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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Le grand chef chaman est posé en tailleur dans sa tente avec deux de ses guerriers, tout aussi confortablement posés à ses côtés. Dehors, il fait jour mais il fait froid. A l'intérieur, il fait chaud mais il fait nuit. De récents évènements ont fait que l'ancien chef est mort et le chaman a pris sa place, conservant la sienne au passage. Ce viel indien fier et sage scrute le feu jusqu'à s'en crever les yeux, de même font ses guerriers. La chaleur du brasier réchauffe leurs corps, peut-être même réchauffent-elle leurs coeurs après la mort de quelques uns de leurs siens. Ce brasier est la seule lumière en cet endroit spacieux, illuminant le centre du tipis. Le reste de la pièce est sombre et spacieuse, tout un tas de choses s'y accumulent. Surkesh ne détaille pas les ombres de la tente, ce n'est pas ce qui l'amène ici, ce n'est pas ce qui l'intérèsse aujourd'hui. Les Indiens ne sont pas spécialement de bonne humeur, ils ne se jouent pas des étrangers comme d'habitudes, ils sont sérieux, graves et austères. Dehors, il fait jour mais il fait froid, tout le monde travaille à se remettre du dernier bombardement et à mieux encaisser le prochain. Parce que ça arrive plusieurs fois par jours, tout les jours.
Le grand-chef relève les yeux vers Surkesh, déterminé.

« Grands-arcs-couchés pas suffirent. » Dit-il, lent et froid comme un hiver sans fin avant de reprendre, la voix tremblante de rage et de peine. « Nous voulons tuer les pirates. »

Surkesh le sait bien. Les sirènes le veulent aussi mais depuis que les pirates ont trouvés la parade, elles sont comme désarmés. Ils ne les entendent plus chanter et soudain, ils n'en craignent plus rien. Sans oublier que les sirènes sont aussi les ennemis des Indiens et... non, ils ne s'allieront jamais. Le navire que la Coalition Noire a offert aux pirates dépasse de loin les balistes en termes de portées et de puissances destructrices. Tiens, tant qu'on parle de groupes, La Lumière veut se débarrasser des pirates aussi... non ?

« J'imagine que les fées et les enfants perdus resteront loin de cette histoire. » Insinue innocemment le sombre mercenaire, accroupi en face du grand-chef-chaman pour l'observer, neutre et sans émotions particulières. Surkesh entend bien le traiter avec respect, ainsi vont les affaires, mais se fiche bien de ses deux guerriers ; ils sont là pour surveiller, qu'ils surveillent. Surkesh apprécie les Indiens... rudes et méfiants, ce ne sont pas le genre à tourner du pot. Jecht et Lenore ont fait un sacré travail ici et jusqu'ici, les Indiens ont été d'excellents clients. Les marchandises d'ici partent directement pour Port Royal, ce sont des produits de qualités... des matières premières, de l'alimentaire. De la première nécéssité. C'est soit vendu, soit déjà ça de prit gratuit pour le Centurio. Ils sont fiables qui plus est. Définitivement des gens à garder comme ami.

« Oui... » Répond le grand chef chaman, pesant le pour et le contre. Surkesh profite de son silence pour admirez sa coiffe en plumes... ses nombreux bijoux en os d'animal, sa structure puissante mais usé par le temps. A vrai dire, le sans-cœur se demande si ce chaman fraye vraiment avec les esprits où si tout n'est que superstition. N'oublions pas les affaires, cependant. « C'est pas leur guerre. C'est la guerre des Indiens. » Lance-t-il pour conclure sa réflexion, calme et stoïque, la voix profonde.

Rien d'étonnant à ce que les Indiens soient trop fiers pour demander de l'aide mais ils n'en auraient probablement pas eu même en demandant. Ce ne sont surement pas les sirènes qui vont les aider et les enfants perdus comme les fées restent loin de ce conflit. En soit, ce n'est pas ces factions-là qui préoccupent Surkesh le plus.

« Et la Lumière dans tout ça ? » Demande Surkesh, légèrement arrogant, comme s'il connaissait déjà la réponse.

« On a demandé. On attends. La Lumière prend son temps, ainsi est-elle. » Lui répond simplement le vieux chef.

Sa réponse manque de jugement arbitraires paranoïaques bêtes et méchants pour les intérêts de Surkesh mais en soit, c'était aussi réaliste que profitable au Centurio. La guerre de Sheerwood mobilise peu d'éléments mais de sacrés éléments pourtant et la Lumière ne peut pas être sur tout les fronts à la fois. Ce n'est pas pour rien que Death s'acharne à rendre les pirates aussi dangereux que possible. La Lumière a vraiment du mal à s'en défaire, ça joue sur son image auprès des autochtones. Sans être en mauvais termes avec le Château Disney, ils sont même en bons termes, les Indiens savent parfaitement à quoi s'attendre de la Lumière. A tel point qu'ils payent les mercenaires pour les aider à se défendre. En soit, le Pays Imaginaire est une occasion en or de bien se faire voir de la Lumière.
Si les mercenaires débarrassent le coin des pirates pour eux... ils réfléchiront peut-être à engager des membres du Centurio.

