Famfrit était arrivé à Hill Valey, et la première surprise qu'ils eurent fut la chaleur épouvantable sous cette armure. À vrai dire, la température devint si douloureuse pour eux qu'ils décidèrent d'enlever leur casque pour pouvoir respirer sous cet air sec et aride.
Après être arrivé sur les lieux, Famfrit rendit visite au shérif pour collecter quelques informations, sur les assaillants du forgeron, pour se préparer à une protection plus efficace.
Trentes minutes s'étaient écoulées depuis que le sentinelle parti de Hill Valey, et ils étaient arrivé devant une vielle forge, isolée par les étendues arides et les plaines de solitude. Famfrit entendait le bruit du fer qui s'entrechoquant, de la forge qui soufflait à plein régime ; ils étaient maintenant sûrs d'être arrivée à destination.
Ils n'eurent pas à attendre avant que quelqu'un vienne ouvrir la porte. Ils ne furent pas surpris, la personne devant eux était comme ils l'avaient imaginé, peut-être un peu plus jeune que dans leurs pensées.
" Et bin ? ! J'vous vois vous diriger d'puis tout à l'heure jusqu'ci, vous allez mourir d'chaud avec c't'armure, entré donc, 'y fait bien froid d'dans !"
Famfrit ne refusa pas l'invitation, tout en saluant le forgeron. En entrant, ils enlevèrent de leurs dos lance et bouclier, et les déposa sur dans un coin de la salle, près de la porte d'entrée.
" Et bin ! En v'la un belle équipp'ment, vous pouvez vous asseoir sur l'fauteuil là-bas si vous v'lez. alors, qu'est-ce qui vous amène ici mon brave".
Sur cette question, le chevalier sortit une lettre, marqué du sceau de la lumière, tandis que son hôte lui offrait une gourde remplit d'eau.
"T'tenant, d'quoi vous rafraîchir mon pauvre ! Et bin ! Vous v'nez de la coalition d'la lumière, où j'sais plus trop quoi ? J'suis pas s'vent intéresser par c'genre de chose, avec toute c'tes guerres, m'enfin bon, j'vais quand même lire... alors, recrutement, nécessaire pour construction d'temple... besoin de main d'œuvre compétente... Rien ne bien surprenant pour l'moment... Logé et nourrit, sous protection d'la lumière... si nécessaire, protection accordée par l'lieutenant Famfrit, chargé de vous donner c'te lettre."
Tandis que le lieutenant a terminé la gourde qui lui fut offerte, et remercia une nouvelle fois le forgeron, en lui rendant sa gourde.
"V'la qui change, d'hab'tude, on vient m'voir armé en m'menaçant et j'doit fuir, et la vous v'lez m'offrir une protection, y'a pas d'menace si j'refuse, hin ? "
Le colosse lui fit comprendre dans son silence que cela serait très contraignant, mais qu'aucune violence ne lui sera faites dans tous les cas, tandis que la cible de la mission eue de longue réflexion.
"A vrai dire, j'veux bien f'nir ch'vous, mais avant, j'aimerais un p'tit service de votre part. J'aimerais bien que vous m’escortez jusqu'à une d'mes anciennes demeures, à quelques lieux d'ici, des bandits m'ont attaqué pour que j'leur forge des armes, et en fuyant, j'eu oublié d'récupérer quelques biens, principalement des souvenirs d'familles ou d'héritage."
Si ce n'était que ce qui était nécessaire pour le bon déroulement de sa mission, Famfrit acquiesça assez rapidement, se levant pour récupérer son équipement, pour escorter et assurer la protection de la cible. Après tous, ils étaient d'accord que faire un détour, pour d'aider le forgeron, n'était que nécessaire au bon déroulement de la mission.
Encore une heure de marche sous cette armure et cette chaleur, mais le temps passait plus vite avec un peu de compagnie bavarde, et même malgré les sujets de discutions sans importances, cela les divertissait toujours. Mais la balade était finit, un petit nombre de bandits les avaient repérés et s'avançait vers eux. Cependant, Famfrit n'attendu pas que les hors-la-loi arrivent a proximité pour se mettre en garde, lance et bouclier à la main. Les adversaires avaient l'avantage du nombre, mais les Visâmes avaient une lourde protection et une force brute exceptionnelle. Au premier contact visuel avec les ennemis, ce fut une pure Vague de Domination provenant du colosse, paralysant sur le coup l'adversaire pendant deux secondes. Deux suffisantes secondes, ayant permis au chevalier de se mettre au contact des malfrats.
Pour les malfrats, la tension était importante, pour eux, un géant, sortit de nul part, se trouvait maintenant encercler, de son plein gré. Ils dégainèrent immédiatement des revolvers, et firent feu sur leur opposant. Personne n'était armé pour ce combat, mais Famfrit avait les compétences pour renforcer la situation, ils voyaient qu'ils ne pouvaient pas atteindre les bandits, alors ils attendirent sous ce déluge de balle, tandis que les chocs sur l'armure devenaient de plus en plus violent. Mais le nombre de coups parés avec leur bouclier était important, et en un large mouvement, tous les chocs furent renvoyer sur ses opposants. Ils profitèrent de ce moment pour enchaîner les bandits restants avec des attaques à longue portée à l'aide de sa lance.
Une fois les bandits neutralisés, le forgeron, qui jusque-là avait prit ces distances de sécurité, remercia le lieutenant, et alla récupérer ce qu'il était venu chercher. Sans plus tarder, ils partirent en vitesse ; la précipitation soudain de Famfrit interrogea leur cible, mais maintenant, le temps devenait précieux, ils sentaient, depuis tant d'années, ce sang froid couler de leur blessure, sous leur armure, camouflant plaies et blessures.
