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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Accompagné d'un duo de Turks, j'avais quitté le vaisseau-mère l'espace d'une soirée pour me rendre dans la ville de San Fransokyo. Ce soir était un grand soir, pour la compagnie, en effet la Maire de la ville m'avait invité à partager un dîner chez elle. Je m'étais donc préparé, avais pris le nécessaire en ma qualité de convive, et transportait mon présent dans une mallette à verrou digital.

C'étaient Freyra et Ruluf qui m'accompagnaient. Deux jeunes Turks, quoiqu'un peu plus anciens que Cypher, mais qui, à son instar, avaient passé les tests avec brio. La première, par souci de discretion avait dû troquer son éternel fusil à pompe contre un simple pistolet, le second, lui possédait les deux siens, dissimulés sous sa veste.

Ils ne resteraient bien évidemment pas pour le dîner ; je préférais les savoir en extérieur à surveiller tout risque d'intrusion. Deux personnalités importantes allaient se retrouver dans la même pièce après tout. Il s'agissait de l'occasion idéale pour frapper fort. Néanmoins, je me savais hors de danger. San Fransokyo était à des années lumières de ce que pouvait être Illusiopolis.

Je fis la discussion à mes Turks le temps du trajet. L'ambiance était plutôt détendue, même s'ils ne s'avéraient pas être des plus bavards. C'était chose courante chez les Turks élevés en bas âge. Ils n'avaient pas les mêmes repères que ceux ayant eu le temps de vivre avant de rejoindre nos rangs. La compagnie était leur vie. Je doutais qu'ils ne me voient que comme leur employeur, faute à l'endoctrinement peut-être.

Nous finîmes par arriver devant les portes de la maison du Maire. Il s'agissait d'une grande maison, très différentes des autres de ce monde. L'architecte qui avait été chargé de sa construction possédait un certain style, c'était indéniable. Mais je n'étais pas venu ici pour contempler une bête bâtisse.

Je sonnai. De longues secondes s'écoulèrent avant que la Maire de la ville ne vienne m'ouvrir la porte. Accueillante, elle m'invita à entrer sans plus attendre. Je franchis le pas de la porte, et pus apercevoir les deux Turks prendre leur position et commencer leurs patrouilles par le biais d'une fenêtre.

Une délicate odeur parcourait la maison. Visiblement, madame la Maire avait mis un point d'honneur à faire de ce dîner une réussite. Elle savait recevoir. Elle m'indiqua un salon et m'invita à m'installer. Le feu dans la cheminée renforçait l'atmosphère chaleureuse du salon. Je m'assied dans un fauteuil, et la maire fit de même, s'installant en face de moi.

Eh bien... Laissez-moi vous dire que vous possédez une très jolie maison, madame la Maire. La décoration est... certes atypique, mais très bien pensée. Votre salon est accueillant !


Je vous remercie Monsieur Shinra. C'est vraiment très gentil de votre part. Je dois avouer avoir fait un effort pour votre venue. Ce n'est pas tout les jours que je peux me vanter de recevoir telle célébrité.

Je souris.

Oh, s'il vous plaît ! Je ne suis pas si égocentrique. Mais je salue l'effort dont vous parlez. Il est toujours plaisant d'être bien reçu.

Elle aussi, sourit. Un sourire sincère. Elle est contente de me recevoir, les expressions de son corps en témoignent. Elle me propose un verre, ce que j'accepte volontiers. Nous partageons donc un whisky fort agréable, discutant de banalités pendant une bonne heure. Soit il s'agit d'une bonne personne, soit elle à travaillé dur pour que cette soirée me mette aussi à l'aise que possible.

Nous passons donc à table, appelés par une dame de maison. S'étant occupée du repas et ayant dressé la table, elle apporte le repas qu'elle dépose sur la table avant de nous servir. Comme le veut la règle, je suis servi en premier, puis vint le tour de la Maire. Nous commençons donc le repas, et force est d'avouer que la cuisine est excellente. Chaque plat est fort en saveur, c'est comme si tout avait été étudié minutieusement pour rendre ce moment le meilleur possible. Tout ceci trahit la volonté de la Maire qui est faire bonne impression.


Je suis étonné de voir que vous vivez seule. J'aurai pensé qu'une femme telle que vous aurait eu facilité à trouver un mari !

Elle rougit, et sourit sincèrement avant de répondre.

Vous savez... Contrairement à ce que l'on pourrait croire, partager la vie d'une personne comme moi n'est pas quelque chose de tout repos. Certains s'y sont essayé, mais tous ont pris la fuite. Il me faut avouer qu'il peut m'arriver d'avoir certaines humeurs !