Si les Indiens veulent partir en guerre, le Centurio va assurément les suivre, prolonger l'entente et la renforcer. Ce sont deux tribus qui se rendent service, tout simplement... si jusqu'ici ça marche, autant jouer dessus et allez plus loin. Une telle initiative pourrait valoir des foudres de mercenaires qui trouveraient ça trop entreprenant... mais si Surkesh obtient de bons profits, ils ne pourront rien dire. N'auront rien à y redire tout simplement.

« Si vous voulez partir en quête avec les pirates, la tribue du Centurio va vous aidez. » Répond Surkesh, sans un sourire mais l'air sûr et certain, déterminé.

« Nous honorerons notre dette, Face-de-Cadavre. » Lui répond très sérieusement le grand chef chaman. Les deux guerriers sont toujours là, sont là depuis le début, ils attendent.

« Je croyais que mon d'Indien c'était Œil-de-Sans-Cœur ? Vous allez pas tous me donner un nom différent quand même ? » Lui répond tout aussi sérieusement Surkesh qui, clairement, préférait Œil-de-Sans-Cœur à Face-de-Cadavre. Imaginez juste les retombés si l'éclaireur parlait de 'Surkesh Face de Cadavre. Bof... définitivement, l'ancien était bien mieux.

« Nous avons du mal à te cerner. »

« Vous n'êtes pas les seuls. »

L'échange court et intense.

C'est à Surkesh de parler, puisque plus personne d'autre ne parle. Les grands-arcs-couchés restent redoutables... surtout que les Indiens aiment à les immoler. Le problème étant que leurs portées sont bien inférieurs à celle des mortiers pirates. Et ne surclassent pas les canons. Quand à attaquer le navire directement, le sans-cœur voit ça marcher. En pleine nuit, Surkesh débarque sur le bateau depuis un portail de ténèbres, fout un peu le boxon, cherche à survivre... et gagne du temps jusqu'à l'arrivée des Indiens en kayaks. Problème étant que les indiens n'hésiteront pas une seule seconde à couler le bateau. Si Surkesh ne s'était pas mis en tête de récupérer le bateau, ça aurait simplifier les choses.
Surkesh énonce son plan sans fioriture ni petits jeux.

« On tue tout pirate à bord et la tribue du Centurio garde le bateau. »

« Pourquoi pas couler le bateau ? Ca rend les choses plus simples, plus faciles, il suffira de brûler le bateau. »

« C'est pas la première fois qu'ils tomberont à l'eau, les pirates ont appris à nager depuis et certains s'enfuiront pour mieux revenir. Ca ne se résout pas le problème. »

« Donc, le Centurio veut le bateau. »

Le grand-chef-chaman fut clair et sévère sur cette phrase, comprenant probablement que le centurio puisse se montrer... cupide.

« Oui. »

Surkesh n'ose pas négocier plus. Les indiens continueront d'avoir des balistes de toute façon, les mercenaires continueront de leur en fournir et de les entretenir. Les habituelles ressources venus des Indiens, même en masse, ne valent pas ce navire de guerre apte à contrôler les eaux de l'île. Les mercenaires seraient enracinés dans le Pays Imaginaire avec ce bateau. Le grand-chef acquiesce au plan bien qu'il aurait préféré simplement brûler le bateau.
Puisque... le même plan, sans garder le bateau, ca ouvre le champ des possibles à un grand feu de joie maritime pour les Indiens. En gros, le même plan sans garder le bateau est plus simple et éfficace, sans doute plus économe en vies humaines.

« La Tribue du Centurio doit venir remplacer et réparer les grands-arcs-couchés. On donnera un plus que d'habitude. »

« On fera ça au plus vite grand-chef-chaman. Quand est-ce qu'on peut commencer les préparatifs pour prendre d'assaut le navire ? »

« Maintenant. »

Les Indiens ne procrastinent pas. Si le grand-chef-chaman regrettait de ne pas pouvoir simplement faire flamber le bateau, les guerriers furent heureux de se venger comme des hommes, des vrais, face à ces lâches de pirates.

A la nuit venue, minuit l'heure du crime...

Des kayaks glissent doucement sur l'eau, ne dépasse jamais en décibels le son de la marée. Les indiens avancent lentement... et silencieux, comme respectueux de la fureur de l'océan. Plus d'une dizaine qui naviguent dispersés, sans un bruit. Prêt à attaquer. Pour le moment, ils restent à distance. L'arrivée de Surkesh directement sur le bateau sera le signal. Ce doit être une arrivée fracassante qui attirera l'attention toute entière de l'équipage. Faire suffisamment dans l'éclat pour que nul ne voit s'approcher les kayaks.

