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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Quatre jours.

Une bouteille de whisky.

Douze repas de faillots, d’œufs, de bouillies de céréales et de viande.

Quinze litres de café.

Trois pauses urgentes aux toilettes.

Deux bains.

Une visite au médecin-dentiste-légiste-croquemort local.

Trois gélules de charbon.

Des hectares à pertes de vue : collines de terre battue ocre, de buisson d’épineux, d’herbes rases plus ou moins vertes, ponctuées de quelques bêtes en train de paître sous la surveillance tendue des cowboys armés H24.

Un vol de bétail.

Un raid sur des indiens.

Un « blanc » finalement responsable arrêté par le sheriff.

Huit tintements de cloche d’école.

Une trentaine de « DING » concluant la bonne réception dans un crachoir à tabac à chiquer.

Six chansons.

Douze pokers.

Une naissance.

Une demi centaine d’insultes ou supposé.[

Deux politesses.

Une minuscule pépite d’or.

Un duel.

Deux décès.

Trois modifications du panneau de bienvenue à Hill Valley, annonçant le nombre d’habitants.






Mais pas la moindre information sur les bandits et leur diligence capable de traversés les routes stellaires, ayant cambriolés le coffre de Picsou dans les Citées Dorées du Consulat.

Lenore soupirait longuement devant un énième café pendant que son estomac se tordait, observant son reflet sur le verre usé et poli qui servait de miroir, tout le long du mur derrière le comptoir. Elle ne se reconnaissait même plus. Pâle, un chignon et des mèches artificiellement bouclées,  outrageusement maquillée et pomponnée, dans une robe à nombreux jupons d’un vert feutré.

Le tic d’une horloge cachée quelque part dans ce saloon égrenait un temps anormalement long. Il n’y avait rien à faire en journée et la chaleur n’aidait pas, même si ce n’était rien face à la température au Colisée.






La mercenaire était partie, comme d’autres, pour ce tout nouveau monde découvert suite  au braquage extraordinaire qui avait eu lieux, et à la demande de la journaliste de retrouver ses bandits.

Ce n’était pas une promesse officielle de récompense. Mais au pire, même si le retour de la fortune n’était pas rémunéré, elle se ferait le devoir d’accueillir bénévolement ses pièces orphelines et abandonnées par leur propriétaire.
Du moins, c’était l’idée de base. Enquêter sur ses bandits qui avaient réussis à semer la police du Consulat.

Lenore avait laissé aux autres l’enquête de voisinage, l’aide aux autorités local, bref les techniques habituelles et au final cela s’était avéré plus judicieux. Les étrangers sont mal vus ici. Beaucoup d’enquêteurs trop insistants ont finis derrière les barreaux le temps de « dégriser » et de comprendre qu’il valait mieux ne pas remuer la poussière.





La rousse s’était dirigée immédiatement auprès du saloon. Elle n’avait pas eu le temps d’en passer le double battant de bois, accueillie par une sorte de danseuse de cabaret, habillée comme elle à l’heure actuelle, et qui n’était plus de toute première jeunesse malgré la peinture. Une allure de vieux magasins repeint à neuf. Elle avait un accent à couper le beurre et aussi peu de manière qu’une poissonnière.


« Hey ma jolie ! T’es Didi, Dis ? »

« …euh... pardon je n’ai pas bien compris ? » Lenore essayait de décrypter le langage local.

« T’es Didi, que j’dis. »

« De t’façon, j’vois pô bi’n qui qu’çà p’rrait  êt’ d’aut’. Allez vi’ns don’ par-là, qu’y a du boulot. T’toute freluquette mais t’quiète t’va f’nir musc’ée comm’ nous aut’. T’s’ra bi’n n’rris icite don’. »

« Gné ? »

La mercenaire n’avait pas trop eu le temps de comprendre ce qu’il se passait, tirée par cette femme à travers le saloon puis vers les étages.

Avec une vitesse et une habileté sans égale, Lenore se retrouva déguisée de sa tenue actuelle. Aussi rapidement qu’on enfile un godillot avec un chausse pied. La rousse bredouillait des bribes de questionnement entre deux passages de tissu, le souffle coupé par le corset trop serré. Puis la poupée mercenaire fût de nouveau entrainée sans consentement pour être plantée devant le comptoir au rez de chaussé, devant le patron de l’établissement. Un gros chauve moustachu aux grosses bacchantes et petites lunettes, posa son regard sur sa nouvelle danseuse.


« Vous êtes un peu en avance mademoiselle Didi Sunshine. Bienvenue au Double Colt. Je sais que ce n’est pas la grande ville ici, mais on fera ce qu’on peut pour que vous vous sentiez bien, si vous n’êtes pas trop exigeante. Cookie vous expliquera les danses et les habitudes de la région. »Dit-il d’un ton calme et posé.

Pourquoi les taverniers sont-ils toujours tous en train de nettoyer des verres quand on leur parle ?

Sa chemise rayée maintenue par des bretelles et une bande de tissu sur chaque biceps alors que ses manches étaient retroussées au niveau du coude, lui donnait un certain civisme.

Karlson parlait si bien, clairement pas comme Cookie, sa chef de salle, que l’on se demandait s’il ne venait pas d’ailleurs. Mais contre toute attente, il était né ici et n’avait jamais mis les pieds ailleurs à plus de dix kilomètres aux alentours. Il connaissait la région comme sa poche, les habitants, les habitués, les habitudes.





Lenore était donc désormais, par la force des choses, Didi Sunshine, danseuse de cabaret dans le saloon de Hill Valley. Couverture parfaite pour elle qui lui laisserait apprendre bon nombre d’informations facilement.

Mais pour le moment, aucune information sur les coupables du braquage. Pourtant des rumeurs de banditismes étaient fréquentes dans le coin et les affiches pour chasseurs de prime étaient nombreuses sur la façade du bureau du sherif juste de l’autre côté de la Rue Principale, côte à côte avec la petite banque locale.





Une autre chose dérangeait la mercenaire dans ce monde. Les femmes étaient reléguées à leur faible nature de pauvres choses incapables de se défendre seule. En soit, ce n’était pas bien grave, jouer le jeu de la victime permettait souvent d’avoir l’ascendant sur quelqu’un. Les hommes de ce monde se faisaient un point d’honneur à les protéger et défendre, ils seraient donc facile à manipuler. Cependant, tous étaient armés de fusil ou de pistolets, ou presque, et ce, de façon quasiment permanente. La mercenaire n’aimait guère ce danger potentiel et permanent. En cas de problème que pourrait-elle faire ?

Heureusement les filles, à savoir « Didi », Jiji et Sou-Helen étaient choyés et sous l’œil paternel de Cookie et Karlson. Qui viendrait se mettre à dos la seule source de distraction de la ville.

Non pour le moment elle devait faire profil bas. Rester en ville, danser, chanter, rire, discuter et surtout écouter. Sans oublier de survivre à la cuisine locale….





Ce dimanche, la diligence passait en ville, elle apporterait certainement son lot de nouveautés, elle devait encore patienter. La véritable Didi risquait d’ailleurs d’en descendre. Elle devra prendre les devants et la réceptionner pour la convaincre qu’ici, le patron n’avait plus un rond et fermait boutique, lui payer son billet pour Deadwood, prochaine destination de la diligence, en lui assurant qu’elle y était attendue au saloon, que tout était déjà réglé, et veiller à ce qu’elle reparte sans avoir parler à personne.

Et attendre…. Encore….


« Didi dis ! r’branch’ t’caf’tière et vi’ns don’ s’couer tes jambonneaux par icite ! » Cookie la tirait de sa rêverie.

« J’arrive ! » Lenore finit son jus de chaussette qu’ils appelaient café pour regagner la scène, à l’heure de la répétition. Les danses n’étaient pas très compliquées mais très énergiques et coordonnées. De quoi réveillé un public désespéré.

Tout ce monde était déprimant pour la mercenaire. Elle ne tenait que par la soif de l’or qui se répandait plus vite que la grippe ici et le souvenir d’autres mondes meilleurs, celui de Port Royal et de Grimm.
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Tac....
Tac Tac....
Tac...

Lenore leva la tête de son oreiller, les yeux encore clos, cherchant à distinguer ce qu'elle entendait. Dans les brumes de son sommeil, elle ouvrit un œil puis l'autre. La pièce était immobile, plongée dans le noir, rien d'inhabituel pourtant.

Tac...
Tac...

Quelque chose heurtait la fenêtre donnant sur l'arrière du saloon. Impossible que ce soit une branche d'arbre, il n'y avait rien d'autre qu'un petit débarras et un poulailler entre le saloon et l'immensité de l'ouest donnant sur les collines de ce côté là.

La mercenaire se leva, enfila par dessus sa chemisette une sorte de robe de chambre aussi vaporeuse que l'haleine d'un alcoolique qui ne devait donner rien de plus que l'illusion de s'habiller plus convenablement. Elle alluma la lampe à huile qui diffusa sa lumière orangée doucement.
Grossière erreur. Ce fût le signal annonçant son réveil.
Une voix éraillée et pas tout a fait sure d'elle se mit à chanter.


"You are my Sunshine.... my only Sunshine....
you makes me happyyyyyyyy when skies are grayyyyyyy....."


Bordel... on la réveillait pour lui faire du gringue....
Elle ouvrit sa fenêtre en relevant le battant mobile et passa la tête.


"Le ciel est gris parcequ'il fait nuit !! Bordel Everett!! va décuver ailleurs!"

"A-attends ... Didi attends la suite je...je fais çà pour toi... parceque je .. Hips! .. Je t'aime" Avait  bredouillé le gamin blond ayant à peine la vingtaine et servant d'apprenti et d'esclave non déclaré au palefrenier local.

" Tu as dix secondes avant que j'aille chercher le fusil de Karlson! Et Dieu lui même décidera si je te tue ou je te blesse seulement." Lenore fit résonner sa voix dans les graves pour affirmer son sérieux dans sa déclaration.

Le sommeil s'est sacré!

Il se tut enfin.

Elle s'apprêtait à refermer sa fenêtre lorsque la lune joueuse se dévoila de derrière un nuage, baignant le décor de ses reflets argentés. Quelque chose bougeait plus loin. Discrètement, le pelage crème trottinant vers l'arrière du poulailler, les yeux luisant comme des feux follets en réponse à la luminosité nocturne soudaine.


"Ev'rett!un coyote!" hurla t elle en désignant du doigt la direction du poulailler.

Hors de question de se priver d’œufs pour le petit déjeuner!

Le gamin ramassa un caillou pour faire peur à la bête.


"Yip ! Yip! Yip! Hips!" Avait-il hoqueté en agitant des bras.

L'animal avait tout juste reculé, observant l'humain gêneur pour trouver une faille et gagner sa pitance sous son nez.

Puis la porte arrière s'ouvrit, recouvrant le sol d'une nappe de lumière dorée . Karlson réveillé par le tintamarre du gamin, braquait le fusil vers le ciel.
Un coup suffit, résonnant dans la nuit.
Le coyote s'enfuis en toute hâte, la queue entre les jambes.
Le gamin s'effondra au sol effrayé, la qu... enfin voilà.

Le tenancier vint relever le loustic et le ramener à l'intérieur pour lui faire la leçon, le faire décuver, lui laisser le temps de se reprendre, n'importe quoi, la rousse s'en fichait en fait. Tout ce qui comptait là tout de suite.... c'était de retourner se coucher. Elle s'effondra sur le lit, faisant grincer les ressorts et s'endormit en quelques secondes, sans même penser à replacer la couverture par dessus elle.






Le matin avait été difficile.
Karlson était déjà au tacquet. Ce type n'était certainement pas humain. Calme, insensible à la faim, l'alcool, la fatigue, l'ennui.
Il avait chargé Lenore d'apporter un panier à Everett pour le remercier de nous avoir sauver du coyote pendant la nuit. Pas grand chose, du pain, deux oeufs frais, du beurre.... C'était plus pour le geste et acheter son silence sur le reste.
Il n'y avait pas mort d'homme, mais c'était comme çà que les problèmes se réglaient ici. Du moins ceux qui ne faisaient pas parler la poudre.

Devant le peu de possession de la rousse, Cookie avait eu la pitié de lui payer une longue jupe et une chemise à carreau tout deux en coton bleue. Lenore avait donc presque l'air normale en sortant du saloon avec son panier dans les bras.
Elle s'étirait et baillait sur les lattes de bois prolongeant l'entrée du bâtiment sur la Grande Rue Principale, profitant du soleil matinal pour chasser les restes de sa courte nuit.

La mercenaire doutait qu'il y ait eu un quelconque architecte à la construction de la ville. Elle s'articulait au plus simple possible en T. Les maisons avaient été construites au fur et à mesure des besoins. D'un côté la Petite Rue Principale, couverte pour moitié de la mairie, gigantesque sur trois étages et actuellement en réparation après un méchant coup de foudre sur son horloge. A ses côtés , l'école, l'église et les maisons des plus notables, bourgeois habitants, bizarrement tous de la famille du maire. Et dans l'alignement du fronton de ce bâtiment, histoire que le petit roi local garde un œil sur son peuple, s'étendait la Grande Rue Principale, et unique pour le moment que Lenore commença à descendre. Les commerces s’enchaînaient de part et d'autres, chapeautés par la partie privée des propriétaires. Les arrières cours n'étaient pas délimités, une barrière en bois tout au plus, ils avaient tout l'espace à volonté en cas de besoin après tout, perdus au milieu de nulle part dans l'immensité des collines.

Il n'y avait que les propriétaires terriens et les éleveurs qui fermaient leurs espaces dans ce monde. Passant pour des gens radins et têtus. La prochaine ville était a minimum deux jours de diligence , quand celle ci , pressait ses chevaux en cas d'attaque de bandit, de sioux, de bandit sioux, etc...

Chaque bâtiment avait prolongé sa devanture de lattes de bois, ménageant presque de large trottoir bien utile pendant les pluies. Les bottes claquaient au rythme de pas tranquille des matinaux.

Le saloon faisait face au bureau du shérif en haut de la rue. En cas de problème, il pouvait intervenir rapidement.
De même la banque était tapis comme une souris apeurée contre le bâtiment de loi. Intelligent? à priori... mais Lenore se posait la question si au final... la salle des coffre ne donnait pas sur une des cellule, par mur interposé.

Quelques maisons, quelques salut polis. Tout le monde se connaissait ici. Un sifflement appréciateur.


"Bonjour Bob, comment se porte ta femme?" Lenore souriait en coin, elle n'eut pour toute réponse qu'un raclement de gorge gêné.

Le cordonnier et l'épicier face à face se regardaient en chien de faïence. Une vieille embrouille nourrissait la guerre froide du village, avec les pour, les contre et les neutres, beaucoup de neutres, les deux commerces étant essentiels à la vie quotidienne, il ne fallait se mettre ni l'un ni l'autre à dos.

La sortie du village se voyait partagée entre le cimetière et le relais postal : écurie et palefrenier, forge de secours et équarrissage des chevaux, bœufs et poulets. Le bruit, l'odeur, les mouches, les vautours et les hurlements du vieux Mac Cunnighan, autant de raison de le mettre le plus à l'extérieur de la ville possible.





Lenore était pressé de faire sa livraison et d'oublier cette histoire, mais en y réfléchissant, elle allait en profiter pour demander un service au gamin qui lui serait vitale dans ce monde. Elle poussa la porte du bâtiment. Pas un bruit dans la partie forge. Elle poussa plus loin vers l'étable. Les chevaux soufflait, couvrant à peine un bruit sourd chuchoté. L'un des bestiaux agitait une oreille, le regard captivé par ce qu'il se passait dans un des box.

Il y avait eu une naissance pendant la nuit? Lenore s'approcha sans bruit pour observer le petit poulain tout mignon.
A défaut de canasson, elle y trouva une bête à deux dos, ou presque, heureusement les gamins étaient encore habiller. Elle souffla un rire. Everett et la fille du vieux Mac se réveillaient l'un l'autre.


"Bah çà va t'as pas perdu de temps" Fit- elle assez fort pour les interrompre.

Ils sursautèrent, babillant des excuses et d'autres idioties.



