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Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Le croiseur venait de se poser. Et là, belle surprise. Un super soleil qui faisait plisser les yeux des autres voyageurs, un temps radieux. Bien sûr, moi j'ai jamais c'problème ! C'est ça la classe. On replace ses sun glasses, on sourit et on fait un signe aux passants. Genre les pistolets tu vois. Genre... Hey ! Te biles pas ! La cool attitude vient de débarquer. Restes chic et ça va bien s'passer.
Comme toutes les missions de ce genre, la première chose à faire de se renseigner. C'est pas que le contrat était clair, mais dans la catégorie des instructions et des informations, on a connu mieux en terme d'instructions. Va falloir mener l'enquête. L'agent Adel est dans la place ! Ça tombe bien, j'ai déjà la panoplie. Au vu du bref résumé que j'ai lu sur la brochure, il devrait pas y a avoir une office du tourisme à tous les coins de rues. Pas une auberge, pas même une baraque. Que dalle. Le parfait petit coin de paradis peuplé d'indigènes. Il paraît qu'ils aiment bien les mercenaires en plus, trop facile.
J'ai vu qu'il y avait quelques soldats de la compagnie de vaisseaux là on vient de me déposer. Marchant dans leur discrétion avec mon élégance et mon allure de dure à cuire habituelle. Ils étaient bien armés pour de simples vigiles. Le bon fusil-mitrailleur qui n'était pas là pour la décoration, auquel ils se cramponnaient, un doigt proche de la détente. Vu le mandat que j'avais acceptée, c'était normal de voir une telle protection. Quand même, si des civils voient ça, c'est pas si rassurant. Je pense pas que voir des gugusses lourdement équipés puissent dissuader quoique ce soit. Enfin, c'est pas moi qui fait la loi et qui intimide toute une population avec ses plantons.
Donc, j'arrive vers eux, normal, mon assurance habituelle en quémandant leur attention d'un :

« Bonjour messieurs ! ils restèrent stoïques au premier contact, peut-être en rentrant un peu plus dans le vif ils auront la décence de me répondre. Hey ! Jolies tenues les gars. Le petit pull qui fait bien, les pièces métalliques et le casque type mystérieux et sérieux. On voit que vous êtes pas là pour faire de la décoration. Surtout ces derniers temps. et ils me fixèrent d'un coup, je suis trop forte.
- Qu'est-ce que vous voulez, madame ? sur un ton renfrogné aussi aimable que des réfrigérateurs.
- Oh vous savez, la routine habituelle des aventuriers dans mon genre. On m'dit de faire un truc et je viens le faire ! Je suis pas venue vendre des encyclopédies. Alors les garçons, il paraît que ça se grabuge pas mal dans l'coin. pas de retours. Des sales bestioles viennent enquiquiner un peu tous l'monde. toujours pas de réaction, pas assez subtile ? Des sans-cœurs ?!
- Ça, il y en a toujours.
- C'est certains ! super, je suis tombée sur Romain et Rémi du club des anti-sociales. Cependant, il y aurait selon mes sources un… Groupe de ces machins qui se ballade dans les parages. Dieu sait qu'ils sont facétieux ces p'tits trucs. OU ! Peut-être des plus gros. En fait, c'est pas très net. Doooooonc ! Je me disais peut-être que… Vous les auriez rencontrés ?
- Il paraît.
- Et ils sont où à l'heure actuelle ? oh bordel, j'vais leur coller une tatane si ils continuent à jouer avec mes nerfs. Vous avez des renseignements sur leur apparence ? Leur nombre ? Leur localisation ? Quelque chose ?! gardes ton calme Coco, les fonctionnaires et toi ça a jamais été une grande histoire d'amour, ils ne font que leur travail.
- Un attroupement de sans-cœurs a été aperçu au sud-est de l'île principale. À dix minutes d'ici en suivant la côte. La quantité est variable, plus d'une trentaine. Des utilisateurs de magie pour la plus part.
- Mer-vei-lleux ! Merci ! Continuez… C'que vous faites… Là… À... Surveiller. C'est bien ! »

Je vais avoir besoin d'un bon café après cette déveine. Repartant dans la direction des méfaits en choisissant le plus court, c'était donc les talons dans le sable, que je me dirigeais vers le terriers des méchants. Bon sang ! C'est impossible de se déplacer sur le rivage. J'aurais dû prendre un détour par la forêt. La prochaine, réfléchies avant de sauter dans une mission. Pourtant l'annonce était alléchante ! Un gros paquets de monstres, je tire dans l'tas et le tour est joué. Mais non. Il a fallut que je marche en canard en plein erg. Ça va, c'était pour seulement un laps bref, mais quand même !

