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Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Eh bien, tous cela, ça fait vraiment beaucoup de munnies. Genre, dans ma petite bourse de cuir, j’me retrouve avec un somme proche d’un samedi soir au Moulin Rouge. Pour les curieux, ça s’approche d’un nombre à cinq chiffres.

Donc, sous le soleil de Costa Del Sol, j’me retrouve avec cette bourse tellement pleine que je n'ose pas vraiment la lâcher du regard et avec un chariot à roulette. Les consignes sont simples pour aujourd’hui, il ne vaut mieux pas que j’égare l’argent et que je ramène le plus de vêtements possible du grand hall des boutiques de la station balnéaire. La raison de ma présence avec un chariot, d’ailleurs, il est de couleur rouge. Pourquoi est-ce que je raconte cela ? Simplement pour que vous imaginiez bien la situation. Ridicule, ou non, à vous d’en juger.

J’en étais où… Ah ! Oui.

Me voilà arrivé depuis une petite dizaine de minutes dans la station balnéaire. Trois portiques de sécurité, deux agents et quatre contrôles des bagages plus tard, j’me suis retrouvé sur la jetée avec mon chariot et l’argent. Genesis m’a demandé une tâche plutôt simple, acheté les vêtements le plus chic de ce monde et les ramener au sommet des arts. Pour la peine, Vivi à tenue à m’habiller. Qui est Vivi…? Il s’agit de l’une des trois fées présentes au cabaret, une fille très sympathique quand on prend la peine de discuter avec elle. Un peu jeunot et insouciante, mais rien de grave. Du coup, elle m’a fait enlever ma tenue de lin habituelle et m’a ordonnée de prendre mon costume noir avec le gilet pourpre. Et du tour de baguette plus tard, elle m’offrait un joli noeud papillon, un changement de couleur pour mon gilet et ma chemise pour finalement arranger ma coiffure

Ce qui correspond plus ou moins à égaliser les poils de ma barbe et de nouer mes cheveux dans un catogan. Rien d’extravagant, toutefois, elle m’a assuré qu’avec ça, j’me ferais pas refuser à l’entrée des grands couturiers de ce monde. Et vous allez me demander qu’est-ce qu’une petite fée de Fantasia connaît des grands designers en couture ?! Et j’vous répondrais simplement la chose suivante, elle passe beaucoup de temps devant la télévision. Du moins, quand elle en travail pas.

Bref, me voici prêt et habillé avec de quoi transporter le résultat de mon shopping. N’ayez crainte, c’est un très grand chariot et j’ai suffisamment de place pour dévaliser les boutiques du Costa Del Sol !

— Chen va rester immobile toute la journée, ou compte il bougé ?
La petite voix de la fée parvint à mes oreilles, normales, elle s’est assise sur mon épaule. La bourse dans ma patte gauche, la droite en arrière pour tirer le chariot.

— Tu ne devais pas te faire toute petite, Vivi ?
— Chen ne doit pas être effrayé, l’on remarque plus facilement un panda qu’une fée.
— Un point pour toi.

Je rigole un instant avant de me retourner et rejoindre la rue commerçante, cette dernière longe la grande place de Costa et se referme sous un dôme de verre. Un endroit plutôt classe, fontaine à chaque croisement et petite musique d’ambiance pour donner au visiteur l’envie de rester et d’acheter.

— Il y a plus de boutique qu’à Paris, me voilà bien surpris.
— Et il fait bien plus chaud ! Et j’ne vois pas de buvette, j’ai soif moi…
— Chen devrait penser à autre chose qu’à son nectar, et se diriger vers le magasin Gillard.

La petite fée s’est envolée et posée sur mon crâne, posant sa fine main comme un casquette avant de pointer une boutique avec une devanture aux couleurs or. Elle trépigne d’impatience et avait fortement insisté pour se joindre à moi pour cette mission. Et entre nous, j’ne vais pas me plaindre. Imaginer un instant que j’achète des vêtements bien laids pour Pamela. Résultat ? De l’argent jeté par les fenêtres ! Enfin, au début, j’avais juste idée de prendre un peu de tout et ramener ça au Jardin Radieux. Moins de chance pour me tromper, sauf qu’avec Vivi, j’suis bon pour visiter chaque boutique pour trouver de quoi habiller la belle rousse.

Contrairement au boutique dans laquelle j’ai pour habitude me rendre, il y avait beaucoup moins de vêtements. Enfin, il y avait de quoi s’habiller ! Sauf que, il n’y a pas des étagères pleines de chemise ou de pantalon. Il y a plusieurs mannequins dans le centre de la boutique sur lesquels son exposé de splendide costume ou de longue robe. Et sur les murs, même chose avec quelques rangements pour des chaussures et des talons.

— Plus c’est cher, moi il y a de la matière…
Chuchotant à moi-même, alors que la petite fille s’envole déjà pour tourner autour d’une robe, laissant une trainée de poussière sur son sillage alors qu’un homme en costume s’approche de moi. Le menton haut, et une belle révérence à mon encontre.

