racontant qu’il c’était vu refuser la main de la fille qu’il aimait, autant résumer ses informations à des broutilles.

Il y avait une autre question à se poser, comment devait-il procéder. L’héritage du vieux Arion ainsi que l’histoire de ses héritiers avait déjà fait du bruit dans la ville, autant dire que la disparition de deux tiers des concurrents serait probablement mal perçue. D’autant que le mercenaire n’avait aucune connaissance des lois en ce monde, autant éviter d’abattre son propre cheval avant la course. Dans le meilleur des cas, il pouvait abattre purement et simplement l’un des héritiers.

L’idée arrachait le sourire que pouvait avoir l’ex-Turk, lui faisant se poser la question de savoir si la fin justifiait vraiment les moyens. Ecrasant le mégot dans le cendrier du vaisseau, le mercenaire rangeait son pistolet dans le holster de sa veste pour finalement quitter son cockpit et rejoindre la ville. Par le plus grand des hasards, le choix de la facilité se tournait sur Eole. Il allait être victime de malchance, du moins, si Kurt se débrouillait pour que sa mort passe pour un accident. En ce monde, ça ne devrait pas être d’une grande difficulté. La vie est parfois capricieuse, néanmoins, il faisait ça pour la bonne cause. S’il se le répétait suffisamment, il devrait finir par y croire.

Un mort de plus ou de moins sur son ardoise, il avait accumulé suffisamment de dette pour ne plus en avoir peur.

Arrivant en ville, le mercenaire se suffisait à la plus vieille des méthodes pour retrouver une personne. Ce qui se limitait à questionner les gens dans la rue, l’histoire ayant suffisamment fait de bruit pour qu’une bonne âme se décidait à lui donner une description ainsi qu’une localisation. Grand et maigre, cheveux noirs et tunique blanche. Autant dire que la moitié de la population de Thèbes correspondait à la signalisation. Le pas lent à cause du soleil, Kurt se dirigeait vers l’adresse qu’il avait reçue en réfléchissant à la suite du plan.

- Salut, mon nom est Kurt Brown ! Un mercenaire, je suis juste venue pour te tuer, enchanté. Marmonnait-il dans sa barbe, ramenant une clope à la bouche en arrivant à l’adresse qu’il avait reçue. Il y a peu de chances que ça marche…

Balançant le mégot au sol, marchant sur celui-ci, le mercenaire fixait un instant la petite bâtisse devant laquelle il se trouvait. Rien de fantastique. Logique qu’il cherchait à toucher l’héritage. Soupirant une dernière fois, Kurt frappait trois fois à la porte avant de plonger ses mains dans les poches. Le travail devait être fait. Il marquait son visage du sourire alors que la porte s’ouvrait devant lui.

- Oui. Il entrouvrait sa porte, regardant par l’entrebâillement. Qui êtes-vous…?
- Brown. Disait-il, jouant le jeu. Eole ? Mon organisation a entendu parler de votre histoire à la carrière d’Arion et nous aimerions vous aider.
- Comment ça ? Il se risquait à ouvrir la porte, affichant un intérieur en désordre. Vous venez de la part de qui, du Consulat ?
- Le Consulat est chez Nicétas. Kurt conservait son sourire. Non, je viens représenter les mercenaires.

Du coin de l’oeil, le mercenaire vérifiait s’il n’y avait personne dans la rue où assez attentif pour comprendre ce qu’ils racontaient. Il fermait brièvement les yeux, sondant les environs, il présentait quelques présences dans les maisons aux alentours et d’autres en contrebas. C’était l’occasion pour lui.

- Puis-je ? Demandait-il, laissant son pied droit dans l’encadrement de la porte.
- Oui, oui… Il ouvrait la porte, laissant le mercenaire rentrer dans la maison. Vous voulez quelque chose, du vin…?

