Il faut du soin
La jeune femme s’en alla pour la Cité des Rêves. Il fallait que la sorcière trouve un maximum de personnes pour soigner des gens blessés du Domaine enchanté. Le maître brasseur avait lui aussi été envoyé à la terre des Dragons.
Pamela commença donc par aller à la Cathédrale. Peut-être aura-t-elle la chance de trouver des personnes qui accepteraient de donner de leur temps pour ainsi l’aider dans cette mission. Un homme -ou une femme- d’église devrait -théoriquement- accepter de venir en aide aux personnes dans le besoin.
La porte de était légèrement entrouverte et la poussa un peu plus pour pénétrer à l’intérieur de cet édifice. La jolie rouquine n’avait pas mis les pieds dans un lieu comme celui-ci depuis bien longtemps… Depuis tellement longtemps qu’elle ne s’en souvenait pas.
Une douce mélodie -celle des chants d’église- venait de lui donner des frissons. L’écho des pas de la sorcière résonnait dans cette bâtisse de pierre. Il n’y avait peu de bruit à l’intérieur, la jeune savait qu’elle se ferait remarquer très rapidement.
La soutane sur son dos, toujours en capuchonnée, elle continuait d’avancer. Lorsqu’elle passa « l’entrée » de la cathédrale, elle arriva enfin dans le chœur même de l’église, la nef. De nombreuses colonnes de pierres de chaque côté, des rangées de banc partout devant elle. Elle pris l’allée centrale pour rejoindre l’autel où une personne était de dos face à Pamela.
La jeune ne voulait pas trop briser les douces voix avec le bruit de ses pas et atteignit au bout de plusieurs et longues minutes l’homme qui se trouvait là.
L’homme se retourna très lentement. Ses mains étaient dissimulées dans ses manches, ses cheveux bruns, plutôt courts étaient un peu plus clairs sur ses tempes.
Pamela retira délicatement sa capuche, pour faire face à cet homme. D’une part, c’était très impoli de parler à quelqu’un dissimulé, mais aussi, elle cherchait à avoir un maximum de soutien. Même si c’étai un homme d’église qui avait fait vœux de chasteté, peut-être que le fait de voir la femme élue « plus belle femme du monde » pourrait le faire changer d’avis. Sur ce point elle n’était sûre de rien, mais il fallait tout de même essayer. Qui ne tente rien n’a rien…
Lorsque la longue chevelure de soie rousse et son visage furent enfin démasqués, l’homme resta silencieux mais ses yeux, eux avaient changé. Son regard n’était plus le même depuis que la jeune femme s’était enfin dévoilée. Même si ce n’était que son visage, elle était dans un endroit chaste, il aurait été très mal vu que la sorcière lève complètement le voila sur sa tenue peu décente.
L’homme cligna des yeux avant de racler sa gorge et de reprendre la parole.
Le prêtre parti vers la droite, laissant la sorcière seule dans la nef. Les voix arrivaient à atténuer le rythme cardiaque de la jeune femme légèrement stressée de devoir jouer de ses charmes sur un homme comme celui-ci.
Toujours seule, elle partit s’asseoir sur un des bancs et ferma les yeux. Se laissant bercer par les chants, elle en oublia presque sa venue ici. Mais elle retrouva ses esprits, lorsqu’elle entendit le bruit de pas venir vers elle. Elle se releva et repris sa place, le prêtre revint accompagné de deux autres personnes, des femmes.
La première regardait la jeune femme avec beaucoup de mépris, la seconde également. Mais l’homme lui souriait un peu.
Une des sœurs, la première tira légèrement sur le vêtement du prêtre pour pouvoir attirer son attention.
Pamela savait très bien qu’elle n’était pas bien vu par la gente féminine, mais elle ne s’était pas imaginé une seule seconde de se faire traiter de diable un jour.
Les deux femmes se calmèrent et finirent par ne plus parler. Le prêtre avait réussi à les calmer. Je ne sais pas si c’était le ton qu’il avait employé ou bien le fait de se faire « traiter » de monstre alors que quelqu’un leur demande de l’aide.
La sorcière ne voulu pas remuer le couteau dans la plaie et préféra ne rien ajouter non plus. Le prêtre, lui demanda aux sœurs de contenir leur peur et qu’il allait aussi les accompagner pour le Domaine Enchanté.
La jolie rouquine remercia encore une fois le prêtre et leur demanda de partir pour la station Shin-Ra et attendre qu’elle revienne vers eux.
Pamela partit ensuite pour les rues de la cité, espérant ainsi trouver une nouvelle personne et qui de préférence ne soit pas une femme. Même si elle savait qu’elle était mal vue, le fait de se faire insulter de succube l’avait décontenancé.
La sorcière, frappa à la porte d’un cabinet de médecin, un homme d’une quarantaine d’années vint lui ouvrir. Il portait une blouse blanche, des cheveux noirs plaqués en arrière. Il fit signe à la sorcière d’entrer.
La jolie rouquine expliqua sa venue comme elle l’avait fait à la Cathédrale. Cette fois, le médecin, n’était pas réticent. Il accepta sans problème. La jeune femme voulue savoir s’il y avait d’autres personnes de ce corps de métier dans la ville. Mais le médecin l’informa que non, il était le seul.
Il lui indiqua aussi que son assistant restera ici à la Cité des Rêves pour s’occuper des habitants de ce monde pendant que lui, serait dans un autre.
Pamela partit alors pour la station Shin-Ra rejoindre le prêtre ainsi que les deux bonnes sœurs qui devaient sûrement être en train de parler d’elle dans son dos.
Pamela commença donc par aller à la Cathédrale. Peut-être aura-t-elle la chance de trouver des personnes qui accepteraient de donner de leur temps pour ainsi l’aider dans cette mission. Un homme -ou une femme- d’église devrait -théoriquement- accepter de venir en aide aux personnes dans le besoin.
La porte de était légèrement entrouverte et la poussa un peu plus pour pénétrer à l’intérieur de cet édifice. La jolie rouquine n’avait pas mis les pieds dans un lieu comme celui-ci depuis bien longtemps… Depuis tellement longtemps qu’elle ne s’en souvenait pas.
Une douce mélodie -celle des chants d’église- venait de lui donner des frissons. L’écho des pas de la sorcière résonnait dans cette bâtisse de pierre. Il n’y avait peu de bruit à l’intérieur, la jeune savait qu’elle se ferait remarquer très rapidement.
La soutane sur son dos, toujours en capuchonnée, elle continuait d’avancer. Lorsqu’elle passa « l’entrée » de la cathédrale, elle arriva enfin dans le chœur même de l’église, la nef. De nombreuses colonnes de pierres de chaque côté, des rangées de banc partout devant elle. Elle pris l’allée centrale pour rejoindre l’autel où une personne était de dos face à Pamela.
La jeune ne voulait pas trop briser les douces voix avec le bruit de ses pas et atteignit au bout de plusieurs et longues minutes l’homme qui se trouvait là.
- Excusez-moi.
L’homme se retourna très lentement. Ses mains étaient dissimulées dans ses manches, ses cheveux bruns, plutôt courts étaient un peu plus clairs sur ses tempes.
- Que puis-je pour vous mon enfant ?
- Pardonnez-moi de vous déranger. Mais je viens dans un but intéressé.
- Je vous écoute.
- Le Domaine enchanté, a été il y a peu. Et le Consulat m’envoie pour venir en aide à ces gens, en menant là-bas, un maximum de personne pouvant soigner les blessés.
- Je ne sais pas si je suis apte à vous aider dans votre quête.
- Pardonnez-moi de vous déranger. Mais je viens dans un but intéressé.
- Je vous écoute.
- Le Domaine enchanté, a été il y a peu. Et le Consulat m’envoie pour venir en aide à ces gens, en menant là-bas, un maximum de personne pouvant soigner les blessés.
- Je ne sais pas si je suis apte à vous aider dans votre quête.
Pamela retira délicatement sa capuche, pour faire face à cet homme. D’une part, c’était très impoli de parler à quelqu’un dissimulé, mais aussi, elle cherchait à avoir un maximum de soutien. Même si c’étai un homme d’église qui avait fait vœux de chasteté, peut-être que le fait de voir la femme élue « plus belle femme du monde » pourrait le faire changer d’avis. Sur ce point elle n’était sûre de rien, mais il fallait tout de même essayer. Qui ne tente rien n’a rien…
Lorsque la longue chevelure de soie rousse et son visage furent enfin démasqués, l’homme resta silencieux mais ses yeux, eux avaient changé. Son regard n’était plus le même depuis que la jeune femme s’était enfin dévoilée. Même si ce n’était que son visage, elle était dans un endroit chaste, il aurait été très mal vu que la sorcière lève complètement le voila sur sa tenue peu décente.
L’homme cligna des yeux avant de racler sa gorge et de reprendre la parole.
- Je pourrais peut-être vous venir en aide. Mais, combien de personnes auriez-vous besoin pour venir en aide à tous ces malheureux ?
- Un maximum.
- Puis-je vous laisser seule un instant ? Je reviens.
- Allez-y mon père.
- Un maximum.
- Puis-je vous laisser seule un instant ? Je reviens.
- Allez-y mon père.
Le prêtre parti vers la droite, laissant la sorcière seule dans la nef. Les voix arrivaient à atténuer le rythme cardiaque de la jeune femme légèrement stressée de devoir jouer de ses charmes sur un homme comme celui-ci.
Toujours seule, elle partit s’asseoir sur un des bancs et ferma les yeux. Se laissant bercer par les chants, elle en oublia presque sa venue ici. Mais elle retrouva ses esprits, lorsqu’elle entendit le bruit de pas venir vers elle. Elle se releva et repris sa place, le prêtre revint accompagné de deux autres personnes, des femmes.