— Bonjour et bienvenue dans la salle d’exposition du grand Gillard.
Supris un instant, je hausse un sourcil avant de reprendre la parole.

— Salle d’exposition ? Ah, mais j’suis venu pour vous acheter vos robes moi…
— Vous… C’est simplement que monsieur Gillard conçoit de rares vêtements, tous de qualité et il n’utilise aucune machine. Il travaille avec les meilleures matières et vous propose ses vêtements les plus chics.

Bien, j’viens de passer pour un parfait idiot. Heureusement que j’ne suis pas rentré avec mon petit chariot, il m’aurait dégagé en deux secondes. Grattant ma nuque, j’reprends la parole en poussant mes lèvres dans un sourire.

— Bien, j’aimerais faire l’acquisition des créations de monsieur Gillard, pour une amie à moi.
— Il aurait été plus intéressant que votre amie soit avec nous, ne serait-ce que pour prendre ses mesures ou encore chercher une tenue à sa convenance.
— C’est… Une surprise !

À cet instant, Vivi à décidé de me rejoindre et se poser sur mon épaule avant de faire une courte révérence à mon vis-à-vis.

— Enchanté, heureux de vous rencontrer.
— Vivi connaît bien mon amie, elle vous donnera tout ce dont vous avez besoin.

Il fut légèrement choqué, haussant lui aussi un sourcil avant de hocher la tête et nous inviter à avancer dans le magasin. Rapidement, je donne un papier au vendeur avec les mensurations de Pamela, trois chiffres pour décrire la taille de la fleur du Consulat. Nonante, septante et quatre-vingts. À quoi ça correspond ? Eh bien, le premier chiffre donne le tour de sa poitrine, le second de sa taille et le dernier de ses hanches. D’après ce que racontent Vivi et le vendeur, elle aurait donc une carrure en X ou bien en 8. Finalement, pour se décider et savoir quel genre de vêtement lui irait le mieux, ils ont fini par me poser une série de questions.

— Ses hanches et ses épaules sont-elles alignées?
— Euh… Oui, oui. Un peu comme un « H ».
— Elle n’a aucune rondeur, son corps et un splendeur.
— C’est vrai que sa taille est marquée…
— Au niveau de sa poitrine ?
— J’suis vraiment obligé de répondre à cette question ?
— Il le faut, pour que ce soit beau.
— C’est marqué !
— Et on ne peut les manquer.
— Sa chevelure, la couleur de sa peau ?
— Un beau roux, et elle peau blanche nacré au senteur enivré !
— Chen devrait se calmer.
— Nous partirons donc sur une silhouette en huit.

Bien, ils semblent satisfaits de mes réponses et le vendeur se retourne déjà pour aller dans l’arrière-boutique. Pendant ce temps-là, j’me retrouve avec la fée à regarder les tenues exposées. Enfin, soyons honnête. J’regarde d’un oeil distrait les tenues pour homme en me résignant à l’idée d’en prendre, ils ne sont pas pour ma carrure, pendant que Vivi attrape du bout de ses ailes des écharpes et autres accessoires pour les amener sur le comptoir. Bon, autant se rendre utile. Regardant de nouveau le petit papier donné par Genesis, j’ai entrepris la lourde tâche de m’occuper des chaussures. Elle fait du trente-huit, du coup, j’attrape toutes les paires à sa taille et les amène jusqu’au comptoir. Autant dire que j’me suis rendu devant la table avec les bras chargés de chaussure.

Il y avait de tout ! Enfin, j’me suis pas servie dans les tennis ou les sandales. Enfin, il y a quand même les petites chaussures à semelle plate assez jolie. Caoutchouc de semelle blanc avec une ligne noire faisant le tour de cette dernière, un tissu blanc nacré avec un petit symbole en forme d’étoile et deux lacets de couleur différente.

Elle devrait aimer ce genre de chose pour les trucs plus décontracté.

Et aussi, une paire de « Gladiators » avec des lanières de cuir et de la dorure un peu partout. Disons plutôt que j’ai pris trois paires du même genre. Une en cuir blanc avec les dorures, une noire avec des entrelacements remontant jusqu’à la cheville et un truc plus classique avec des lanières brunes. Ça donnait sympa sur le mannequin, maintenant, est-ce que ça ira à son pied ? Aucune idée… De toute façon, et rien que dans ce magasin, j’ai déjà pris quinze paires de chaussures différentes. Et j’vous parle même pas des escarpins et des bottes, il y a de quoi parler pendant des heures ! Et ici, j’ai trouvé une paire très classique, un revêtement brillant sur une grosse semelle et un talon… Aucune idée du nom, mais ça en jette pas mal.

— Pour un style plus classique, il ne faut pas hésiter à être chic.
— Tu dis, Vivi…?

La fée s’est envolée avec une paire de chaussures pour me montrer avec quelle robe elle pourrait correspondre. Ainsi, une robe plutôt classique prendra une paire à talon richement décoré pour accompagner la tenue. Et inversement, un vêtement riche prendre une paire plus simple. Prise au jeu, la danseuse du Moulin Rouge attrape un foulard au couleur vive afin de le mettre autour du cou d’un mannequin et accompagner ce dernier d’une petite ceinture ornée de brillant.

