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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Où est la vermine ?



Death avait un plan bien particulier. Mettre enfin la main sur les rebelles qui sont dans notre monde. Pour ça, il avait demandé à Ormagöden d’aller dans les égouts de la ville comme je l’avais fait une première fois mais ils avaient été futé et avaient détruit une partie de leur « quartier général ».

Mon comparse aurait donc peut-être un peu plus de chance que moi et pourrait mettre fin à ce cauchemar. Moi, pendant ce temps, je devais agir en surface. Je devais aussi trouver des preuves de cette racaille.

Je déambulais dans les rues, il fallait que je trouve quelque chose. Des personnes agissant bizarrement, des conversations… N’importe quoi, mais il e fallait quelque chose.

Je vivais peut-être ici désormais, mais il fallait bien l’avouer, cette ville était quand même grande. Et puis, il n’y avait pas que des rebelles, qui nous posait problèmes, il y avait également des sans-cœurs. Alors pour être honnête, je n’avais absolument pas envie de jouer à cache-cache avec cette vermine… Ou l’autre.

Je passais devant la maison dans laquelle j’habitais désormais. Je m’arrêtai un instant, levai un sourcil et la regardais. Je repensais au jour où j’en avais fait l’acquisition. Des énergumènes l’avaient squatté… Il s’agissait de simples personnes qui s’étaient retrouvé à la rue…

Soudain mon visage changea. Mes sourcils s’étaient froncés et je me remémorai ce que l’un deux avait dis en voyant mon insigne. Et après ça, ils avaient obtempérés et avait bien voulu partir.

Je décidai alors de quitter la rue de ma maison pour partir vers les quartiers pauvres. Si ces gens avaient tout de suite reconnu l’emblème de la Coalition Noire, peut-être étaient-il au courant de beaucoup de choses pouvant se passer ici.

Je n’eus aucun mal à trouver ce district. Là, j’eus cependant un frisson. J’avais eu un peu mal au cœur de foutre ces gens dehors, mais quand je remarquai le nombre de sans-abri de otre monde… Je n’étais pas fier de mon acte…

Maxwell, stop ! T’es là pour une bonne raison…


Je me giflai intérieurement pour m’enlever cette pensée de la tête. Je tentai de me souvenir du nom que la jeune femme avait prononcé en s’adressant à l’homme présent aussi ce jour… Alex… Adrien…

- Aiden ! M’écriais-je.


Voyant que des regards s’étaient posés sur moi, je me mis à sourire tel un abruti et m’avançais vers un de ces « mendiants ». Il était assis à terre, un pauvre morceau de tissu posé sur ses frêles épaules, il n’avait rien qui pouvait réchauffer le bas de son corps. Il n’allait pas l’air très âgé, une petite trentaine d’années. Des cheveux bruns, mais remplis de poussière, sa peau était aussi devenue terne. La seule chose qui semblait bien dans ce décor, c’était ses yeux, ils étaient orange, presque rouge.

- Excusez-moi. Vous pourriez peut-être m’aider.
- Hum ?
- Je recherche un homme et une femme. Lui, il s’appelle Aiden.
- Aiden ?... Hum…


Il resta assis au sol, mais attrapa son menton qu’il se mit à frotter. Il tourna après sa tête vers sa gauche, puis de nouveau mais vers sa droite, là où je me trouvais.

- Essayez peut-être au fond de a rue. Là-bas, il y a pas mal de jeunes. Et en général ils s’entraident un peu plus et laisse les « autres ».
- Merci. Tenez mon brave… Je sais, ce n’est pas grand-chose mais… Dis-je en lui tendant cinq munnies.
- C’est déjà beaucoup pour moi. Merci !


Il serra ma main fortement comme si j’étais un ange descendu du ciel pour l’aider. Je voyais bien à cet instant qu’il avait l’air content.

Je repris ma route et m’engouffrait un peu plus dans cette venelle où je finis par trouver un attroupement de jeunes sans-abris autour d’un feu fait dans un vieux bidon.

Je regardais chacune de ces personnes, une à une. Et je m’arrêtai envoyant la jeune femme qui était encore dans ma maison il y a peu.

