Juge, Juré et Bourreau Szp8Juge, Juré et Bourreau 4kdkJuge, Juré et Bourreau 4kdk
Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

-45%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable LG Gram 17″ Intel Evo Core i7 32 Go /1 To
1099.99 € 1999.99 €
Voir le deal

more_horiz

La température à la Cité du Crépuscule ne fait que baisser depuis le dernier bulletin météo de la blondasse de l’Éclaireur, le sol du monde était recouvert d’une fine couche de neige d’un blanc nacré. Pour témoigner de l’activité du groupe, il n’y avait les traces de pas faisant le trajet entre la grille et la grande porte du manoir. Et pendant ce temps-là ? J’étais dans mon bureau, assis sur un des fauteuils de cuir à contempler au travers de la fenêtre la neige tombée. Avec ce temps, j’avais cette désagréable impression que nous n’avancions pas, que plus personne ne se présentait chez moi pour faire progresser notre groupuscule. Aujourd’hui même, seul un homme avait passer le seuil de ma porte afin d’amener des buches pour le feu de ma cheminée.

La morosité de la neige et le froid mordant de l’hiver, il n’y avait rien de pire pour le moral des troupes. Il allait falloir frapper un grand coup, sortir la Coalition Noire de sa torpeur.

Et comme un signal d’alarme, le crochet de la serrure de ma porte s’enclencha et apparu la jeune Abigail dans l’encadrement de cette dernière. Elle s’avança avec un rapport en main, les actions qu’elle avait entreprises avec l’aide de Roxas. Malheureusement pour elle, elle était rentrée dans la confidence de la présence du traître de la Lumière chez nous en partant avec lui en mission. Espérant qu’elle soit capable de garder sa bouche close sur ce genre de détail. Dans le cas contraire ? Je ne donne pas chère de son joli minois à l’instant où le héraut l’apprendra. Même si j’ignore encore tout de ses capacités, il ne devrait pas avoir trop de problèmes pour descendre la jeune femme.

L’idée de cette perspective ne m’enchantait pas. Avec elle, nous avions un assassin à la Coalition Noire, un de plus. Cependant, nous avions surtout une personne assez ambitieuse pour récupérer mon rôle d’Intendant à la Garde Noire. Un os que j’ai moi-même ronger avant d’être à la tête du groupe, peut-être que cela lui suffira. Il allait falloir que je la garde à l’oeil pour ma propre future. Elle s’avança vers moi, me donna le rapport avant de parler de cette mission que je lui avais promise, son petit test afin de déterminer si elle était digne du rôle. Sans dire un mot, j’attrapai le rapport que je lançais ensuite sur la table basse et invitais Abigail à s’asseoir en face de moi.

Les jambes tendues, j’attendais qu’elle s’assoie et l’observât durant ce court trajet. Tout bien réfléchi, je n’avais jamais pris le temps d’observer cette femme. Trop occupé par les résultats qu’elle ramenait à notre groupe, nous avions pourtant à faire à un brin de fille dans nos rangs. Posant mes mains sur les bras du fauteuil, j’initiais la conversation d’une voix neutre.

- Tu as entièrement raison, Abigail, il est temps que je voie par moi-même de quoi t’es capable sur le terrain.
Je tournais le regard en direction de mon bureau en chêne, une pile de rapport visible sur le bois qui commençait dangereusement à s’accumuler. Avant de reprendre la parole, je posais mes coudes sur mes genoux pour m’approcher de ma vis-à-vis.

- Ne va pas croire que je ne te fasse pas confiance, seulement, j’ai l’intime conviction que les actes l’emportent sur les mots. Et j’ai justement envie de voir ce dont tu es capable, en tant qu’Abigail Underwood et non comme Intendante de la Garde Noire.
Immobile un instant, je finis par lâcher un sourire à la jeune dame devant moi avant de me relever. La laissant seul un instant, je me dirigeais vers mon bureau et attrapai mes armes que j’attachais à la ceinture. Contournant le meuble, j’empoignais ensuite mon manteau de fourrure noire que j’enfilais en toute hâte et revins finalement derrière mon siège pour juger une fois de plus la coalisée de toute ma hauteur.

- La dernière épreuve sera simple, nous partons chasser ensemble dans les égouts de la ville. Enfin, je serais derrière toi afin de juger tes actions, et voir si tu mérites véritablement le grade que tu cherches à atteindre. L’objectif ? Trouver et tuer les rebelles se cachant dans les canalisations, et peut-être, récolter certaines informations… Tu es prête ?


more_horiz

Comme ça, tu repars à la chasse aux rebelles. Cela ne te dérange aucunement, après tout, si cela te permet d’enfin t’élever vis-à-vis des autres membres de votre assemblée d’être ténébreux, tu casserais du révolutionnaire tous les jours. Mais le plus intéressant c’est que Death veut te voir en action, tu vas lui en donner pour son argent. Tu te lèves de ton siège et enfiles ta capuche afin d’affronter la froideur et la neige du dehors.

