L'Appel du Devoir : Guerre Moderne Szp8L'Appel du Devoir : Guerre Moderne 4kdkL'Appel du Devoir : Guerre Moderne 4kdk
Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

more_horiz
La Salle d'Arcade. Au début, je me disais « Cool, j'y suis jamais allé, ça doit être bien ». Alors j'y suis allé un peu les mains dans les poches. Avec mon vaisseau, j'ai atterri et je me suis retrouvé dans un truc qui ressemblait plus ou moins à un hall. Y'avait plein de gens, je supposais que c'était des personnages de jeux-vidéo, mais y'en avait ils ressemblaient franchement à rien. Du coup, je cherchais mes collègues de la journée. « Hero's Duty » qu'le jeu s'appelait. Les mecs devaient être costauds et tout, on m'avait même dit qu'ils étaient surarmés. Alors, j'ai commencé à chercher des mecs qui correspondaient à la description.

À un moment, je suis tombé sur un mec en armure et avec un énorme flingue. Au premier abord il respirait pas l'intelligence, alors je me suis dit que c'était qu'un simple soldat. Je me suis approché et l'ai interpellé.


Hé ! Monsieur le soldat !

Il s'est retourné, m'a regardé deux secondes et m'a demandé ce que je voulais. J'y ai raconté que j'étais son nouveau collègue, et c't'enfoiré s'est mis à se marrer. Le rire bien gras, un peu dégueulasse, celui qui tu balances quand tu lances une vanne que t'es pas sûr d'assumer. Sauf que là, lui, il assumait carrément. Il appelle un pote, me montre du doigt et les deux se marrent.

Bon, vous me montrez votre supérieur ou part sur un pique-nique claquos/pinard ?

Ils se sont stoppés, m'ont de nouveau dévisagé, et l'un d'eux a pris la parole.

Quoi ? T'étais sérieux gamin ? Tu sais, ça a beau être un jeu, c'est dangereux. En plus, t'as pas l'air d'être d'ici, donc s'il t'arrive quelque chose, t'auras pas de seconde chance.

Je m'en fous. J'ai pas été envoyer pour parler à des soldats sans grade, amenez-moi à votre supérieur.

Ça aura le mérite de la faire rire. Suis-nous.

Alors je les ai suivis et on est passés dans un tunnel estampillé « Hero's Duty ». Rapidement, le décor à changé du tout au tout. On était plus dans un genre de hall de gare, non, on était dans un bâtiment métallique futuriste. J'ai regardé autour de moi, et y'avait personne qui semblait au dessus des autres. Non, c'était que des soldats de base. J'ai pris le bras d'un gars et ai tiré un peu dessus. Il s'est retourné et, d'un air très aimable m'a demandé ce que je voulais.

Il est où votre supérieur ?

Pas là. Faut attendre que la partie commence. Enfile une armure, gamin.

Il m'a montré du doigt un genre de ratelier avec des armures comme les leurs dessus. Ce truc devait peser une tonne et devait être inconfortable au possible. C'était mort, je mettais pas ça. Puis, les lumières ont changé de couleurs et ont viré au rouge. J'ai regardé autour de moi si on voyait le boss de ces gars, toujours rien. Et là, t'as une voix qu'est sortie des haut-parleurs.

Sur une planète qui n'a pas de nom, une expérience ultra secrète à horriblement mal tourné
Vous êtes l'ultime espoir de l'humanité, votre mission : détruire tout les cybugs.


Ça plantait bien le décor en tout cas. Après, être l'ultime espoir de l'humanité, j'avais un peu l'habitude donc je serais pas trop déboussolé sur la charge qui pesait sur mes épaules. Puis merde, c'était qu'un jeu.

Et là, tout les soldats se sont alignés. Tous sauf moi qu'étais pour le coup un peu paumé et essayais de suivre la cadence. Des jambes ont descendu quelques marches, dévoilant peu à peu le corps d'une belle femme blonde. J'aurais pu tomber sous le charme... mais pour ça il aurait fallu qu'elle reste muette.


