Bienvenue à l'Éclaireur
J'arrive enfin devant les bureaux du journal. Je suis très heureuse de voir ce rêve se réaliser. Et il est important de faire bonne impression. Je sors rapidement de mon sac un petit miroir pour voir mon reflet et éventuellement remettre quelques mèches de cheveux qui auraient décidé de faire un peu n'importe quoi durant le voyage... Mais nul besoin, mes cheveux sont restés en place. Je souris rapidement pour voir mes dents : Pas d'aliments coincés. Parfait.
Je m'avance un peu et vois deux personnes devant qui montent la garde. Je sors de mon sac le mail que j'avais imprimé avec ma convocation pour mon rendez-vous et m'approche un peu plus d'eux.
Ils paraissent plus âgés que moi, la trentaine passée. Mais ont l'air très sérieux.
L'homme regarde ma convocation et me contente de rester silencieuse, mais souriante. L'autre homme, lui, jette également un œil sur le papier avant de plonger son regard dans le miens.
Je récupère ma convocation et entre dans le bâtiment. C'est tout simple. Mais ce n'est qu'une infime partie de ce lieu. Je suis comme une gamine devant tout cela. Je suis vraiment plongée et perdue dans mes pensées à essayer de réaliser ce qui m'arrive. Ce n'est que lorsque la réceptionniste derrière son bureau qui fait un raclement de gorge -très propre- qui me ramène à la réalité, je m'avance vers elle.
Je lui tend à elle aussi le document. Elle enfile une petite paire de lunettes sur le bout de son nez. Et pendant qu'elle lit le document, inconsciemment je me met à la dévisager. Faudrait-il que je sois habillée et coiffée de la même manière ? Ses cheveux blonds sont ramassés dans un magnifique chignon banane. Il n'y a aucune mèche rebelle. Elle porte un petit tailleur noir avec un chemisier jaune très clair. À son col. Un nœud lavallière noir également et en satin. Il est noué sur le côté, de manière à ce que chaque extrémité soit de part et d'autre de son épaule droite.
Lorsqu'elle relève enfin la tête, j'arrête de la fixer. Elle me rend ma convocation tout en regardant son ordinateur. Je l'entends taper sur le clavier. Puis se met à sourire tout en se levant.
Je reste muette et me contente de lui obéir. Lorsqu'elle passe devant moi, je sens un délicat parfum. Un subtile mélange de fruit très doux et sucré mais légèrement rehaussé pour montrer que c'est un parfum d'adulte.
Je la suis dans les couloirs tout en regardant partout. Certaines portes sont fermées. Elles mènent sûrement à différent bureau. Et je passe tellement rapidement devant que je n'ai pas le temps de lire les indications qui sont dessus.
Elle s'arrête et frappe à une porte. Au bout de quelques secondes quelqu'un lui donne la permission d'entrer c'est ce que nous faisons. Elle explique brièvement la situation à un homme assis derrière son bureau. Il est lui aussi beaucoup plus âgé que moi -et la réceptionniste-. Ses cheveux sont gominés et noir. Quelques ridules appairassent au coin de ses yeux et à la commissure de ses lèvres qui sont légèrement gercées.
La jeune femme s'en va et me laisse seule avec l'homme qui me fait signe de m'assoir.
Je reste sans voix, mais légèrement triste. Il s'attendait à quoi ? Un petite boulotte brune ? Une fille tatouée et percée de partout avec des une tignasse arc-en-ciel ? Est ce que je le déçois ?
Je souris de nouveau. Bon, est ce que c'est par politesse qu'il a dit ça ? Peut-être, peut-être pas. Mais je ne parle toujours pas, je le laisse prendre la parole.
Il se lève de son bureau et me fait signe de le suivre. Nous empruntons un long couloir. Nous partons à l'opposé de l'accueil de la bâtisse pour arriver dans une sorte de petite cour. C'est en extérieur et malgré la fraicheur, c'est tout de même très agréable d'être ici.
Il y a plusieurs accessoires pour apprendre à se battre. Il y a quelques cibles avec différentes armes, des arcs, des revolvers. Et même des mannequins pour en découdre mais cette fois à main nue. Il me fait signe de m'approcher d'un des stands de tir tout en me montrant un arc et une flèche. Il m'explique comment bien insérer le projectile dans l'arme et ensuite le mouvement à faire tout en visant pour toucher au mieux la cible qui se trouve à une dizaine à une dizaine de mètres devant nous. Il ne rate pas son tire. Il est peut-être derrière un bureau mais cet homme saurait se défendre en cas d'attaque.
Je récupère l'arme et une autre flèche qu'il me tend et réitère les mêmes mouvements que lui. Lorsque je bande mon arc je vais jusqu'à toucher ma joue avec les phalanges de mon index et mon majeur et je relâche la pression. Je vois la flèche partir à grande vitesse mais elle touche à peine la cible. Si c'était un jeu dans une fête, je n'aurai sûrement rien gagné et j'aurai perdu une chance d'obtenir un lot.
Je refais les mêmes manipulations, mais cette fois en écoutant ses conseils. Au moment de décocher ma flèche, je fais quelque chose de totalement stupide, je ferme les yeux et ne vois absolument pas où elle part. Elle est aller s'écraser sur le sol un peu avant de toucher la cible.
Je me contente de hocher la tête et recommence une nouvelle fois. Là encore je prends en compte ses recommandations. Il vient même derrière moi, il pose ses mains sur les miennes et m'indique comment tenir correctement mon arme, il relève doucement ma tête et m'indique quand relâcher. Cette fois, je suis fière de moi, la flèche a touché la cible en plein cœur, mais c'est uniquement par ce qu'il m'a aidé. Il me conseille de continuer à m'entrainer, mais seule cette fois.
Je suis plutôt à l'aise avec cette arme, et je réussis à mettre quelques flèches par moi-même dans la cible. Même si certaines retombent par terre, je suis plutôt fière de moi. Lorsque le stock est épuisé je retourner chercher les flèches pour les ramasser avant de partir vers un autre lieu de « formation ». Et cette fois, c'est un peu différent. Il n'y a pas de cible à proprement parlé mais plutôt comme une grosse caisse avec un couvercle transparent. À l'intérieur plusieurs balles écrasées au sol ou bien pour les plus chanceux, elles ont perforé le panneau à viser.
Là encore, il m'explique comment faire, en n'oubliant pas de mettre un casque sur mes oreilles, car la résonance des projectiles dans la boîte peut être très désagréable. Il me montre pas à pas comment faire et c'est à mon tour. Pour mon premier essai, il vient à mes côtés pour m'aider à maintenir l'arme entre mes mains et à tirer correctement. La balle avait touché la cible.
Lorsque je me retrouve seule avec mon arme, quand j'appuie sur la gâchette, l'arrière du canon vient pincer la peau de ma main entre mon pouce et mon index, je relâche immédiatement l'arme tout en portant à mes lèvres ma main légèrement blessée.
Je récupère le pauvre revolver que je venais de jeter sans aucun soucis et hésite un instant avant de recommencer. Mes parents me diraient sûrement « C'est le métier qui rentre ! ». Je décide de faire abstraction de la douleur et recommence. La balle ne touche pas la cible mais je ne perds pas espoirs et vide mon chargeur jusqu'à voir les deux dernières balles atteindre leur objectif.
Il me montre ensuite comment remettre des balles dans le chargeur et nous quittons ce lieu d'entraînement pour retourner dans le bureau où nous étions plus tôt.
Il se lève de sa chaise et me tend sa main que je tends. Je repars toutes souriante et encore plus joyeuse qu'à mon arrivée.
Je m'avance un peu et vois deux personnes devant qui montent la garde. Je sors de mon sac le mail que j'avais imprimé avec ma convocation pour mon rendez-vous et m'approche un peu plus d'eux.
Ils paraissent plus âgés que moi, la trentaine passée. Mais ont l'air très sérieux.