Il s’avançait, une main toujours dans la poche à observer tout autour de lui alors qu’Eole s’avançant dans un coin. Parchemin, poterie, poussière. Les trois mots résumaient l’état de l’endroit alors que Kurt cherchait un endroit pour s’asseoir. À moins qu’il ne cherchait toujours une raison pour ne pas l’abattre sommairement.

- Prenez place. Il relevait ce qui s’apparentait à une chaise pour le mercenaire, décrassant un verre avant de le remplir. Vous voulez m’aider ? Comment savez-vous pour le Consulat ?
- Ils sont partout, voyons ! Il souriait, acceptant la boisson. Oui, le Centurio ne demande qu’à vous aider… Sauf qu’il y aura un prix à payer.
- Ah. Il baissait les épaules. C’est la carrière que vous voulez, c’est ça ?
- Non. Il hochait la tête, d’autant plus après avoir goûter au vin. C’est un contrat que je propose. Il rechignait de plus en plus à l’abattre. Nous vous aidons à obtenir la carrière et le payement sera des pierres pour le Centurio.
- Pour la reconstruction de votre taverne, c’est ça. Il s’essayait à son tour, les épaules basses.
- Une école. Eole levait alors un sourcil. Oui, on ne dirait pas comme ça, mais nous aimerons construire une école et nous n’avons pas de carrière et pas les fonds nécessaires à la construction. Il déposait alors son verre. Le deal est simple, vous êtes à la tête de la carrière et nous demandons juste de quoi créer notre école. Il ouvrait alors les bras. Si vous avez peur des représailles, nous pouvons aussi arranger un contrat de protection pour votre future carrière.

L’héritier redressait son regard, fixant le regard du mercenaire alors que celui-ci tendait sa main. Eole l’ignorait, mais il était prêt à l’abattre s’il refusait le contrat. Il avait besoin d’une personne qui accepterait de travailler avec le Centrio, intérieurement, il espérait ne pas avoir à tuer quelqu’un avant midi. Par ailleurs, l’empathie naissait depuis qu’il avait franchi le pas de sa porte. Le gars ne semblait avoir rien pour lui, il aurait au moins la sensation de bien agir quand il presserait la détente pour l’un des deux autres.

- Que va-t-il advenir de Tite et Nicéas ? Il venait de poser ses coudes ses genoux. L’un est mon frère, et le second…
- Tout dépend de vous. Répondait simplement le mercenaire, baissant son bras. Si vous voulez qu’ils vivent, ils vivront. Il haussait, les épaules, adoptant la posture d’Eole. S’ils doivent disparaître pour que vous obtenez la carrière, ils disparaîtront des alentours. Il joignait alors ses mains, les frottant l’une à l’autre. Le Centurio a vraiment besoin de cette carrière, il semblerait que vous aussi alors nous ne reculerons devant rien. Kurt espérait que le message était bien passé.
- Tite doit vivre, c’est tout ce que je demande. Il tendait alors sa main, voulant conclure le contrat. C’est tout ce que je demande.
- Nous avons un accord. Le mercenaire souriait, attrapant la main avant de se relever. Ce soir, ce sera fait. Il ne reste plus qu’à signer le contrat.

Le mercenaire dégainait son pistolet, tirant sur la culasse pour faire sauter une balle qu’il attrapait. Plongeant ensuite sa main dans sa veste, il sortait son couteau et traçait les trois lettres du nom de Nicétas. Il montrait ensuite l’oeuvre à Eole afin qu’il la signe d’une croix. Un échange de regards, il lui souriait avant de se retourner.

D’un dernier geste de la main, le mercenaire quittait l’habitation d’Eole. Il connaissait maintenant la prochaine destination de son épopée.




Entre les coups de soleil et la population agitée de la ville, Kurt se faufilait entre les chars en conservant son éternelle cigarette à la bouche. Le plan murissait progressivement dans sa tête. Il pouvait faire d’une pierre, deux coups en arrachant en brûlant le visage et arrachant la langue d’un des héritiers pour l’envoyer dans les mines de soufre. Ou même ramener l’un de ceux-ci a port royal pour les ventes d’esclaves. Sauf qu’une bien meilleure idée germait dans son crâne.