La première regardait la jeune femme avec beaucoup de mépris, la seconde également. Mais l’homme lui souriait un peu.
- Je ne peux vous aider qu’avec ces deux sœurs. Elles connaissent le domaine des soins, elles seront dont aptes à sauver des gens.
-Merci.
-Merci.
Une des sœurs, la première tira légèrement sur le vêtement du prêtre pour pouvoir attirer son attention.
- Que vous arrive-t-il sœur Margaret ?
- Sans vouloir vous offenser mon père. Mais, je ne crois pas que cela soit une bonne idée.
- Comment ?
- Sœur Margaret veut tout simplement vous faire comprendre que… Cette femme. Elle est le symbole vivant du malin, nous ne pouvons aider le diable.
- Sans vouloir vous offenser mon père. Mais, je ne crois pas que cela soit une bonne idée.
- Comment ?
- Sœur Margaret veut tout simplement vous faire comprendre que… Cette femme. Elle est le symbole vivant du malin, nous ne pouvons aider le diable.
Pamela savait très bien qu’elle n’était pas bien vu par la gente féminine, mais elle ne s’était pas imaginé une seule seconde de se faire traiter de diable un jour.
- Sœur Élise, vous ne pouvez dire ce genre de choses. Encore moins devant cette femme.
- Ce n’est rien mon père. J’ai… L’habitude.
- Habitude ou non, elles n’ont pas à vous parler de la sorte !
- Croyez-moi. Ne leur en voulez pas... Mes sœurs, je ne suis venue que dans le but de sauver des gens. En aucuns cas ne de vous mettre dans une position telle que celle-ci. Celle où vous pouvez vous sentir en danger face à une créature que vous voulez éviter.
- …
- Je ne suis pas le diable.
- Une personne telle que vous, ne peut exister, si ce n’est grâce à l’œuvre de l’ange déchu.
- Succube !
- Si j’étais réellement ce genre de personnes croyez-vous que je me serais amusée à entrer dans un lieu saint et me faire insulter ?
- Mes sœurs, calmez-vous ! Vous me décevez. Comment osez-vous blasphémer un de nos enfants qui vient nous voir pour nous demander de l’aide ?
- Ce n’est rien mon père. J’ai… L’habitude.
- Habitude ou non, elles n’ont pas à vous parler de la sorte !
- Croyez-moi. Ne leur en voulez pas... Mes sœurs, je ne suis venue que dans le but de sauver des gens. En aucuns cas ne de vous mettre dans une position telle que celle-ci. Celle où vous pouvez vous sentir en danger face à une créature que vous voulez éviter.
- …
- Je ne suis pas le diable.
- Une personne telle que vous, ne peut exister, si ce n’est grâce à l’œuvre de l’ange déchu.
- Succube !
- Si j’étais réellement ce genre de personnes croyez-vous que je me serais amusée à entrer dans un lieu saint et me faire insulter ?
- Mes sœurs, calmez-vous ! Vous me décevez. Comment osez-vous blasphémer un de nos enfants qui vient nous voir pour nous demander de l’aide ?
Les deux femmes se calmèrent et finirent par ne plus parler. Le prêtre avait réussi à les calmer. Je ne sais pas si c’était le ton qu’il avait employé ou bien le fait de se faire « traiter » de monstre alors que quelqu’un leur demande de l’aide.
La sorcière ne voulu pas remuer le couteau dans la plaie et préféra ne rien ajouter non plus. Le prêtre, lui demanda aux sœurs de contenir leur peur et qu’il allait aussi les accompagner pour le Domaine Enchanté.
La jolie rouquine remercia encore une fois le prêtre et leur demanda de partir pour la station Shin-Ra et attendre qu’elle revienne vers eux.
Je n’avais aucunement envie de me balader dans les rues et de me faire traiter de créatures immondes pendant que je cherchais un ou plusieurs autres médecins.
Pamela partit ensuite pour les rues de la cité, espérant ainsi trouver une nouvelle personne et qui de préférence ne soit pas une femme. Même si elle savait qu’elle était mal vue, le fait de se faire insulter de succube l’avait décontenancé.
La sorcière, frappa à la porte d’un cabinet de médecin, un homme d’une quarantaine d’années vint lui ouvrir. Il portait une blouse blanche, des cheveux noirs plaqués en arrière. Il fit signe à la sorcière d’entrer.
La jolie rouquine expliqua sa venue comme elle l’avait fait à la Cathédrale. Cette fois, le médecin, n’était pas réticent. Il accepta sans problème. La jeune femme voulue savoir s’il y avait d’autres personnes de ce corps de métier dans la ville. Mais le médecin l’informa que non, il était le seul.
Il lui indiqua aussi que son assistant restera ici à la Cité des Rêves pour s’occuper des habitants de ce monde pendant que lui, serait dans un autre.
Pamela partit alors pour la station Shin-Ra rejoindre le prêtre ainsi que les deux bonnes sœurs qui devaient sûrement être en train de parler d’elle dans son dos.