- Non, mais c’est une blague ! On est parti, c’est bon foutez-nous la paix !
- Jodie ?
- Salut vous deux ! Dis-je en faisant un signe de main.
- Qu’est ce vous voulez encore !?
- Foutez-nous la paix. Ça va maintenant…
- Je ne suis pas ici pour vous emmerder. Je suis venue vous voir pour que vous puissiez m’aider.
- Vous aider ? J’ai une putain de marque sur la tronche et Jodie a bousillé son coude… Vous croyez vraiment qu’on a envie de vous aider ?
- Si vous acceptez, je vous enverrai voir un médecin et je paierai vos frais.
- C’est vrai ?
- Jodie ! C’est peut-être un piège…
- Non, je vous jure. Vous m’aidez et un médecin vous auscultera et vous soignera.
- Qu’est ce que vous attendez de nous exactement ?


Je leur fis signe de s’écarter un peu, pour que nous puissions parler plus en privé. Je n’avais pas envie que d’autres entendent notre conversation.

- Quand vous avez vu mon insigne, vous avez tout dfe suite compris qui j’étais.
- Et ?
- Vous allez l’air de savoir beaucoup de choses.
- Mais encore ?
- Je suis à la recherche de personnes. Je ne sais pas qui ils sont, ni où. Mais ils sont là pour essayer détruire la Coalition Noire.
- Des rebelles ?
- Oui ! Vous en connaissez ?
- Vous êtes un peu des salopards à la Coalition Noire. Pourquoi on vous aiderait ?
- On n’est pas tous pourri jusqu’à la mœlle…
-
- Aidez-moi à trouver ces gens et je ferai mon maximum pour vous sortir de la misère dans laquelle vous vivez.
- Qui vous dit qu’on n’aime pas notre vie actuelle ?
- Vous squattez des propriétés privées et… À en juger par ce que je vois autour de moi, toute cette nourriture n’a pas été acheté…


Le dénommé Aiden ne répondit rien, ni son amie en fait. Et ils avaient compris que j’avais vu juste. Ils se regardèrent un instant avant de se focaliser à nouveau sur moi.

- Et comment sait-on que vous allez tenir parole ?
- Je dirai à Death que vous m’avez aidé. Je ne cacherai votre identité et votre situation. Il n’est peut-être pas aussi « gentil ». Mais toute aide pour mettre un terme à cette vermine est la bienvenue…


Ils reculèrent de quelques pas et je fis de même pour les laisser parler en toute tranquillité. Au bout de quelques secondes, qui étaient devenues des minutes, ils revinrent vers moi en souriant.

- Vous l’avez dis vous-même. On se débrouille comme on peut pour avoir à manger, alors automatiquement, on entend et on voit des choses…


Ils commencèrent à marcher pour quitter cette ruelle. Je restai tout de même sur mes gardes, inutile de préciser que je pouvais être en droit de ne pas leur faire confiance, et qu’eux même étaient de potentiels rebelles qui vivaient comme d’autres personnes pour masquer tout soupçon…

Nous marchâmes pendant un petit moment, nous passâmes par différentes ruelles toutes plus sombres les unes que les autres. Au bout d’un moment, Aiden posa sa main devant moi me faisant comprendre que nous étions enfin arrivé.

Je me plaquai contre le mur et passai délicatement ma tête pour voir s’il y avait des rebelles et si oui… Combien, ils étaient trois. Et aussi savoir s’il y avait également dans cet endroit, une cache d’armes ou bien des informations pouvant me mener à ce « trésor ».

- Restez là pour l’instant. Inutile de vous mettre en danger. Les informai-je en chuchotant.


Ils reculèrent de quelques pas et se cachèrent derrière des caisses en bois posées ici et là. Je dégainai ma rapière le plus discrètement possible et quittai ma cachette pour faire face à ces personnes, deux hommes de corpulence de ma corpulence et un autre un plus fort.

- Et yo bande de nazes !


Ils se retournèrent en m’entendant. Inutile de préciser à quel point, ils n’avaient pas l’air heureux de voir du monde qu’ils ne connaissaient pas rôder autour de leurs affaires.

Un des petits gars, attrapa tout un tas de papiers qu’il commença à chiffonner. Je commençai à créer une petite boule de feu dans ma main droite que je lui jetai dessus, il se mit alors à frapper son visage pour éteindre le feu qui brûlait son visage. Les deux autres n’avaient pas l’air de rigoler en voyant cette scène. Le plus fort se mit à grogner et charger dans ma direction tel un bœuf, je me contentai de tendre mon pied au sol pour lui faire un croche-pied et parti s’étaler dans un amas de caisses. Il n’en restait plus qu’un, il commença à sortir un revolver, je donnai alors à cet instant un violent coup avec ma rapière dans sa main qui se mit à saigner…

Je me déplaçai alors très lentement jusqu’à lui et posai la lame près de sa gorge.