Il n’était pas loin de treize heures quand il trouvait enfin l’habitation de Tite, il pouvait d'ailleurs remarquer que ses informations étaient loin d’être fausse.

Il y avait, en face de la porte, une montagne de muscle chargeant un chariot d’amphore. Il travaillait sans peine, faisant les trajets de l’intérieur d’un entrepôt jusqu’à son véhicule et ne prenant de pause que pour éponger son front. Légèrement craintif, il fallait attendre un énième trajet pour que le mercenaire se présente au deuxième héritier.

- Tite. Il s’avançait, jetant sa cigarette au sol. Vous êtes bien Tite, héritier de Arion ?
- Qui le demande. Il déposait l’amphore au sol, tenant celle-ci en équilibre.
- Kurt Brown, mercenaire. Répondait-il simplement. Il semblerait que vous ayez besoin d’aide.
- De quoi tu parles !? Il se retournait, fixant le mercenaire de tête aux pieds. Un gringalet comme toi, pas besoin.

Il s’avançait, s’appuyant contre le mur avant de prendre une nouvelle cigarette qu’il tassait sur son pouce. Fixant son travail avec intérêt. Redressant son visage dans un sourire.

- Non, ce n’est pas pour ça. Il pointait brièvement le chariot. Disons que c’est pour un travail moins… Ethique… Tu vois où je veux en venir ?
- Mmmh. Il soulevait l’amphore pour la mettre dans son chariot et s’approcher de Kurt. Tu parles de quoi, la carrière ? Il croisait ses bras, l’ombre de Tite recouvrant entièrement le mercenaire.
- En bref, Eole veut ta mort. Il en avait mal la nuque de le fixer dans les yeux.
- Il n’est pas comme ça. Il se retournait alors, retournant dans sa maison.

Kurt l’observait un instant, amenant sa cigarette à la bouche avant de suivre le pas du géant. Tite était dans le fond de la pièce à l’observer d’un oeil mauvais avant d’élever la voix.

- Tu n’es pas la bienvenue chez moi, dégage.
- Mon contrat est de me débarrasser de toi. Le mercenaire ouvrait sa main, faisant naître un brasier qu’il ne cessait de faire grossir. Ce n’était pas une blague, l’ami.
- Humph. Il se retournait, attrapant un glaive pour se mettre en garde. Tu t’es trompé d’gars.

Le colosse traversait la pièce, dans un sprint pour abattre son épée sur Kurt. Annulant son sort, il se décalait pour éviter le coup et reculer de deux pas, enrageant Tite de plus belle. Il enchaînait les attaques d’estoc dans l’espoir de l’embrocher, de son côté, le mercenaire se contentait d’éviter les coups jusqu’à ce que la pointe de l’épée ne se plante dans l’un des meubles.

L’ex-Turk frappait alors le poignet de son adversaire à l’aide du tranchant de sa main afin de lui faire lâcher l’arme.

- Pas la peine de continuer. Il reculait de deux pas, allumant finalement la cigarette à sa bouche. Tu n’es pas à la hauteur. Et puis, je n’ai pas envie de te tuer…
- Qu’est-ce que tu veux, alors !? Il massait son poignet, reculant aussi.
- Rien. Il tirait sur le mégot, illuminant son visage par la même occasion. La justice, peut-être. Il haussait les épaules. Disons que les contrats d’assassinat, ce n’est pas mon délire et que j’ai encore certaines valeurs. Il retirait la cigarette de sa bouche. Eole veut votre mort, ainsi que celle de Nicétas pour obtenir les droits sur la carrière… Il n’est pas ton frère…?
- Une preuve ? Il grommelait, fixant le mercenaire dans les yeux. Celui-ci plongeait une main dans sa veste pour sortir la balle gravée qu’il lançait à Tite, portant le nom du colosse.
- Une balle avec ton nom, voilà notre contrat. Il laissait un peu de temps passer. Tu meurs et Nicétas doit vivre, c’est notre accord. L’autre va perdre la langue et sera vendu comme esclave aux mines de soufre, il a potentiellement moins de chances que toi.