A cet effet, Surkesh fit tout en son pouvoir pour augmenter ses chances de survie. De ses doigts crochues il tissa une armure de sa matière noire, aussi lourde et solide que possible, hérissés de pics et de lames. Une armure complète qui le fit semblable à un chevalier noir, l'on ne distinguait que ses yeux jaunes luisants. Et avec ça, il s'offrit un sort d'invisibilité partielle, devenant une silhouette de flou à la forme à peine humaine. Ce fit ensuite sort de dopage... puis il plongea au coeur des ténèbres de quoi le renforcer physiquement... et entra dans le portail de ténèbres.
Pour ressortir d'un autre, en plein milieu du pont du navire au travers d'un petit trou noir y étant apparu. Autant vous dire que ça n'est pas passé inaperçu.

Les tirs ont convergés, immédiatement, pour venir s'encastrer dans la matière noire. Surkesh avança alors, de toutes ses forces et brutal, pour charger au travers des pirates à pleine vitesse. Le sans-cœur fit en sorte que sa trajectoire soit faites de zigzag, d'aller-retours et de virages improbables. Les tirs fusèrent en tous sens et si certaines balles atteignirent leurs cibles, beaucoup d'autres se perdirent. Les kayaks devaient déjà être en chemins, plus de temps à perdre. Le corps de Surkesh se met alors à fumé de la fumée noir, si légère et dense à la fois, on croirait qu'elle danse, hiératique. La fumée s'échappe alors de l'armure par ses failles aux articulations... et pénètre le corps des pirates proches. Raison de plus pour expliquer que Surkesh court en tout sens désormais, cherchant simplement à répandre de son poison dans le coeur des ennemis. Un morceau même de son être... un peu de ses contradictions, de sa paranoïa... et de grande nervosité, ce sentiment que l'on est toujours plus ou moins en danger.
Seul bémol, la fumée n'est pas invisible, semple s'échapper du vide mais révèle bel et bien le sans-cœur aux yeux des pirates. Fort heureusement, jusqu'ici, les balles ne parviennent pas à traverser l'armure, les meilleurs s'y encastre facilement.

L'ombre de Surkesh se met alors à se mouvoir en une spirale où le mage est le centre. On converge vers lui, cette fois-ci à l'épée. Sur un rayon de deux mètres, tout les pirates s'arrêtent, leurs pieds prit dans une sorte de boue gélatineuse qui refuse de les lâcher et va jusqu'à forcer pour les garder là. Du goudron que l'on penserait vivant... un tir percute Surkesh en plein heaume. Un tir extrêmement puissant qui donne au porteur d'armure l'impression de s'être pris une droite en pleine tronche. Le sans-cœur fut sentir le métal déformé lui comprimé la mâchoire !
Immobile, tétanisé d'une douleur sourde au cerveau, l'on entendit le boulet de canon chuté au sol et s'encastrer dans le pont.

D'un regard, Surkesh reconnu un capitaine tant son allure et son style n'avait rien à voir avec le reste. Pendant ce temps, son ombre est revenu à la normale et laissé les pirates libres de l'encercler comme de le défoncer. Comme le destin qui s'acharne, ses sorts censés le booster se stoppent, lui offrant le ressenti d'avoir vu ses capacités cruellement diminués. Un gros coup de barre ! Plusieurs lames et balles percutaient son armure, la déformant de plus en plus rapidement. Se débattant comme il pouvait, à donner des coups en tout sens, on vit soudain plusieurs pirates volés dans les airs ! Une vague noire, comme un coup de vent sinistre, créa une ouverture à Surkesh qui s'y engouffrait pour échapper à la mêlée. Son sort de pensée noire avait fait effet... sans se battre entre eux, les pirates se menaçaient et se rappellaient à l'ordre pour un coup ou pour un autre. Sans les avoir amenés à se battre entre eux, ils avaient plus ou moins réussis à les empêcher de se battre ensemble.
Les pirates peinaient à se coordonner, chacun y allait à sa façon... entre les moments où ils se percutent et se gênent, Surkesh parvint à continuer sa course, sans but ni raison autre que de faire un maximum de dégat.

Et aussi d'augmenter ses chances de survies. Alors qu'ils chargeaient d'impulsions, de bonds plus que de pas, Surkesh lacérait et perforait des ennemis sur sa route. Pourtant, ses yeux ne lâchaient pas le capitaine, au niveau du gouvernail un peu en hauteur. Son canon était là, armé par deux moussaillons et prêt à tirer... une allumette à la main, le capitaine ajustait son canon de l'autre, assisté encore une fois par ses larbins. L'équipage s'habitua à son camouflage, lui infligeant de plus en plus de pression... son armure avait perdu sa forme d'origine comme griffonné à coup de marteau par un enfant géant débile. Ca le gênait plus qu'autre chose désormais... chaque balle déformait maintenant assez son armure pour le toucher.
Son armure se dissipa soudain pour le laisser filer, forçant son passage dans la masse de pirate sans qu'on puisse le révéler.