-Toujours prête pour mettre fin à cette mascarade, argues-tu, sure de toi. La Coalition Noire et la Garde Noire ont assez souffert des frasques de Heyner et de sa vaine rébellion. Je vais te prouver que mon talent est réel.

L’entrée du Manoir a un côté séduisant enseveli sous toute cette neige, te laissant une agréable sensation de sérénité. Après quelques instants de marche en compagnie de ton boss, tu finis par trouver la première bouche d’égout du circuit du tram. Tu l’as délogé de son socle et jettes un coup d’œil en direction du faucheur. Tu remarques un certain charme chez ton patron, l’alliance entre ses traits dure et ses longs cheveux mettant en avant ses yeux ambre lui confèrent un certain charisme. Sa présence devrait t’emplir de stress, mais  il te faut garder ton sang-froid. Tu souffles donc et fais un signe de tête envers ton compagnon et sautes à l’intérieur des égouts rapidement rejoints par Death.

C’est la première fois que tu visites ses lieux, mais les différents documents du bureau de l’intendance comptaient une carte des canalisations. Le doux ronronnement que tu entends au loin t’indique que le collecteur B13 n’est pas loin, tu visualises correctement où tu te trouves dans ce dédale. Tu te concentres légèrement afin de sentir s’il y a d’autres personnes à moins de vingt mètres. Ça entame un peu tes réserves magiques, mais on ne peut passer à côté de l’avantage tactique de la surprise que cela t’offre. Enfin, maintenant tu es sûr de ne croiser personne pour l’instant.

Vous avancez prudemment, enfin toi tu fais preuve de prudence et Death s’accorde à ce que tu fais, sur plusieurs mètres avant de trouver un premier croisement à choix triple d’entré. Tu réfléchis rapidement à ta position et décides de prendre celle de gauche, car elle mène plus loin à une salle plus grande. L’odeur des égouts commence tout doucement à agresser ton sens olfactif. Comment peuvent-ils rester ici pendant des jours ? Enfin, cet endroit est bien la résidence de pourriture telle qu’eux. Le passage continue sur au moins une centaine de mètres, mais à sa moitié on peut bifurquer vers une salle de déversement des déchets. À moins de dix mètres de son entrée, tu te fais plus discrète, car ton instinct ne te trompe jamais et il te dit que des rebelles sont à l’intérieur, et demandes à ton boss de minimiser le bruit de ses pas. L’écho de plusieurs voix vient te titiller les oreilles. Il y a bien des personnes dans cette pièce. Une fois à hauteur de l’encadrement de l’entrée, tu te plaques contre le mur. Une brève concentration t’indique que quatre personnes sont en faction dedans. Tu parviens à voir que deux d’entre eux jouent aux cartes et deux autres restent vigilants près d’une porte sur le côté droit de la pièce.

Tu indiques d’un geste discret le nombre d’ennemis à Death et lui indiques de rester sur ce côté de l’entrée. Toi, tu t’appuies sur tes jambes, franchis la rivière d’eaux croupies qui te sépare de l’autre rive et atterris en silence grâce à ton agilité.


more_horiz

Pas de soucis à ce faire là-dessus, elle était prête à briller devant moi. Il y avait quelque chose de fascinant dans ce genre de chose, il suffisait de promettre richesse et pouvoir pour que les gens vous suive. À quelques exceptions prêtes, Vesper n’avait nullement besoin de cela pour ce genre à mon putsch. Il avait simplement fallu lui promettre la paix et la sécurité, ainsi que celle du messager du Consulat. Dans ce monde, tout le monde possède une faiblesse, il suffit de la trouver et de l’exploiter pour qu’une personne parte dans le sens que nous désirons.

La faiblesse de Vesper était l’amour, celle de Surkesh une envie incommensurable de reconnaissance, la prévisibilité de Red la rendait faible et finalement… Abigail ? Rien n’était sûr à l’heure actuelle, cependant, je pouvais miser gros sur son ambition. Elle vise les sommets, et ça pouvait lui causer du tort à long terme. Surtout si elle visait ma place.

Jouant mon rôle d’observateur, je restais à quelques mètres derrière elle. Marchant dans ses traces de pas dessiner sur la neige, je restais silencieux en attendant ses réactions. Les ordres étaient simples : le recel d’informations et diminuer le nombre de rebelle dans les rangs de nos ennemis. Il y avait quelque chose de fascinant avec eux. Depuis le temps que la Coalition Noire martyrisait le peuple et exécutait à tour de bras, il devrait savoir que ça ne sert à rien de résister. Et pourtant, nous avions toujours ce problème qui nous pendait au nez. Qu’importe le nombre que nous assassinons, la bête ne désemplissait pas un seul instant. Notre seule façon de nous débarrasser d’eux serait de trancher la tête d’Hayner et l’exhiber afin de calmer leurs ardeurs.