"Oh Didi,euh c'est ...  c'est pas ce que tu crois!"
Le gamin était écarlate entre la gêne et l'excitation pas encore retombée.

"Il m'as sauter dessus!" Tentait la dévergondée en accusant le pauvre apprenti de son père.

"Quoi? mais c'est toi qui m'as sauter dessus et embrasser!" Il ne devait pas s'attendre à ce qu'elle cherche à sauver sa propre peau.

"Ahin, et t'était en train de te débattre j'ai vu çà." Fit la mercenaire en souriant en coin, ahhhh la jeunesse.

"Tout le monde sait que je ne suis pas ce genre de fille! Personne ne te croira"

"Toi va te plonger le cul dans l'eau froide! Casses-toi j'ai à lui parler." Fit sèchement Lenore.

La gamine regagna ses quartiers en quittant l'étable, laissant le pauvre type chamboulé, incapable de comprendre ce qu'il s'était passé au final dans sa tête. Il était désemparé et voyait déjà son patron le tuer et tendre sa peau pour s'en faire des bottes.


"Karlson m'as envoyer te filer ça pour te remercier d'avoir chasser le coyote. On oublie ce qu'il s'est passé cette nuit et ... là avec l'autre poule. Je te conseille de garder tes distances avec elle.
T'inquiète pas pour son père, si il faut je te couvre. Mais à mon avis, il connais suffisamment sa fille. Contente toi de faire profil bas.
Par contre je voulais te demander un service. Je voudrais apprendre à monter à cheval, tu penses que ça peux être possible?"


Il releva le visage un peu rassuré, hochant la tête. Il se releva, chassa les brins de paille et remit de l'ordre dans sa tenue.

"Je .. je vais voir, ce que je peux faire.. oui...Je suis désolé pour tout ça."

"T'inquiète pas va... C'est de ton âge. Ça sera ni moi ni la fille du vieux Mac, mais tu trouveras la bonne. Tu penses quoi de la fille de l'instit? Elle est douce et gentille à aider sa mère à donner des cours et en plus elle en a dans la tête, elle au moins. Ça c'est quelqu'un qui le mériterait." Lenore souriait amusée en le voyant rougir.

"Je ... je sais pas .. peut être... plus tard. C'est pas le moment je crois."

Elle le laissa à son travail du jour. Ils s'étaient mis d'accord sur l'heure du déjeuner pour les cours d'équitation. Les deux ayant une pose suffisante, Lenore apporterait le repas pour payer le gamin.

Elle deviendrait rapidement une vrai fille du far west.... Il ne manquait plus qu'à apprendre à tirer mais ça, elle y était plus réticente déjà.
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Wesh Lenore est dans la place ! la premières personne à fouler la poussière de ce Monde est une Merco ! Représence woman Cool


Bon plus sérieusement, je dois avouer que j'ai moyennement apprécié cette petite aventure. Non pas qu'elle était nul ! j'y ait retrouvé tous les éléments qui rendent tes Rp superbe ! le seul élément qui m'a un peu fait tiquer c'est tes ellipses.

En temps normale elles passent plutôt bien. Mais pour ce coup-ci....je sais pas...y'en avait peut être un p'tit peu trop.
Les deux qui m'ont vraiment gêné par rapport au reste sont:
[*] la première ellipse qui explique la présence de Lenore dans ce monde. J'avais imaginé qu'au lieu de passer sur un ou deux jours d'enquêtes, on aurait put avoir de quoi nous mettre sous la dent, de découvrir l'ambiance du coin tout en observant Lenore s'imprégner des coutumes de l'endroit pour ensuite se fondre dans le décors comme elle sait bien le faire.
[*] La seconde ellipse est simplement celle qui sépare le premier et le second poste...là j'ai envie de dire c'est plus d'un coté assez tatillon que celui-ci me hérisse les poils....c'est le fait que on ne sait pas combien de temps est passé entre eux...on peut se permettre de le deviner....mais pas de façon relativement précise

Pour le reste....j'ai rien d'autre à dire ! c'était un début de conquête de l'ouest vraiment sympathique à lire Smile

une jolie petite mission Facile je dois avouer

10 Xp + 100 Munnies + 1 PS (Dex...la danse ça fait travailler)
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