Je mime un rire. Il est vrai que cette femme à tout les atouts pour plaire. Elle est avenante, sympathique, et sa beauté n'est pas en reste.

Des idiots si vous voulez mon avis. Une femme telle que vous est un trésor qui se garde jalousement. Je suis sûr que vous n'êtes pas si terrible.

C'est gentil, Monsieur Shinra. Je suis flattée !

Le courant passe, le dîner se passe bien. Je n'avais pas eu d'inquiétudes à ce sujet, il s'agissait d'un dîner d'affaires comme tant d'autres. Le plus embêtant était qu'elle tardait à en venir au fait. Au sujet qui l'avait poussée à m'inviter en sa demeure. Il fallut attendre l'arrivée du dessert pour qu'elle daigne rentrer dans des sujets plus... intéressants.

Écoutez... Je veux que vous sachiez que je vous suis très reconnaissante pour toutes les choses que vous avez faites pour San Fransokyo. Lorsque les sans-cœur nous ont envahi, vous étiez présent. Lorsque l'université à rouvert ses portes, vous êtes venus et avez facilité la vie de nos étudiants. Je ne saurais comment vous remercier !

Voyons, ce n'est pas nécessaire. Je ne fais que ce qui me semble juste. Votre monde était en proie à ces êtres issus des ténèbres. Qui aurait pu vous éviter la catastrophe si ce n'est la Shinra ? Vous étiez démunis, nous vous avons tendu la main.

J'insiste. Rien ne vous y obligeait, et pourtant... Au nom de tout les habitants de la ville, un grand merci. J'aimerais vraiment pouvoir vous remercier, mais je doute pouvoir vous offrir quoi que ce soit qui puisse vous être utile.

Oh, vous savez... les clés de la ville suffiront, dis-je dans un éclat de rire.

Elle rit à ma blague, puis s'arrêta quelques instants, souriante et beaucoup plus décontractée qu'elle ne l'était au tout début de cette soirée.

Non, vraiment. Merci à vous.

S'il vous plaît, n'en parlons plus. Je suis gêné. Vous m'avez parlé de la ville, mais vous ne m'avez parlé que très peu de vous. Vous semblez vous accorder moins d'importance à vous, qu'à votre ville. Pourtant, vous êtes bel et bien la personne qui tient les rennes, si je peux me permettre. Si cette ville prospère, vous devriez savoir que cela ne tient que de vous. Alors... qui est vraiment la personne derrière cette ville ?

J'ai bien peur que la réponse ne soit pas à la hauteur de vos attentes, malheureusement. Je suis une femme plutôt simple. Comme je vous l'ai dit, je vis seule, je n'ai pas d'enfants... Je consacre donc tout mon temps à la ville. Les habitants m'apprécient, encore une chance !

Elle semblait bien malheureuse suite à ce constat forcé. Effectivement, cette voie, celle de la solitude, n'avait pas l'air d'avoir été choisie. Elle trompait l'ennui, investissait toute son énergie dans la ville. Son histoire était bien triste. A mon inverse, elle n'avait pas à diriger des centaines de centaines d'employés. Ce n'était donc pas par conviction. J'aurais presque pu en ressentir de la pitié.

Vous avez bien des hobbies en dehors du boulot, non ?

J'avoue aimer m'occuper de plantes. C'est toujours quelque chose qui m'a fasciné. Leurs parfum, leurs couleurs... Un jardin bien entretenu est quelque chose de magnifique ! Et vous ? Lorsque vous quittez votre bureau, à quelles genre d'occupations vous adonnez-vous ?

Ouh, c'est délicat. Je suis un passionné de robotique. J'essaye de créer des petites choses, mais rien qui ne soit à la hauteur de ce qu'un de vos étudiants les moins doués seraient capables de faire. Pourtant, si je ne rencontre pas le succès, c'est quelque chose qui me plaît. San Fransokyo étant spécialiste dans ce domaine, je vous ai ramené l'une de mes créations. Souhaiteriez-vous la voir ?

Avec plaisir ! dit-elle intéressée.

Je pris ma mallette et posai mes deux pouces sur les verrous digitaux. Je me saisis d'un robot identique à celui avec lequel Cypher l'avait photographiée. Je le posai sur la table face à elle et souris à son encontre.

Je l'ai baptisé Hitcher ! Comment le trouvez-vous ?

Son expression changea du tout au tout. Si elle était heureuse quelques secondes auparavant, c'était maintenant une légère crainte que l'on pouvait voir sur son visage.

Il est... beau, je dirais. C'est vous qui l'avez fait ? Vraiment ? Les finitions sont.... bo...nnes. Il est chouette.

Oh oui, continuez de feindre l'innocence. Vous n'avez jamais été si belle qu'à ce moment précis, « Madame la Maire ».