Où faire chuter la Cité du Crépuscule dans les ténèbres.

Alors qu’Abigail avait disparu dans la bouche d’égout, je la suivais à mon tour en sautant dans les ténèbres des canalisations de la ville. Combien de temps c’était passé depuis mon dernier passager ici ? Si mes souvenirs sont exacts, c’était avec Oasis. Cette dernière mission pour Ariez où nous avions absolument besoin de ce sérum. Le hasard à se quelque chose d’inattendu, je ne suis jamais venu ici qu’avec les dames de notre Coalition Noire. À croire qu’il s’agissait d’un harem et que j’en étais le maître.

Son injonction à mon encontre me fit sortir de mes pensées, elle feutra son pas et je fis de même. Après tout ce que j’ai traversé pour en arriver où j’en suis, le fait de recevoir des ordres d’un de mes membres me faisait souffler du nez. Les vieilles habitudes ont la vie dure. S’immobilisant un instant, j’arquai un sourcil avant de voir son geste m’indiquant qu’il y avait quatre hommes dans la salle adjacente. Bien, au moins, elle avait trouvé quelque chose.

Même si l’envie de dégainer mes faux se faisait fort, je retins celle-ci avant de m’appuyer contre le mur, les bras croisés. Simple observateur, je l’avais moi-même signaler. C’était le moment de voir si elle était capable de gérer les quatre rebelles à elle seule, ça ne devrait pas être une difficulté. Le problème résidait dans mon premier ordre, dégotté des informations. Si elle les tuait, nous étions bons pour traîner un peu plus longtemps dans les égouts de la ville. Pas que cette ballade au côté de la rousse me déplaise, cependant, il y a d’autre chat à fouetter.

D’un geste de la tête, alors qu’elle venait de sauter de l’autre côté d’un canal, je l’invitais à continuer en conservant ma position. J’agirais uniquement dans le cas où elle serait dans le mal.


more_horiz

D’un signe de tête, il t’indique d’y aller. Tu vérifies une dernière fois les deux dagues à ta ceinture non loin de tes épées et si ton gantelet contient bien les fléchettes empoisonnées que tu avais préparées il y a un certain temps. Cependant, un événement inattendu vient retarder ton action. Une cinquième personne, légèrement nerveuse, sort de la porte garder par les deux hommes en faction. Les deux joueurs de cartes se lèvent et vont rejoindre leur compagnon.


-Bon les gars, s’égosille-t-il, on a reçu nos ordres du boss lui-même. Il faut préparer le terrain à l’équipe de minage. On doit leur creuser un accès sous le Manoir avant qu’il n’y place leur bombe artisanale.

D’un geste discret, tu sors de ta cachette et, d’une marche furtive, te diriges vers tes proies. Avant qu’il ne te remarque, tu balances tes deux poignards dans la gorge des deux grouillots de droites tandis que ceux de gauche se prennent une dose de poison mortelle.

-Qu’est-ce que… ?! beugle-t-il.

Avant de se retourner pour aviser, arme à la main, ce qui est en train de se passer sous ses yeux, il se retrouve une lame autour du gosier. Tu le sens tressaillir sous ton étreinte, apparemment surpris de ton arrivée. Cependant, il ne se laisse pas débiner pour autant. Il t’envoie valser par-dessus lui et sort sa matraque afin de ne pas être en position de faiblesse et commence à te rouer de coups. Tu profites d’une baisse de régime de cet homme et t’extrais de son emprise. D’un bond, tu te redresses habilement et fais face à ton assaillant, le jugeant quelques instants afin de déterminer de quoi il est capable.

C’est lui qui engage à nouveau le combat en chargeant vers toi, bras levé. Tu l’esquives d’un pas sur le côté et lui assènes une estafilade sur le flanc gauche. Il titube un peu avant de se retourner en envoyant sa matraque dans ton bras droit. Il a une bonne technique, mais tu le sais en dessous de toi physiquement parlant. Il recommence une nouvelle fois à te charger, mais cette fois-ci tu lui tranches la main droite Il hurle dans une complainte sanglante avant que tu ne lui colles une main sur la bouche.

-Tu vas répondre à toutes mes questions  et si tu hurles encore, c’est ta tête qui va rouler sur le sol, compris ? menaces-tu, avant de le voir hocher de la tête. Qu’avez-vous prévu de faire sauter ?
- Je te dirais rien, t’auras beau me cogner, rien ne sortira de ma bouche !
-Oh, te frapper ne serait pas assez délectable, affirmes-tu avant de lui fourrer sa matraque dans la bouche et de lui trancher l'autre main. Tu veux que je continue ou tu vas accoucher?
-On… commence-t-il en étouffant un cri de douleur. On voulait… faire sauter le bureau de Death… et lui avec…
-Vous êtes encore nombreux dans ces galeries ?
-Plus…que tu l’imagines…
-Combien ? répètes-tu, en débutant la lacération sur son bras droit.
-Une trentaine… plus ou moins… avoue-t-il avant de s’évanouir du au manque de sang dans son organisme.