Surkesh sentit alors sa magie se dissipé... et redevenu visible, ses yeux jaunes comme son teint cadavéreux -sans oublier les cheveux blancs-, tout ça le mit en valeur. Désormais repéré par tout l'équipage. Son seul espoir fut de se jeter à l'eau et ainsi le sans-cœur saisissait sa chance, nageant dans l'eau glacé. Adopter sa forme de sans-cœur faciliterait les choses mais... non, les Indiens le verraient et n'apprécieraient pas. Surkesh profitait alors du calme en sous-marin mais ne put l'apprécier avec ses balles et boulets qui traversaient l'eau, sans un bruit ou presque, à toute vitesse pour le blesser.

Avec un portail de ténèbres, Surkesh apparu trempé jusqu'aux os dans le village des Indiens. Cette technique avait fait ses preuves face à des vikings... et elle les referait aujourd'hui. Des guerriers se précipitèrent alors, chacun posant une main sur le sombre mercenaire. Les indiens cherchèrent à être aussi nombreux que possible à maintenir un contact physique avec Surkesh... c'était la condition pour emprunter un passage noir avec lui.
Le mercenaire fut alors de retour, au niveau du gouvernail... lui et septs indiens assoiffés de vengeances sortirent de nulle part, prêt du gouvernail.

Deux Indiens se ruèrent sur le capitaine dans l'instant. Les autres se jetant à corps et coeur perdu vers l'ennemi le plus proche. La capitaine descendit un indien rien qu'en dégainant sa lame, lui tranchant la gorge et, en simultané, ayant tiré sur l'autre indien qui l'attaquait. Si le reste des troupes indiennes venus par portail noir s'en sortait avec les sous-fifres, Surkesh désira occuper le capitaine qui lui semblait bien trop dangereux pour être laissé inoccupé.
Quand aux kayaks, ils étaient déjà arrivés, leurs passagers et pilotes n'eurent aucun problème à gravir la coque du bateau à main nue.

Surkesh tendit alors une main vers le capitaine en face de lui... et le capitaine lui rendit son regard, un instant stupéfait. Dans le bois du bateau apparu un portail sombres aux inscriptions démoniaques. Une lame s'en échappa alors, flottant dans les hauteurs jusqu'à ce que Surkesh se saisisse de la garde. La surprise passée, c'est à ce moment que le capitaine arriva au corps à corps. Le sans-cœur recule alors d'un pas et frappe en réponse au coup de sabre de son ennemi.
Zanmato tranche alors le sabre du capitaine comme si ce fut du beurre... et le fait reculer d'un pas. L'ennemi tire alors par réflexe, touchant l'épaule du mercenaire.

Zanmato en tombe, sa lame transperçant le bois mais laissant sa garde à l'air libre. Surkesh n'attends pas et, d'instinct, se penche pour récupérer son arme du bras gauche. Une autre balle file... mais l'intervention d'un indien sauve la journée de Surkesh. Le capitaine envoi paitre l'indien, l'envoyant au loin en usant de son propre élan, le gérant comme un sace à patate qu'on lui aurait balancé. C'est à ce moment là que Surkesh arrive à portée, tentant un coup maladroit de son arme qui sera facilement esquivé... et Surkesh se décale soudain, anticipant le tir qui file dans le vide. Surkesh se décale soudain, un autre tir le frôle. Le mercenaire, encore une fois, pivote brusquement et évite un tir... le révolver n'a plus de munitions.

Surkesh n'est pas très habile au sabre... encore moins de la main gauche... et le capitaine esquive facilement l'enchainement de coup. Si à l'aise qu'à peine dérangé par les attaques, il recharge son revolver... et le tango persiste. Le sans-cœur cherche à la toucher, obstinément et sans subtilité, frappe avec Zanmato aussi vite que possible, sans finesse. Le pirate continue d'esquiver, incapable de trouver une ouverture pour tirer... mais au fil des coups, le capitaine casse la distance. De son bras armé du pistolet, il dévie la lame unique en déviant le poignet du sans-cœur, le canon idéalement placé pour faire sauter une cervelle. Le sombre mercenaire pousse alors l'ennemi de son pied dans son ventre. Le coup de feu part quand même mais Surkesh parvient à le faire reculer avec suffisamment de déséquilibre pour qu'il rate.

Surkesh repart à l'assaut, fonce sur le capitaine mais au dernier moment, bondit sur la partie stable du gouvernail et esquive ainsi un tir. C'est ensuite qu'il se laisse tomber pour rouler au sol et glisser jusqu'au flanc de son adversaire. Le capitaine pivote, se met face à Surkesh et lui lance un regard... sérieux. Le genre de regard qui suffit à provoquer un déclic chez Surkesh et l'interrompt un instant : ce gars est à prendre au sérieux.
D'un revers de main, Surkesh déploya une vague d'énergie noire sur le capitaine... celui-ci en fut déstabilisé, peu certain de ses appuis un instant et rata son tir qui toucha Surkesh à son bras déjà blessé.