L’hériter tenait la balle entre son pouce et son index, fixant son propre nom avant d’enfermer celle-ci dans sa main. La rage le gagnait progressivement. Le mercenaire souriait devant le spectacle.

- Quel est le prix… Grommelait-il.
- Le moment où la mine sera à ton nom, le Centurio viendra pour demander un lot de pierres comme dédommagement. Il haussait les épaules, s’apprêtant à quitter la maison. Rien de plus, rien de moins. Eole m’attend, ou du moins, il attend que j’arrive pour annoncer ta mort.
- Pourquoi tu me racontes ça. Il récupérait son épée dans un bruit sourd.
- Ce ne serait que justice, tu ne penses pas ?

Le mercenaire l’observait un instant, s’écartant d’un pas quand le colosse franchissait la porte et prenant la direction des hauteurs de la ville. Kurt souriait en le voyant s’en aller, il n’allait pas avoir besoin de faire lui-même couler le sang. Du moins, s’il avait suffisamment le sang chaud. Crachant la fumée de sa cigarette, il jetait sa cigarette au sol avant de partir, il ne restait plus qu’une dernière tâche à effectuer avant de retourner à port royal.

L’acteur final de cette tragédie, espérons qu’il soit à la hauteur des attentes de l’ex-Turk.




- Salut, mon nom est Kurt Brown ! Un mercenaire venue t’annoncer le plus beau jour de ta vie. Commençait-il, s’asseyant au côté d’un homme aux cernes sous les paupières et aux nombreux verres devant lui. Il faudrait faire attention, c’est dangereux pour la santé.
- Pardon… Il relevait sa tête, l’oeil brillant. De… De quoi…?

Nicétas était seul dans une taverne, il semblait cuver depuis des jours et sentait un doux mélange de pisse et de vin. Malgré cela, Kurt s’était assis à ses côtés, n’attendant que le bon moment pour conclure son plan.

- Aujourd’hui est ton jour de chance, et…
- Ta gueule. Coupait-il, reprenant son verre en main, renversant la moitié. Ne me parle pas de chance. Il prenait son verre et l’amenait à ses lèvres. Ananie ne sera jamais avec moi, son père refuse de la marier à un mec éleveur.
- Oh. Le mercenaire restait fixe un instant, ce redressant ensuite pour récupérer le verre. Arrête de picoler, ce sera un bon début.
- Tu te prends pour qui !?

Le dernier hériter se relevait, faisant tomber son tabouret pour tenter de récupérer son verre avant de lui-même basculer en arrière et s’étaler au sol. Dans un soupir, Kurt se redressait et aidait l’ivrogne à se remettre à table.

Une troisième odeur venait de s’ajouter à la liste.

- Pourquoi t’es là. Balbutiait-il. Qu’est-ce que tu veux…
- Ton bonheur est la seule chose qui m’importe, mon gars.Il déposait le verre loin de lui. Ton histoire, c’est quoi ? Ton beau-père refuse de te donner la main de sa fille, tu es triste et tu picoles.
- Tu trouves ça drôle ? Rotait-il. Même les dieux se moquent de moi…
- Il te faudrait la carrière pour conquérir ta douce. Il avait un sourire en coin. C’est ça ?
- Un rêve, une chimère…

Kurt haussait les sourcils un instant, donnant une claque à l’héritier pour le maintenir éveiller et attirer son attention de nouveau.