Oui ! C'est moi qui l'ai fait après mes heures de travail. Je dois avouer en être plutôt fier. C'est l'un des rares projets que je vois aboutir. J'y ai mis beaucoup d'énergie vous savez. J'ai même imaginé un petit univers qui irait avec ! Regardez. Ça, ce serait le masque de son maître !

Je plongeai de nouveau ma main dans la mallette pour en ressortir une réplique du masque que la maire portait sur les derniers clichés de Cypher. Je le posai sur la table, face à elle.

Vous voulez l'essayer ?

Qu'est-ce que tout ça veut dire, Monsieur Shinra ?


Fini les sourires. Il était temps d'arrêter ce petit jeu et de rentrer dans le vif du sujet.

A vous de me le dire. Vous aimez flirter avec le danger ? Vous l'avez fait à deux reprises cette semaine. D'abord, à cet endroit...

Dernière pièce à conviction visant à l'incriminer, je sortis les fameux clichés de Cypher que je posai nonchalamment sur la table.

Et ce soir, en m'invitant à votre table. Vous pouvez regarder les photos si vous le souhaitez. On vous voit à visage découvert, une mallette à la main. Et... plus tard, masquée, mais la même mallette à vos côtés. Bien sûr, cela ne prouve rien... Mais regardez bien... Si on prend votre visage sur cette photo... qu'on le travaille un petit peu et qu'on le replace sur votre visage masqué sur cette photo-ci.... Qu'on trafique les comptes de l'état pour vous accuser injustement de détournement d'argent pour financer votre vice... Hop ! On envoie tout à l'éclaireur, on laisse mijoter quarante-huit heures et vous voilà au chômage. Heureusement, vous avez un passe temps autre que celui de vous occuper de la ville... mais les plantes on besoin de soleil. C'est une denrée rare en prison.


Elle n'arrivait pas à se mettre en colère. Probablement aurait elle aimé se lever, me gifler, m'insulter peut-être... Mais tout se passait bien trop vite pour elle. Elle avait simplement peur.

Je vous invite pour vous remercier... Je m'affaire à ce que tout soit parfait... Et voici comment vos remerciez mon hospitalité ? Quel genre de monstre êtes-vous ?

Ses paroles étaient imbibées de mépris. C'était comme si elle m'avait craché ses dernières phrases à la figure.

Je suis de ceux qui se cachent sous votre lit.

Mais que voulez-vous à la fin ?

Le sclère de ses yeux s'était rougi ces dernières secondes, mais c'était maintenant des larmes qui coulaient le long de ses joues.

Je veux... que vous arrêtiez de pleurer. Les larmes ne vous vont pas. Je pensais avoir à faire à une femme forte. Si je me suis trompé, alors dites-le moi et je m'en irai.


Je n'ai... pas d'enfants. Je n'ai que peu d'amis. Je n'ai rien d'autre que cette ville dans ma vie. Ses habitants m'aiment ! Qu'ai-je fait ? Qu'ai-je fait sinon vous accueillir ?

Rien. Vous n'avez rien fait de mal rassurez-vous. Mais vous avez joué à un jeu dangereux.

Je me mis plus à l'aise sur ma chaise, marquant une courte pause. Je joignis mes mains et posai mes coudes sur la table.

Je n'ai pas publié ces photos. Vous me servirez beaucoup plus en restant à votre place, qu'en croupissant dans une prison. Je vous propose un marché.

Soit, je publie ces photos. Vous perdez la confiance de vos gens, vous allez en prison. Bref, vous perdez tout pour une bête histoire de jeux illégaux...

Soit, je garde ces photos. Vous conservez votre place, votre vie actuelle... Mais il faudra y mettre du votre. En contrepartie, vous ralliez votre monde à la Shinra. Vous êtes sous ma juridiction. Vous aurez des comptes à me rendre, mais rien de bien exigeant. Ce ne sont pas vos gens qui m'intéressent le plus, ce sont vos petits génies et la société de monsieur Krei que j'ai déjà... rachetée. En plus de tout ça, nous continuerons d'assurer la protection de votre monde. Je sais que tout ceci ressemble à de l'extorsion... mais prenez le temps d'y réfléchir. En résumé, soit vous perdez tout ce que vous avez, soit vous faites preuve de réflexion, vous acceptez, et rien de votre vie n'est altéré.


On dirait presque que vous me proposez une prison dorée.

Voyons... Pourquoi serai-je le grand méchant ? Ce n'est pas moi qui ai agi contre la loi de mon monde. Si vous acceptez, vous aurez aussi des avantages. Par exemple, je peux m'engager à ce que votre mandat dure plus longtemps. Vous savez... les chiffres, c'est d'une facilité déconcertante à modifier.

Évidemment, fourbe que vous êtes... J'imagine que tout ceci à été mûrement réfléchi !

Ne profitez pas du fait que vous m'êtes plus utile en liberté pour m'insulter s'il vous plaît. Je ne suis pas fourbe, je ne fais qu'user de mes ressources pour arriver à mes fins.

Vous êtes drôle. Je n'ai pas le choix ! Je ne peux qu'accepter.

Sage décision ! N'oubliez pas... Bien que je vous force la main, vous y trouverez certains avantages. Vous... comprendrez aussi que je ne vous fasse pas signer de contrat. Bien, Madame la Maire... dis-je, rassemblant toutes mes preuves avant de la ranger dans ma mallette vous m'excuserez de ne pas rester pour le café. En tout cas, je vous remercie du fond du cœur pour ce repas, la nourriture était délicieuse. Inutile de raccompagner, je connais la sortie. Bonne soirée à vous !

Rufus Shinra... Vous êtes...

Elle ne semblait pas trouver ses mots... peut-être n'en trouvait-elle pas assez fort pour exprimer sa colère.

Je suis ce que j'ai décidé d'être, madame.

Je quittais la maison et rejoignis mes Turks dans le jardin. Je jetai un œil aux plantes qui ornaient les côtés de la maison. Suite à ce dîner, elles prenaient davantage de sens. Ce que je venais de faire était... abominable. Mais je n'avais pas le temps de préoccuper de ce genre de choses. Pour l'heure, je devais rejoindre le vaisseau-mère.

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Bien le bonsoir !

Je vais noter ton RP, et je commence tout de suite ! Bon c'est le bazar, mais je note au fur et à mesure de ce que je remarque. Je m'excuse par avance de la longueur de ma notation, c'est pas énorme mais l'essentiel y est je crois.

Bon toujours, j'aime bien les petites références aux autres RPs. Tu nous fais une petite référence à mon Turk préféré ( Cypheeeeer ) ! Ma seule petite remarque par rapport aux références, et je dis pas cela pour renvoyer la balle sur le personnage que je joue, mais typiquement j'aurai bien rajouté dans l'argumentaire de la Mairesse ou de Rufus le fait que la Shin-Ra a signé un contrat d'exclusivité avec l'armée locale. Ce qui fait que la Shin-Ra verrouille effectivement tous les rouages de la société de ce monde. Manquait plus que la Mairesse et elle y est passée. Voilà, c'est pour la petite remarque. Malgré tout, tu rappelles par la voix de la Mairesse que la Shin-Ra s'occupe de presque tout : la ville lui ait redevable ; l'université et le petit passage de Rufus ; Krei racheté par notre entreprise, etc...

Un truc que j'ai bien aimé, et d'ailleurs je regrette de pas te voir plus post avec Rufus par rapport à ça, c'est que je trouve dans la mise en scène du début une chose super sympa. La chose sympa que j'aime bien, c'est ce côté un peu... Je sais pas comment dire en fait. Je ressens dans ta mise en place que la Shin-Ra est "à part" dans le jeu des autres factions comme la Coalition Noire ou la Lumière. Rufus donne cette impression de dire " Balec, nous on fait notre tambouille en profitant du bazar général". Et je trouve ça excellent. Ça montre ce qu'est la Shin-Ra : des profiteurs en fait. Enfin moi je le sens un peu comme ça !

La Mairesse est bien interprétée, même si je la trouve un peu nunuche. Notamment par le fait qu'elle a dû avoir des contacts fréquents avec Krei avant Rufus, donc elle devrait être habituée à recevoir des gens qui ont un sens de l'éthique et du responsable très personnel.

Petit point négatif cependant : un truc de mise en page. Je trouve que parfois c'est pas forcément super facile le passage italique aux paroles de Rufus qui sont de couleur très similaire. Bon, je suis pas complètement sobre donc je sais pas si c'est que moi ou pas mais j'ai ressenti une petite difficulté parfois quand même. C'est léger, juste pour faire le pointilleux.  ( Et je déconne pour l'alcool, je bois jamais. Sauf quand Agon me demande gentiment. )

Après Rufus joue bien son petit jeu. J'ai rien à redire là-dessus, c'est fourbe, c'est pas éthique et responsable. La Mairesse tombe en plein dedans, elle ne s'y attend pas trop. J'aime bien.

En conclusion, un bon petit rp ! Le point à améliorer selon moi : je veux voir plus souvent Rufus faire des RPs ! Ce personnage m'intéresse beaucoup, donc forcément j'aimerais voir son évolution au fil du temps.

Je note donc ce rp en :

- Normale : 21 exp, 200 munnies, 3 PS ( 3 en DEF ).
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