Son sabre l'encombrait plus qu'autre chose... mais l'enjeu était là : si le sans-cœur touchait, il tuait. Sauf qu'ici... Surkesh était-il certain d'avoir la vitesse ou l'habilitée nécéssaire à le toucher ? Ce qu'il lui fallait venant du capitaine, ce n'était qu'une ouverture. A sa balle, Surkesh répondit un sort qui afficha des mirages de lui partout autour. Une dizaine de sombres mercenaires qui fit détourner le regard du capitaine, celui-ci scruta toutes les apparitions, vidant son chargeur sur la plupart d'entre elles.
Un clone de Surkesh, sans arme donc, débarqua comme du vide lui-même pour attaquer le capitaine en train de recharger.

Le puissant pirate fut suffisamment distrait pour interrompre son rechargement et simplement faire se dissiper le clone d'un coup de coude bien placé. Surkesh était là, en train de se ruer sur lui là où le capitaine ne regardait pas... mais au lieu d'esquiver, le capitaine usa de sa main libre pour sortir un mousqueton et tirer ! Le coup touche Surkesh dans le ventre et le stoppe net, voyant que son ennemi jette le vieux flingue pour en sortir un autre de sous sa veste.
Surkesh lève son bras pour se cacher dérrière, ordonnant à son ombre de s'ériger en un mur... la balle n'est pas stoppé mais déforme l'ombre gélatineuse et dense. Finalement, la balle perd tout son élan.

Le sombre mercenaire envoit alors son ombre comme un monstre d'encre poursuivant le capitaine en fuite ! L'ombre est obliger de s'étirer pour continuer à poursuivre le capitaine qui s'éloigne... mais faisant la taille d'un gros cable, elle s'enroule comme un serpent autour de la cheville du capitaine. D'un coup sec, Surkesh son bras et l'ombre lui ramène le capitaine à ses pieds. Soudain, le goudron vivant qu'est l'ombre engloutit rapidement le capitaine... quand un pirate -un troufion- débarque en beuglant sur la droite un sabre à la main ! D'un geste, Surkesh envoi son ombre le percuter et le saucissonner, l'ombre balayant la zone avec le pirate en guise de masse.
Le tentacule d'ombre suit le bras de Surkesh... en pleine nuit, son ombre est logiquement moins étendu et moins dense. Ses options sont limités et s'ils faisaient plusieurs tentacules, ces derniers ne seraient pas assez puissants.

Alors que le sans-cœur envoi valsé ses ennemis, ayant perdu la trace du capitaine, la bataille fait rage entre indiens et pirates ! Le sang coule à flot, sa hurle des jurons ou des menaces, la rage est palpable et emporte peu à peu tout le monde sur son passage. Les Indiens prennent l'avantage, un maigre avantage qui peut vite s'effacer sur un malentendu. Surkesh n'attends pas et plonge dans la mêlée, tranchant les pirate dans sa course. Une balle le touche alors au pied... le capitaine l'a eu par surprise enchainant déjà sur le reste de son chargeur. Le mercenaire leva sa main armé en l'air, projetant son tentacule jusqu'au mât pour s'y hisser. Surkesh survola alors la foule pour s'échapper et revenir à l'extrémité du bateau ; celle avec le gouvernail et la proue. Atterrissant en catastrophe, il eut gardé la maitrise de son ombre pour qu'elle se saisisse du canon et le jette en direction du capitaine.
Ca toucha quelques pirates et indiens mais pas la cible.

Le combat s'enlisait à vue d'œil, désormais... quand un deus ex machina changea la donne. Pour Surkesh, c'était probablement tout bénèf... c'était même parfait. Pour les pirates, ça n'aurait pas pu tombé à pire moment... mais pour les Indiens non plus.

Ainsi retentit le chant des sirènes... rythmés et mélodieux, dansants... pirates et indiens continuent de se battre, au départ. Peu à peu, les Indiens vont se jeter à l'eau ! Beaucoup de pirates y vont aussi... mais beaucoup ont été assez réactifs pour se boucher les oreilles et soudain, ça craint. Surkesh n'y fut pour rien, les sirènes sont venu d'elles-mêmes s'occupé de deux ennemis en train de s'affronter. L'occasion, pour le mercenaire et même les mercenaires, était en or. Sans avoir mobilisé touts leurs guerriers, les Indiens en ont envoyés un certain nombres et... vu le nombre de victimes en cours, ils risquent d'avoir besoin de protections.
Surkesh n'y fut pour rien... il n'a fait que mettre les sirènes au courant de son plan, à part ça, il n'a rien demandé du tout.