Bon, écoutez moi bien mesdemoiselles parce que je ne le dirai qu'une seule fois. Dans mon régiment la peur est un mot prohibé.Si jamais l'envie vous prenait de faire dans vos pantalons, évitez d'le répandre partout. Soyez des hommes pour que votre maman soit fière.

Putain, c'était carrément la caricature du sergent dégueulasse. Le truc type qu'on voit dans les films. J'saurais pas trop expliquer mais on pouvait carrément imaginer le sergent raciste, bien bourrin, ou un prof de sport, choisis. Les deux étaient la même chose de toute façon.

Nous sommes l'ultime espoir de l'humanité. Notre mission : détruire tout les cybugs. Vous êtes prêts ? C'est ce qu'on va voir.

Ben justement, je voudrais deux petites secondes en fait.

Quoi ?

Elle m'a regardé genre bien furax. Pour tout dire, c'est possible que j'aie flippé deux secondes. Elle s'est approchée de moi et à souri.

T'es qui toi ?

Je suis le Maréchal Roxas, de la Lumière. Je...

Hop, hop, hop. Si on devait recevoir la visite d'un Maréchal aujourd'hui je l'aurai su.

Ben justement, c'est un peu la visite surprise.

Et là, croyez-moi, croyez-moi pas, elle a serré le poing et me l'a foutu en plein dans la tronche. Le pire c'est qu'elle cognait pas mal celle-là. Bon, c'était pas niveau Jecht non plus, fallait pas déconner, mais j'ai bien senti l'impact. Sur ça, je me remets la tête droite, je la regarde dans les yeux et j'y fais.

Bon par contre, si on doit commencer à se tabasser, je promets rien, mais j'suis pas sûr de perdre.

Là t'as deux trois soldats qu'ont commencé à se marrer, mais discret pour pas s'en prendre une par le chef de régiment.

T'as du cran, j'aime ça. Peu importe la raison de ta venue, tu vas passer un test. Prends une armure et accompagne mes soldats sur le champ de bataille, on verra ce que tu vaux.

Ils commençaient à me faire chier avec leurs armures, eux.

Début du jeu dans 3... 2... 1... Début du jeu.

Le mur en face de nous depuis tout à l'heure se réveillait en fait être une porte. Et quand elle s'est ouverte... Je commençais a regretter de pas avoir pris une de leurs armures. Devant nous, c'était pas compliqué, c'était une ligne droite sur facile cinq cent mètres et au bout y'avait une tour gigantesque.

La difficulté dans tout ça ? Y'avait genre cinq cent millions de ce qu'ils appelaient des cybugs. C'était comme des mouches mécaniques qui se déplaçaient en nuées mais avec des yeux verts. Et les trucs étaient bien vénère quoi, à peine sortis de la base qu'à certains endroits, on ne voyait plus le ciel.

J'ai pris une profonde inspiration et j'ai foncé. Les soldats tiraient dans tout les sens et tuaient plein de ces merdes, ils étaient quand même efficaces. Mais du coup, si je voulais les enrôler fallait que je fasse mieux. Alors, j'ai déployé mes keyblades et je me suis envolé. Un bon grand saut qui m'a fait décoller à des bonnes dizaines de mètres. J'ai donné quelques coups comme ça, pas forcément puissants mais assez cools avec l'espoir que la chef me regarderait à ce moment là.

Les cybugs touchés filèrent vers le sol et s'écrasèrent sur le chemin qui menait à la tour. J'espérais pas faire la connerie d'en envoyer un sur un soldat sinon c'était moins mille points direct. J'enchaînais avec des pirouettes et tout ça, des fois me servant même des cybugs comme de plate-formes pour aller en frapper d'autres. Ça j'ai vite arrêté, parce que ok, ça les propulsait sur le chemin et ça les éclatait, mais ils étaient quand même assez petits et deux fois sur trois, je perdais un peu d'équilibre. Si je me ramassais, j'allais passer pour un con.