Il gît inerte à tes pieds. Tu le récupéreras pour quelqu’un l’interroge plus tard. En attendant, il faut que tu regardes au-delà de la porte. Tu en avertis ton chef avant de l’ouvrir et ce que tu y trouves te sidère.  Il y a une véritable armurerie, allant de l’arme blanche à celle à feu, et également un poste de radio. Tu prends le temps de cogiter un instant avant de savoir exactement quoi faire. Tu allumes la radio en vitesse, retiens le numéro de la station, l’éteins et ressors de la pièce.

-Écoute, boss, je t’expliquerai après ce que j’ai trouvé et ce qu’il m’a dit, mais aide-moi à déplacer les corps un peu plus loin. Il ne faudrait pas éveiller leurs soupçons.




Dernière édition par Abigail Underwood le Lun 16 Jan 2017 - 20:51, édité 1 fois
more_horiz

Glissant en dehors de ma cachette, j’observe la scène dans la salle. Les corps gisent sur le sol alors qu’une mare de sang se dessine sous les traits d’un manchot, elle avait au moins l’honneur de rendre cela présentable. Abigail rentre et sort de la petite pièce que les rebelles gardaient, sans m’expliquer quoi que ce soit. À croire qu’elle prenait plaisir à me donner les ordres. Comme à la vieille école, j’obéissais à ses ordres. Pas spécialement pas confiance, non, je préférais rester dans son dos afin d’éviter l’une de ses lames. Même si je doute qu’elle soit capable de quoi que ce soit contre moi, je ne ferais pas la même erreur qu’Ariez en sous-estimant les personnes sous mon autorité.

Gardant l’une de mes mains sur la garde de mes armes, j’avançais dans la pièce et attrapais de ma main droite l’un des corps gisant au sol par la ceinture. Gardant un oeil sur la gamine, j’avançais le corps et le jetais dans le canal, laissant le cadavre dériver au rythme de l’eau avant de réitérer l’action.

Fait cela pinçait un brin ma nostalgie. Depuis combien de temps est-ce que je ne m’étais pas rabaissé à faire ce genre de chose ? À me salir les mains avec les tâches les plus ingrates de la Coalition Noire. En soit, je me retrouvais toujours à partir accomplir les choses les plus tendues. Ou peut-être que, je ne faisais pas réellement confiance à mes membres et je me réservais les tâches les plus sensibles.

Il y a de cela quelques semaines, je m’étais rendu à Agrabah pour raviver la haine des habitants et plus tard distribuer des vivres aux plus pauvres. Est-ce que Surkesh, voir Red aurait réussi à faire ce genre de chose ? L’un est trop instable et le second tellement prévisible. La louve aurait boulotté les clochards, elle serait parfaitement incapable de faire ce genre de mission. Elle était mon chien fou, celui que j’abandonne dans un lieu en sachant pertinemment qu’elle ferait un massacre pour le simple plaisir. Des personnes excessivement cruelles et éprises d’une soif de carnage, voilà comment je pouvais classer Ormagöden ou bien Red. Ils ont leur utilité, mais seulement quand je me retrouve à devoir commettre une boucherie.

Heureusement que j’avais des humains sous mon aile, comme Vesper ou encore Milla. Attention, il s’agit tout de même de personne travaillant sous les mêmes idées que moi et dont les mains sont loin d’être propres de sang. Cependant, elles arriveront toujours à briller de leur humanité quand j’en aurais besoin. Vesper en est la preuve avec la noblesse du Palais des Rêves, et Milla en ayant convaincu l’ingénieur de nous rejoindre. Nous avions besoin de personne comme cela, pas pour redorer notre blason déjà entaché par nos actes, simplement pour utiliser des méthodes plus pernicieuses afin de nous dresser un trône dans l’univers.

Et Abigail dans tout cela ? À vrai dire, je n’avais pas encore réellement statué de son sort. Elle était ambitieuse, elle désirait plus que tout devenir importante dans l’organisation. Pour quelles raisons ? Me réserve-t-elle une surprise dans ces tunnels ? Après tout, elle est la personne ayant demandé à ce que nous descendions ici, que nous partions en mission ensemble. La traîtrise est monnaie courante dans cette organisation, et je ne devais pas l’oublier.

La tâche étant accompli, seul la table sur laquelle les membres de la rébellion jouaient aux cartes et l’imposante tache de sang recouvrant la seule prouvait du passager des rebelles. Ils n’étaient pas stupides, il devait y avoir un moyen de communiquer entre eux et l’exécution ayant eu lieu ici ne passera pas inaperçu. Même si je n’ai pas été sur le terrain de jeux d’Hayner depuis longtemps, je ne devais pas me laisser porter par l’oisiveté et devenir une cible facile. Le boss de la Coalition Noire dans leur égout, je faisais une cible de choix et probablement très intéressante pour qu’enfin, ils puissent libérer la Cité du Crépuscule de notre domination.

