Fort-de-Forêt et Fortuna  Szp8Fort-de-Forêt et Fortuna  4kdkFort-de-Forêt et Fortuna  4kdk
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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Auron contemplait humblement le ciel nocturne du Nouveau Monde, stoïque comme un mort, semblant presque attendre que les étoiles lui répondent. Le mercenaire avait fait le tour du camp et examiner les défenses… rien ou presque n’a été fait. Les armes à feux sont évidemment utiles, on peut rapidement apprendre à s’en servir et rapidement s’y faire, l’arc c’est toute autre chose. Or, parmi nos colons et mercenaires présents en renforts, très peu tirent aussi bien à l’arme à feux que les Indiens à l’arc. De même pour leurs qualités athlétiques… agiles, vifs, forts et endurants, l’ennemi semblait au top de sa forme, sans doute bien plus respectueux de son corps que nous ne le saurons jamais. Bien plus connaisseur aussi, sous-estimer leur capacité de régénération et de soin serait une erreur… jusqu’ici, ils attaquent et se replient dans la forêt, à partir de là, on ne peut quasiment plus rien faire. Le problème c’est que leurs attaques parfois simultanées, parfois enchainé sans répit pendant des heures d’enfers et de sangs ne se font pas seulement contre le camp… mais aussi contre nos importations et exportations. Personne ne les imaginait en-dehors de la forêt mais ils connaissent tout un réseau fluvial parcourant la forêt de séquoias, celui-ci mène à l’océan et leurs barques y filent comme des flèches. Quant à la maniabilité de ses longues coques en bois allongés, propulsés par de simples rames, elle est surnaturelle. Ils sont plus faciles à viser sur l’eau mais n’étant sur l’eau que de nuit, le temps d’encaisser une salve, ils sont déjà partis. Les peaux-rouges surgissent de la forêt par la terre comme la mer et ont l’avantage du terrain… c’est frustrant, on combat du vent, ils n’apparaissent presque pas. On entend juste les cris de guerres et le sifflement des arcs… et on ne parle pas encore des raides d’assassin au tomahawk.
Puis la Coalition Noire a attaqué… comme si les Indiens ne suffisaient pas.

« Wouarrr ! » Aboya nerveusement Daigoro !

« … »

Auron partit pour le centre du camp à pas pressé. Là-bas, on liait des demis troncs d’arbres pour en faire des murailles… mais le séquoia n’est pas si large, ce ne sont pas des chênes, on doit en abattre énormément. Quant à les lier ensemble de manière solide et les enfoncer au sol, ce n’était pas si simple non plus. Le mercenaire avait aidé, un peu mais estimait que ce n’était pas son rôle… et arrivait dans le camp, les murailles n’étaient pas prêtes ! L’idée de base était de faire un premier carré… et bon, on avait les quatre murs mais aucun n’était entier.
Radcliff était dans le coin, usant de tout son leadership pour accélérer la cadence et faisant du bagne une comédie musicale.

« Tous des sauvages ! ♪ Tous des sauvages ! ♪ Tous des sauvaaaaaaaaaaages ! ♫ »

« Les Indiens arrivent ! Abritez-vous ! »

Le mercenaire n’attendit pas et couru alors que Daigoro aboyait avec fureur… il rapprocha les remparts les uns des autres pendant que les colons se cachaient comme ils pouvaient : dans des tonneaux, des caisses, ceux à l’extérieur des murs dans le navire et pour les plus chanceux, sous des petits toits de bois en préfabriqués, montables en deux-trois coups de marteaux. Juste après avoir entassé tout le monde dans un enclos trop petit, et entendant les cris des lents qui n’ont pas rejoint le navire à temps, les colons laissèrent passer la pluie de flèche. Or, quand le déluge s’arrêta, on n’entendait plus rien… et comment vous dire… on est jamais vraiment sûr que les peaux-rouges sont partit.