- Bonjour. Que pouvons-nous faire pour vous ?
- J'ai rendez-vous. Répondis-je en tendant le document.
- J'ai rendez-vous. Répondis-je en tendant le document.
L'homme regarde ma convocation et me contente de rester silencieuse, mais souriante. L'autre homme, lui, jette également un œil sur le papier avant de plonger son regard dans le miens.
- Dans l'entrée, vous aurez une réceptionniste. Allez la voir. Me dis le deuxième.
- Merci beaucoup.
- Merci beaucoup.
Je récupère ma convocation et entre dans le bâtiment. C'est tout simple. Mais ce n'est qu'une infime partie de ce lieu. Je suis comme une gamine devant tout cela. Je suis vraiment plongée et perdue dans mes pensées à essayer de réaliser ce qui m'arrive. Ce n'est que lorsque la réceptionniste derrière son bureau qui fait un raclement de gorge -très propre- qui me ramène à la réalité, je m'avance vers elle.
- Bienvenue à L'Éclaireur. Que puis-je pour vous ?
- Bonjour. J'ai rendez-vous. En fait c'est... Par rapport à... Un stage.
- Bonjour. J'ai rendez-vous. En fait c'est... Par rapport à... Un stage.
Je lui tend à elle aussi le document. Elle enfile une petite paire de lunettes sur le bout de son nez. Et pendant qu'elle lit le document, inconsciemment je me met à la dévisager. Faudrait-il que je sois habillée et coiffée de la même manière ? Ses cheveux blonds sont ramassés dans un magnifique chignon banane. Il n'y a aucune mèche rebelle. Elle porte un petit tailleur noir avec un chemisier jaune très clair. À son col. Un nœud lavallière noir également et en satin. Il est noué sur le côté, de manière à ce que chaque extrémité soit de part et d'autre de son épaule droite.
Lorsqu'elle relève enfin la tête, j'arrête de la fixer. Elle me rend ma convocation tout en regardant son ordinateur. Je l'entends taper sur le clavier. Puis se met à sourire tout en se levant.
- Veuillez me suivre. S'il vous plait.
Je reste muette et me contente de lui obéir. Lorsqu'elle passe devant moi, je sens un délicat parfum. Un subtile mélange de fruit très doux et sucré mais légèrement rehaussé pour montrer que c'est un parfum d'adulte.
Je la suis dans les couloirs tout en regardant partout. Certaines portes sont fermées. Elles mènent sûrement à différent bureau. Et je passe tellement rapidement devant que je n'ai pas le temps de lire les indications qui sont dessus.
Elle s'arrête et frappe à une porte. Au bout de quelques secondes quelqu'un lui donne la permission d'entrer c'est ce que nous faisons. Elle explique brièvement la situation à un homme assis derrière son bureau. Il est lui aussi beaucoup plus âgé que moi -et la réceptionniste-. Ses cheveux sont gominés et noir. Quelques ridules appairassent au coin de ses yeux et à la commissure de ses lèvres qui sont légèrement gercées.
La jeune femme s'en va et me laisse seule avec l'homme qui me fait signe de m'assoir.
- Vous êtes donc mademoiselle Targaryen.
- Oui. C'est moi.
- Je vais être honnête. Je ne m'attendais pas une seule seconde à voir une personne avec votre physique.
- Oui. C'est moi.
- Je vais être honnête. Je ne m'attendais pas une seule seconde à voir une personne avec votre physique.
Je reste sans voix, mais légèrement triste. Il s'attendait à quoi ? Un petite boulotte brune ? Une fille tatouée et percée de partout avec des une tignasse arc-en-ciel ? Est ce que je le déçois ?
- Mais rassurez-vous. Vous êtes tout à fait charmante. Et inutile de vous préciser que la beauté est un point fort. Surtout dans le journalisme.
Je souris de nouveau. Bon, est ce que c'est par politesse qu'il a dit ça ? Peut-être, peut-être pas. Mais je ne parle toujours pas, je le laisse prendre la parole.
- Et puis, même si nous ne sommes pas le consulat, nous somme tout de même sur leur terre et ils vouent un culte à toute forme d'art, la beauté en fait partie. Alors ce serait un peu dommage de ne pas avoir quelqu'un d'agréable à regarder dans nos locaux. N'êtes-vous pas d'accord ?
- C'est juste.
- Mais attention. Ça ne veut pas dire que l'Éclaireur ne laisse pas sa chance à une personne avec un physique différent du votre.
- Je n'en doute pas une seule seconde !
- Alors, j'ai bien vu votre candidature. Vous avez dis avoir un diplôme. Mais dans quel domaine ?
- La photographie.
- Vous aimeriez devenir photographe pour l'Éclaireur ?
- En fait non. J'aimerai être une caméraman. Mais ce n'est pas vraiment dans ce style. J'aimerai plutôt faire découvrir les différents monde qui existent aux gens par le biais d'une caméra.
- Je vois. Mas vous savez, dans certains de ces endroits il y a des sans-cœur, parfois même des créatures plus monstrueuses. Comme par exemple à Oerba, c'est un lieu assez dangereux. Savez-vous vous battre ou vous défendre ?
- À Costa Del Sol, ce n'est pas vraiment le genre de choses que nous apprenons à faire. C'est plutôt calme là-bas.
- Effectivement ! Et bien avant de vous envoyer sur le terrain. Nous allons d'abord vous faire suivre une petite formation de base sur le combat. apprendre à manier différentes armes, ou même à main nue. Ce serait dommage de perdre une recrue.
- C'est exact.
- C'est juste.
- Mais attention. Ça ne veut pas dire que l'Éclaireur ne laisse pas sa chance à une personne avec un physique différent du votre.
- Je n'en doute pas une seule seconde !
- Alors, j'ai bien vu votre candidature. Vous avez dis avoir un diplôme. Mais dans quel domaine ?
- La photographie.
- Vous aimeriez devenir photographe pour l'Éclaireur ?
- En fait non. J'aimerai être une caméraman. Mais ce n'est pas vraiment dans ce style. J'aimerai plutôt faire découvrir les différents monde qui existent aux gens par le biais d'une caméra.
- Je vois. Mas vous savez, dans certains de ces endroits il y a des sans-cœur, parfois même des créatures plus monstrueuses. Comme par exemple à Oerba, c'est un lieu assez dangereux. Savez-vous vous battre ou vous défendre ?
- À Costa Del Sol, ce n'est pas vraiment le genre de choses que nous apprenons à faire. C'est plutôt calme là-bas.
- Effectivement ! Et bien avant de vous envoyer sur le terrain. Nous allons d'abord vous faire suivre une petite formation de base sur le combat. apprendre à manier différentes armes, ou même à main nue. Ce serait dommage de perdre une recrue.
- C'est exact.
Il se lève de son bureau et me fait signe de le suivre. Nous empruntons un long couloir. Nous partons à l'opposé de l'accueil de la bâtisse pour arriver dans une sorte de petite cour. C'est en extérieur et malgré la fraicheur, c'est tout de même très agréable d'être ici.
Il y a plusieurs accessoires pour apprendre à se battre. Il y a quelques cibles avec différentes armes, des arcs, des revolvers. Et même des mannequins pour en découdre mais cette fois à main nue. Il me fait signe de m'approcher d'un des stands de tir tout en me montrant un arc et une flèche. Il m'explique comment bien insérer le projectile dans l'arme et ensuite le mouvement à faire tout en visant pour toucher au mieux la cible qui se trouve à une dizaine à une dizaine de mètres devant nous. Il ne rate pas son tire. Il est peut-être derrière un bureau mais cet homme saurait se défendre en cas d'attaque.
Je récupère l'arme et une autre flèche qu'il me tend et réitère les mêmes mouvements que lui. Lorsque je bande mon arc je vais jusqu'à toucher ma joue avec les phalanges de mon index et mon majeur et je relâche la pression. Je vois la flèche partir à grande vitesse mais elle touche à peine la cible. Si c'était un jeu dans une fête, je n'aurai sûrement rien gagné et j'aurai perdu une chance d'obtenir un lot.
- Prends ton temps. Ce n'est pas une course de vitesse. Inspires profondément et expire. Tu es là pour t'entrainer, tu as tout ton temps, tu n'es pas en danger pour l'instant.
- Oui.
- Oui.
Je refais les mêmes manipulations, mais cette fois en écoutant ses conseils. Au moment de décocher ma flèche, je fais quelque chose de totalement stupide, je ferme les yeux et ne vois absolument pas où elle part. Elle est aller s'écraser sur le sol un peu avant de toucher la cible.
- Garde les yeux bien ouverts. Suis la flèche du regard.
Je me contente de hocher la tête et recommence une nouvelle fois. Là encore je prends en compte ses recommandations. Il vient même derrière moi, il pose ses mains sur les miennes et m'indique comment tenir correctement mon arme, il relève doucement ma tête et m'indique quand relâcher. Cette fois, je suis fière de moi, la flèche a touché la cible en plein cœur, mais c'est uniquement par ce qu'il m'a aidé. Il me conseille de continuer à m'entrainer, mais seule cette fois.
Je suis plutôt à l'aise avec cette arme, et je réussis à mettre quelques flèches par moi-même dans la cible. Même si certaines retombent par terre, je suis plutôt fière de moi. Lorsque le stock est épuisé je retourner chercher les flèches pour les ramasser avant de partir vers un autre lieu de « formation ». Et cette fois, c'est un peu différent. Il n'y a pas de cible à proprement parlé mais plutôt comme une grosse caisse avec un couvercle transparent. À l'intérieur plusieurs balles écrasées au sol ou bien pour les plus chanceux, elles ont perforé le panneau à viser.
Là encore, il m'explique comment faire, en n'oubliant pas de mettre un casque sur mes oreilles, car la résonance des projectiles dans la boîte peut être très désagréable. Il me montre pas à pas comment faire et c'est à mon tour. Pour mon premier essai, il vient à mes côtés pour m'aider à maintenir l'arme entre mes mains et à tirer correctement. La balle avait touché la cible.
Lorsque je me retrouve seule avec mon arme, quand j'appuie sur la gâchette, l'arrière du canon vient pincer la peau de ma main entre mon pouce et mon index, je relâche immédiatement l'arme tout en portant à mes lèvres ma main légèrement blessée.
- Excuses-moi, j'ai oublié de te prévenir. Ça peut arriver, c'est parce que tu n'as pas tenu correctement ton arme. Il faut faire très attention.
- Compris.
- Vas-y encore.
- Compris.
- Vas-y encore.
Je récupère le pauvre revolver que je venais de jeter sans aucun soucis et hésite un instant avant de recommencer. Mes parents me diraient sûrement « C'est le métier qui rentre ! ». Je décide de faire abstraction de la douleur et recommence. La balle ne touche pas la cible mais je ne perds pas espoirs et vide mon chargeur jusqu'à voir les deux dernières balles atteindre leur objectif.
Il me montre ensuite comment remettre des balles dans le chargeur et nous quittons ce lieu d'entraînement pour retourner dans le bureau où nous étions plus tôt.
- Vous avez appris les bases avec deux armes. Mais si vous le souhaitez, vous pourrez revenir vous entrainer avant de partir dans un monde.
- Merci beaucoup... Mais ça veut dire que ?
- Oui, vous êtes officiellement en stage ! Mais pour les premiers endroits que vos visiterez, vous ne serez pas seule. Ne vous inquiétez pas.
- Merci beaucoup... Mais ça veut dire que ?
- Oui, vous êtes officiellement en stage ! Mais pour les premiers endroits que vos visiterez, vous ne serez pas seule. Ne vous inquiétez pas.
Il se lève de sa chaise et me tend sa main que je tends. Je repars toutes souriante et encore plus joyeuse qu'à mon arrivée.