Lun 2 Avr 2018 - 9:41Après être arrivé sur les lieux, Famfrit rendit visite au shérif pour collecter quelques informations, sur les assaillants du forgeron, pour se préparer à une protection plus efficace.
Trentes minutes s'étaient écoulées depuis que le sentinelle parti de Hill Valey, et ils étaient arrivé devant une vielle forge, isolée par les étendues arides et les plaines de solitude. Famfrit entendait le bruit du fer qui s'entrechoquant, de la forge qui soufflait à plein régime ; ils étaient maintenant sûrs d'être arrivée à destination.
Ils n'eurent pas à attendre avant que quelqu'un vienne ouvrir la porte. Ils ne furent pas surpris, la personne devant eux était comme ils l'avaient imaginé, peut-être un peu plus jeune que dans leurs pensées.
" Et bin ? ! J'vous vois vous diriger d'puis tout à l'heure jusqu'ci, vous allez mourir d'chaud avec c't'armure, entré donc, 'y fait bien froid d'dans !"
Famfrit ne refusa pas l'invitation, tout en saluant le forgeron. En entrant, ils enlevèrent de leurs dos lance et bouclier, et les déposa sur dans un coin de la salle, près de la porte d'entrée.
" Et bin ! En v'la un belle équipp'ment, vous pouvez vous asseoir sur l'fauteuil là-bas si vous v'lez. alors, qu'est-ce qui vous amène ici mon brave".
Sur cette question, le chevalier sortit une lettre, marqué du sceau de la lumière, tandis que son hôte lui offrait une gourde remplit d'eau.
"T'tenant, d'quoi vous rafraîchir mon pauvre ! Et bin ! Vous v'nez de la coalition d'la lumière, où j'sais plus trop quoi ? J'suis pas s'vent intéresser par c'genre de chose, avec toute c'tes guerres, m'enfin bon, j'vais quand même lire... alors, recrutement, nécessaire pour construction d'temple... besoin de main d'œuvre compétente... Rien ne bien surprenant pour l'moment... Logé et nourrit, sous protection d'la lumière... si nécessaire, protection accordée par l'lieutenant Famfrit, chargé de vous donner c'te lettre."
Tandis que le lieutenant a terminé la gourde qui lui fut offerte, et remercia une nouvelle fois le forgeron, en lui rendant sa gourde.
"V'la qui change, d'hab'tude, on vient m'voir armé en m'menaçant et j'doit fuir, et la vous v'lez m'offrir une protection, y'a pas d'menace si j'refuse, hin ? "
Le colosse lui fit comprendre dans son silence que cela serait très contraignant, mais qu'aucune violence ne lui sera faites dans tous les cas, tandis que la cible de la mission eue de longue réflexion.
"A vrai dire, j'veux bien f'nir ch'vous, mais avant, j'aimerais un p'tit service de votre part. J'aimerais bien que vous m’escortez jusqu'à une d'mes anciennes demeures, à quelques lieux d'ici, des bandits m'ont attaqué pour que j'leur forge des armes, et en fuyant, j'eu oublié d'récupérer quelques biens, principalement des souvenirs d'familles ou d'héritage."
Si ce n'était que ce qui était nécessaire pour le bon déroulement de sa mission, Famfrit acquiesça assez rapidement, se levant pour récupérer son équipement, pour escorter et assurer la protection de la cible. Après tous, ils étaient d'accord que faire un détour, pour d'aider le forgeron, n'était que nécessaire au bon déroulement de la mission.
Encore une heure de marche sous cette armure et cette chaleur, mais le temps passait plus vite avec un peu de compagnie bavarde, et même malgré les sujets de discutions sans importances, cela les divertissait toujours. Mais la balade était finit, un petit nombre de bandits les avaient repérés et s'avançait vers eux. Cependant, Famfrit n'attendu pas que les hors-la-loi arrivent a proximité pour se mettre en garde, lance et bouclier à la main. Les adversaires avaient l'avantage du nombre, mais les Visâmes avaient une lourde protection et une force brute exceptionnelle. Au premier contact visuel avec les ennemis, ce fut une pure Vague de Domination provenant du colosse, paralysant sur le coup l'adversaire pendant deux secondes. Deux suffisantes secondes, ayant permis au chevalier de se mettre au contact des malfrats.
Pour les malfrats, la tension était importante, pour eux, un géant, sortit de nul part, se trouvait maintenant encercler, de son plein gré. Ils dégainèrent immédiatement des revolvers, et firent feu sur leur opposant. Personne n'était armé pour ce combat, mais Famfrit avait les compétences pour renforcer la situation, ils voyaient qu'ils ne pouvaient pas atteindre les bandits, alors ils attendirent sous ce déluge de balle, tandis que les chocs sur l'armure devenaient de plus en plus violent. Mais le nombre de coups parés avec leur bouclier était important, et en un large mouvement, tous les chocs furent renvoyer sur ses opposants. Ils profitèrent de ce moment pour enchaîner les bandits restants avec des attaques à longue portée à l'aide de sa lance.
Une fois les bandits neutralisés, le forgeron, qui jusque-là avait prit ces distances de sécurité, remercia le lieutenant, et alla récupérer ce qu'il était venu chercher. Sans plus tarder, ils partirent en vitesse ; la précipitation soudain de Famfrit interrogea leur cible, mais maintenant, le temps devenait précieux, ils sentaient, depuis tant d'années, ce sang froid couler de leur blessure, sous leur armure, camouflant plaies et blessures.