« Restez abriter mais préparer-vous, les Indiens arrivent ! »

Et effectivement, comme l’avait pensé Auron, les Indiens ont grimpés les maigres murailles… mais furent accueillis comme il se doit. Enfermé dans cette cage où la proximité est imposée, leurs arcs ne servaient à rien et les flingues, ça va plus vite que les tomahawks. Après dix minutes de silences à attendre pendant que le sang des indiens abreuvait leur propre sol, les colons ont eu l’effet de surprise mais… qui peut croire que les Indiens ne savent pas faire du feu et s’en servir ? Calculer un coup d’avance est nécessaire, le mercenaire cherchait à trouver la parade avant d’en avoir besoin. N’attendant pas pour pousser les murailles et remettre les choses à leurs places, le travail reprit malgré les morts ou les blessés, le premier qui faiblissait avait affaire à Radcliffe, personne ne se serait permis de juste soupirer. Auron y voyait un chef, peut-être pas le plus agréable ou sympathique mais tout de même, il tenait ses hommes avec compétence.

« Remplissez des tonneaux et des sceaux d’eaux. » Lança froid et sec Auron à des ouvriers qu’il jugeait trop faible physiquement.

Les pertes avaient été, en une seule attaque, plutôt conséquente… et trop de bucherons n’étaient pas revenu à temps. Auron se pressa donc, s’en voulant de ne pas avoir fait le travail lui-même depuis le début… et trancha des dizaines de séquoias pour les couper ensuite en deux, un coup lui suffisant à chaque. C’est ensuite du pied qu’il faisait valdinguer les troncs jusqu’aux remparts où enfin, les colons n’avaient plus qu’à les lier entre eux.

« Wouarrr ! » Aboya nerveusement Daigoro !

Déjà ?! On avait fait reniflé à Daigoro l’odeur des indiens et peu importe le nombre de morts dans notre camps… lui pistait les odeurs se rapprochant de la forêt. Les peaux-rouges, peinturlurés aux couleurs de leurs tribus, étaient facilement reconnaissable. Surement qu’en chasse, ils savent confondre leur odeur avec celle de la nature mais en temps de guerre, ils semblent s’en remettre à… des traditions chamaniques ou autres. De son expérience face aux Huns, Auron savait que les rituels et traditions liés aux esprits peuvent donner énormément de force à une armée… mais la contraint tout autant.
Or, le chien regardait à l’inverse de la forêt… soit la mer… et les travaux cessèrent une nouvelle fois, le temps d’une courte averse meurtrières où tous se cachaient sous du bois. A défaut de pouvoir se cacher dans les tonneaux, la plupart en était réduit à se protéger avec de simples couvercles ou des sceaux encore vides. Juste après les salves de flèches en rafales, indiquant au moins une troupe entière d’avirons rustiques… et ensuite, une rafale de coups de feu. Puis des cris qu’on entendit pas au moment des flèches.

« C’EST BON ! » Hurla le capitaine du navire stationnant sur la côte où l’on avait largement pied, ce vaisseau ne servant que de tour de guet maritime. Sur le camp côtier, le travail reprit de plus belle et l’équipage du navire était déjà descendu, enjambant leurs camarades pour reprendre le chantier.

« Gouverneur, on a assez de bois ? »

« A vue d’œil, oui… »

Auron se pressa alors d’assembler les morceaux de murailles que ceux encore capables et debout continuaient de lier. Les morts avaient au moins le mérite de nous laisser tranquille alors que les blessés souffraient, et pas silencieusement, pendant que d’autres se tuaient à la tâche. Radcliff hurla à la figure d’un borgne récent, dont la flèche était encore plantée, qu’il n’avait qu’à se soigner lui-même et les autres aussi ! La priorité était au vivant et à ceux capables d’avancer les travaux…

« Les Indiens ne vont pas nous lâcher de la nuit mais vont probablement revenir en force, on tient notre chance. »
Lança Auron en interrompant le gouverneur, sans cesser d’avancer les travaux et forçant Radcliffe à le suivre au pas de course.

« C’est-à-dire ?! »

« Soit ils continuent leurs petits raids et on pourra tenir si on s’active. Soit ils reviennent pour une attaque très violente à très grands nombres… »


« Comment vous pouvez le savoir ?! »

« Ils n’ont jamais fait que ça… et ils viennent d’échouer contre nos murs inachevés. Si on réussit à installer Fort-de-Forêt sur la côte, ils ne pourront plus nous déloger… et je ne sais pas s’ils vont se risquer à une grosse attaque, c’est arrivé qu’une fois et ça n’a pas marché… mais c’est la seule stratégie où on puisse perdre. »

Concrètement, on avait pas encore le fort mais un parfait carré de rempart en bois bien assez large pour la nuit… et à l’aide des échelles, tous les colons qui ne trouvaient pas refuge sur le navire en avait un dans le fort. A l’exception des blessés incapable de se mouvoir… certains ont aidés un ami ou quelqu’un qu’il savait fiable… certains ont été oublies et d’autres, carrément abandonnés. De ce que lui en avait dit le gouverneur, il restait encore quelques pièges de sa dernière mission mais on ne pouvait poster les tireurs en hauteurs. Or, un élément très important restait à construire.

« Auron, toutes nos protections, abris et autres sont troués comme du gruyère ! Il nous faut un toit ! »

Le mercenaire partit de suite en entendant le gouverneur, escaladant l’échelle avec aisance mais sans être si rapide… et abatis des arbres… s’en saisissant sans même les couper… n’ayant qu’à les caler sur les murs pour en faire un toit. A l’intérieur, Radcliffe organisait les troupes… ou plutôt, les préparait à la suite alors qu’Auron les enfermait peu à peu dans une boite de bois depuis l’extérieur. Au moment de poser le dernier séquoias -et si le poids n’est pas un problème, c’était très encombrant-, Auron était alors sur le toit et n’était plus sûr que le flair de Daigoro servirait encore à quelque chose. Cette boite devait puer la mort et l’indien… mais le mercenaire continua sa tâche, plantant des estocs d’épées fines et précises sur la partie face à la forêt et celle face à la mer… pour qu’on puisse y passer des armes à feux. D’ordinaire, on entend les flèches sans les voir mais là… elles étaient enflammés, ce qui paraissaient le plus logique contre des fortifications en bois. Malgré les réserves d’eaux, ça pourrait vite dégénérer… alors non, les colons ne crameront pas… mais ils suffoqueront et ouvrir la boite, ce serait créer un appel d’air qui cramerait tout le monde.

« TIREZ FORÊT ! »


La boite cracha des balles vers la forêt et l’arrosa littéralement… tandis qu’Auron enchaina les frappes de zone, repoussant quelques flèches avant d’en disperser une salve entière d’une explosion. Un coup d’œil… le navire flambe et ça chahute avec des troupes maritimes… des tonneaux à bases de produit inflammables s’embrasent sous les balles ! Le feu se répand alors jusqu’à la forêt... et plutôt que de se battre comme la pluie de flammes, Auron se rua en direction de la forêt, laissant le navire se débrouiller de son côté. Chassant aisément les flèches de sa route et parvenant même à renvoyer dans la forêt, elle prit feu… Auron pouvait toujours juger Natsu, ça n’était pas d’une ampleur apocalyptique.
Néanmoins… les Indiens ont perdu le contrôle, leur langue prenant le ton de la panique et de la rage. Du coin l’œil, Auron plongea son regard dans celui d’un vieil Indien stoïque… et le vit se mettre à danser de manière traditionnelle sans doute… mais surtout très ridicule.

Or, les Indiens n’ont pas trente-six mille danse emblématique et vu les circonstances : c’était forcément celle de la pluie. Ça sauverait la forêt, oui… et le bois de la cabane… mais pas ceux à l’intérieur… sans attendre, il dégaina une onde tranchante ! Et son attaque dévissa, touchant des indiens comme des arbres… une balle à l’épaule. Personne ne ferait cas d’Auron dans la cabane et c’était ses propres ordres -et aussi ceux du gouverneur- que lui-même avait momentanément oublié. Frappant à deux mains en faisant plusieurs tours sur lui-même tout en avançant chaotiquement, Auron déchiqueta plusieurs indiens qui volaient en tous sens et se rua sur le… chaman en train de danser.

« Hu-hé-hé-hu-ho ! Hé-hu-hu-hé-ho ! »

Il s’immobilisa comme une statue et Auron lui planta le cœur… pour qu’une mousson s’abatte immédiatement après. Au mépris des flèches qui le frôlaient et dont une qui lui empalait le ventre, Auron retourna au fort primaire pour y découper précipitamment un triangle. Les troupes s’engouffrèrent alors dans la brèche pour en sortir et échapper au fumée… faisant rapidement fuir les Indiens à coup de plombs, eux qui venait de perdre un homme sans doute important. Qu’est-ce qu’ils faisaient là d’ailleurs ?!
Auron fut appelé à regarder dans une direction précise… et vit… l’âme de ce vieux chef, reconnaissant tout de suite sa victime sous forme d’esprit. Tout ça sentait le mysticisme à plein nez et… oui… on avait encore rien vu des Indiens.

Du côté du navire, les tireurs en hauteurs -et surtout les canons- ont pu repoussé les Indiens. Alors que le calme revient, on s’affaire à consolider le fort… installer une porte, pour commencer… et si le carré primaire reste, c’est tout autour que se construira Fort-de-Forêt. Galvanisé par la victoire, tous avancent à grands pas. Or, en plus de Fort-de-Forêt, on avait une deuxième forteresse qui flottait cette fois-ci sur l’eau… Le Capitaine Travis « Dans le Mille » Hitman… un ancien de la compagnie des indes ayant rejoint le camp des vainqueurs mais à condition d’être payé. Un homme qui ne rate jamais sa cible… à Port Royal, hormis peut-être Oakley en son temps, nul ne vise mieux que lui.
Fort-de-Forêt et Fortuna, un fort pour la terre, un autre pour les flots. Dès demain, et même si les Indiens reviennent, de véritables fortifications seront présentes… tandis que Travis arpentera les côtes avec sa flotte.

Avant de partir, Auron fit renifler à Daigoro... les corps Indiens.

« Daigoro, on rentre. »

« Grrrr… »
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Alor, alors….je vais noter le type qui m’a presque élevé chez les Mercos pendant tout ce temps….c’est presque aussi beau que s’en est ennuyant (non je plaisante ^^, ça me fait tellement plaisir de te noter copain de moi)


Déjà, on débute avec du bon Auron, le mec calme, stoïque, imperturbable et Badass. Qui fait un petit topo de la situation pour qu’on se rappelle tous qu’on est bien dans la m****. Mais qui ajoute aussi des petits détails intéressant sur les nombreuses situations pénibles que l’on peut vivre. Oui car depuis le début, on s’est déjà fait attaquer presque toujours de la même façon. Et donc raconter quelques petites anecdotes comme ça donne un peu plus de poids aux aventures je trouve….les choses n’évoluent pas uniquement quand nous, joueurs, nous écrivons. Donc c’est cool Smile
Ensuite….t’a embarqué Daigoro !!! Ça fait tellement plaisir de le sortir de son placard de temps en temps notre petite mascotte national ^^

Puis on à l’arrivé de Auron dans le campement, enfin l’énumération de sa présence…j’ai d’ailleurs bien aimé le moment où tu parles d’avoir aidé à bâtir le campement en en faisant que le strict minimum parce que….ben parce que c’est pas ton taff ! Et que ça te fait iech de faire un truc pour lequel tu n’es pas prédisposé ! Un peu de rébellion personnelle pour montrer qu’on n’est pas toujours des p’tits chiens qui font ce qu’on nous demande ça nous permet de garder notre indépendance et notre liberté ! (william wallace sort de ce corps !)
Et la Chanson de Radcliff…sérieusement…XD

Tient d’ailleurs en parlant du gros lard ! J’ai également aimé que tu ne le décris plus comme il était avant (c’est-à-dire pompeux et arrogant envers nous). Avec les derniers évènements, il nous cherchent moins des crosses…et ça montre que depuis ton retour tu t’es intéressé à ce qu’il s’était passé après ton départ…et c’est super bien Smile. Et aussi son rôle de dirigeant envers les colons commence à se refaire sentir.
Non franchement, je n’ai ni eu envie de le détester ni eu envie de l’apprécier dans ce petit Rp…C’était intéressant de le voir sous un jour un peu plus neutre je dois dire. Pas comme le gros enfoiré qu’on le connait en temps normale.


Puis à un moment je lis un détail sur les Séquoias….je me dit « il doit avoir raison…j’y connais rien en arbre ». Puis à la fin je me mets quand même à douter et je vais demander à un bon pote à moi (Internet)…et là je vois quand même que les Séquoia c’est vachement plus imposant que ce que je m’étais (et toi aussi probablement) imaginé. Ces bestioles là ça fait quand même 8 mètres de largeur de tronc en moyenne…pour une hauteur d’environ 100 mètres ! Ce n’est pas rien mon copain porcin !
Du coup…avec un seul Séquoia on peut faire plusieurs bois de palissade d’une belle largeur avec une hauteur pas du tout dégueulasse….ce qui, en sachant tout cela maintenant, fait que je suis en train d’imaginer Auron fabriquer sa petite cabane de sécurité avec des machin gigantesque (mais bon c’est Auron…il peut très bien les avoir tranché en plusieurs morceau pour se servir uniquement de ce don il avait le plus besoin pour servir de toit protecteur)

Tient en parlant de la découpe de Séquoia…. Moi on m’accuse de bruler des forêts mais toi tu peux littéralement en faire des cure dent ^^. Le moment Badass où tu tranche les arbres là pour les utiliser à la construction de la cabane j’ai eu un moment d’euphorie à imaginer la scène avec un panache à la Auron Smile

Pour le reste, j’ai vraiment bien aimé le déroulement de cette aventure. Elle se fait de façon rapide, sans laisser le temps au lecteur de prendre son temps de se reposer. C’était bien parce que ça représentait le rythme de l’histoire : il fallait aller vite, et droit au but sans perdre de temps. Bon après je dois t’avouer que mettre un petit peu de détail descriptif n’aurait pas été mal…mais aurait peut-être put ruiner la rapidité de lecture qui aurait, pour ma part, ruiné cet effet de « je me dépêche de lire parce que je suis embarqué dans l’histoire comme un malade »….
Et puis Auron en mode ultra B.G il balaye les flèches d’un coup d’épée quoi ! je sais que ça fait très manga shonen ultra balès, mais j’aime bien des fois des p’tits truc comme ça qui font bien sourire quand on imagine l’action super classe du moment Smile

D’ailleurs fait attention, pendant toute l’aventure tu décris d’un point de vue extérieur à la scène, et il y à eu une ou deux fois où tu décrivais, sans le faire exprès, à travers l’œil d’Auron

Exemple: « Déjà ?! On avait fait reniflé à Daigoro l’odeur des indiens et peu importe le nombre de morts dans notre camps… »



Bon ben tout cela est « Fort » intéressant (rhooo allez elle était facile cette blague ^^)…on va maintenant disposer de deux avant-poste (enfin un avant-poste et un arrière poste…je sais même pas si ça se dit vraiment !!) qui nous serviront à mieux nous préparer et nous défendre en cas d’attaque indienne ! ça c’est bon ! il va falloir qu’on les améliore et/ou qu’on en construise plus tout autour du campement…mais c’est déjà un vrai bon début d’amélioration Smile

Allez et une mission Avancé pour M’sieur Auron ! (bon retour parmis nous Smile )

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