Puis au bout d'un moment, j'ai eu un déclic. C'était mécanique, et les machines ça aimait pas prendre la foudre, ou alors qu'a un degré moindre. Alors j'ai préparé un sort de foudre, je l'ai concentré en un rayon de magie pure, et j'ai balayé une large zone dans le ciel. Pas mal ont grillé et ont chuté, j'étais plutôt fier de moi.

Mais maintenant, y'avait besoin de moi au sol, alors j'ai fonçé et me suis redressé un peu avant l'impact pour ré-atterrir droit. Là, j'ai balancé un bon combo avec des lancés et tout, c'était beau, et j'en ai éclaté facile cinq. Assez pour sortir du trouble le soldat que j'étais venu sauver. Et là, j'ai vu un truc.

C'était comme une espèce de télé avec une tête d'humain dessus. La tête avait l'air super concentrée et tout mais je comprenais pas trop ce qu'elle foutait là. Je me suis dit que c'était important alors j'ai commencé à y faire gaffe.

Après deux bonnes minutes, continuant mon esbroufe, j'ai remarqué que pas mal de soldats avaient été mis ko. Je pouvais pas être partout aussi, puis c'était pas si mal on était presque rendus au pied de la tour. La chef nous rejoint, moi et la télé bizarre et on s'engouffre dans la tour.

Une fois dedans, elle hurle des ordres aux deux soldats encore avec nous, et ils s’exécutent direct. Ils sécurisent la zone, tuent les cybugs et nous offrent un temps mort. Je regarde la chef et la télé, ils semblaient reprendre leur souffle.


On fait quoi maintenant ?

Maintenant faut atteindre le sommet et activer le faisceau. Ça repoussera les cybugs et on pourra rentrer chez maman.

Ah ouais. Ben je passe devant.

Je grimpe une volée de marches et arrive à l'étage du dessus. Là, y'avait plein d'oeufs par terre, je sentais la connerie venir. Un œuf s'est allumé en vert et a presque instantanément éclos. Un tir m'est passé juste par dessus l'épaule et est venu se loger directement dans la tête de la minimouche. A en voir la tête de vainqueur de la télé j'imagine que c'était elle qui avait tiré.

Fais gaffes avec ton truc toi, j'ai pas envie d'exploser.

Parles-moins et protèges l'utilisateur.

Putain, je venais de percuter. On était dans un jeu, la télé bizarre c'était le joueur. Le mec qui avait mis son munny dans la machine pour lancer la partie. Effectivement si je voulais arriver au bout du jeu, c'était peut-être pas si con que de la protéger.

La chef était une vraie folle de la gâchette. Elle a nettoyé la salle des œufs en deux deux, j'ai pu cligner des yeux trois fois que ça y'est le sol était propre. Enfin, propre... c'était une façon de parler, parce que y'avait quand même pas mal de pièces détachées un peu partout. Encore une chance que ces conneries pouvaient pas se régénérer.

Quelques étages plus tard, on est tombés dans un piège. Du plafond sont tombés des cybugs, mais différents des autres. Ceux-là étaient plus grand et plus gros, et ne volaient pas. Je suis resté avec la télé et j'ai commencé à défoncer tout les robots que je pouvais trouver. Après quelques roulades et quelques sauts, j'ai réussi à réduire leurs rangs.

Là, j'ai vu la chef en pleine galère. Elle était encerclée, et je voyais plus les deux soldats qui nous accompagnaient. J'ai sauté par dessus le tas, laissant la télé à elle même pendant quelques instants. C'était la seule qui pouvait encore me donner des indications sur ce que je devais faire.

Donc je suis arrivé à côté d'elle, et on s'est mis dos à dos. De cette façon, ça serait plus dur pour eux de nous prendre par surprise. On se couvrait l'un l'autre, elle mitraillait le tas et moi je cognais les quelques cybugs qui essayaient de nous sauter dessus.

A un moment elle a chargé des munitions différentes des autres dans son arme. J'ai pas trop relevé et j'ai continué de la protéger jusqu'à ce qu'elle m'hurle d'échanger. Ce qui suit, faut l'imaginer en slow motion. J'ai fait un salto arrière, elle s'est accroupie, et pendant que j'atteignais son côté, elle pivotait sur elle même en tirant des grosses salves de plomb. Au final, elle a presque fait un tour complet, et a par la même occasion nettoyé toute la salle. Y'avait la télé qui nous regardait genre fasciné. Du coup je l'ai regardé moi aussi et j'y ai fait un clin d'oeil. Après ça, on a continué de grimper jusqu'à arriver jusqu'au sommet.

Là c'était pas la même. Devant nous y'avait une grosse colonne de lumière blanche, et énormément d'oeufs. J'étais prêt à avancer mais la chef de l'escouade m'a retenu avec son bras.


Doucement, si tu t'approches de trop, trop vite, tu vas tous les faire éclore, et je suppose que c'est pas que tu souhaites, soldat.

Et là, BOUM. Du plafond est tombé un cybug énorme et dégueulasse. C'était bien ce que je craignais, les œufs se pondaient pas tout seuls. Vu le cri qu'elle a poussé, la Mère était pas super contente qu'on ait dégommé autant de ses gamins. Elle a commencé à s'illuminer en vert, puis d'un coup un rayon est parti dans notre direction. Je devais choisir, soit je sauvais la chef et la télé se faisait griller, soit je sauvais la télé et la chef était hors service, ce qui ne faciliterait pas les négociations futures. Pas le choix, j'ai tendu mes bras vers les deux et ai utilisé un sort pour les projeter toutes les deux, encaissant par là-même le rayon d'énergie, hurlant à la mort tellement ça brûlait cette connerie.

Une fois qu'elle eut fini, je me mis à l'attaquer. Je courrais vers elle, lançant mes deux armes dans son corps avant de glisser en dessous d'elle et de mettre un bon coup de poing dans son ventre. La grosse mouche a rugi de douleur et a commencé à essayer de m'écraser. Ça m'a surpris sur le coup, j'avais plus l'avantage. Ses pattes étaient comme des lames, et j'avais pas envie de me faire perforer le thorax. Heureusement, la chef attira son attention en lui tirant dessus, le temps que je me relève.


Je m'en occupe, faites le truc avec le faisceau, là.

Puis j'ai courru, encore, et j'ai fait comme un plaquage à la gros bêbête. On s'est retrouvé en dehors de la tour à une bonne centaine de mètres du sol. Elle déploya ses ailes et se mit à voler plus haut que la tour. Moi j'étais en galère pour essayer de choper les poignées de mes armes restées plantées dans le corps du Boss.

Lorsque enfin je parvins a les saisir, je les arrachais d'un coup sec de la carapace de fer de mon ennemi et le jetai dans le vide. De là, j'ai plongé mes mains dans les grosses entailles laissées par mes armes et j'ai commencé à essayer d'arracher tout ce que je pouvais y trouver, avec un peu de chance, ça la débrancherait.

Le cybug mère ne l'entendait pas de cette oreille et commença a voler à pleine vitesse, faisant des loopings et des décrochages pour me faire chuter. Ça aurait pu marcher. Ça aurait pu marcher si je ne tenais pas fermement des câbles composant son corps. Elle signa sa propre mort lorsque les câbles cédèrent sous la pression de la gravité qui m'appelait. Elle émit un son strident avant de tomber en feuille morte dans le précipice qui entourait la tour.

Le même sort m'était réservé si je ne faisais rien. J'appelai Souvenir Perdu et, une fois dans le précipice, la planta dans la paroi. Elle s'effrita sur plusieurs mètres de haut, le temps de stopper ma chute, et je parvins sans mal à remonter jusqu'à la corniche. Je n'eus que le temps de lever les yeux pour voir le fameux faisceau s'activer et irradier toute la région d'une lumière pâle. Les cybugs restants furent comme hypnotisés par la blancheur et foncèrent dans la lumière, se désintégrant.

Assis au bord du gouffre, j'attendais le retour de la chef. Quand elle arriva, elle me tendit la main, et la saisis pour me relever.


C'était du très bon travail, soldat. Vous avez gagné mon respect.

Merci. Je dois dire que votre réputation n'est pas usurpée non plus. Vous vous êtes bien battue.

Elle sourit et ça me paraissait tout sauf naturel. Je pense que ça venait du fait que j'arrivais pas a la concevoir autrement qu'en un space-ersatz de Rambo.

Qu'êtes vous venu faire ici, donc ?

Je suis un Maréchal de la Lumière, je suis venu vous demander votre soutien.

La Lumière, je vois. Écoutez, je ne peux rien vous promettre car la menace des cybugs n'est pas encore éteinte, mais je peux vous promettre de sérieusement y réfléchir. Comprenez que nous ne pouvons laisser l'humanité sans défense ici.

Je le comprends bien, chef. Nous ne vous demandons pas de travailler pour nous à temps plein, mais seulement de pouvoir compter sur vous en période de troubles.

Je vois. J'y réfléchirai, merci de votre proposition.

Et là, elle me fit un de ces signes de main de soldat. Je savais pas trop quoi faire, alors j'ai fait pareil et ça l'a de nouveau faite sourire. Ouais... peut-être que c'était pas qu'un bouledogue sous stéroïdes finalement. Quoiqu'il en soit, a défaut d'obtenir un véritable partenariat, je pense qu'on pouvait toujours compter sur eux. Je quittais le jeu pour rejoindre le hall du monde, montais dans mon vaisseau, et repartis faire mon rapport au château disney.
more_horiz
L'Appel du Devoir : Guerre Moderne 040a08041db7cbbd0f7b

Maréchal Roxas, vous avez fait honneur à la Lumière !

Alors. De toute façon, ce jeu est linéaire : le parcours sera toujours le même. On a du coup quelque chose avec ta mission qui nous rappelle assez précisément ce qui se passait dans le film, mais ce n'est pas un mal, pour les raisons précédemment citées.

Je dois déjà reconnaître que ton introduction dans l'univers d'Hero's duty était pas mal : l'introduction avec les deux soldats, le fait qu'ils se foutent un peu de la gueule de Roxas et que celui-ci leur sorte une réplique digne de... digne de toi en fait. J'ai bien aimé aussi le fait que l'on ne voit le chef qu'au début de la partie, alors que techniquement, on doit bien pouvoir la rencontrer en dehors, au titre que les autres personnages.

L'atmosphère du jeu a bien été retranscrite, j'ai aussi apprécié ton interprétation du chef.

Le plus intéressant était sans doute la partie que Ralph n'a pas faite puisque c'est toi qui a du l'inventer et l'imaginer, j'ai apprécié. Un moment, voyant le personnage de Roxas "s'envoler", j'ai eu peur qu'il saute aussi cette partie, mais non, il est bien retourné au sol. La coopération entre Roxas et la chef était plutôt bien. J'aurais par contre apprécié qu'il y ait ce même effet avec le joueur, même si ton rôle était bien de le protéger.

Il y a bien quelques fautes d'orthographe mais bon, ça n'était pas non plus dramatique.

En fait, pour moi le plus positif, c'est que tu as regardé le film et que tu t'es bien attaché à respecter l'univers et le contexte. J'apprécie quand on fait l'effort d'être cohérent avec le monde dans lequel on se trouve, et c'est quelque chose qui n'est pas fait systématiquement.

Donc oui, je n'ai pas grand-chose à reprocher, c'est plutôt bien !

Périlleux : 35 points d’expérience + 340 munnies (bonus de 40) + 3 PS (2 PS en magie et 1 PS en défense)
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum