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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Qui fait quoi ?



Death m’avait demandé de partir pour Agrabah pour « enquêter » sur les actes des mercenaires et les contrats qu’ils exécutaient.

Je m’étais donc empressé de rejoindre mon vaisseau pour partir vers ce monde, je n’étais vraiment pas un adorateur de ce lieu avec la chaleur. Mais nous avions enfin atteint un seuil de température que je pouvais supporter plus facilement.

Lorsque j’arrivai enfin à Agrabah, je stationnais mon vaisseau pour rejoindre le lieu où cette « mission » avait été faite, il s’agissait des ruines ensevelies.

Je partis me renseigner sur la façon d’y aller et bien évidemment, je ne pouvais pas y aller en vaisseau, la réponse fut bien évidemment à dos de chameau.

J’ai déjà du mal à ne pas me casser la gueule quand je marche… Alors sur un camélidé… La blague.


Je sentais que j’allais passer une agréable journée… Mon chameau récupéré, je grimpais dessus avec une magnifique aisance… Non, en réalité, j’avais bien faillit tomber -à plusieurs reprises- et je tentais de comprendre comment cet animal pouvait « répondre » à mes ordres.

Ce n’est qu’au bout de plusieurs et longues minutes que je réussi à faire avancer le chameau. Bien évidemment, j’avais aussi demandé à la personne de m’indiquer le chemin -le plus court- pour me rendre aux ruines, je n’avais pas du tout envie de passer plus de temps sur son dos qu’il n’en fallait.

Je tentais donc de suivre ce « chemin » et priait pour que le voyage ne soit pas trop long, je n’étais pas du à l’aise sur le dos de cet animal.

Le « roulement » de la démarche du chameau et de ses pas qui s’enfonçaient légèrement dans le sable m’endormait presque, un peu comme si j’étais bercé et je devais souvent remuer la tête pour m’empêcher de fermer les yeux et dormir.

Au bout de plusieurs heures, je finis par atteindre ces ruines ensevelies, je descendais du chameau et l’attachais à un pilier en pierre pour l’empêcher de s’enfuir et que je sois obligé de rentrer à pied.

J’entrai un peu plus dans ces ruines et découvrait rapidement qu’il n’y avait pas grand-chose à l’intérieur…

- Haaaaaaaaaa !


Je venais de crier, ma voix avait résonné dans toute la structure de ce lieu et pour cause, je venais de tomber nez à nez avec un macchabée. Je ne savais absolument pas qui était cette personne et au vu de l’état de la décomposition du corps… Il était impossible de découvrir qui c’était… Enfin, c’était tout à fait possible avec ses dents ou un reste d’ADN et avec bien évidemment des scientifiques… Mais je n’avais pas eu la merveilleuse idée de demander à ces personnes de venir avec moi.

Je roulai des yeux et entrepris de continuer un peu mon exploration dans ce lieu, je ne voyais que du sable, des pierres et encore du sable à perte de vue. En fait, il n’y avait absolument plus rien dans ce monde.

Je décidai de le quitter et… Mon chameau n’était plus là.

- Et mer... Credi…


Et bien, soit il avait réussi à défaire le nœud qui le retenait soit quelqu’un était passé par là en mon absence… Ce qui pouvait dire que je n’était potentiellement pas seul dans ce désert.

J’avais eu au moins l’idée de ne pas laisser ma sacoche remplie de gourdes sur le chameau et je l’avais prise avec moi, au moins, je n’allais peut-être pas mourir dans ce lieu… Du moins, pas de cette manière. Je tentais de me souvenir du chemin que j’avais pris avec mon chameau, je n’eu pas à réfléchir trop longtemps, car dans mon malheur, les traces qu’il avait faites étaient restées plus ou moins intacts. Bon, il y avait un peu de vent, mais comme il s’enfonçait légèrement, je n’avais plus qu’à faire comme le Petit Poucet et suivre le « chemin tout tracé ».

Les heures défilaient et je buvais énormément d’eau, et je me rendis très vite compte qu’à dos de chameau, j’avançais tout de même plus vite. Et bien évidemment comme un malheur n’arrive jamais seul…Le soleil commençait à tomber.

