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Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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« J'te jure... »

La nuit était claire, il était aisé de reconnaître les personnes autour de soi, le ciel étant illuminé d'un nombre incalculable d'étoiles, chaperonnées par une lune presque ronde. La température était encore fraîche, mais sous l'effort, il n'y paraissait rien.

« Oh Etro, j'te jure... »

Il n'y avait que quelques bruits qui venaient troubler cette nuit, réellement. Alors qu'ils étaient au château, ils avaient fait au mieux pour les dissimuler, mais maintenant qu'ils s'étaient éloignés et perdus dans la campagne environnante, là où personne ne pouvaient les déranger, ils pouvaient se permettre d'être moins discrets, de laisser libre cours à leurs pensées volages.

« Bonjour, je suis Seigneur du Sanctum et je force mes subordonnés a creuser un putain de trou au milieu de la nuit ! »

Pour le répéter encore une fois, c'était une belle nuit. Bien qu'il était presque impossible de voir avec précision les expressions des personnes qui l'avaient suivi, Fabrizio pouvait clairement dire qu'elles n'étaient pas toutes d'accord avec l'idée.

C'était même pas la sienne, d'idée.

Un pouffement de rire l'interrompit, et il lança un regard en direction de la personne d'où il provenait. Dans l'obscure clarté, il ne pouvait clairement dire de qui il s'agissait, mais au jugé de la taille et du timbre de la voix (et de la propension à jurer) il pouvait sereinement parier tous ses munnies sur Aubrey.

«  J'suis tombée sur une racine. »

«  Putain mais on aura jamais fini, on doit creuser profond comment ? »

Une voix plus grave s'était élevée, féminine toujours. C'était Senrith. Une.... amie ? Sans doute, il ne lui avait jamais parlé, enfin jamais vraiment outre qu'un bonjour et « je t'aide ce soir parce que je viens de finir ma garde et j'ai un créneau entre quatre et cinq heures du matin ». Il n'avait retenu d'elle que des cheveux très clairs et des yeux verts.

« Profond comme.. » commença-t-il.

Il n'en savait rien.

« Plus profond. »

Il secoua légèrement l'épaule de Senrith, lui signalant de sortir du trou, et prenant ensuite sa place. Ce n'était décidément pas encore assez profond. Il commença à creuser.

« Et sinon, ça va la vie ? La famille, les enfants, tout ça... »

«  Mais tais-toi et creuse, on va finir ça à midi autrement ! »

«  Mais toi tu t'en fous tu bosses pas demain ! Écoutez-la qui gueule ! »

«  Et le respect pour les morts alors ! Bouclez-la ! »

Un silence gêné. Mais le silence quand même. Au final, ce n'était pas plus mal.

Ils reprirent plus calmement leur œuvre, nul bruit à l'exception des pelles qui raclaient la terre ne se faisait entendre. A un moment donné, Aubrey laissa sa place à Sedris et cette dernière commença à creuser à son tour. Sans vraiment chercher à reprendre une conversation... tangible. Bientôt, le trou était assez profond (selon un vote à la majorité, quatre personnes sur quatre souhaitant arrêter de creuser). Le corps, enroulé dans un grand drap, fut descendu dans la fosse, un peu brutalement sans doute, une gerbe de poussière s'éleva après ledit mouvement.

« Tiens, avale un peu de mort- »

Trois regards se tournèrent vers Aubrey, seule personne capable de dire quelque chose du genre à cette heure, à cet endroit et dans cette situation précise.

Il fallut la force des quatre participants à cet enterrement improvisé pour arriver à porter le corps. Il n'en fallut que deux pour le recouvrir de terre. La tombe se constituait d'un petit monticule de terre, proportionnel à la taille de ce qui y était enterré. Il fallut aller chercher des pierres afin de créer un tertre, histoire de se rappeler de l'emplacement. Les quatre larrons se séparèrent dans leur quête (pas vraiment mouvementée, pour une quête, cela dit...). Fabrizio alla avec Sedris. Il avait partagé plusieurs tours de garde avec elle, et s'il y avait quelque chose pour la déconcentrer ou lui faire perdre patience, il ne l'avait franchement pas encore trouvé. En fin de compte, il ne la connaissait pas vraiment.

Qu'est-ce qu'il fichait là ? Il se le demandait en boucle depuis une heure et demie, et plus encore maintenant qu'il fouinait dans le lit d'une rivière glacée par une nuit de (presque) pleine lune afin de trouver des cailloux.

« T'en as? »

« Ouais, ici il y en a plein. »

« Sale journée quand même, hein ? »

« Sale mois, plutôt. »

Il irait même jusqu'à dire « année de merde » parce qu'elle s'annonçait vraiment comme telle.

Ils revinrent près de la tombe après quelques minutes, les bras chargés de pierres et de galets. Plusieurs allers-retours furent nécessaires afin de créer un tertre digne de ce nom.

«  Quelqu'un pour l'éloge funèbre ? »

Un silence accueillit la phrase. Ce n'était pas vraiment une surprise, car personne ne s'attendait à passer par la case de l'éloge, aussi commune soit-elle lors des enterrements. Personne ne répondit à Senrith pendant un moment, et elle soupira.

«  Non, sérieusement les gars. »

«  Euh, Frank, tu étais... Un bon chameau, du peu que je t'ai connu. Non vraiment je l'ai vu une fois ! »

«  Aubrey arrête de rigoler. »

«  Puisse Etro.... non là c'est du blasphème on peut pas lui souhaiter d'avoir un chameau pour destrier quand même, on va se choper l'Inquisition sur le dos ! »

« Mais arrête c'est trop triste ! »

«  On va recevoir un éclair divin sur la tronche, tu vas trouver ça moins triste tiens. »

Chacun partagea ses souvenirs chaleureux à propos de Frank le chameau. Le peu qu'ils en avaient, actuellement. La pauvre bête n'avait jamais apprécié l'hiver, et cette année, il avait été plus ardu que les précédents, ou le pauvre animal trop vieux pour le supporter. Les changements dans les rangs du Sanctum dû au départ de Henri avait modifié quelque peu les emplois du temps des personnes présentes , leur seul créneau disponible était tard, très tard, au milieu de la nuit (ou tôt, très tôt, cela dépendant de quel genre de personne on était). Il fallait aussi prendre en compte la mortification des grouillots qui verraient quatre soldats du Sanctum se tirer par la porte de derrière avec une charrette contenant un énorme cadavre de camélidé décédé. (Si vous vous demandez, oui, la phrase « camélidé décédé » avait fait rigoler tout le monde et ce même si l'ambiance n'était pas vraiment au beau fixe.)

«  Et sinon Senrith, tu sais si Clarel est libre pour ce soir ? Je sais pas si cinq personnes ça suffit pour garder un cimetière. »

Fabri regarda la jeune femme qui venait de lancer sa pelle à l'arrière du chariot et tentait de nettoyer quelque peu ses vêtements pleins de terre (c'était peine perdue, ils ressemblaient tous a des terrassiers de campagne). Dans l'obscurité, il ne voyait pas grand chose (pour le dire encore une fois), mais ce qu'il distingua, ce fut la suite de réactions qui passèrent sur le visage de Senrith. La surprise, tout d'abord, et ensuite quelque chose de surprenant. De la gêne.

« Tu sais, je pensais pas que tu voulais dire 'aujourd'hui' genre ce soir, je pensais genre 'aujourd'hui' … »

Sa bouche resta ouverte, comme en recherche de la fin de sa phrase, qui n'arriva pas.

Ça sentait le sapin ça.

« A ce propos, Fabri, fallait que je te dise un truc. » commença Aubrey.

Sedris était à côté d'elle et semblait perdue dans la contemplation d'une mauvaise herbe. Que les trois harpies soient rassemblées comme ça n'était pas de bon augure.

« Tu sais avec les changements dans les emplois du temps et la reformation des groupes, on a pas pensé à te dire que, bein... C'était un petit peu mort pour le gardiennage de cimetière. »

« … Et vous me dites ça maintenant !?  Mais je sais pas, prévenez au moins, mais prévenez pas à dix heures de l'échéance ! Ça se fait pas !»

«  T'imagines si je dis à Pentaghast que je peut pas aller patrouiller parce que je garde un vieux cimetière moisi !? Elle me coupe en deux et y'a des Eternels qui viendront danser sur mon cadavre !  »

Les alibis se succédaient les uns après les autres. Au final il n'y avait pas grand chose à faire contre ça, non ? Si elles avaient du boulot, elles ne pouvaient pas faire autrement. Tout le monde avait des obligations. Derrière tout ça, il y avait quelque chose de beaucoup plus sombre ; la défection de Henri, la guerre civile qui couvait entre le Sanctum et Swain et sa petite bande. Tellement de choses, et tout qui semblait s'accélérer. Non, franchement, il leur pardonnait.

« Allez vous faire foutre. Et démerdez-vous pour le chariot ! »


Il était maintenant cinq heures et demie du matin, et il était dans la merde.

La mission n'était en soi pas bien difficile ; il lui suffisait de trouver des gens partants pour former une petite garde au cimetière. Il n'y avait pas de quoi fouetter un chat -si franchement il s'en était occupé plus tôt, aussi.

Il y avait quelque chose dont il était sûr, c'était que les paysans, ça se levait tôt. Il n'y avait aucun doute que quelques uns seraient probablement au boulot déjà à cette heure. Aux alentours du château il y avait par chance pas mal de fermes, elles étaient toutes éloignées, mais cela restait une distance raisonnable, et il avait encore un peu de temps devant lui tout de même.

Il lui fallut un peu moins de dix minutes pour atteindre une ferme. Il imaginait le décor rural, deux-trois vaches et des champs. Que ne fut-il pas surpris de ne pas entendre le chant du coq mais simplement des hurlements.

«  Mais qu'est-c'que vous en avez à faire que ma vache elle est dans vot'champ !? Ça vous pose pas d'problèmes il est en jachère ça y f'ra qu'du bien ! »

« Y'a qu'mon champ monsieur j'ai décidé d'y faire pousser des navets, donc vot'vache, vous la virez où j’appelle des Templiers et ils vont y découper vot'bête, comme ça bah y'aura plus de problèmes ! »

Comment allait-il les convaincre de se charger d'un cimetière alors qu'ils allaient s'embrocher avec leurs fourches ? Il n'en avait aucune idée.

« Est-ce que vous croyez que c'est le moment de hurler comme ça ? »


Les deux paysans se tournèrent vers lui. Il n'avait pas eu l'occasion de vraiment les détailler, mais il était vrai que dans le détail, ils ressemblaient autant à des paysans que de loin. Et il n'était pas vraiment nécessaire de décrire un paysan, si ? Ils étaient tous deux très différents, mais chacun d'eux portait des vêtements de feutre usés et était couvert de terre.

« Qu'est-c'qui nous veut le clodo ? »

« Pardon, vous vous êtes vus ? »

Bon d'accord il allait quand même pas mettre une armure pour enterrer un chameau et occasionnellement recruter des paysans. Il était vrai que ses vêtements auraient eu besoin d'un repassage et qu'il était recouvert de terre. Il était armé par contre, et son épée à se ceinture avait un peu plus de légitimité que tout le reste.

Et même ça, ça n'aida pas vraiment.

Ce qui aida, ce fut la promesse de l'arrêt de leurs problèmes. Comprenez ; leurs champs laissés en jachère pendant qu'eux allaient servir Etro en montant une garde constante (du moins pendant quelques semaines) près du cimetière récemment repeint de couleur rouge.

Les paysans ne voyaient pas de grand inconvénient, mis à part qu'ils énoncèrent tous deux un grand nombre de problèmes comme le fait que tous deux ne pouvaient pas supporter de travailler avec un ivrogne débile (pas Fabri, hein, mais les deux qui s'insultaient mutuellement).

Leur présence le soir même à dix-huit heures tapantes devant le cimetière assurée, il rentra au château. L'entrevue à la ferme lui avait pris une heure, et le soleil était maintenant bien levé. Il faisait encore frais, mais ce serait une belle journée. Pas de bol qu'il devait la passer à courir partout.

Il ne s'arrêta pas et fila vers le Quartier Fauve. Sa dernière mission l'y ayant mené, il avait étudié un peu les lieux et avait une connaissance basique de ce quartier détesté par les habitants lambdas de la citadelle. L'ambiance n'était pas si mauvaise que ça dans le quartier, les gens n'étaient pas malheureux d'être là. Ils étaient réfugiés pour la majeure partie. Heureux d'être réunis dans un territoire sûr avec leur famille et des gens qui venaient de leur patrie. C'était une ambiance qui restait tout de même très particulière. Ils étaient très différents du reste des citoyens du Domaine, franchement, c'était pour ça qu'ils ne les aimaient pas, et il y avait cette manie de le dire sans le dire. Les étrangers n'étaient pas vraiment appréciés.Et encore plus quand ils avaient des plumes ou des poils sur tout le corps.

Il ne savait pas vraiment par où commencer à chercher. L'heure tournait, et il y avait quelques marchands derrière les étals, aussi, ce fut par là qu'il alla. Il s'adressa à une vendeuse de couverte de plumes qui tenait une échoppe de petites sculptures en bois.

« Excusez-moi, est-ce que vous sauriez si des habitants du quartier seraient intéressés par un poste lié au Sanctum ? »

Putain, le démarcheur. A sa grande surprise, l'hybride lui sourit.

« Il y a pas mal de personnes ici qui cherchent à se rendre utiles, vous savez, il y avait mille occasions pour le Sanctum et le gouvernement de ce monde de nous y refuser l'accès, pourtant ils nous ont laissés poser bagage ici pour échapper à la guerre. » dit-elle dans un air qu'il aurait ou qualifier de serein.

Il eut un sourire gêné et ne voyait pas pourquoi elle disait ça, ou plus particulièrement, pourquoi lui disait-elle ça à lui ? Il y avait matière à réfléchir tout de même.

