Alerte aux radars
Death voulait encore plus de sécurité autour de notre monde. Les hommes de la Garde Noire et les bombes disposées devant le château ne suffisaient pas. Il fallait quelque chose en plus. Et ça c’était pour les vaisseaux extérieurs à ceux de la compagnie Shin-Ra. Il fallait que nous puissions être prévenu de l’arrivée de n’importe quelle personne.
Et pour cela, je dû m’en aller à San Fransokyo, là-bas je pourrais sûrement trouver mon bonheur. Je devais acheter ces dispositifs auprès d’un vendeur ou même les commander auprès d’un étudiant.
Ce n’est pas que je ne faisais pas confiance aux « jeunes » s’ils étaient dans cette université, c’est qu’ils avaient les capacités pour répondre à mes demandes. Mais je référais d’abord aller voir un vendeur.
Mon vaisseau enfin posé dans ce monde, je parcourais rapidement les rues marchandes pour trouver la boutique -et donc l’homme ou la femme qui pourrait m’aider- et même si j’étais déjà venu dans ce lieu, je ne le connaissais pas comme ma poche.
Je décidai donc de demander à un passant s’il pourrait m’aider à trouver « mon chemin ».
Je fis un signe de tête à cet homme et pris la direction de la boutique de cette dénommée Tetra.
Je ne mis pas très longtemps à la trouver et il avait raison, son échoppe ne passait vraiment pas inaperçue. Ce qui était un peu contradictoire avec le fait que la propriétaire était légèrement paranoïaque.
De l’extérieur, elle n’était pas très grande et assez basique. Ses murs étaient des pierres dans les tons assez foncés mais sur la porte, on pouvait voir dessiner une sorte de petit drone triangulaire de couleur dorée.
Je poussai délicatement la porte, aucun son de clochette ne se fit entendre et décidai d’appeler la gérante.
Elle s’écarta de moi et j’en profitai pour la regarder d’un peu plus près. C’était un petit bout de femme. Elle n’état pas bien grande et paraissait assez jeune… Même si le stress et la peur se lisait sur son visage pouvait contredire son aspect physique.
Ses cheveux blonds très clairs étaient remontés en chignons sur le haut de sa tête, elle avait de grands yeux bleus. Un foulard rouge autour de son coup, un petit veston bleu recouvrait un chemisier blanc assorti à son pantalon. Mais elle avait également un bandage à chaque poignet.
Tetra revint vers moi avec en sa possession un petit radar avec une apparence similaire à celui qui apparaissait sur la porte de sa boutique.
Je remerciai Tetra tout en lui donnant une sorte de carte de visite sur laquelle étaient inscrit mon nom et un numéro où pouvoir me joindre lorsque la conception de ces radars serait terminée.
Je ne revins que quelques semaines plus tard à Sans Fransokyo, j’en avais presque oublié cette mission. Mais je fus assez surpris d’entendre une voix que je ne reconnus pas immédiatement m’annoncer que la commande était réalisée.
Je n’avais pas mis longtemps à partir pour ce monde et retrouver la petite boutique de la femme légèrement paranoïaque. Je poussai la porte et pénétrai à l’intérieur de l’échoppe.
Elle se mit à sourire très poliment et s’en alla derrière son comptoir pour ressortir les dix radars que j’avais commandé.
Je sortais de ma petite bourse personnelle le montant qu’elle m’avait indiqué. Je la remerciai une nouvelle fois et reparti vers mon vaisseau avec mes biens en ma possession.
J’étais désormais en orbite autour de mon monde et disposais chaque petit radar à une certaine distance les uns des autres de façon à former un cercle tout autour.
Je repartis à présent faire part de l’état de la mission à Death dans les locaux du quartier général.
Et pour cela, je dû m’en aller à San Fransokyo, là-bas je pourrais sûrement trouver mon bonheur. Je devais acheter ces dispositifs auprès d’un vendeur ou même les commander auprès d’un étudiant.
Ce n’est pas que je ne faisais pas confiance aux « jeunes » s’ils étaient dans cette université, c’est qu’ils avaient les capacités pour répondre à mes demandes. Mais je référais d’abord aller voir un vendeur.
Mon vaisseau enfin posé dans ce monde, je parcourais rapidement les rues marchandes pour trouver la boutique -et donc l’homme ou la femme qui pourrait m’aider- et même si j’étais déjà venu dans ce lieu, je ne le connaissais pas comme ma poche.
Je décidai donc de demander à un passant s’il pourrait m’aider à trouver « mon chemin ».
- Bonjour, excusez-moi.
- Oui, bonjour.
