Diplomatie
Je retournais en mission une nouvelle fois, mais j'allais rester dans le royaume de la Coalition Noire.
Depuis que j'avais recruté Bisley à la société Krey à San Fransokyo, il n'étais peut-être pas très à l'aise. Du moins, c'est ce que Death avait ressenti lors de son entretien avec lui et je devais faire en sorte qu'il se sente bien parmi nous.
Il avait été obligé de tout abandonner et même s'il ne le montrait pas directement, il fallait que je le sache. De plus, je ne l'avais pas revu -sauf le jour où j'ai rencontré sa femme et ses enfants- pour lui dire que sa femme l'aimait.
Je me présentais donc à sa maison, et appuyais sur le bouton de sa sonnette. J'attendais quelques secondes, puis une voix féminine à l'intérieur de la bâtisse me dit qu'elle arrivait.
Je retapais délicatement mes vêtements. Il n'y avait aucune vraie raison à faire ça. Mais ma dernière mission à Agrabah m'avait un peu dérangé. Ma tenue était propre, j'avais eu le temps de me reposer... Mais le fait d'aller chez les gens, c'est plus agréable pour la personne qui nous reçoit d'avoir à faire à quelqu'un de présentable.
Lorsque la porte s'ouvrit, j'aperçus Samirella -toujours aussi ravissante-, elle se mit à sourire un peu plus en voyant que c'était moi qui venait lui rendre visite.
Je la remerciais en souriant et pénétrais dans la maison. Elle était très belle. Plutôt bien décorée et je me souviens très bien que c'était Sheena qui s'occupait de toute cette partie dans notre maison. Et Samirella et elle, avaient tous les deux des gouts similaires.
Les pièces de la maison étaient assez spacieuses, plutôt bien éclairées. J'entendis les voix de Sorey et Mikleo en train de jouer dans une pièce adjacente. Samirella m'indiqua le bureau où se trouvait Bisley, je frappais à la porte. Il me dit d'entrer ce que je fis.
Il était assis derrière un bureau où étaient posés différents papiers, livres et tout un tas de choses. Le pauvre homme avait l'air de se perdre dans son travail. En me voyant, il se leva et vint me serrer la main.
Je lui. Cet homme était extrêmement gentil ,même si si lors de notre première rencontre, il avait l'air de s'énerver sur son travail. Je lui fis signe de s'assoir et je m'installa sur une autre chaise près de la sienne.
Il se mit à sourire et regarda les plans qu'il avait déplié sur son bureau. Je préférai ne pas l'interrompre, il avait l'air concentré, mais c'est lui qui mit fin à ce silence qui commençait à être gênant.
Je me relevai de ma chaise et lui serra la main avant de quitter le bureau pour partir de la maison. Samirella était dans la cuisine et me raccompagna jusqu'à la porte que je franchissais.
Je pouvais désormais rassurer Death sur les pensées de Bisley et son enthousiasme pour la création de la machine.
Depuis que j'avais recruté Bisley à la société Krey à San Fransokyo, il n'étais peut-être pas très à l'aise. Du moins, c'est ce que Death avait ressenti lors de son entretien avec lui et je devais faire en sorte qu'il se sente bien parmi nous.
Il avait été obligé de tout abandonner et même s'il ne le montrait pas directement, il fallait que je le sache. De plus, je ne l'avais pas revu -sauf le jour où j'ai rencontré sa femme et ses enfants- pour lui dire que sa femme l'aimait.
Je me présentais donc à sa maison, et appuyais sur le bouton de sa sonnette. J'attendais quelques secondes, puis une voix féminine à l'intérieur de la bâtisse me dit qu'elle arrivait.
Je retapais délicatement mes vêtements. Il n'y avait aucune vraie raison à faire ça. Mais ma dernière mission à Agrabah m'avait un peu dérangé. Ma tenue était propre, j'avais eu le temps de me reposer... Mais le fait d'aller chez les gens, c'est plus agréable pour la personne qui nous reçoit d'avoir à faire à quelqu'un de présentable.
Lorsque la porte s'ouvrit, j'aperçus Samirella -toujours aussi ravissante-, elle se mit à sourire un peu plus en voyant que c'était moi qui venait lui rendre visite.
- Ho bonjour Milla ! Comment allez-vous ?
- Merci très bien. Pardonnez-moi de vous déranger mais...
- Si vous souhaitez voir Bisley, il est dans son bureau. Je vous accompagne.
- Merci très bien. Pardonnez-moi de vous déranger mais...
- Si vous souhaitez voir Bisley, il est dans son bureau. Je vous accompagne.
Je la remerciais en souriant et pénétrais dans la maison. Elle était très belle. Plutôt bien décorée et je me souviens très bien que c'était Sheena qui s'occupait de toute cette partie dans notre maison. Et Samirella et elle, avaient tous les deux des gouts similaires.
Les pièces de la maison étaient assez spacieuses, plutôt bien éclairées. J'entendis les voix de Sorey et Mikleo en train de jouer dans une pièce adjacente. Samirella m'indiqua le bureau où se trouvait Bisley, je frappais à la porte. Il me dit d'entrer ce que je fis.