- Pour qui vous travaillez ?
- Tu peux crever ! Je ne te dirais rien !


Il racla sa gorge et me cracha au visage que j’essuyai du revers de moi. J’entrouvris ma bouche, fis sortir un peu ma langue que je me mis à mordiller. Je donnai à cet instant un grand coup de pied dans son tibia pour le faire tomber au sol.

Chose faite, il se mit à hurler, j’enfonçai désormais la lame de mon arme dans sa main blessée un peu plus tôt.

- Pour qui ?
- Va te faire fou…


J’enfonçai encore d’un centimètre la lame ce qui provoqua chez cette vermine un nouveau râle de douleur.

- Parle ou crève...


Il ne répondait pas, mais se contentait de souffler fortement. Je lui laissais quand même quelques secondes pour lui donner la possibilité de me répondre. Mais rien. Je retirai d’un coup ma rapière et lui trancha la gorge.

Celui sur lequel j’avais lancé une boule de feu avait succombé de ses brûlures et gisait au sol. Il ne me restait plus que le plus fort pour essayer d’obtenir des réponses.

Je m’approchai de lui, l’attrapa par le col pour tenter de le faire pivoter pour qu’il me fasse face.
Lorsque son visage un peu abîmé -avec des hématomes naissant- me regardait, je le vis qui se mit à croquer quelque chose.

- Vous ne nous arrêterez jamais !


À cet instant, un filet de bave fit son apparition et il commença à convulser à terre.

- Imbécile…


Je n’avais plus la possibilité d’interroger qui que ce soit, je me dirigeai alors vers les documents qui étaient resté plus ou moins intacts et les ramassai. Il s’agissait en fait de différents plans de création d’armes et autres objets en tout genre pour attaquer le quartier général de la Coalition Noire.

Mais il n’y avait pas beaucoup de renseignements sur le commanditaire, rien sur le lieu où se trouvait le reste de leur groupe ou encore même des noms, ça aurait pu être déjà intéressant. Nous savions qu’il y avait une taupe, mais toujours rien sur son identité…

Je gardais précieusement les documents pour les donner à Death, peut-être aurions nous ainsi l’avantage sur ces hommes en contrant leur prochaine attaque en ayant nous aussi ces armes en notre possession.

Je retournai ensuite sur mes pas pour retrouver Aiden et Jodie qui étaient resté silencieux et bien caché. Je leur tendis ma main pour qu’ils la prennent.

- Nous avons des docteurs et infirmières dans notre quartier général. Ils vous soigneront.


Je reparti en direction du manoir pour tenir ma promesse faite à ces deux personnes. Et parler aussi à Death d’une possible nouvelle vie pour eux.








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C’est l’heure du…. Duel ! Mh, mauvais univers. On va plutôt dire que c’est l’heure de la rébellion.

Donc, qu’est-ce que j’ai pensé de cette mission ? Pas mal de bien, j’suis content, tu nous apportes quelque chose de nouveau dans le conflit face à la rébellion. Ici, tu parles vraiment d’une baisse du niveau de vie dans les rues du QG de la Coalition Noire. En soit, c’est clairement logique. Nous sommes hyper tyranniques, des impôts de con et la moitié du peuple est en prison.

En se baladant dans la rue, tu ne trouves pas des gamins qui jouent à la balle. Enfin, c’est sympa que tu le mettes en évidence.

Il y a deux choses que j’aime vraiment bien, les balances et les rebelles. Vraiment, j’ai cru à un moment que tu ferais parler les gars et / ou que les informations que tu trouves serait bien trop importante. Tu conserves cette idée d’une rébellion réfléchie qui ne va pas se faire griller dans un coin de rue, vraiment, c’est bien bien cool.

Et les balances, c’est logique que des gens se rangent du côté de la Coalition Noire.En se baladant dans la rue, tu ne trouves pas des gamins qui jouent à la balle. En tout cas, je ne m’attendais pas à revoir les deux gars du squat, j’ai bien rigolé en voyant ça.

Bon, j’ai pas grand chose à dire sur cette mission, j’ai bien aimé et tu fais attention aux remarques que nous donnons. Si, il y a un truc. Tu ne possèdes que 8PS en magie, ces limite pour flinguer une personne avec un unique sort de rang 1. C’est peut-être la seule erreur de ton rp, fait bien attention à ce genre de chose.

Mission accomplie !


Normal : 21 points d'expérience + 195 munnies + 3 PS ! Deux en Symbiose et un en Magie.

PS : C’est une mission QG, pas de bonus de munnie lié au vaisseau !
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