- Écoute. Il relevait son menton. Eole et Tite sont en train de s’entretuer à l’heure où nous parlons, des gardes vont découvrir le meurtre et il n’y aura plus qu’un seul héritier pour la carrière du vieil Arion. Il tendait alors son doigt, touchant le plexus de son vis-à-vis. Toi.
- Comment !? Il se redressait, décontenancé.
- Tu n’es pas obligé de connaître les détails. Le mercenaire se relevait, allumant une cigarette. La seule chose que tu dois savoir, c’est le nom de ton sauveur et c’est le mien. Il crachait la fumée sur le visage de Nicétas. Il n’y a qu’une seule et minuscule contrepartie. Il souriait, franchement. Si le Centurio vient et demande des pierres, ils n’ont pas intérêt à repartir les mains vides, nous sommes d’accord ?
- Ton histoire n’a aucun sens… Il retombait sur sa table, cuvant son vin.
- C’est ça, on se retrouvera bientôt. Il s’apprêtait à quitter l’endroit, le spectacle ne devait pas tarder à commencer à la résidence d’Eole. Essaye juste de te souvenir du Centurio, rien de plus.

L’instant d’après, le mercenaire se retrouvait en dehors dehors de la taverne, crachant la fumée de sa cigarette en fixant les hauteurs de Thèbes. À l’heure qu’il était, Tite devait avoir rejoint son frère.  Un sourire se dessinait sur le visage de Kurt alors qu’il entamait la longue marche jusqu’à l’habituation d’Eole, il lui fallait au moins la preuve que son plan n’était pas tombé à l’eau. Un quart d’heure de marche. Le mercenaire remarquait la silhouette du colosse à la porte de son frère, le poing couvert de sang, trois gardes de la ville l’encerclant.

Un nouveau mégot de cigarette tombait sur le sol de Thèbes, écrasé par la chaussure de l’ex-Turk alors que celui-ci rejoignait son vaisseau.

Dernière édition par Cypher le Mer 12 Fév 2020 - 15:16, édité 2 fois
more_horiz
Zizanie et Discorde ! Mes jumelles préférées. Elles n’ont pas le talent des muses mais elles sont tout aussi inspirantes ! Surtout pour les mercenaires.

Tu t’en doutes, avec un commencement pareil, j’ai apprécié le RP. Je l’ai lu ce matin… Et le temps que je bosse, conduise et me réveille enfin … à midi j’ai compris le jeu de mot du titre. Ha !
Que dire qui pourrait améliorer ce texte et les futur hmm … ouasi je commence à être à cours avec toi, on a peut-être déjà abordé tous les sujets uh. La relecture ? Ouais, ça c’est facile à ressortir. D’une certaine façon, moins il y a de fautes et plus on les remarque ! Surtout que là c’est des répétitions ou des mots confondus avec un autre. Je ne peux que te conseiller de laisser le texte un moment et revenir dessus pour vérifier ce genre de chose avant de poster.
L’intitulé de la mission est respecté. J’ai presque eu peur que tu violes le code ! mais non c’est bon. *range ses revolver*

Les descriptions sont …… ouais là ça pêche de nouveau. On sait qu’il y a du soleil, la foule dans les rues et les chars. La Thèbes antique mérite une architecture à faire pleurer les muses ! Ouais je lache pas le morceau là-dessus. Peut-être parceque j’ai rien de plus à te conseiller ? Meh.

Sinon j’aime bien. Kurt est prêt à jouer les ordures, limite il attend que ça, ça le fait sourire mais ... y a quelque chose qui l’en empêche, la flemme surement. La conscience ? Ouais peut être… C’est plein de criquet dans ses régions là.
T’as pris le temps de développer l’histoire, l’intrigue, la conclusion est un peu hâtive mais pourquoi pas, tu aurais même pu développer davantage les conversations, avoir davantage à vendre ton bout de gras pour extirper ce que tu en voulais. Mais c’était déjà bien sympathique à lire à 6h du matin.
Reste à savoir si on va les avoir ces foutus pierre !

Difficulté et récompense
Normal : 20 points d'expérience + 200 munnies + 1 PS magie, 1PS vitesse et 1 PS psychisme.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum