Petit Chaperon Rouge, la vingt-et-unième passagère Szp8Petit Chaperon Rouge, la vingt-et-unième passagère 4kdkPetit Chaperon Rouge, la vingt-et-unième passagère 4kdk
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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Petit Chaperon Rouge, la vingt-et-unième passagère

Le pilote du vaisseau de la Shin-Ra suait à grosses gouttes dans son poste de commande, l'odeur du sang lui rappelant ce qu'il c'était passé à peine quelques heures auparavant. Jusque là, tout c'était passé comme d'habitude, il faisait sa tournée de monde en monde lorsqu'un groupe de passagers embarquait à l'astroport du pays des merveilles sa destination suivante étant la citée du crépuscule.

Ce n'était que lorsqu'il était déjà loin de son point de départ que les cris de terreur avait commencé à résonner depuis l'arrière du transport inter-monde, un mouvement de panique poussant plusieurs personne à frapper frénétiquement à sa porte pour qu'il les laisse rentrer. Les caméra de surveillance lui avait tout montré, la jeune femme assise au font, celle qui portait un chaperon rouge et un panier d'osier, qui se levait et saisissait les cheveux de l'homme sur le siège devant le sien avant de planter ses crocs dans sa gorge et de l'arracher. Puis le carnage, elle avançait dans les rangs, tuant plusieurs autres innocents, apparemment au hasard.

Hommes, femmes, enfants ou vieillards, elle n'avait fait aucune distinction entre eux. Soudainement, les coup derrière la porte avait cessé, une flaque rougeâtre virant progressivement au marron apparaissant partiellement dans sa cabine. Puis trois coups, beaucoup plus fort que les autres et une voix douce lui parvenait aux oreilles.

"Excusez-moi. Monsieur le chauffeur ? Vous m'entendez ? Je crois que je me suis trompée de vaisseau. Est-ce que ça vous dérangerait de faire un détour par le château de la bête ? S'il vous plaît, ça serait tellement aimable de votre part."

Puis le bruit du métal sur le métal, comme si un animal grattait à la porte avec des griffes d'aciers. Il avalait sa salive et regardait les écrans de surveillance, se rendant que c'était elle qui grattait, mais pas seulement pour le plaisir de faire du bruit, elle était en train d'écrire, ce qui ressemblait à une liste de course… De morceaux qu'elle se mettait ensuite à prélever sur ses victimes pour les mettre dans son panier. L'odeur et le bruit était insoutenable, il pouvait voir les survivant se cacher entre les sièges, essayant de ne pas faire de bruit alors qu'elle mutilait les cadavres. Et là il la voyait se rendre au fond et prendre son élan pour percuter sa porte, puis recommencer avant de se mettre à genoux et de pleurer.

"S'il vous plaît monsieur, je suis perdue, je n'arrive pas à retrouver mon chemin, c'est au moins le trentième bus que je prend depuis que je suis partie de chez moi."

La scène était complètement folle, elle venait de massacrer les autres passager de sang-froid, avait presque enfoncé sa port et maintenant elle pleurait à chaude larme. Le pilote faisait alors un choix, il activait le système de communication interne et annonçait le plus normalement possible, la voix tremblant tout de même, qu'il allait dévier de l’itinéraire prévu. La passagère en rouge se relevait alors et affichait un énorme sourire, faisant signe à une des camera avant de retourner s’asseoir à sa place, balançant ses jambes d'avant en arrière.

Et maintenant il se dirigeait vers l'espace de stationnement qui lui avait été attribué, ayant prétexté un problème technique afin de pouvoir se poser au château de la bête, ouvrant les portes aussi tôt que possible et attendant que la louve se décidait à descendre. Elle prenait ensuite la direction de l'accès au village en sautillant et en balançant son panier joyeusement. Ce n'est que lorsque l'équipe technique arrivait enfin que le carnage était constaté. Si la vingtaine de passagers, il n'en restait que six, en état de choc, couvert de sang.

Red quand à elle quittait déjà le village, s'engageant dans les bois en direction de l'immense demeure au loin en fredonnant.

"Promenons nous dans les bois, tant que le loup n'y est pas, si le loup y était… Ho, non, attendez, je ne peux pas chanter ça, le loup y est depuis que je suis là… Qu'est ce que je vais chanter maintenant ?"

Elle se mettait donc à marcher normalement, l'air perdu dans ses pensées, prenant à peine garde à son environnement et ne sortant de ses réflexions qu'un long moment plus tard, lorsqu'elle finissait par se cogner au portail de la battisse. Elle se permettait ensuite de le pousser et allait frapper à la porte, la anse de son panier passés autour de son bras gauche jusqu'à son coude, ses doigts couverts de métal tapotant sur le bords de la corbeille. Elle levait alors la main et frappait sur l'immense porte, trois fois, avec une délicatesse ridicule, avant de finalement y mettre un grand coup de pied après avoir patienté environ trente secondes.

"Il y a quelqu'un ?! Ils auraient peut installer une chevillette à l’extérieur aussi… Il commence à faire froids."

Ajoutait elle en croisant les bras et les frottait pour essayer de se réchauffer, sa tenue n'étant absolument pas adaptée à la nuit qui commençait à tomber.

"Et puis tant pis !"

Elle tendait alors sa main droite vers la porte et une boule de feu relativement puissante explosait sans prévenir.



Dernière édition par Red le Ven 23 Mar 2018 - 16:39, édité 3 fois
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-Ma….Madame… Il y a quelqu’un à la…


Le repas venait d’être servi dans la salle à manger, un endroit chaleureux et commode qu’il était plus aisé de chauffer que la salle de bal où l’on avait du diner autrefois lors de grandes réceptions. J’allais mettre la première fourchette en bouche lorsque Big-Ben traversa la porte et m’interrompit, aussi livide que son teint de cadran lui permettait. Je compris à le voir qu’il y avait effectivement un problème. Alerte, je me relevai vivement en entendant des pas arriver derrière le majordome, me préparant à toute éventualité. Avait-on pénétré dans le château ?

-Qu’est-ce que…?
-Madame, une déflagration vient de s’abattre sur la grande porte. Cela ressemble à… une attaque.


Je fus momentanément soulagée lorsque je découvris le garde apparaître dans l’encadrement de la porte et rester derrière celle-ci, prenant garde à ne pas écraser l’horloge. Mais ce fut de courte durée lorsque je réalisai la potentielle gravité de la situation. Je n’étais maître en ces lieux que depuis une semaine et le château était attaqué. Quelqu’un était-il venu pour se venger d’un acte commis par la Coalition ? Etait-ce un autre groupe qui profitait du changement dans la Coalition et du désordre que cela avait pu apporter pour porter un coup fatal à l’une des forteresses de notre groupe. Tout était envisageable.

-Comment est-ce possible ? Pourquoi n’étiez-vous pas à votre poste ? Comment ne les a-t-on pas vu arriver ?
-Je… Nous… Désolé, Madame. Nous avons du nous rendre d’urgence dans l’aile est, un domestique avait signalé une présence étrange et nous… nous pensions que cela avait pu avoir un rapport avec la Princesse.
-Imb… Vous auriez du laisser au moins deux d’entre vous devant la porte.


Nul doute que le garde avait remarqué mon irritation, j’étais habituellement plus patiente et compréhensive avec mes subordonnés.  En vérité, j’étais surtout effarée, je ne m’étais absolument pas préparée à une attaque aussi précipitée, même après l’entrée en scène du porteur de la keyblade.

-Venez, il faut voir de qui il s’agit.


Nous nous précipitâmes vers la porte. Plusieurs gardes attendaient déjà devant, n’osant apparemment pas la passer et attendant les ordres. En m’approchant d’eux  je fus surprise de n’entendre aucun autre bruit que leurs murmures, pas de bruits de pas, ou de nouvelles détonations, pas même une voix, comme ça aurait du être le cas si une troupe s’était tenue derrière les murs.

-Que se passe-t-il ? Avez-vous découvert quelque chose ?
-Non, Madame, nous attendions vos ordres. Il y a tout de même quelque chose…
-Quoi ?
-Depuis la déflagration, de la magie sans doute, on n’a plus rien entendu. Juste avant, il y avait une voix féminine, et puis, plus rien.


Se pouvait-il qu’il n’y ait plus personne ? Une tentative, une attaque éclaire et puis… plus rien ? Je décidai de prendre les devants, une main sur la garde de mon épée et l’autre sur la porte que je fis déverrouiller puis ouvrir doucement, prête à n’importe quelle éventualité.

Quelle fut mon incompréhension lorsque je découvris cette étrange jeune femme à quelques mètres de moi. Son apparence m’interpella immédiatement, que ce soient ses pattes recouvertes de poils et prolongées de griffes acérées, ou son habillement parfaitement provocant. Elle était rouge, oui, mais pas seulement par ses habits. Du sang séché maculait son visage, son cou, sa gorge et le haut de sa poitrine. Je maîtrisai immédiatement mes émotions et décidai d’afficher une attitude impassible. Je tournai ensuite mon regard vers la porte dont le bois avait quelque peu foncé en un assez large rayon. La situation et la gravité de ses actes ne semblaient pas la préoccuper. Etait-elle folle ? Voulait-elle que je la réveille ?

Sans le laisser prévoir, je me précipitai sur elle, la saisis par le col de son chaperon, et la projetai contre la porte pour la tenir fermement à une vingtaine de centimètres du sol. Savait-elle seulement à qui elle s’adressait ? Elle était dangereuse, à l’évidence. Pour autant, il était important qu’elle sache que nous n’étions pas personnes à se laisser agresser par les autres sans réagir.

Mes premiers mots à son égard furent cependant calmes et mon expression indolente, malgré l’étrangeté de la situation. Il fallait qu’elle comprenne que j’étais maître de la situation.

-Vous cherchez quelque chose ? Vous seriez-vous perdue ?
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Petit Chaperon Rouge, la vingt-et-unième passagère

Après l'explosion imprévue de son sort laissant uniquement une marque sur le bois massif de la porte, la jeune femme était restée figée dans une expression mêlant l’incompréhension et la déception, son oreille gauche parfaitement droite pointant vers le ciel alors que la droite était sur le coté, cette dernière remontant progressivement au même rythme que l'aiguille d'une horloge. De l’extérieur, difficile de savoir si il y avait encore quelqu'un à l’intérieur de sa tête, avec son regard vide et son immobilisme presque total. On pouvait même dire qu'à se stade, si quelqu'un avait décidé de la peindre en gris ou en bronze, elle aurait fait une superbe statue.

Elle enregistrait à peine la scène face à elle, complètement déconnectée de la réalité. D’ailleurs, lorsque la propriétaire des lieu commençait à la malmener, elle se laissait balancer comme une peluche grandeur nature sans même tenter de résister. Lorsque ses pieds quittait le sol, son corps tout entier pendait simplement dans le vide, inerte et ce même plusieurs secondes après que la jeune femme au cheveux noir face à elle ne l'interroge.

Puis sans prévenir, au moment même ou sa seconde oreille finissait par être perpendiculaire au haut de son crane. Ses yeux se remplissait alors de vie alors qu'elle s'exclamait sans même prendre garde à la personne devant elle lorsqu'elle levait les mains, les deux s'entourant de flammes.

"Je dois pas avoir frappé assez fort pour qu'ils m'entendent, je recommence !!! Heu… Mais elle est où la porte ?"

Elle baissait alors le regard et les bras alors que ses flammes se dissipaient. Elle remarquait alors qu'elle était soulevée par le col et s'agitait dans tout les sens.

"Hé, mais lâchez ça, vous allez me l’abîmer !!!"

Elle défaisait alors le bouton qui fermait le col de son chaperon et se laissait tomber sur ses deux pieds le plus simplement du monde. Elle approchait alors son visage de celui de son interlocutrice et se mettait à renifler l'air frénétiquement. Elle tournait ensuite le regard vers les gardes et continuait de renifler avant d'afficher un petit sourire et de répondre à la question qui lui avait été posée avec un ton enjoué.

"Non, c'est bon, j'ai trouvé ce que je cherchais. C'est bien vous les gens qui avait fait un véritable massacre dans un des village de Grimm non ? Ou en tout cas vous devez les connaître, vous avez tous plus ou moins leur odeur sur vous. Je ne me serais jamais doutée que des gens comme ça vivraient dans un grand château comme ça… Je voyais plus une grande grotte lugubre comme celle dans la colline pas loin de chez Mère-Grand."

Elle jetait ensuite un coup d’œil par dessus son épaule et regardait la mains de l'autre femme.

"Je pourrais récupérer mon chaperon s'il vous plaît ? Les gens ont du mal à deviner qui je suis quand je ne le porte pas et vous arracher la main serais du gâchis, j'en ai déjà bien assez dans mon panier pour pouvoir grignoter jusqu'à la fin de la semaine."

Elle montrait alors le dessus du panier, dont le tissus blanc couvrant le contenu était marqué de plusieurs taches dont la couleur ne laissait aucun doute sur leur nature. D’ailleurs, la nouvelle du massacre ne devaient plus réellement tarder à parvenir à cet endroit, un messager à cheval était relativement rapide, c'était même presque étrange qu'il ne l'ait pas dépassée en chemin.

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Ses manières et ses airs de pantins aux yeux vides eurent vite fait de m’énerver. Le fait qu’elle s’approche ainsi de moi pour me renifler comme une bête m’agaça instantanément au point que je dus me retenir de la repousser avec répugnance. Son odeur de sang ne manqua pas de s’imprégner dans mes narines, au point de me faire momentanément tourner la tête.

Le fait qu’elle soit venue expressément pour rencontrer des gens de la Coalition Noire ne m’étonnait finalement pas, elle était parfaitement étrange, imprévisible, insolente et inquiétante. Mais la question restait la même pour moi : que voulait-elle ? Elle avait parlé des événements de Grimm avec indifférence, quoi qu’avec un peu d’enthousiasme, donc certainement pas pour la vengeance.

J’avais entendu parler de l’intervention de Death en ces terres. J’avais cru comprendre que ce qui s’y était passé n’était pas le genre d’histoire qu’on aurait raconté à des enfants. Il était déterminé, et cette détermination pouvait certainement le pousser à bien des cruautés.

Je finis par lui lancer le chaperon que j’avais encore en main d’un mouvement rapide, ne cherchant plus à être en contact avec elle.

-Dans le cas où moi et mes hommes serions liés d’une quelconque façon à cette histoire, je vous le redemande une dernière fois : que nous voulez-vous ?


J’étais restée très froide dans ma question, je voulais qu’elle comprenne que ce semblant d’agression n’était pas sans gravité. Attaquer ainsi notre groupe, une de ses places principales, représentait un affront, qui sans explication, devrait être puni immédiatement.

-Bien que cette porte ne soit qu’à peine abîmée, vous devez bien vous rendre compte qu’on ne s’en prend pas à la Coalition Noire seul, à moins d’attendre la mort.


Je tournai ainsi mon regard vers les gardes, qui se trouvaient toujours à proximité, prêts à l’attaquer et à la l’abattre, de même que moi, à la moindre incartade.

-De plus je doute que vous soyez capable de m’arracher ma main, ni quoi que ce soit d’autre d’ailleurs.


Un péché d’orgueil ? Je n’avais pu m’empêcher de lui faire comprendre qu’il était peu vraisemblable qu’elle réussisse à s’en prendre à moi avant que je prenne le dessus. En vérité, tout son être inspirait en moi de vilains sentiments. Que ce soit son allure ou son attitude, ou sa répugnante mention aux crimes qu’elle venait juste de commettre vraisemblablement, aux mains qui se trouvaient dans son panier.  Une cannibale ? Il fallait vraiment qu’elle reste loin de moi, il fallait absolument que j’évite de voir le contenu de son panier.
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Petit Chaperon Rouge, la vingt-et-unième passagère

La jeune louve attrapait alors le bout de tissus et le serrait contre elle tel un bébé câlinant son doudou préféré, juste avant de se mettre à l'inspecter, couture après couture, plis après plis, déchirure après déchirure. Elle le tenait ensuite à bout de bras devant elle et souriait, avant de subitement l'enfiler et refermer le bouton au niveau de son col. Elle se retournait ensuite vers les gardes et prenait la pose, main gauche ,tenant son panier, posée sur la hanche et main droite faisant un V droit devant elle. Elle restait figée quelques secondes, les oreilles bien droites au-dessus de sa tête et un large sourire révélant ses crocs. Après, elle se relâchait et agitait doucement sa queue derrière elle.

"Hum… En fait, je me disais qu'on pouvait s'amuser un peu ensemble. La meute va me manquer, mais il faut avouer qu'on ne fait pas grand chose en dehors de chasser les gens isolés dans la forêt. Jamais nous n'aurions osé attaquer le village comme vous l'avez fait… Enfin, pas depuis que les gens sont sur leurs gardes en tout cas. Je me disais que ça pouvait me changer un peu les idées de quitter un peu la maison. J'espère que Grand Méchant ne va pas en profiter pour me piquer mon territoire. Je suis presque certaine qu'il m'en veut toujours pour sa baignade forcée… Mais bon, c'est sa faute, il n'avait qu'a pas essayer de me manger."

Son regard se portait ensuite sur la porte noircie et elle se mettait à rigoler comme une sotte avant de se tourner vers son interlocutrice, le malaise était à peine perceptible derrière ce masque de froideur. Mais c'était probablement normal pour une chef de meute en face d'une autre, elle aurait sûrement réagit de la même manière si elle n'avait pas été dotée d'une logique si différente de la normale. Ses compagnons de chasse lui faisaient régulièrement comprendre qu'elle était assez… Spéciale.

"En fait… Je frappais simplement à la porte, comme personne ne répondait, j'ai simplement frappé plus fort. Et j'allais encore frapper, juste un tout petit peu plus fort. Vous devriez faire installer une clochette… Ou un truc, comment ils appelaient ça déjà dans ce village bizarre avec les maisons en verre et en métal… Le machin avec le petit bouton et les fentes dans lesquelles il faut parler et qui transmet la voix loin. Enfin, pas dis que ce soit utile, les gens ne me laissent généralement pas rentrer quand je leur dis que c'est le Petit Chaperon Rouge. Vous auriez sûrement fait pareil. Non ?"

Red lui tendait ensuite la main droite en souriant, les yeux fermé et ses crocs bien visible, ajoutant tout simplement.

"Parce que oui, je suis Red, le Petit Chaperon Rouge ! Respectez ma célébrité fufufu !!!"

Elle plaçait alors sa main gauche face à son visage, toujours la main tendue et attendant un geste de la jeune femme face à elle.

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