S’il n’y avait pas de piège quant à ma présence dans les égouts, cela faisait beaucoup trop de coïncidence d’un coup. Tournant mon regard en direction d’Abigail, j’interrogeais cette dernière sur la suite des évènements.

- Qu’est-ce qu’il t’a dit, et pourquoi se débarrasser des corps. Que me caches-tu ?


more_horiz

Il débarrasse les quatre corps pendant que tu enfonces ta lame dans le torse de l’estropié afin de mettre un terme à sa vie et ensuite de le faire glisser sur le sol en direction de la rivière d’eaux malpropre. Tu y jettes également ses deux mains esseulées. Cela t’aide déjà dans ton plan, mais Death veut vraiment savoir ce qui se passe en faisant preuve de suspicion. Qu’est-ce qu’il s’imagine ? Que tu allais le trahir comme il avait lui-même attaqué l’ancienne chef de la Coalition Noire ?  Qu’est-ce que cela peut t’apporter outre la paranoïa de voir tout le monde convoiter ta place ? Pas grand-chose selon toi. La place de premier n’a pas vraiment de valeur à tes yeux, alors que celle de second, ici intendant de la Garde Noire, est plus intéressante. Elle permet de rentrer dans les bonnes grâces du chef et d’influencer certains choix.

-Écoute, Deaht. Loin de moi l’idée de te cacher des choses. Je voulais parer au plus pressé. Un attentat à la bombe se trame sous ton bureau, une trentaine de rebelles sont encore dans les égouts et il y a un énorme stock d’armes et une radio de communication à l’intérieur de cette pièce. Si je voulais déplacer la scène, c’est pour les empêcher de changer la fréquence de communication et avoir un moyen de les espionner supplémentaire. Alors, s’il te plaît, fais-moi confiance. Je nettoie le sang de ce pauvre type, brûle les cartes à jouer et après on s’éclipse ni vu ni connu.

Tu t’approches de la tâche sanglante et te concentres quelques instants afin de convoquer ta manipulation sanguine pour la renvoyer dans l’eau des égouts que tu traverses. La table est très rustique, une bête planche bancale sur un gros tuyau.  Tu ramasses les quelques papiers suspects et les munnies qui s’y trouvent avant de réduire en cendres les cartes au-dessus de la flotte. Il est maintenant l’heure pour vous deux de déguerpir d’ici avant  que les premiers rebelles trouvent les corps. Tu vérifies une dernière fois que personnes ne viennent vers vous et te diriges vers la sortie en compagnie de Death. Tu espères que ces actions ont fini par convaincre ce dernier que tu feras une très bonne intendante et qu'il apprendra à te faire réellement confiance par la suite. Après tout, la confiance est nécessaire si on veut mener nos objectifs à bien.


more_horiz

L’espace de quelqu’un instant, mon regard ne quitta d’observer Abigail. Disait-elle la vérité ou bien était elle en train de me mentir, cela m’était impossible à savoir. Il fallait que je fasse confiance à cette femme, comme je faisais confiance à Vesper. Non, ce n’était pas la même chose. Face à notre assassine à la chevelure noire, j’avais un moyen de pression et la possibilité de m’assurer sa fiabilité. Ici, devant elle, je n’avais rien à me mettre sous la dent. Elle était arrivée comme une inconnue, recruter par l’un de nos agents et amené à nos portes. Outre ça, je n’avais rien sur elle. Avant de continuer de marcher avec elle, je dois en savoir plus et connaître ses faiblesses.

Il y a une seconde solution, celle de la simplicité. Il suffirait que, alors qu’elle s’oeuvre à nettoyer les traces de nos passages, j’empoigne mes faux et que je transperce le corps de cette dernière. En faisant ça, j’aurais la certitude que jamais elle ne me trahisse et qu’elle me revende au plus offrant. Avec cela, tout serait plus simple, il suffirait juste de jeter le corps dans les canaux.

Oui, ce serait la chose la plus intelligente à faire. Les rebelles retrouveraient le corps de cinq combattants morts ainsi que celui d’une coalisé, ils pourraient facilement croire qu’un combat à eu lieu et qu’Abigail ait perdu en emportant des rebelles avec elle. Ils ne changeront pas de fréquence radio, ils penseront toujours avoir l’avantage sur moi et il me suffira d’envoyer quelqu’un de confiance dans les égouts afin de se débarrasser de cette galerie et de cette attaque.

Oui, ce serait la meilleure chose à faire. Pour moi, et pour la Coalition Noire.