— Vous avez du goût, petite.
— Merci, voilà que je rougis.

Il avait avec lui pas mal de tenue, que ce soit des tailleurs ou encore des robes de toutes les couleurs. Cependant, suite à ma description de Pamela, il m’assure qu’une robe trop chargée au niveau des épaules serait une grave erreur. Ainsi que pour les hanches. Du coup, il sortit une longue robe noire avec de simple attache au niveau des épaules et un décolleté plongeant. D’après la taille, et selon mes estimations, la robe avait une simple ouverture à mi-cuisse et d’un seul côté. Rien que d’imaginer Pamela avec ça, j’en rougis.

— Et pour agrémenter, à la taille, il faut serrer.
— Exactement, avec un foulard dans le ton ou justement pastel pour attirer l’attention sur les hanches.
— Euh… D’accord…

Il rongea alors la robe sur le comptoir et sorti un tailleur blanc aux bordures bleu foncé. L’idée était la même, serrée à la taille, mais plus ample aux épaules pour des soirées plus sophistiquée. Vivi apporta alors sa pierre à l’édifice en amenant un chapeau aux bords plats et de la même couleur que les bordures. De mon côté, je hoche simplement la tête devant le spectacle et regarde la pile de vêtements grandir lentement. Le garçon amena deux autres robes, un rouge sang avec lequel il proposa quelques bracelets d’or blanc et un blanche aux reflets brillants.

Franchement, ça avait de la gueule et j’me contente à être positif devant le spectacle qu’offrent la fée et le vendeur. Et finalement, après une heure à faire tourner la tenue devant moi, il me présente la facture devant les yeux en emballant la marchandise dans des sachets portant la marque de Gillard.

— Avec la totalité des accessoires et des vêtements, cela fait un total de quatre mille huit cent trente-cinq munnies. Et la maison vous offre ce parfum en guise de remerciement.
— Ah ouais… Quand même !
— Dois-je comprendre que vous n’avez pas assez…?
— Nous avons l’argent, nous ne sommes pas des manants !

La petite fée s’offusqua un instant alors que je pose ma bourse sur le comptoir et commence à compter les munies pour ce magasin. Sans me faire attendre plus longtemps, il me rendit la monnaie et j’me retrouve devant la devanture à poser mes sacs pleins de vêtements dans mon chariot, la sensation du travail bien fait alors que Vivi ne m'attrape pas la manche.

— Allons mon ami panda, nous avons des ordres et la garde-robe de Pamela n’attend pas !
— Nous avons Déjà plein de truc, ça ne suffit pas…?
— Tu n’y connais rien, on ne va pas habiller un chien.

Elle croisa ses bras avant de s’envoler jusqu’au prochain magasin en me faisant de grands signes. Une chose était sûre, j’suis bon pour passer l’après-midi dans les boutiques avec Vivi. Pourquoi est-ce que j’ai accepté, déjà ?


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Mission accomplie !

Très bonne mission, je l'ai vraiment beaucoup aimée. Au début j'ai été gêné par le fait qu'à certains moments, tu parles d'acheter certains vêtements, ou que tu te soucies de choisir de bons vêtements pour Pamela. Or... l'ordre de mission était que tu devais acheter un exemplaire de chaque vêtement de Costa del Sol. Mais petit à petit, on en est quand même arrivé à ce que Chen prenne quasiment un exemplaire de chaque vêtement du magasin. Tu décris beaucoup, qui plus est, ce que j'attendais moins. D'ailleurs je ne te le demandais pas vraiment, puisque je te disais de tout prendre. Et du coup bah c'est tant mieux.

L'intervention de Vivi est vraiment intéressante ! Au début, à nouveau, j'étais gêné par le fait que c'est une fée qui fait des rimes. Bah évidemment, j'ai pensé à FFXIV, et si c'est pas très gênant pour n'importe quelle fée, celle-ci vient de Fantasia et j'imagine pas les fées danseuses de Fantasia être comme ça. Donc je partais un peu critique mais au final j'ai bien aimé. Il y a d'excellents dialogues avec la fée et le vendeur, vraiment rigolos, donc c'est clairement une réussite.

Donc je n'ai pas vraiment de critiques à faire. Qui plus est, à la fin, Chen et Vivi se dirigent vers d'autres magasins car en effet, il faut tout faire. C'est un peu dommage, j'ai remarqué que tu décrivais des maillots, des robes, mais sur des shirts ou des pantalons, je n'ai rien vu. Après j'ai pu rater certaines infos.

Je trouve rigolo que Pamela se retrouve avec une garde-robe absolument inimaginable, je dois dire ^^.

Ah sinon, oui, je suis très content que tu aies voulu profiter de cette mission pour présenter un peu Vivi, qui n'avait pas du tout été développée dans le rp où elle a été intégrée au moulin rouge. Je vais d'ailleurs éditer sa description.

Donc, mission facile : 12 xp, 120 munnies et 2 PS en symbiose.
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