Je venais de passer des heures dans un désert à atteindre un lieu qui ne m’avait strictement à rien… Enfin, j’avais juste découvert un corps. La seule chose qu’il était possible de dire à ce sujet, c’est qu’il était là depuis un bon moment.

L’air faiblement chaud de la journée avait laissé place à un autre, qui lui était bien plus frais. Comme à mon habitude, lorsque je devais aller à Agrabah, je prenais avec moi, ma petite tenue « typique », c’était toujours cette petite cape à capuche de couleur taupe. Au moins, en plein jour et dans cette immensité de sable, je pouvais presque être invisible… Mais le soleil s’était couché…

Je continuais donc de marcher, au mieux que je le pouvais, mais je commençais à ne plus voir grand-chose dans le noir, je décidai alors de me mettre potentiellement en danger et d’allumer une petite flamme dans mes mains, ce qui me permettrait peut-être de voir un peu mieux et pouvoir retourner à Agrabah.

J’eu énormément de mal à allumer ce feu, d’une parce qu’il était long à s’allumer mais aussi, parce que j’avais tellement froid, que j’avais du mal à ne pas trembler des mains.

Je percevais un peu mieux le sable que je foulais, j’étais complètement voûté… Et à dire vrai, s’il y avait quelqu’un à côté de moi, il aurait sûrement pu croire qu’il s’agissait de moi, enfin de Maxwell et non de Milla à l’époque où je « vivais sans elle », c’était tout à fait ma façon de me déplacer à l’époque. J’étais petit et les poils de mon visage me vieillissaient énormément, pourtant je ne l’étais pas tant que ça en réalité.

Continuant de marcher sans regarder devant moi, mais directement mes pieds, je finis par percuter quelque chose. Je relevai doucement la tête pour voir ce que je venais de heurter violemment.

Je ne voyais pas grand chose avec cette obscurité et la lumière dans mes mains ne me permettait absolument pas de m’habituer à la pénombre. C’est alors que je sentis qu’on m’attrapa par le col et me faisait me mettre sur la pointe des pieds pour faire face à cette personne.

- Milla ?
- Kassim ?
- Mais qu’est ce que tu fais ici ?
- Heu... Du tourisme ?
- Milla…
- Et je pourrais te poser la même question. Tu n’es pas censé être à Agrabah avec tous tes hommes ?
- Justement. On m’a averti de ta venue. Et depuis, ton vaisseau est resté là-bas, plus aucuns signes. On a cherché à savoir par où tu étais partie… Et… Seule.
- Oui… Je sais, mon chameau est parti sans moi.
-
- Je l’avais attaché... Mais il s’est certainement enfui ne me voyant pas revenir.
- Et tu avais une raison pour l’attacher ?
- Je te l’ai dis, je faisais du tourisme.
- Dans les ruines ?
- Bon d’accord, je ne faisais peut-être pas vraiment du tourisme. Mais, je devais y aller. Et ça ne m’a rien apporté, du coup je dois retourner à Agrabah. D’ailleurs, on est encore loin ?
- Non, on est à moins d’un kilomètre.
- Tant que ça !?
- Tu veux te reposer ?
- J’ai fais le plus gros, ce serait stupide de s’arrêter ici.


Kassim n’ajouta rien. Je ne percevrai vraiment rien, de plus ma lumière s’était éteinte lorsque je fus remué comme un sac. Le chef des voleurs ordonna à ses hommes d’allumer leurs torches et nous repartîmes vers Agrabah.

Personne ne parlait, je n’étais pas retourné dans ce monde depuis… Un moment et je n’avais pas non plus donné de nouvelles à Kassim, il devait sûrement croire que notre dernière conversation était en fait, une façon polie de me débarrasser de lui. Mais ce n’était pas le cas, je n’avais jamais eu le temps de lui faire parvenir un message…

Lorsque nous arrivâmes à Agrabah, je remerciai Kassim et ses hommes de m’avoir aidé, ils se séparèrent, mais leur chef resta sur mes talons.

- Je dois parler à quelqu’un… J’espère juste qu’il y aura encore du monde.
- Beaucoup vivent de nuit.


C’était simple, clair et net. J’avais donc peut-être encore ne chance de croiser la personne qui m’avait refourgué l’autre bestiole… Que j’allais sûrement devoir rembourser.

Je t’en foutrais moi des chameaux…


Je pénétrai dans sa petite échoppe et bien évidemment, sa réaction était celle à laquelle je m’attendais.

- Et mon chameau !?
- Alors d’une. Tu te détends. Et de deux… Je ne l’ai plus.
- Mon chameau !
- Tu m’écoutes ? Je me le suis fais voler. Mentis-je.
- Argh...
- Est ce que vous avez eu quelqu’un, il y a quelques mois, qui a eu besoin de visiter les ruines, tout comme moi aujourd’hui ? Demandais-je pour chager de sujet.
- Si.
- Qui était-ce ?
- Un archéologue.
- Il était seul ?
- Non.
- Qui était cette autre personne ?
- Je ne sais pas. Différent.
- Différent comment ?
- Je ne sais pas… Hum… Pas comme toi.
- Un homme ?
- Oui.
- D’accord… Je vais aller loin avec ça…
- Cet homme avait-il quelque chose de particulier ? Demanda Kassim.
- Si.
- Quoi donc ?
- Les yeux du malin.
- Hein ?
- L’homme que tu cherches n’est pas… Comme nous.


Kassim n’avait pas voulu me dire directement que cet homme n’était pas vraiment humain. Enfin, il en était un, mais les ténèbres étaient présentes dans son cœur.

Je remerciai Kassim de son aide, même s’il n’avait pas fait « grand-chose » contrairement aux fois où il m’avait sauvé. J’allais le saluer mais il m’attrapa dans ses bras et m’enlaça.

- Il faut te le dire combien de fois ? Fais attention à toi. Il aurait pu t’arriver n’importe quoi, tu aurais pu tomber sur d’autres personnes dans ce désert qui ne te seraient peut-être pas venu en aide…


Je restai silencieux un instant. Et je compris très rapidement qu’il avait plus qu’un faible pour Milla, il avait un tantinet craqué pour elle. Et je m’en voulais terriblement de le laisser dans l’ignorance à propos de sa vie et de la mienne.

- Je ferai attention. Mais… Viens un jour à la Cité du Crépuscule, c’est important. Va à la caserne et demandes à me voir.
- Pourquoi attendre ? Dis le moi maintenant.
- Ce n’est pas aussi simple. C’est quelque chose que tu dois voir également.









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Milla et les sables d’Agrabah. À partir d’un moment, tu penseras que j’vais te filer le Palais tellement t’es envoyé dans ce monde.

Bref, parlons de la notation de la mission !

J’ai à l’heure actuelle, une déception sur le rp. En soit, que ce soit le chef des quarante voleurs qui parvienne à te sortir des situations un peu chiante. Genre, ta discussion, avec le marchant, tu commences à initier un peu de difficulté avec un gars récalcitrant ! Genre, comment est-ce que tu peux faire pour te sortir de cette situation. Boom, Kassim. Honnêtement, j’trouve ça un peu dommage et j’avais envie de voir une vraie discussion et / ou une menace ! Tu l’prends direct par le col et les dents sur le comptoir.

Enfin, c’est marrant que j’trouve ça dommage, parce que j’ai eu envie de t’envoyer dans le monde pour l’évolution de la relation avec Kassim. Du coup ! Là, j’ai envie de voir le gars ce ramener à la Cité du Crépuscule et un exploit dans ta maison. En même temps, c’est mon p’tit bonheur dans la vie.

Par contre, j’vais quand même parler du début de la mission. Toute la partie exploration est assez intéressante, au point que j’me demande si t’a déjà « vécu » ça ou pas. Aussi, j’aime la précision de la mission et sur ce qui c’est vraiment passé. Ce que j’trouve marrant, c’est de savoir que le gars s’en bats la race de l’archéologue ayant disparu. Enfin, mission assez sympa !

Et j’ai rien d’autre à ajouter ! Désolé. Mission accomplie !


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