Arrivée sur les lieux, rien. Pas un pécore, pas l'ombre d'un ennemi. Bizarre, les pions m'ont assurés que c'était ici. Quand soudain...

« Merde. J'en ai dans mes chaussures. »

Je m'octroyai une pause, le temps d'ôter ces saletés de grains qui te chatouillent la voûte plantaire, et pas de façon
agréable. Les orteils jouant se réfugiant dans le voile sablonneux, doux et chaud. Le bruit de l'océan s'enroulant au loin. Un petit coin sympa. Les bottes sur le côté en attendant que quelque chose se produise, je me dorais pas mal la pilule, je suis blanche comme un linge, ce serait pas un luxe. Ça allait pas être si horrible que ça finalement.

Après quelques minutes, somnolant presque aux caresses tièdes du vent, des bruissements. Je me relevai, prête à accueillir les malfaiteurs, empoignant ma mallette. Et là, une nuée bigarrée, pareil à un banc d'oiseaux migrateurs au plumage panaché, s'extirpèrent des bois. Il n'y en avait qu'une sorte, tous de chétifs magiciens. Leurs yeux dorés caché par un large col, un chapeau pointu. Des manteaux jaunes, rouges, bleus, verts, rayés… Ils étaient… Adorables ! Nombreux, mais trop croquignolets ! J'allais moins les trouver mignon quand ils s'arrêtèrent tous d'un coup pour m'observer. J'en avais déjà rencontrés certains, ils utilisaient la magie, ça c'était une certitude. J'allais me manger un déluge élémentaire pas piqué des hannetons. Et si il y a bien une chose dont je suis sûre, c'est que la magie et moi, ça a jamais été le grand amour. Décidant de n'écouter que moi-même, je les provoquai d'un :

« Alors ça va être comme ça ? Vous allez flotter derrière votre petit cape dans les airs et attendre ? Très bien. »

Écrasant le bouton central de mon sage porte-document, la gatling se déployait dans un vacarme mécanique. Passant de la démarcheuse propre sur elle, à la femme rudement bien équipée, digne d'un cuirassé. Ouvrant littéralement le feu sur le groupe aérien, j'en ai pu en dézinguer plusieurs dans une première trombe de balle. Le cylindre s'arrêta de tourner et de pleuvoir la ruine lorsqu'ils se dispersèrent. Les sales loustics. Ça allait être plus dur de viser alors qu'ils voltigeaient au-dessus de moi, séparés.
Regardant attentivement leurs mouvements, à droite, à gauche, en haut. Ils s'étaient isolés par groupe de couleurs. Les opéras jaunes en arrière avec les requiem verts. Au premier rang, les bonbonniers. Au deuxième rang, les nocturnes rouges, les marches turquoises, les blues émeraudes avec les rhapsodies bleues. Une vraie représentation de couleurs, un véritable orchestre. Qui plus est organisés. Mince, je m'attendais pas à ce qu'ils soient si intelligents.

« Placés tels quels, on dirait que tous les styles de musiques se sont mis d'accord pour jouer ensemble, au lieu de laisser leurs fans se taper sur la trogne pour savoir quel est le meilleur. Sauf que y a pas, objectivement parlant. Puis… Oh ! »

La bloc le plus avancé commença à luire et, étonnée mais alerte que cela ne présageait rien de bon, elle rangea son arme pour commencer à courir avec de grandes enjambées les genoux haut, les petons à l'air. C'était ridicule à voir. Les sans- cœurs les plus pâlichons avaient finis de se concentrer, les autres regardant sans bouger. Ils chargèrent vers elle pareil à des avions survolant le sol, la faisant trébucher la tête la première dans le sable, la frôlant de peu. Expectorant les grains de sa bouche, le visage et les binocles recouverts de cette poussière maritime, puis s'exclama d'un :

« De toute façon, je préfère le rock et le jazz ! »

Arrivés face à la chic baroudeuses, elle swingua sa valise dans le rassemblement lilial des fusées ambulantes. Un coup latéral rapide pour les étourdir, un autre, plus lent, pour les démolir. Trois derniers commençaient à luire de plus belle. Un coup de poing annihilateur pour se débarrasser de l'un d'eux. Les attaques de Coco se suivaient au rythme qu'elle tournait sur elle-même, emportée par le poids de l'attaché-case. Un coup vertical vint achever le second, littéralement écrasé. Elle saisit le dernier survivant de ce rock'n'roll scintillant, le balançant avec force en hurlant, comme pour donner plus d'impact à son lancé. Jeté à travers le ciel et la fanfare ténébreuse, fondant sur les cryomanciens dans un sifflement, pour exploser le peloton entier dans un beau feu d'artifice.
Notions élémentaires baby !
La troupe entière témoins de ce carnage, voyant avec un certains étonnement les prouesses de cette femme, durcirent leur regard, comme pour lui faire comprendre qu'elle allait regrette son geste. Alors que la condottiere enlevait le sable de son joli minois et de ses lunettes avec le pan de son pull, elle se rendit compte qu'elle les avait pas mal énervés. C'était le genre d'esprit qui la bottait pour un combat réussi. Réjouie et gonflée à bloc, la mitrailleuse fît un nouvelle apparition. Tirant une bonne salve sur les utilisateurs de flammes, ils disparurent vivement mais eurent le temps d'évoquer des boules ardentes dans sa direction. Les flammèches se reflétant dans mirettes teintées, la pyrotechnie atterrit autour d'elle en explosant sur la plage et touchant sa main gauche. Râlant davantage de la douloureuse brûlure, elle lâcha le manche de ses canons et pour se précipiter vers le rivage, plongeant la partie toucher dans l'eau de mer. Heureusement qu'elle avait eu le bon réflexe, c'était désagréable, elle avait une petite plaie, or, ses vêtements sont encore intacts.
Se secouant sa manche mouillée, serrant les dents à la vue de ces thaumaturges d'opérette. Voulant reprendre arsenal, un grésillement vint lui exciter les oreilles. Un éclair succinct l'avait effleuré de peu. Sprintant d'emblée vers sa ressource pour répliquer, les mesquines foudres suivaient et barraient son rush. Un vrai parcours d'obstacles, évitant et pivotant, une ultime glissade sur le sable et elle réussie à l'attraper. Seulement, une nouvelle fulguration vint directement s'abattre sur son arme faite de métallique. Électrisée de pied en cap, crissant, bégayant. Un genou à terre, fumeuse et le souffle court, la new-yorkaise releva la tête, ultra-furax.

« Le spectacle est terminé mes loulous ! Je vais vous montrer un numéro qui déchire ! »

S'emparant de la machine gun, l'impétueuse serra la gâchette et arrosa le nuage de détracteurs. Ils s'évaporaient les uns après les autres dans l'avalanche de plombs. Ils n'étaient pas très résistants mais leur sorcellerie c'était tout autre chose. Se dissolvant dans des vapeurs violacées, le show était terminé pour eux. Cessant la razzia, seuls survivants de l'arrosage exterminateur, l'essaim de thrènes verdâtre. Ne pouvant retenir sa moquerie, Coco pouffa d'un coup, riant aux éclats.

« Hahahaha ! Vous allez me faire quoi ? Me guérir à mort ?! Hahahahaha ! S'il vous plaît infirmières, je voudrais un bonbon après la piqûre. Hahahahaha ! »

Ne paraissant pas sensible à l'humour, vexés et mécontents, ils se mirent subitement à virevolter en cercle. Un comportement très étrange chez ces créatures. Ce sont normalement des adversaires lents et poltrons, ça ne leur ressemble pas. Tournant en ronds de plus en plus vélocement. Ils s'éclipsèrent instantanément. Curieux, vraiment très curieux. Soufflant enfin, cette joute musicale était terminée.

« Fiou ! Ils m'ont donnés du fil à retordre ceux-là. Je ne pensais pas qu'ils pouvaient être aussi nombreux, et surtout aussi malins. Je ferais mieux de… Quoi ?! Mais ça ne s'arrêtera donc jamais ?! »

Interrompue dans mon élan, un nouveau challenger fît son apparition. Il était comme les autres, toutefois énormément plus gros. Il devait faire une cinquantaine de ses congénères, au moins ! Ça doit être le chef de la bande. Je n'en avais jamais vue de semblables, paletot à rayures vertes et blanches, coiffe noire. Okay. Celui-là va avoir le droit à de se faire canarder sec. Les canons tournent toujours aussi intensément, je lui balance des salves à répétition. Pourtant il a rien ! Non, je suis sûr qu'il y a quelque chose. Il bouge ! Il vient même pas vers moi ? Qu'est-ce que c'est que ce micmac ? Non, il… Il va pas de plus en plus vite là ? Je rêve pas, ce truc accélère ! Manges-toi ça et tu vas moins faire le malin ! Toujours rien ! Rah ! Qu'est-ce que c'est ce monstre ? Il n'attaque pas, c'est un puits de vitalité et passe son temps à planer à la hâte. On dirait un bureaucrate sous coke.

« Tu comptes continuer à faire ça tous le temps ? Non parce que, j'peux m'en aller au pire. Tu feras pas d'mal à quelqu'un, hein ? Je m'en vais là. Oh ! »

Non, je ne peux décemment pas laisser un sans- cœur danser la rumba où faire le guignol. Allez Coco ! T'es une professionnelle, tu dois faire ce qu'on attends de toi, à savoir dézinguer ce truc. Je veux pas non plus gâcher le peu de munitions qu'il me reste, ça coûte cher ces petites choses mine de rien. Je crois que j'ai une idée.
Quoique perplexe, rangeant son équipement pour retrouver son sac à main, elle se dirigea vers l'hurluberlu. Faisant tournoyer la sangle du fourre-tout, attendant que le tête-en-l'air passe au-dessus de sa tête pour l'agripper et stopper sa course. Jetant le sac autour du coup du coup du monstre, raté. Un autre essai, pile là où il faut. Le hic, c'est qu'il continuait quand même sa course toujours au même rythme effréné. N'ayant même pas le temps de s'en rendre compte, son sac venait de partir avec le preste étourneau. Scandalisée, elle couru après son voleur proclamé.

« Heeeeey ! Rends-moi ma malleeeeeette ! n'ayant pas l'endurance ou vitesse nécessaire pour le rattraper, elle se résigna très vite. Tant pis, j'attendrais que tu repasses pour le reprendre. »

Et c'est ce qu'elle fît. Malgré cela, elle n'arriva pas à extraire sa sacoche de l'endroit où il était coincé et cette fois-ci, c'est elle qui partit dans le manège du cavaleur. Secouant ses guibolles dans le vide en grimaçant, la panique.

« Oh ! Tu me lâche pas hein ! arrivant à se hisser périlleusement avec l'attache du cartable, elle arriva au niveau du crâne de son brigand aphasique un peu affolée. Me lâches pas ! Me lâches pas Jean-Eudes ! Me lâche pas ! alors que sa tête commençait à avoir le tournis à force de suivre le même parcours, elle avait quand même une très belle vue de là haut. Bon ! Ça suffit maintenant ! Tu vas me rendre mon sac ! Sacripant de mes deux ! la détenue au sommet de la caboche de son incompréhensible kidnapper reprit son sang-froid pour le tabasser de ses poings. Rends-moi ma mallette ! Coureuse de remparts ! Gourgandine ! le malfrat allant toujours plus vite au fil des coups. Espèce de saleté ! Rends-moi ma mallette Jean-Eudes je te dis ! On vol pas les affaires des filles ! atteignant une vitesse de pointe, son béret faillit être emporté par le souffle mais elle le rattrapa de justesse et en profita pour le frapper avec, elle n'abandonnait pas, attachée à son larron comme une moule à son rocher. Rends-moi ma mallette, nom de non ! Fils de… ! »

Avant de proférer une énième insulte, le gangster blasphémé de part et d'autres et injurié par tous les noms d'oiseaux possibles, calancha, pareil à ses frères dans la nébulosité qui les caractérise. La mercenaire décolla, attrapa son bien en le serrant contre son elle, avant d'atterrir tristement sur les fesses, ricochant plusieurs fois sur le terrain. Se sentant mal pour un instant, la mine déconfite. Attrapant ses bottes au passage pour les porter à la main, le trajet inverse. Son ticket de retour sur le quai, les soldats de tout à l'heure la revoyait. Toute décoiffée, les lunettes de soleil et son couvre-chef de travers, faisant des petits pas en rentrant dans la navette en affichant une expression décontenancée et penaude. Ils haussèrent les épaules. Elle était traumatisée.
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Alors alors…..que dire pour commencer à part : Désolés pour ce p’tit retard ! Mea Culpa et toutes mes doléances de profondes excuses…..


Bien, maintenant que la formule de politesse est lancée je peux m’attaquer à cette p’tite mission toute jolie jolie Very Happy

Alors j’adore ton style d’écriture….on a une sorte de mélange entre le coté brute de décoffrage et comique propre à Coco pour présenter l’action sous la forme du narrateur intérieur, et le côté un peu plus poétique et fournie vue par un narrateur extérieur. Chose amusante afin de mettre en avant le contraste entre qui narre l’histoire. Cependant, comme l’a fait remarquer Primus dans ta fiche de présentation, il arrive un p’tit moment parfois où on doit te relire pour s’assurer de qui parle. En sois ce n’est pas énorme…j’ai fini par m’habituer aux changements assez rapidement et de façon instinctive….mais n’empéche….ça choque toujours….il serait intéressant pour les non habitué de mettre en place un p’tit système de différenciation de police afin de différencier les deux styles (genre le narrateur extérieur en italique ou un truc dans le style….).

D’ailleurs, ça perturbe également le fait de coloré l’ensemble des conversations de tes personnages (j’entends par là les paroles + le récit). On doit s’obliger une p’tite pause pour revenir en arrière afin de remettre les choses dans l’ordre quand on lit.

Pour finir sur la mise en page de ton aventure….il y avait quelques moments où tu aurais pu faire preuve d’un peu d’espacement entre les paragraphes pour donner un air un peu plus libéré et délivré (avoue tu viens de chanter ^^) à tout cela.


Pour ce qui est de la mission….et ben comme toutes celle du même genre…tu nous a quand même offert un jolie petit spectacle Very Happy. C’est vrai qu’il n’y a pas beaucoup de détails à ce sujet, mais c’est en même temps fait exprès pour ! et toi tu nous a vendu un beau p’tit machin avec les rapsodie et le tintamarre multicolore (d’ailleurs jolie métaphore sur la musique et les couleurs ^^). La scène de combat était amusante à lire, moi j’ai bien rigolé en tout cas Smile. Y’avais des punchlines sympathiques, des moments fendards…..Mais y’a aussi eu des situations un peu bizarre pour ma p’tite caboche…Par exemple…le moment où tu attend que le Sans-cœur géant ne revienne pour que tu récupère ta sacoche….Alors oui tu avais souligné au début que les bestioles de Ténèbres allaient et venaient quasiment toujours dans ce coin dernièrement (la raison de ta présence en ce lieux précis et pas ailleurs)…..N’empéche….ça faisait un peu…je sais pas….baclé à ce moment-là…. Dans le sens que tu saute le moment où la créature revient, de la façon dont tu à essayer de t’occuper d’elle (même si on finit par deviner que ça se passe de la même façon que précédemment…ou alors j’ai rien comprit comme d’habitude XD)

J’ai également remarqué quelques petites répétitions par-ci par-là…. « Jetant le sac autour du coup du coup du monstre »…..C’pas folichon hein….on peut même dire que t’as pas de bol que je l’ai remarqué Very Happy (D’habitude j’suis une belle patate pour ça).


Quand à la fin….ça à tous des plus grande scénes d’action Badass dans les plus Badass des film avec le héro qui s’en va s’en regarder l’explosion dans son dos….sauf que là tu te vautre comme une banane et le sans-cœur il s’éclate la poire……c’est assez rigolo à imaginer ^^ (tient j’ai faim maintenant !)


Allez….pour ton retour ce début est franchement prometteur ! j’ai même découvert des nouveaux mots graces à toi (j’me souviens plus lesquels par contre ^^). Mais c’est cool ! je sens qu’on va bien s’amuser avec toi ;) continue de nous vendre du rêve mon grand fou et on te paiera en Kawa Very Happy

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