- Je ne suis pas du coin et j’aimerai trouver un vendeur de radars.
- Des radars ?
- Oui, en fait. C’est pour… Le travail. J’ai en ai besoin.
- Je me fiche un peu de savoir pourquoi vous en avez besoin. Mais ma question était plutôt dans le sens du genre. Il en existe plusieurs.
- Ho… Heu, et bien pour détecter des présences.
- Ha. Et bien là, c’est plutôt Tetra que vous devez voir. Elle est un peu barrée, mais c’est dans sa nature. Elle est tellement parano qu’elle a crée toutes sortes d’objets pouvant détecter différentes présences.
- Mais c’est génial !
- Hum ?
- Enfin, pas qu’elle soit comme ça. Mais qu’elle puisse m’aider… Où puis-je la trouver ?
- À cette heure-ci, elle est sûrement dans son laboratoire. Il est collé à sa boutique que vous trouverez à 200 ou 300 mètres d’ici. Vous allez tout droit et vous tomberez sur une petite bicoque un peu sombre, mais vous ne pourrez pas la louper.
- Merci beaucoup. Bonne journée.
- Oui, bonjour.
- Je ne suis pas du coin et j’aimerai trouver un vendeur de radars.
- Des radars ?
- Oui, en fait. C’est pour… Le travail. J’ai en ai besoin.
- Je me fiche un peu de savoir pourquoi vous en avez besoin. Mais ma question était plutôt dans le sens du genre. Il en existe plusieurs.
- Ho… Heu, et bien pour détecter des présences.
- Ha. Et bien là, c’est plutôt Tetra que vous devez voir. Elle est un peu barrée, mais c’est dans sa nature. Elle est tellement parano qu’elle a crée toutes sortes d’objets pouvant détecter différentes présences.
- Mais c’est génial !
- Hum ?
- Enfin, pas qu’elle soit comme ça. Mais qu’elle puisse m’aider… Où puis-je la trouver ?
- À cette heure-ci, elle est sûrement dans son laboratoire. Il est collé à sa boutique que vous trouverez à 200 ou 300 mètres d’ici. Vous allez tout droit et vous tomberez sur une petite bicoque un peu sombre, mais vous ne pourrez pas la louper.
- Merci beaucoup. Bonne journée.
Je fis un signe de tête à cet homme et pris la direction de la boutique de cette dénommée Tetra.
Je ne mis pas très longtemps à la trouver et il avait raison, son échoppe ne passait vraiment pas inaperçue. Ce qui était un peu contradictoire avec le fait que la propriétaire était légèrement paranoïaque.
De l’extérieur, elle n’était pas très grande et assez basique. Ses murs étaient des pierres dans les tons assez foncés mais sur la porte, on pouvait voir dessiner une sorte de petit drone triangulaire de couleur dorée.
Je poussai délicatement la porte, aucun son de clochette ne se fit entendre et décidai d’appeler la gérante.
- Madame Tetra ?
- Ça dépend. C’est pourquoi ?
- Je serais intéressé par vos radars.
- Pourquoi faire ?
- Il m’en faut pour sécuriser une zone.
- Vous cherchez à vous protéger ? Nous sommes tous surveillés…
- Heu… Oui. C’est pourquoi, j’aimerai protéger l’endroit où je vis ainsi que les personnes de mon monde.
- Votre monde est en danger ?
- Pas encore. Mais c’est pourquoi j’aurai besoin de radars pour éviter que ce ne soit trop tard…
- C’est que j’aurai dû faire depuis longtemps… Maintenant il est trop tard… Marmonna-t-elle.
- Comment ?
- Non, rien ! Vous voulez en mettre où exactement ?
- Il faudrait qu’ils soient en orbite autour de notre monde. Comme ça, nous saurons qui arrive et quand…
- Il vous faut donc un modèle bien particulier…
- Ça dépend. C’est pourquoi ?
- Je serais intéressé par vos radars.
- Pourquoi faire ?
- Il m’en faut pour sécuriser une zone.
- Vous cherchez à vous protéger ? Nous sommes tous surveillés…
- Heu… Oui. C’est pourquoi, j’aimerai protéger l’endroit où je vis ainsi que les personnes de mon monde.
- Votre monde est en danger ?
- Pas encore. Mais c’est pourquoi j’aurai besoin de radars pour éviter que ce ne soit trop tard…
- C’est que j’aurai dû faire depuis longtemps… Maintenant il est trop tard… Marmonna-t-elle.
- Comment ?
- Non, rien ! Vous voulez en mettre où exactement ?
- Il faudrait qu’ils soient en orbite autour de notre monde. Comme ça, nous saurons qui arrive et quand…
- Il vous faut donc un modèle bien particulier…
Elle s’écarta de moi et j’en profitai pour la regarder d’un peu plus près. C’était un petit bout de femme. Elle n’état pas bien grande et paraissait assez jeune… Même si le stress et la peur se lisait sur son visage pouvait contredire son aspect physique.
Ses cheveux blonds très clairs étaient remontés en chignons sur le haut de sa tête, elle avait de grands yeux bleus. Un foulard rouge autour de son coup, un petit veston bleu recouvrait un chemisier blanc assorti à son pantalon. Mais elle avait également un bandage à chaque poignet.
Tetra revint vers moi avec en sa possession un petit radar avec une apparence similaire à celui qui apparaissait sur la porte de sa boutique.
- Le voici.
- Whaou, c’est…
- Quoi ?
- Rien… Je pensais que ce serait beaucoup plus grand.
- Ho… Vous savez, j’aime que les radars que je crée soient… Discrets.
- C’est une merveilleuse idée !
- Il vous plait ?
- Oui ! Et comment fonctionne-t-il ?
- Il faut tout simplement l’activer en appuyant sur ce bouton. Il a une très grande autonomie. Il peut rester 3 mois sans qu’on n’y touche.
- 3 mois !?
- Parfois 4, ça dépend s’il entre en collision avec un autre par exemple. Ça fait une sorte de choc et du coup sa batterie se vide un peu plus vite.
- Ho ce n’est pas bien grave ça. Et vous les vendez combien ?
- 250 munnies pièce.
- Parfait !
- Il vous en faut combien ?
- Une petite dizaine, ce serait possible ?
- Je n’en possède pas autant… Il me faudrait le temps de les créer…
- Ho bien sûr, il n’y a pas de soucis. Prenez votre temps.
- Whaou, c’est…
- Quoi ?
- Rien… Je pensais que ce serait beaucoup plus grand.
- Ho… Vous savez, j’aime que les radars que je crée soient… Discrets.
- C’est une merveilleuse idée !
- Il vous plait ?
- Oui ! Et comment fonctionne-t-il ?
- Il faut tout simplement l’activer en appuyant sur ce bouton. Il a une très grande autonomie. Il peut rester 3 mois sans qu’on n’y touche.
- 3 mois !?
- Parfois 4, ça dépend s’il entre en collision avec un autre par exemple. Ça fait une sorte de choc et du coup sa batterie se vide un peu plus vite.
- Ho ce n’est pas bien grave ça. Et vous les vendez combien ?
- 250 munnies pièce.
- Parfait !
- Il vous en faut combien ?
- Une petite dizaine, ce serait possible ?
- Je n’en possède pas autant… Il me faudrait le temps de les créer…
- Ho bien sûr, il n’y a pas de soucis. Prenez votre temps.
Je remerciai Tetra tout en lui donnant une sorte de carte de visite sur laquelle étaient inscrit mon nom et un numéro où pouvoir me joindre lorsque la conception de ces radars serait terminée.
Je ne revins que quelques semaines plus tard à Sans Fransokyo, j’en avais presque oublié cette mission. Mais je fus assez surpris d’entendre une voix que je ne reconnus pas immédiatement m’annoncer que la commande était réalisée.
Je n’avais pas mis longtemps à partir pour ce monde et retrouver la petite boutique de la femme légèrement paranoïaque. Je poussai la porte et pénétrai à l’intérieur de l’échoppe.
- Tetra ?
- Ho Milla… Vous avez fait vite !
- Vous savez quand vous m’avez dis que la commande était prête, je n’ai pas hésité une seconde, je les attendais avec impatience. Je veux protéger les gens de mon peuple... Mentis-je
- Ho Milla… Vous avez fait vite !
- Vous savez quand vous m’avez dis que la commande était prête, je n’ai pas hésité une seconde, je les attendais avec impatience. Je veux protéger les gens de mon peuple... Mentis-je
Elle se mit à sourire très poliment et s’en alla derrière son comptoir pour ressortir les dix radars que j’avais commandé.
- Donc 10 radars à 250 munnies... 2 500 munnies s’il vous plait.
Je sortais de ma petite bourse personnelle le montant qu’elle m’avait indiqué. Je la remerciai une nouvelle fois et reparti vers mon vaisseau avec mes biens en ma possession.
J’étais désormais en orbite autour de mon monde et disposais chaque petit radar à une certaine distance les uns des autres de façon à former un cercle tout autour.
Je repartis à présent faire part de l’état de la mission à Death dans les locaux du quartier général.