Surkesh se recouvrit d'un sort d'invisibilité éphémère et partielle, pour lui comme pour son arme, décidé à charcuter du pirate qui ne réussirait pas à l'entendre. Un, deux, trois, quatre, cinq, six... ca se coupe sans effort... et juste après le septième, recouvert du sang des pirates, Surkesh encaisse une nouvelle balle... accusant désormais le coup. Vu comme c'était partit, aucun des indiens n'en ressortiraient vivants... Surkesh s'assurerait que ça ne serait pas le cas des pirates non plus.
Simplement espérait-il que les sirènes ne le voient pas ainsi. Profitant de son camouflage sommaire, il prit sa forme de sans-cœur aux cheveux d'argents... et de là où elles étaient, les sirènes ne capteraient probablement pas.

Endolorie et le bras droit inerte, Surkesh se rua vers le capitaine malgré les balles... mais ne l'atteint pas, forcé de changer de direction en permanence à cause des coups de feux. Manipulé comme un bleu, Surkesh fut guidé par les balles jusqu'à un canon... et un pirate aux cheveux poivre et sel venait à peine d'allumer la mèche. Le sans-cœur tente de se décaler mais une balle l'interrompt, une autre balle nie sa deuxième tentative de s'échapper et le coup part ! Dans un réflexe salvateur, Surkesh tranche le boulet... qui explose net, projetant Surkesh au sol en élargissant ses blessures et défaisant ceux trop proche.

La fumée noire de l'explosion fit que le capitaine ne toucha rien sinon des alliés ou des indiens en vidant son chargeur. Le sans-cœur était momentanément dissimulé mais même l'urgence de sa situation ne l'autorisait pas à se relever. Déjà couvert de sang et maintenant de suie, on le repèrerait rapidement dès la fumée dissipée. Un ou deux instants plus tard, un clone du sans-cœur sortit et un rhapsodie bleue s'échappèrent de la fumée peu avant qu'elle disparaisse, attirant à eux les tirs. Suite à cela, des mirages, basses répliques illusoires du sans-cœur apparurent ici et là, immobile comme des cibles rapidement troués et disparus.
Cela faisait gagner du temps à Surkesh qui rampait, se hisser vers un abri de sa seule main, agitant ses pieds pour incanter avec maladresse.

Une sombre brume recouvra le bateau, juste le temps de passés... une illusion courte et peu réaliste qui aveugla momentanément les gens... ou au moins rendit l'endroit assez sombre pour que Surkesh récupère quelques forces.

Le capitaine a la main gelé autour de son revolver et frappe le bois de toutes ses forces pour briser le glacier qui l'empêche de tirer. Du coin de l'œil, Surkesh voit un canon en train d'être chargé... il y envoi son ombre d'un bras tendu, Zanmato les pointant du bout de sa lame. Au sol, l'ombre s'allongea simplement jusqu'à devenir aussi fine qu'une garde... la mèche du canon s'allume et... un fin tentacule noir surgit du sol pour fouetter le canon sur roue et le dévier. Il pointe maintenant sur le capitaine occuper à libérer sa main de la glace.
Le glacier de sa main éclate et il tire d'instinct sur le boulet de canon pas encore partit. Ca explose et le canonnier avec !

Le bateau accumule les cicatrices... mais tant que c'est que ça, tout va bien. Surkesh se rue vers un pirate, se décale au dernier moment pour éviter un tir et le décapite, se ruant vers le prochain alors que la tête n'est même pas encore au sol. L'embrochant simplement, le mercenaire s'éloigne d'une vive roulade, réveillant la douleur dans son bras plombé et le coup de feu passé, se rue vers le tireur en train de recharger son tromblon. Son sort cela le même que celui des deux autres.

Les Indiens sont tous tombés à l'eau, pas mal de pirates avec... sans compter les morts de la bataille... ne reste plus tellement de pirates, certains sont déjà bien usés par le combat. Le capitaine se relève, un sabre à la main... et les quelqu'autres pirates n'ont plus que ça aussi. Le calme après la tempête qui en annonce une autre. Surkesh regarde les pirates, les pirates le regardent, tout le monde est fixe et immobile.

« T'ES QUOI TOI ?! » Hurle-t-il avec calme, la faute aux bouchons d'oreilles. Les sirènes ne chantent plus et sont repartis mais ils ne l'ont pas encore remarqué.

Surkesh ne se fatiguerait pas à répondre... et se rua vers le capitaine, ce dernier étant sans aucun doute le plus dangereux ici. Prudent, cet ennemi ne fut pas agressif pour un sous, cherchant surtout à rester hors d'atteinte de Zanmato. Le sans-cœur était encerclé... il nia les tentatives d'approches des autres pirates par des coups de sa lame, ne tuant aucun pirate mais coupant le bras de l'un d'entre eux. Ils n'osèrent plus approcher le sans-cœur... ce dernier n'osait pas approcher non plus, bien plus préoccupé par l'idée qu'on le prenne à revers. Zanmato l'obsédait, ca serait bien plus éfficace pour lui d'attaquer à distance... si seulement il avait ses deux bras, il pourrait utiliser son arme et sa magie en même temps.
Surkesh fléchit puis bondit aussi haut que possible, jusqu'à la vigie. Cela le rend innaccessible, pour un temps... un temps que les pirates passèrent à ramasser de quoi tirer. Les balles fusent au travers du bois et Surkesh, affaibli par ses blessures de seconde en seconde, ne parvient pas à trouver de solution. Aucune qui n'exige pas de détruire le bateau, en tout cas.

Soudain, la rhapsodie bleu revient... tout le monde l'avait oublié, Surkesh le premier mais non, elle ne fut pas vaincue. Ce sans-cœur est toujours très prudent, a probablement attendu qu'il y ait moins de grabuge pour revenir et lancer quelques glaciers, se fait rapidement abattre. Ca détourna l'attention juste assez pour qu'une clone s'échappe de la vigie et saute dans l'eau ! Touts les pirates se tournent vers la diversion et tire dans l'eau, espérant l'abattre.
Surkesh atterrit dans leurs dos, sans un bruit grâce à une zone où le bruit n'existe pas. L'atterrissage est violent, tétanise un moment ses pattes de douleurs, ces dernières remontant finalement jusqu'à réveillé un supplice en ses blessures par balle.

D'un geste de son bras armé, Surkesh envoi valser les pirates d'une vague d'énergie noire ! Seulement deux ne passe pas par-dessus bords... le capitaine et un autre aux cheveux poivres et sels. Ayant enfin compris qu'il n'y avait plus de sirènes, ils enlèvent leurs bouchon d'oreilles.

« Cooke... le bateau peut partir en cendres mais on défonce ce... truc. »

« Bien reçu Capitaine. »

A la simple idée que le bateau pourrait partir en cendres, Surkesh perdit le contrôle et fut bien décidé à protéger son bateau. Il chargea pour frapper, coupant en deux un canon alors que ses deux ennemis esquivèrent d'un bond chacun. Désormais cerné par ses deux adversaires, Surkesh se rua sur Cooke, enchaina aussi rapidement que possible ! Entendant la course du capitaine, le sans-cœur se retourna pour un coup dans le vide... fit reculer le capitaine puis s'esquiva d'une roulade. Être pris en deux ennemis n'est jamais une bonne chose... le capitaine charge, plutôt prudent, alors que le nommé Cooke reste en retrait pour allumer un baton de dynamite.
Surkesh chargea le capitaine, frappa maladroitement sans s'arrêter pour le faire se décaler... et une fois hors de son chemin, le sans-cœur redoubla de vitesse.

Le mercenaire percuta Cooke, le séchant sur place et lui faisait lâcher la dynamite. D'un geste habile de la patte, Surkesh fit rouler le baton de dynamite dérrière lui ! L'explosion eut raison du capitaine... mais troua aussi le pont ! Pas mort pour autant, le capitaine fut éjecté par le souffle de l'explosion jusqu'à la mer... quand à Cooke, il se jeta à l'eau aussi, manquant de peu d'être tranché en deux sans efforts.

Surkesh relâcha alors toutes ses tensions et s'effondra sur le bois du bateau qui désormais, lui appartenait... reprenant sa forme humaine, le contrecoup fut énorme. Son endurance réduisit en même que ses capacités physiques, le laissant incroyablement faible. Le mercenaire rampa jusqu'à un tonneau qui servirait d'appuis à son dos. Profitant du calme soudain de la nuit, il sortit ses griffes noirs et, comme on le ferait avec une pince, extirpa une à une les balles reçus. A chaque fois, il les regardait... les balles n'était plus lisses, rugueuses et taillés comme de la roche. Ce qui voulait dire que des éclats étaient encore présents dans le corps de Surkesh. Ne voyant pas comment les enlever là tout de suite, le sombre mercenaire se contenta d'arracher sa bure noire pour s'en faire des bandages rudimentaires. Le sang ne coulait plus, suintait toujours mais ne coulait plus... et des éclats le torturaient à chacun de ses mouvements.
Quelle ne fut pas... la lassitude et l'appréhension de Surkesh alors que le capitaine gravissait le bateau...

Il dut se levé, boita et manqua de tomber avant d'enfin s'affaler contre la rambarde, épuisé. D'un geste mou du bras, il envoya du miasme noir dévorer le capitaine de l'intérieur... pas assez pour le tuer, juste assez pour le faire tomber... et le sans-cœur put sentir une différence notable. Ce sort de ténèbres n'est en rien assez puissant pour faire basculer quelqu'un, il ne corrompt que légèrement. Pourtant... cette petite corruption, ce brin d'ombre fut celui de trop. Le coeur du capitaine sombra dans les ténèbres en même temps qu'il sombra dans l'océan.

Surkesh était bien placé pour savoir que laisser quelqu'un pour mort, c'est une mauvaise idée... et soit les pirates s'effondreront après ça, soit ils redoubleront de rages. Le sans-cœur était sûr que ce capitaine referait surface, bien plus dangereux qu'il ne l'était jusqu'ici.

Surkesh avait récupéré son bateau... affaiblit les Indiens qui auront d'autant plus besoin d'aide pour le coup... et fait plaisir aux sirènes. Le Centurio avait de beaux jours devant lui au Pays Imaginaire... ou de très mauvais, plus probablement. Les Indiens pourraient très mal réagir à la mort des leurs... mais soit, Surkesh peut s'en expliquer.
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Tu t’es chopé des alliés, le combat est ardu, et la victoire loin d’être totale… Laissant même pas mal de possibilité de contrer. Big up pour avoir laissé le capitaine en vie, ça viendra nous piquer quand on s’y attendra le moins !
Bref, je trouve qu’il y a une nette amélioration sur le texte, la construction, la logique du RP. Les actions des différents groupes sont assez réalistes : Les indiens sont peut-être un peu prompts à la baston, mais c’est ptet dans leur caractère dans le film (faut toujours que je me le fasse) ; Les sirènes et leur coup de pute sont dans la continuation de tes rapports avec eux, les pirates se battent comme des beaux diables, etc.
Et en plus, tu mets une vraie ambiance, sans trop casser la narration. C’est assez rare quand tu écris Surkesh, donc je note, d’autant que c’est assez rythmé et ça rappelle le contexte. Intéressant notamment d’avoir un aperçu de la politique des indiens, leur rapport avec le Centurio, etc. Toutefois, il y a parfois un peu trop de description (ouais, je sais, c’est l’hôpital qui se fout de la charité ^^), notamment dans tes descriptions de l’attitude des pnj où l’accumulation de qualificatif peut parfois perdre le lecteur.
Sinon comme toujours j’aime tes dialogues (« Nous avons du mal à te cerner » notamment x), les combats sont confus irp donc assez logiquement le texte aussi même si ça reste bien rythmé, dense et avec de bon rebondissement. Plus généralement, tu as été plus mesuré : Aux admins de voir si ça convient. Si je dois donner mon avis, ça ne me choque pas trop, si on considère les factions Indien et Pirate de force équivalente et que Surkesh fait suffisamment diversion pour nier l’avantage donné par le bateau… ça se justifie. Après tout, Surkesh est supposé être bourrin, et le combat est bien retransmis comme difficile.

Bon, je suis là pour commenter donc je vais quand même faire un peu mon chieur : Je remarque pas mal de répétition, ce qui freine un peu l’immersion. Ça peut aller d’utiliser deux fois le même mot (« Surkesh se décale soudain, anticipant le tir qui file dans le vide. Surkesh se décale soudain, un autre tir le frôle. »), ce qui je pense relèvent plus des fautes d’inattention.
Mais ça peut aussi être une succession d’expression qui veulent dire la même chose.
Un exemple flagrant est l’arrivée des indiens sur leur kayaks : La première phrase est excellente, si ce n’est une erreur de conjugaison (« Des kayaks glissent doucement sur l'eau, ne dépasse jamais en décibels le son de la marée. ») On est dans l’action, c’est bien dit, l’approche feutrée dissimulée par le bruit des vagues… Puis dans les deux phrases suivantes viennent rappeler le côté silencieux de l’attaque, manquant singulièrement de subtilité. (« Les indiens avancent lentement... et silencieux, comme respectueux de la fureur de l'océan. Plus d'une dizaine qui naviguent dispersés, sans un bruit. »). Je comprends ta volonté d’insister sur le silence de l’attaque, mais ça n'est pas toujours utile.

Après, dans le second cas, je pense que c’est en parti voulu, tu joues pas mal avec ce genre de répétition (type la mystique des sombres mystères) et ça rend parfois très bien. Mais je dois te prévenir, ça peut aussi donner un air un peu brouillon au texte. Ou alors très drôle, comme le double « Surkesh n’y fut pour rien » face au chant des sirène qui est… disons discutable…

En bonus, je viens couper les cheveux en quatre sur la grammaire. Y’a beaucoup d’erreurs de conjugaisons, des formulations de phrases parfois confuses ou manquant des mots, deux trois tournures un peu étranges… C’est rien de particulièrement grave mais comme y’en a pas mal de prend note.

Allez, assez discutaillé. Ce sera donc une mission Périlleuse, avec 35 point d’xp, 300 munnies et 3 PS, 2 en vitesse 1 en Force.
Je sais pas pourquoi c’est moi qui me retrouve à te noter, considérant que tu vas utiliser tous ces PS pour me faire disparaitre… *soupire*
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