Il était assis derrière un bureau où étaient posés différents papiers, livres et tout un tas de choses. Le pauvre homme avait l'air de se perdre dans son travail. En me voyant, il se leva et vint me serrer la main.
- Bonjour Milla !
- Bisley ! Je ne vous dérange pas ?
- Non, bien au contraire. J'ai une excuse pour pouvoir faire une pause grâce à vous.
- Bisley ! Je ne vous dérange pas ?
- Non, bien au contraire. J'ai une excuse pour pouvoir faire une pause grâce à vous.
Je lui. Cet homme était extrêmement gentil ,même si si lors de notre première rencontre, il avait l'air de s'énerver sur son travail. Je lui fis signe de s'assoir et je m'installa sur une autre chaise près de la sienne.
- Comment vous sentez-vous ?
- Bien, pourquoi cette question ?
- Mon supérieur, Death. Il a l'impression de vous avoir un peu forcé la main.
- Ho non. Loin de là... Enfin, si un peu. Mais, c'est juste que j'ai eu l'impression d'être vu comme un esclave sur le coup.
- Je suis désolée. D'autant plus que je vous avais dis que ça ne serait pas le cas.
- Ce n'est pas de votre faute. Mais c'est l'effet que j'ai pu ressentir. Mais en y réfléchissant après, je me suis rendu compte que ce n'était pas ça et que c'était mon nouveau boulot. Je travaille toujours pour quelqu'un... Mais c'est différent.
- Il n'y aucun malaise alors ?
- Aucunes, promis !
- C'est parfait alors. Vous vous souvenez, lors de notre rencontre, je vous avais parlé d'une machine ?
- Oui, je m'en souviens très bien.
- J'ai les plans avec moi. Dis-je en lui tendant les documents. Le bâtiment dans lequel vous pourrez travaillé à été nettoyé récemment par un de mes collègues.
- C'est super ça !
- Nous essayons de tout mettre en œuvre pour que vous soyez parfaitement bien installé et que votre travail ne soit pas réalisé dans de mauvaises conditions.
- Bien, pourquoi cette question ?
- Mon supérieur, Death. Il a l'impression de vous avoir un peu forcé la main.
- Ho non. Loin de là... Enfin, si un peu. Mais, c'est juste que j'ai eu l'impression d'être vu comme un esclave sur le coup.
- Je suis désolée. D'autant plus que je vous avais dis que ça ne serait pas le cas.
- Ce n'est pas de votre faute. Mais c'est l'effet que j'ai pu ressentir. Mais en y réfléchissant après, je me suis rendu compte que ce n'était pas ça et que c'était mon nouveau boulot. Je travaille toujours pour quelqu'un... Mais c'est différent.
- Il n'y aucun malaise alors ?
- Aucunes, promis !
- C'est parfait alors. Vous vous souvenez, lors de notre rencontre, je vous avais parlé d'une machine ?
- Oui, je m'en souviens très bien.
- J'ai les plans avec moi. Dis-je en lui tendant les documents. Le bâtiment dans lequel vous pourrez travaillé à été nettoyé récemment par un de mes collègues.
- C'est super ça !
- Nous essayons de tout mettre en œuvre pour que vous soyez parfaitement bien installé et que votre travail ne soit pas réalisé dans de mauvaises conditions.
Il se mit à sourire et regarda les plans qu'il avait déplié sur son bureau. Je préférai ne pas l'interrompre, il avait l'air concentré, mais c'est lui qui mit fin à ce silence qui commençait à être gênant.
- C'est quoi cette machine au juste ?
- C'est une machine qui appartenait au Père Noël. Nous avons réussi obtenir les plans, mais il nous est impossible de comprendre le charabia de... Tout ça. Répondis-je en grimaçant légèrement.
- Je vois. Et c'était pour ?
- Créer des jouets à une vitesse... Inconsidérable.
- Je comprends. Et bien je vais me pencher là-dessus très rapidement.
- Prenez votre temps.
- Non. Vous m'avez permis de sortir d'une situation que je ne supportais plus. C'est la moindre des choses que je puisse faire.
- C'est une machine qui appartenait au Père Noël. Nous avons réussi obtenir les plans, mais il nous est impossible de comprendre le charabia de... Tout ça. Répondis-je en grimaçant légèrement.
- Je vois. Et c'était pour ?
- Créer des jouets à une vitesse... Inconsidérable.
- Je comprends. Et bien je vais me pencher là-dessus très rapidement.
- Prenez votre temps.
- Non. Vous m'avez permis de sortir d'une situation que je ne supportais plus. C'est la moindre des choses que je puisse faire.
Je me relevai de ma chaise et lui serra la main avant de quitter le bureau pour partir de la maison. Samirella était dans la cuisine et me raccompagna jusqu'à la porte que je franchissais.
Je pouvais désormais rassurer Death sur les pensées de Bisley et son enthousiasme pour la création de la machine.