Ensemble, nous retournons vers la bouche d’égout. Marchant ensemble, ne faisons plus attention à faire du bruit ou non. Il suffirait que les rebelles viennent, je pourrais la jeter dans la mêlée et m’assurer la fuite. Comme une maman ours se délestant du poids qu’est son enfant afin de perdurer l’espèce. Oui, c'est ce que nous sommes, des animaux motivé uniquement par la survie. Et pour la mienne, il suffirait que je me débarrasse d’elle. Personne ne poserait de question, personne n’oserait me poser la question. Semblable à Ariez, ils auront des suspicions et personnes ne cherchera un instant à me contredire. Celui qui à le pouvoir ne crains rien, dos à Abigail, j’ai le pouvoir au bout de mes doigts et je pourrais décider à n’importe quel moment d’en finir avec elle.

Non, ce serait stupide de faire cela. Pour moi, et pour la Coalition Noire.

Elle n’est pas différente de moi, ou même de Surkesh. Elle est comme chaque personne vivant sous le toit du manoir, avide de pouvoir et à désirer devenir plus influent que la plèbe. Vesper a voulu s’asseoir sur la table et à réussir, Abigail n’attend que le bon moment pour prendre place, probablement que Milla et Surkesh voudront la même chose. C’est ainsi que la vie fonctionne à la Coalition Noire, atteindre les sommets et pouvoir diriger sur les mondes.

C’était à moi de présider cela, et aussi à moi de savoir reconnaître les menaces et les éliminer.

Abigail n’avait pas besoin de me révéler cette histoire de bombe, elle n’aurait eu besoin que de se taire et attendre que cela explose à mes pieds pour récupérer les lauriers de ma gloire. Elle pense et agit à l’avance, ça allait être mon devoir d’anticiper ses actions et pouvoir survivre au futur. Mes ennemis ne sont pas le Consulat, la Lumière ou les Mercenaires, ce sont les collègues assis à ma table. Sois proche de tes amis et encore plus de tes ennemis, ceci est désormais mon credo et je devais de vivre avec.

Devant l’échelle menant à la sortir de l’égout, Abigail prend en premier les échelons et quitte cet endroit. Elle est libre maintenant, l’excuse de la mission ayant mal tournée est passé dorénavant, il faudra attendre de voir ce que cela donne au futur. Soupirant, j’empoigne l’échelon et grimpe vers la sortie pour retrouver Abigail devant moi.

- S’il y a un risque réel d’attentat, trouve le et empêche le. Quand tu auras accompli cela, tu mériteras le titre d’Intendant de la Garde Noire, et tu seras peut-être considéré à mon égale.
Est-ce qu’elle recherche cela, être considéré à mon égale ? Aucune putain d’idée. Tout ce que je sais, c’est qu’elle désire plus que tout à devenir l’intendante, et peut-être même à ranger les Gardes Noires de son côté pour ensuite se rebeller. Anticiper et réagir avant que cela n’arrive.


more_horiz

— C’est tout ce que je demande, réponds-tu à sa demande, sur un ton neutre. Rien de plus, rien de moins.

Dans sa façon d’agir, on peut ressentir un peu de suspicion. On peut y déceler la paranoïa qui caractérise les personnes au pouvoir et avide de le garder. Comment n’avais-tu pas pu le remarquer plus tôt ? Peut-être est-ce dû au fait que vous n’êtes pas partis en mission en duo au paravent ? Enfin, toi, tu ne cherches pas à dominer toute la plèbe de toute ta hauteur, tu laisses ça aux autres. Tu ne souhaites que t’élever et obtenir un peu de privilèges. Tu n’ambitionnes pas trop, juste ce qu’il faut. Suivre les ordres du patron te sied mieux que les donner à tous. Après, la position que tu recherches te confère le droit de commander à la Garde Noire tout entière et de donner une ou l’autre mission et c’est tant mieux, juste ce que tu as besoin. Il faudra juste que tu ménages ceux en dessous de toi afin de ne pas leur donner envie de se révolter.

Tu le regardes quelques instants, apercevant quand même le charisme de son faciès. Il y a quelque chose de dur et froid dans ses traits, mais on peut constater un certain charme également. Enfin, tu pars à nouveau dans les égouts en direction des canalisations se situant sous le manoir. De ta position actuelle, cela n’est pas si loin. Une marche de cinq cents mètres t’attend, plus ou moins une dizaine de minutes. Cinq,si tu n’es pas prudente.

Au lieu de tourner à gauche comme vous l’avez fait plus tôt dans la journée, tu tournes à droite, bien évidemment tu fais un scan de la zone pour t’assurer qu’aucun danger ne viendrait se mettre sur ta route. Rien n’est repérable au début du couloir. Tu avances donc prudemment, à pas feutrés. Le boyau est calme, aucun bruit n’y transparaît. Même l’eau conduite par les tuyaux se fait moins présente, comme pour signifier l’ambiance lourde qui règne en ces lieux. On pouvait aisément deviner que quelque chose se tramait. Une dernière fois avant d’arriver à peu près à la moitié de ta réserve magique, tu sondes, à l’abri d’un recoin, les vingt derniers mètres qui te séparer de la salle d’évacuation du manoir. Tu repères six types, deux à l’entrée de la pièce faisant le gai, et les quatre autres ont l’air d’attendre quelque chose. Il ne te reste qu’une seule fléchette empoisonnée, autant dire que cela ne sera pas suffisant pour les contenir tous. Tu réfléchis à un plan d’action afin d’éviter un maximum les dégâts éventuels. En levant le nez, les fines conduites au plafond se dessinent sous tes yeux.

D’un bond silencieux, tu grimpes dessus. L’écart entre le mur supérieur et le haut des tuyaux ne te permet que de te mouvoir à plat ventre. Il ne te faut pas longtemps afin d’être à hauteur des deux gardes. Vérifiant qu’ils ne sont pas dans le champ de vision de leurs collègues, tu t’apprêtes à agir. Discrètement, le dernier projectile toxique vient se loger dans le cou de celui de droite. Il ne lui faudra pas longtemps avant de succomber à cette dose d’arsenic. Tu tombes donc silencieusement dans le dos du soldat de gauche et d’un mouvement vif et puissant lui casses les vertèbres de sa nuque. Les deux sont à terre, morts. Déjà une bonne chose de fait. Tu te colles rapidement contre la paroi se trouvant derrière toi.

— Putain, ils foutent quoi ? s’impatiente l’un des poseurs de bombe en regardant sa montre. Ça fait dix minutes qu’ils devraient être là !
— Calme-toi, Bruce, ils vont sûrement pas tarder, répond distraitement un deuxième.
— Me calmer ? Tu veux que je me calme ? Mais comment je peux être zen si on risque de foirer le plus gros coup qu’on va porter à la Coalition Noire depuis des semaines ?!


Ne prêtant pas totalement attention à ce qu’il se dit, tu jettes un rapide coup d’œil furtif afin de prendre connaissance de leur armement, fusil mitrailleur et épée standard. La salle est assez grande ce qu’il laisse de la place pour un combat. On peut apercevoir beaucoup de tuyaux contre les murs, aucun obstacle ne viendra te gêner. Si tu ne les tues pas rapidement, on peut dire que tu es foutue. Cependant, une réflexion vient te sortir de ta cogitation et te glace le sang.

– Bob, hèle un troisième, tu veux bien aller voir s’ils sont pas un peu plus loin dans le couloir, on sera fixé comme ça.

N’ayant aucune réponse du dénommé Bob, il s’approche de ta position. N’ayant pas le temps d’agir différemment, une fois qu’il est près de toi, tu sors de ta cachette et lui enfonce l’une de tes deux lames dans la poitrine, mais de ce faîte alertant les autres soldats de ta présence. Tu cours dans leur direction afin de te débarrasser de leurs vies insignifiantes. Les indésirables ne sont bons qu’à trépasser. Le plus proche de toi te tire dessus à l’aide de son arme à feu, tu parviens à esquiver la majorité des balles, mais celle que tu prends dans l’épaule et la cuisse t’arrache un cri de douleur et te font tituber un peu. Fort heureusement, les plombs sont ressortis de ta chair, mais les plaies brûlent quand même. Tu peux remercier ton endurance physique du fait qu’elle te permet de rester debout. Tu fonces, épée au clair, vers un de tes assaillants possédant un sabre. Ton coup n’est pas puissant à cause de la blessure que tu viens de subir, il la pare donc facilement. Le dernier qui ne t'a pas encore attaqué en profite pour passer derrière toi et t’assènes une importante estafilade dans le dos. Tu sens tes genoux vaciller légèrement à cause de la douleur, mais tu tiens bon, car il le faut. Le sort de Death et ta place se jouent ici même. Tu remercies le sort que le fusil qui pourrait te coûter la vie s’est enraillé. Tu dégaines ton revolver d’un geste lent et, sans prendre la peine de viser, tirer trois balles sur celui qui se trouve derrière toi. Tu l’entends s’effondrer dans un râle d’agonie. Tu luttes de toutes tes forces, lame contre lame, afin que ton adversaire ne prenne pas le dessus. Il est fort et gagne du terrain. Si tu venais à défaire le lien métallique qui vous unit, tu le sais, tu es foutue. Puisant dans tes ressources, tu lâches ton pistolet et saisis ta deuxième épée. D’un geste que tu veux hargneux, tu la loges dans la gorge du malheureux. Il tombe, sans vie ou tout du moins au bord de la mort, devant toi. Il n’en reste plus qu’un. Tu te retournes difficilement avec une seule épée en main, lui faisant face.

— Allez poupée, laisses tomber ton arme, tu es finie, te menace-t-il de son fusil visiblement en état de marche. Tu vas venir avec moi, le boss sera ravi d’avoir un prisonnier de votre rassemblement de merde.
Je ne crois pas non, rétorques-tu avec l’assurance que peut avoir une personne aux portes de la mort.
— Tu vas faire ce que je dis oui. T’es pas en position de dire quoi que ce soit.
Très bien, j’arrive. Laisse-moi juste le temps de reprendre mon souffle.


Tu fermes les yeux et respires afin d’apaiser ton esprit. Un sourire finit par apparaître sur ton visage. En rouvrant les mirettes, une boule de feu obscure se manifeste dans ta main gauche, tu l’y sens brûler d’une chaleur ténébreuse. Tu ne lui laisses pas le temps de presser la détente et envoies ce projectile magique sur son corps à ta merci. Il prend feu, hurle et court pour éteindre le brasier, mais tu te places sur son chemin et le décapites des dernières forces qu’il te reste.

Enfin débarrassé de ces rebelles, tu t’effondres de fatigue, mais surtout de douleur, sur le sol froid de la pièce. Le sommeil te guette, tu as besoin de repos. Alors, avant de complètement t’évanouir, tu lances un sort de soin avec les dernières réserves magiques qu’il te reste et enfin Morphée t’accueille. Le sort a stoppé les hémorragies, pourtant Jesscia aura ta visite afin de te retaper au mieux. Mais pour l’heure, tu vas dormir un brin, tu penseras au reste plus tard.  


more_horiz
Alors, commençons, commençons...

Tout d'abord j'ai beaucoup aimé le premier rp de Death qui nous plante le décor. On ressent même très bien le froid, c'est agréable (pas le froid, la mise en scène... Quoique le froid est agréable aussi puisque tu as une cheminée dans ton bureau bordel xD)

Non plus sérieusement, le fait de décrire comme ça les éléments autour des personnages est quelque chose que j'adore lire et pourtant j'ai beaucoup de mal à le faire mais j'adore voir ce genre de choses. On arrive vraiment à visualiser la scène.

Ensuite, pour Abi. J'aime beaucoup aussi ton personnage dans ce rp (attention, ça ne veut pas dire que je ne l'aime pas dans d'autres Emmetmembredumo), on voit bien à quel point tu veux te montrer à la hauteur de ton supérieur et c'est super à voir. Et aussi la réaction qu'à Death par rapport à ça "Elle me donne des ordres... Elle a cru que je n'étais qu'un vulgaire chien à qui on dit « va chercher » !?"

C'est plaisant ça, tu montre vraiment que tu n'es pas à la Coalition Noire pour te tourner les pouces, tu veux montrer de quoi tu es capable et on n'est vraiment pas déçu.

Mon commentaire risque de ne pas être très long (c'est la première fois que je note un rp de groupe et je tiens aussi à m'excuser par rapport à ça si jamais ce que je vous dis ne vous convient pas trop :/)

Bref... Où en étais-je ? Ha oui. On peut aussi voir du coup que même si Death est assez en retrait par rapport à votre rp et qu'Abi, elle décide d'envoyer du pâté (oui je fais des rimes aussi parfois *sbaff*) vous avez réussi tous les deux à montrer vraiment le but de ce rp ^^

Bon sinon, histoire de montrer que j'ai lu (ce serait débile de noter sans lire, soyons honnête xD) j'ai vu quelques petites fautes par-ci, par-là. Mais rien de bien méchant, on arrive tout de même à lire vos rps sans avoir à reprendre un paragraphe depuis son commencement.

Donc on va terminer sur ces petits mots :

Death, a été un petit peu un larbin (mais utile tout de même, surtout qu'il psychote pas mal quand même. Genre "Abi va-t-elle me faire un coup de *censuré* ?").

Donc ce sera Facile :
10 points d'expérience + 100 munnies + 2 PS (1 en force pour trainer des macchabées et 1 en dextérité pour ... Je ne sais pas trop, avoir réussi à te contenir de vouloir planter Abi dans le dos ?).

Abi, a été en revanche plus "active" mais c'était le but du rp. Et même s'il est vrai que tu traitais ton boss comme un toutou, tu mérites tout de même le respect ^^

Donc ce sera Avancée :
30 points d'expérience + 300 munnies + 3 PS (1 en force, parce que tu déboites, 1 en défense, parce que tu as pris des gnons, mais tu résistes et 1 en vitesse parce que tu dégommes des gus mais vite et bien ^^)

NS : J'espère que ma notation aura été juste. Mais s'il y a un problème quelque part, n'hésitez pas à me le signaler  Emmetmembredumo

Édit, je me suis rendu compte après coup que j'ai oublié quelque chose par rapport à Death. C'est aussi très plaisant de voir que tu parles des autres coalisés (je ne dis pas ça parce que je suis dedans lol) mais au moins ça permet de montrer au lecteur comment son un peu les membres de la Coalition Noire. C'est cool pour quelque qui débarque et ne les connais pas trop ^^
more_horiz
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum