Quelque chose rôde autour du campement... quelque chose de littéralement flou, de transparent, on en perçoit à peine les contours, sinon en étant perceptif. Ca se déplace vif et véloce sans vraiment chercher à se faire discret, un duo de sentinelles l'entendent et bandent déjà leurs arcs. Pendant ce temps, un petit nocturne rouge, rendu invisible, s'approche du camp en volant tranquillement. Sa mission, rendu incroyablement aisé par le sort de son maitre, est de se rendre au centre du camp... pour, de quelques boules de feux, faire naitre un début d'incendie. Des brasiers, pas plus gros qu'un ballon, qui seront bien vite gérés à coup de sceaux d'eaux par des soldats ayant encore en mémoire les ravages, de toute autre ampleur, de l'effroyable et cruel Tien-Long. Le monstre, désormais redevenu visible, a pris ces distances... et renvoi un autre nocturne rouge, là aussi qu'il rend invisible, disperser quelques flammes dans le camp. La deuxième tentative est bien moins efficace... car si on ne peut voir le petit sans-cœur, on voit ses flammes. Et grâce à la première attaque, les soldats ont compris le truc. Qui plus est, le nocturne rouge s'immobilise l'instant de lancer ce sort, faisant de lui une cible immobile et facile, rendu visible par sa propre magie qui nait à proximité de son corps.
Pourtant, toujours bien à l'abri et en retrait, la créature réitère sa stratégie une nouvelle fois... mais cette fois-ci avec un opéra jaune. La différence étant que ce sans-cœur là maitrise le sort de foudre... sort qui apparaît et frappe loin de son propre corps. Sa survie est bien meilleure, cette fois, il ne meurt qu'une fois le sort d'invisibilité dissipé.
Le monstre était... faible en symbiose... deux autres petits sans-cœurs et ça y est, plus d'invocations pour lui. Sans compter que n'ayant pas vu le campement, n'y étant même pas encore entré, ça peut difficilement désigner de cibles précises à ses serviles créatures. Ils ne savent pas distinguer ce qu'est un alcool, d'un explosif ou autre... et seule la chance pourrait les faire enflammer quelque chose d'inflammable. Après deux autres opéra jaune, aucun incendie en vue, chaque départ de feu magistralement géré par les militaires.
Néanmoins, le plan n'échoue pas tout à fait. Quelques soldats sont envoyés en éclaireurs pour inspecter les alentours et prévenir de la présence d'autres sans-cœurs. Chacun par groupe de deux qui se dispaches pour couvrir plus d'espace. La chose floue et transparente réapparait alors, sortie de sa cachette... mais ne prend pas tellement la peine de faire dans la discrétion. Une fois suffisamment loin du camp, la créature accroupie sur ses longues pointes deux éclaireurs d'un doigt acéré comme un pieu chacun. Deux projectiles épais comme des bras moyens filent sous formes de lasers violets et traversent, ni plus ni moins, les deux pauvres chinois. Désormais avec un trou béant dans la poitrine, ça s'approche pour en dévorer les cœurs... et fait naitre deux sans-cœurs.
Des variantes du bien connu sans-cœur "Soldat". Ils n'ont pas de casques mais des cheveux noirs coiffés d'un chignon noué par un ruban rouge... et oui, le rendu d'un sans-cœur avec des cheveux... est relativement étrange. En protection, ils portent une armure légère qui recouvre tout leurs corps sauf la tête et très semblable à l'armure qu'ils portaient autrefois humains.
La créature responsable de tout ça eut une pensée... puisque lui avait gardé sa personnalité, plus ou moins, sa mémoire et sa capacité de réflexion. Que ce doit être pathétique d'être d'aussi faibles sans-cœurs. Au final, une dizaine de soldats chinois finiront transformés en sans-cœur par la même méthode. Bien que le responsable ne les contrôle pas, les créatures se ruent d'elles-mêmes vers les cœurs le plus proches... autrement dit le campement. Ce qui va accaparer l'attention... mais pas longtemps, connaissant l'expertise militaire chinoise.
C'est que le monstre flou et transparent intervient, se ruant sur ses quatre pattes à ras du sol, couvert d'un énième sort d'invisibilité éphémère pour pénétrer dans le campement. La créature se leva, prête à se révéler... et redevient peu à peu visible. Dans le même temps, des filets de fumées violacés parcourent son corps en hélices, se démultipliant en nombres fils s'entrelaçant, cousant de la matière noire jusqu'à former une armure lourde sur son corps. Celle-ci le recouvrait entièrement et ne laissait que ses deux yeux jaunes à la vue de tous. L'armure était rudimentaire, peu riche en détail... de simples plaques aussi solide que du métal, la matière noire se faisait aussi souple et légère que du tissu au niveau des articulations. Ainsi recouvert, le sans-cœur devient incroyablement plus résistant... heureusement d'ailleurs. Car immédiatement, nul ne fit plus trop attentions aux petits soldats chinois des ténèbres, l'intention se portant sur le monstre devenu bien lent.
Qu'importe, il canalise en lui le pouvoir des ténèbres... son ombre se déforme en cercle autour de lui alors qu'il encaisse, sans les sentir, plusieurs flèches et carreaux. Soudain, son ombre se déforme en un bras gigantesque qui d'un coup d'un seul, balaye tout un contingent de soldats tentant de se jeter sur lui. L'ombre fait le chemin inverse... encore d'autres chinois qui volent. Pourtant, à force de projectiles en tout genre, des lances s'y ajoutant, la créature peut sentir quelques déformations qui commençant à apparaître sur son armure... lui-même ne s'étant pour l'instant pris aucun dégât.
Sa priorité n'est pas d'exterminer tout le monde... mais simplement de faire naitre suffisamment de sans-cœur pour que les soldats ait fort à faire sans lui.
Après s'être offert un sort de dopage, la créature se déleste de son armure, ne gardant que des gants de métal dont les griffes s'aiguisent et s'allongent. Ca se rue alors sur les soldats ravagés par son ombre, les achevant aussi vite que possible, les transformant en sans-cœur à grande vitesse. Sur sa route, d'un geste, le sans-cœur fait apparaître une dizaine de copies illusoires de sa personne qui l'imite, dispersant les tirs. Ce qui ne l'empêche pas de se prendre une flèche dans l'épaule qui stoppe net sa course... et le voilà qui détale d'autant plus vite.
Les soldats ne le pourchassent pas, bien trop occupé avec les sans-cœurs qui prolifèrent doucement... mais est-ce que c'est suffisant ? Pas vraiment sûr, le monstre préfère y retourner, une flèche dans l'épaule ne lui faisant pas grand-chose. C'est plus chiant qu'autre chose. L'être de ténèbres repart à l'assaut, à couvert d'un énième sort d'invisibilité éphémère et du petit chaos naissant, tâchant de jeter sur des cibles faciles par surprise en vue de créer autant de sans-cœur que possible. Quand son camouflage se dissipe, la créature s'apprête à fuir mais quelque chose le stop net. Son sort de dopage se dissipe... un contrecoup vient l'alourdir et ravive la douleur dans son épaule... mais immédiatement il repart, convaincu d'avoir suffisamment infester le camp de sans-cœurs.
...
« Quand même... la peine de mort pour le meurtre d'un panda, ça me parait un peu excessif. » Lâche Surkesh, tranquillement posé en tailleur sous forme humaine. De la neige tombe en masse par kilos entiers dehors, le vent souffle avec rage dans la montagne du destin... mais le feu de camp réchauffe l'intérieur de la tente. « Ils ont carrément installés un campement militaire près de la forêt de bambous pour que personne n'y touche ? Les chinois sont décidément dingues de ces bestioles. »
« Oui... on a pu chassé le tigre comme on voulait... en fait, on pouvait chassé ce qu'on veut sauf ça. Ils sont en voie d'extinction d'après les militaires venu nous demander de déguerpir. Doit y avoir du mystico-religieux là-dedans, ca me fait penser au consul et leurs oiseaux du Jardin Radieux. » Lui répond Rodéric, chef de la bande des braconniers, originaire du Château de la Bête mais depuis quelques années déjà, voyageant de monde en monde pour chasser. L'homme était athlétique, la barbe courte mal rasée et les cheveux mi-longs en batailles, l'allure d'un type que la vie sauvage a su endurcir.« Franchement, je savais les mercenaires capable d'être des enflures mais toi... t'en tiens une couche quand même. J'veux dire... le Centurio reçoit régulièrement des contrats pour débarrasser les mondes des sans-cœurs et toi... t'en fait apparaître. C'est de l'arnaque de haute-volée. » Dit-il avec un rictus en coin, à peine la forme d'un sourire, les yeux pleins de jugements.
« Je n'en invoque pas pour le plaisir, je te rassure. Et de toute façon, j'ai prévenu dès le départ quelle serait ma méthode. Ah... juste pour info... je suis bien le seul mercenaire à maitriser les ténèbres. Et, pour rajouter à mon palmarès, on trouve pas pire enflure que moi dans tout Port Royal. Au final, tu n'avais qu'à me dire que ma méthode te dérangeait et je serais partit, quelqu'un d'autre serait venu. »
« Mouais... tu sais, moi, à part mes gars et moi-même, je me fiche un peu des gens. Par contre, je risque de sauter sur l'occasion pour faire de la chasse au sans-cœurs et faire rentrer un peu de blé. Quoique, on risque de se douter que ma bande et la réduction du nombre de panda sont de notre fait. Nan... on va partir. Et fissa. »
« En tout cas, ma diversion a été très efficace vu le nombre de panda que vous avez récupérés. J'ai peut-être une proposition à te faire. On a quelques de problèmes de vivres au Centurio et... je pense que tu pourrais aider. Pour le blé, c'est pas ce qui nous arrange le plus en ce moment... mais soit, on a vraiment besoin de manger donc ça peut se faire. »
« Franchement, faudra payer comptant ou rien du tout, basta. J'ai horreur du recouvrement de dettes, y a rien de plus chiant. En plus, si vous vous décidiez à pas me payer, je vois ce que je pourrais y faire. »
« Pas de souci, si tu veux du blé, on paiera comptant... mais toi qui vit la majeure partie du temps en pleine nature et qui chasse, t'es pas le plus en demande de munies qui soit. On peut faire du troc, on a pleins de matos à vendre, des munitions notamment... des pièges... des fringues... »
« Faut voir, pourquoi pas. Je te garantis rien. »
« Passe à la boutique, on verra ensuite... »
Ven 20 Oct 2017 - 15:41Pourtant, toujours bien à l'abri et en retrait, la créature réitère sa stratégie une nouvelle fois... mais cette fois-ci avec un opéra jaune. La différence étant que ce sans-cœur là maitrise le sort de foudre... sort qui apparaît et frappe loin de son propre corps. Sa survie est bien meilleure, cette fois, il ne meurt qu'une fois le sort d'invisibilité dissipé.
Le monstre était... faible en symbiose... deux autres petits sans-cœurs et ça y est, plus d'invocations pour lui. Sans compter que n'ayant pas vu le campement, n'y étant même pas encore entré, ça peut difficilement désigner de cibles précises à ses serviles créatures. Ils ne savent pas distinguer ce qu'est un alcool, d'un explosif ou autre... et seule la chance pourrait les faire enflammer quelque chose d'inflammable. Après deux autres opéra jaune, aucun incendie en vue, chaque départ de feu magistralement géré par les militaires.
Néanmoins, le plan n'échoue pas tout à fait. Quelques soldats sont envoyés en éclaireurs pour inspecter les alentours et prévenir de la présence d'autres sans-cœurs. Chacun par groupe de deux qui se dispaches pour couvrir plus d'espace. La chose floue et transparente réapparait alors, sortie de sa cachette... mais ne prend pas tellement la peine de faire dans la discrétion. Une fois suffisamment loin du camp, la créature accroupie sur ses longues pointes deux éclaireurs d'un doigt acéré comme un pieu chacun. Deux projectiles épais comme des bras moyens filent sous formes de lasers violets et traversent, ni plus ni moins, les deux pauvres chinois. Désormais avec un trou béant dans la poitrine, ça s'approche pour en dévorer les cœurs... et fait naitre deux sans-cœurs.
Des variantes du bien connu sans-cœur "Soldat". Ils n'ont pas de casques mais des cheveux noirs coiffés d'un chignon noué par un ruban rouge... et oui, le rendu d'un sans-cœur avec des cheveux... est relativement étrange. En protection, ils portent une armure légère qui recouvre tout leurs corps sauf la tête et très semblable à l'armure qu'ils portaient autrefois humains.
La créature responsable de tout ça eut une pensée... puisque lui avait gardé sa personnalité, plus ou moins, sa mémoire et sa capacité de réflexion. Que ce doit être pathétique d'être d'aussi faibles sans-cœurs. Au final, une dizaine de soldats chinois finiront transformés en sans-cœur par la même méthode. Bien que le responsable ne les contrôle pas, les créatures se ruent d'elles-mêmes vers les cœurs le plus proches... autrement dit le campement. Ce qui va accaparer l'attention... mais pas longtemps, connaissant l'expertise militaire chinoise.
C'est que le monstre flou et transparent intervient, se ruant sur ses quatre pattes à ras du sol, couvert d'un énième sort d'invisibilité éphémère pour pénétrer dans le campement. La créature se leva, prête à se révéler... et redevient peu à peu visible. Dans le même temps, des filets de fumées violacés parcourent son corps en hélices, se démultipliant en nombres fils s'entrelaçant, cousant de la matière noire jusqu'à former une armure lourde sur son corps. Celle-ci le recouvrait entièrement et ne laissait que ses deux yeux jaunes à la vue de tous. L'armure était rudimentaire, peu riche en détail... de simples plaques aussi solide que du métal, la matière noire se faisait aussi souple et légère que du tissu au niveau des articulations. Ainsi recouvert, le sans-cœur devient incroyablement plus résistant... heureusement d'ailleurs. Car immédiatement, nul ne fit plus trop attentions aux petits soldats chinois des ténèbres, l'intention se portant sur le monstre devenu bien lent.
Qu'importe, il canalise en lui le pouvoir des ténèbres... son ombre se déforme en cercle autour de lui alors qu'il encaisse, sans les sentir, plusieurs flèches et carreaux. Soudain, son ombre se déforme en un bras gigantesque qui d'un coup d'un seul, balaye tout un contingent de soldats tentant de se jeter sur lui. L'ombre fait le chemin inverse... encore d'autres chinois qui volent. Pourtant, à force de projectiles en tout genre, des lances s'y ajoutant, la créature peut sentir quelques déformations qui commençant à apparaître sur son armure... lui-même ne s'étant pour l'instant pris aucun dégât.
Sa priorité n'est pas d'exterminer tout le monde... mais simplement de faire naitre suffisamment de sans-cœur pour que les soldats ait fort à faire sans lui.
Après s'être offert un sort de dopage, la créature se déleste de son armure, ne gardant que des gants de métal dont les griffes s'aiguisent et s'allongent. Ca se rue alors sur les soldats ravagés par son ombre, les achevant aussi vite que possible, les transformant en sans-cœur à grande vitesse. Sur sa route, d'un geste, le sans-cœur fait apparaître une dizaine de copies illusoires de sa personne qui l'imite, dispersant les tirs. Ce qui ne l'empêche pas de se prendre une flèche dans l'épaule qui stoppe net sa course... et le voilà qui détale d'autant plus vite.
Les soldats ne le pourchassent pas, bien trop occupé avec les sans-cœurs qui prolifèrent doucement... mais est-ce que c'est suffisant ? Pas vraiment sûr, le monstre préfère y retourner, une flèche dans l'épaule ne lui faisant pas grand-chose. C'est plus chiant qu'autre chose. L'être de ténèbres repart à l'assaut, à couvert d'un énième sort d'invisibilité éphémère et du petit chaos naissant, tâchant de jeter sur des cibles faciles par surprise en vue de créer autant de sans-cœur que possible. Quand son camouflage se dissipe, la créature s'apprête à fuir mais quelque chose le stop net. Son sort de dopage se dissipe... un contrecoup vient l'alourdir et ravive la douleur dans son épaule... mais immédiatement il repart, convaincu d'avoir suffisamment infester le camp de sans-cœurs.
...
« Quand même... la peine de mort pour le meurtre d'un panda, ça me parait un peu excessif. » Lâche Surkesh, tranquillement posé en tailleur sous forme humaine. De la neige tombe en masse par kilos entiers dehors, le vent souffle avec rage dans la montagne du destin... mais le feu de camp réchauffe l'intérieur de la tente. « Ils ont carrément installés un campement militaire près de la forêt de bambous pour que personne n'y touche ? Les chinois sont décidément dingues de ces bestioles. »
« Oui... on a pu chassé le tigre comme on voulait... en fait, on pouvait chassé ce qu'on veut sauf ça. Ils sont en voie d'extinction d'après les militaires venu nous demander de déguerpir. Doit y avoir du mystico-religieux là-dedans, ca me fait penser au consul et leurs oiseaux du Jardin Radieux. » Lui répond Rodéric, chef de la bande des braconniers, originaire du Château de la Bête mais depuis quelques années déjà, voyageant de monde en monde pour chasser. L'homme était athlétique, la barbe courte mal rasée et les cheveux mi-longs en batailles, l'allure d'un type que la vie sauvage a su endurcir.« Franchement, je savais les mercenaires capable d'être des enflures mais toi... t'en tiens une couche quand même. J'veux dire... le Centurio reçoit régulièrement des contrats pour débarrasser les mondes des sans-cœurs et toi... t'en fait apparaître. C'est de l'arnaque de haute-volée. » Dit-il avec un rictus en coin, à peine la forme d'un sourire, les yeux pleins de jugements.
« Je n'en invoque pas pour le plaisir, je te rassure. Et de toute façon, j'ai prévenu dès le départ quelle serait ma méthode. Ah... juste pour info... je suis bien le seul mercenaire à maitriser les ténèbres. Et, pour rajouter à mon palmarès, on trouve pas pire enflure que moi dans tout Port Royal. Au final, tu n'avais qu'à me dire que ma méthode te dérangeait et je serais partit, quelqu'un d'autre serait venu. »
« Mouais... tu sais, moi, à part mes gars et moi-même, je me fiche un peu des gens. Par contre, je risque de sauter sur l'occasion pour faire de la chasse au sans-cœurs et faire rentrer un peu de blé. Quoique, on risque de se douter que ma bande et la réduction du nombre de panda sont de notre fait. Nan... on va partir. Et fissa. »
« En tout cas, ma diversion a été très efficace vu le nombre de panda que vous avez récupérés. J'ai peut-être une proposition à te faire. On a quelques de problèmes de vivres au Centurio et... je pense que tu pourrais aider. Pour le blé, c'est pas ce qui nous arrange le plus en ce moment... mais soit, on a vraiment besoin de manger donc ça peut se faire. »
« Franchement, faudra payer comptant ou rien du tout, basta. J'ai horreur du recouvrement de dettes, y a rien de plus chiant. En plus, si vous vous décidiez à pas me payer, je vois ce que je pourrais y faire. »
« Pas de souci, si tu veux du blé, on paiera comptant... mais toi qui vit la majeure partie du temps en pleine nature et qui chasse, t'es pas le plus en demande de munies qui soit. On peut faire du troc, on a pleins de matos à vendre, des munitions notamment... des pièges... des fringues... »
« Faut voir, pourquoi pas. Je te garantis rien. »
« Passe à la boutique, on verra ensuite... »