Après un vol fructueux où on a rempli tous nos sacs nécessaires, on va à Hill Valey pour voir les mercenaires. Peut-être qu’on va croiser Surkesh, on ne sait jamais. Dans tous les cas, j’en ai marre de porter deux sacs alors que Wave en porte un. Bien rempli, mais quand même. Au moins, on a nos affaires pour aller à Port Royal, pour négocier un peu avec les mercenaires.
On compte déjà sortir de ce monde à voler alors qu’on peut très bien prendre le contrôle d’une autre ville, et on va d’abord vérifier si ça n’appartient pas aux mercos, puis on vole tout, on fera le chaos où le vol est si courant que seuls les voleurs pourront y vivre. Mais bon, les ordres du chef sont les ordres.
Quand on arrive à Hill Valey, le peuple commence à nous craindre. Ha ha ha ! J’aime ça !
« Les oiseaux voleurs !
Qu’on les pende ! »
On ne peut s’empêcher de rire pendant que certains gus courent vers nous. Je sors un pistolet-taser que j’ai fait moi-même, même si je ne sais pas encore tirer aux armes à feu, tandis que Storm se dresse devant ceux qui sont devant nous, un poing frappant régulièrement la paume de l’autre main.
« Je vous conseille plutôt de ne pas vous approcher de nous, ou vous allez prendre très, très cher !
Et si vous ne recevez pas une patate de la part de l’albatros à ce moment-là, vous recevrez un coup de jus assez violent de la part de l’hirondelle !
Ou alors vous recevrez une petite tornade de la part du faucon ! »
C’est à ce moment-là qu’une personne très sérieuse avec une étoile sur le cœur se dresse devant nous, devant le peuple.
« Alors les oiseaux voleurs, ce n’est pas qu’une connerie.
Tiens, un bandit m’a parlé de l’étoile sur ton cœur. Alors c’est toi le shérif, hein ?
Ouais, mes salauds. Et vous n’allez pas vous en sortir comme ça sans aller au pénitencier ou à la corde. »
Il crache devant nous et on ne peut pas s’empêcher de rire face à cette parole qui sera sûrement en l’air. Je vois que le shérif commence à s’énerver face à notre rire.
« Et qu’est-ce que tu vas nous faire ? Nous tirer dessus ? Nous poursuivre à cheval contre des planches flottantes qui vont un peu plus vite qu’un cheval mais pas aussi épuisable ?
Crois-moi, ce n’est pas avec des balles de fusil que tu pourras nous arrêter, même si on a des sacs remplis. Il suffit de faire tourner très vite nos hoverboards pour provoquer une petite tornade et donc dévier tes balles. Cherche pas, tu ne pourras rien faire face aux Babylon Rogues. »
J’espère qu’un mercenaire va intervenir. Quitte à faire semblant de nous rendre, autant avoir la possibilité d’aller à Port Royal. C’est le seul moyen d’y aller car on n’a plus aucun vaisseau.
Sam 30 Déc 2017 - 15:15On compte déjà sortir de ce monde à voler alors qu’on peut très bien prendre le contrôle d’une autre ville, et on va d’abord vérifier si ça n’appartient pas aux mercos, puis on vole tout, on fera le chaos où le vol est si courant que seuls les voleurs pourront y vivre. Mais bon, les ordres du chef sont les ordres.
Quand on arrive à Hill Valey, le peuple commence à nous craindre. Ha ha ha ! J’aime ça !
« Les oiseaux voleurs !
Qu’on les pende ! »
On ne peut s’empêcher de rire pendant que certains gus courent vers nous. Je sors un pistolet-taser que j’ai fait moi-même, même si je ne sais pas encore tirer aux armes à feu, tandis que Storm se dresse devant ceux qui sont devant nous, un poing frappant régulièrement la paume de l’autre main.
« Je vous conseille plutôt de ne pas vous approcher de nous, ou vous allez prendre très, très cher !
Et si vous ne recevez pas une patate de la part de l’albatros à ce moment-là, vous recevrez un coup de jus assez violent de la part de l’hirondelle !
Ou alors vous recevrez une petite tornade de la part du faucon ! »
C’est à ce moment-là qu’une personne très sérieuse avec une étoile sur le cœur se dresse devant nous, devant le peuple.
« Alors les oiseaux voleurs, ce n’est pas qu’une connerie.
Tiens, un bandit m’a parlé de l’étoile sur ton cœur. Alors c’est toi le shérif, hein ?
Ouais, mes salauds. Et vous n’allez pas vous en sortir comme ça sans aller au pénitencier ou à la corde. »
Il crache devant nous et on ne peut pas s’empêcher de rire face à cette parole qui sera sûrement en l’air. Je vois que le shérif commence à s’énerver face à notre rire.
« Et qu’est-ce que tu vas nous faire ? Nous tirer dessus ? Nous poursuivre à cheval contre des planches flottantes qui vont un peu plus vite qu’un cheval mais pas aussi épuisable ?
Crois-moi, ce n’est pas avec des balles de fusil que tu pourras nous arrêter, même si on a des sacs remplis. Il suffit de faire tourner très vite nos hoverboards pour provoquer une petite tornade et donc dévier tes balles. Cherche pas, tu ne pourras rien faire face aux Babylon Rogues. »
J’espère qu’un mercenaire va intervenir. Quitte à faire semblant de nous rendre, autant avoir la possibilité d’aller à Port Royal. C’est le seul moyen d’y aller car on n’a plus aucun vaisseau.