« C'est vrai qu'au final, pas mal de gens sont redevables au Sanctum, il a été là quand il y avait rien d'autre, c'est.... » ouais, c'est super ? C'est sympa  ? « C'est bien, de leur part. »  

Il avait été dans le cas de ces personnes sans rien qui avaient échoué ici sans savoir quoi faire. Il en savait quelque chose.

«  J'ai un fils qui traîne dans le quartier, si cela ne vous pose pas de problème. »

« Ah non, il faut juste qu'il soit devant le cimetière à... »

« Non, non, il gardera la boutique, je serais ravie de vous aider personnellement,  ce serait un honneur pour moi d'aider le Sanctum, ce ne serait qu'un modeste moyen de repayer le logement et l'aide qu'il nous a apportés. »

Il dut sans doute lancer un regard surpris, car elle ne put retenir un rire, ce n'était pas un rire moqueur cependant.

« Je vais essayer de prévenir d'autres personnes, ce devrait être facile. »

Ils se saluèrent et Fabri repartit, projetant d'aller se coucher jusqu'à six heures avant d'aller retrouver la brochette de paysans et d'hybrides qui garderait le cimetière. Il n'avait pas dormi depuis suffisamment longtemps pour être sur ses gardes et fut surpris alors qu'une main vint lui frapper l'épaule au détour d'un couloir. Étouffant un cri de surprise,  il se retourna et jura à l'encontre de la personne.

« Ma sœur m'a dit que tu cherchais du monde pour garder un cimetière ! »

La personne en face de lui était.... pas très grande. De grands yeux sombres ainsi qu'une peau presque aussi sombre, et des cheveux noirs, coupés courts. Elle souriait.

Il s'agissait de la sœur de Sedris, toutes deux étaient originaires d'Agrabah, comme elle l'expliqua. Aleile, la plus jeune, n'avait que peu de souvenirs de cette endroit et le Domaine Enchanté avait toujours été son chez-elle. Elle se décrit comme une apprentie alchimiste, sa sœur lui avait donné quelques bases en maniement d'épée et d'arc, elle accentua le fait que même si elle était petite et jeune, elle savait se défendre par elle-même. Ce qu'elle expliqua par la suite, alors qu'il tentait catégoriquement de lui dire qu'il fallait qu'elle revienne dans quelques années (et quelques centimètres), c'était que rien n'allait marcher sans elle.

«  T'as engagé des paysans et des hybrides, tu crois que les deux vont s'entendre ? Je sais que t'as pas vraiment bossé dans les champs jusque là, et que les paysans tu t'en fiche, c'est des gens bien, mais ils vont pas vouloir bosser avec des hybrides ! Je les connais, je vais souvent les voir pour récupérer des plantes ! Au début ils m'ont vue, ils ont sorti les fourches, si ma sœur avait pas été au Sanctum je sais pas comment on aurait fait... »

Il n'y avait mais... Pas du tout pensé. C'était vrai, elle avait raison, il n'avait jamais vu des paysans de ce monde. Il ne s'était jamais vraiment éloigné du château, et il avait beau en connaître un rayon sur ce dernier, et ce monde en général, sa connaissance avait des limites. Lui non plus n'était pas né ici. Quel concours de circonstances...

« D'accord. Mais va prévenir ta sœur que si tu te fais tuer ou que tu tombes dans un trou et que tu meurs dedans, je suis pas responsable, y'a pas marqué «'bête de somme de Sedris Sarayn » sur mon front, d'accord? »

Elle sourit, d'un grand sourire, et hocha la tête.

« A ce soir alors ? »

« Sois pas en retard. »
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Alors, alors... commençons !

Les parenthèses... ce n'est pas un drame d'en utiliser mais je trouve toujours que ça casse un peu la fluidités d'un rp. Je préfère quand on utilise des tirets ou des virgules, ou qu'on fasse carrément une phrase. Disons que dans ton cas... ça fait un peu je précise (et ça donne un côté brouillon à ton rp que tu as pourtant travaillé, il me semble).
J'ai dénoté pas mal d'erreurs inattentions... je ne vais pas les citer, des "était" à la place "d'étaient", des tournures de phrases un peu bizarre.

J'ai tendance à te trouver très brusques dans la narration, d'ailleurs. Attention, ce n'est pas difficile ou désagréable à lire mais tu pourrais souvent t'attarder plus et décrire plus en détails. D'ailleurs, quand je te dis ça, je peux pas fermer l’œil sur tes pnj... je n'ai rien contre, j'approuve même l'idée et le principe. Malgré tout, ils me font l'effet d'apparaitre de nulle part... et c'est assez personnel mais... tu pourrais leur donner plus de profondeurs. Ils sont un peu là pour être là, il y aurait moyen de les rendre plus utile et plus pertinent.

Pour le déroulement de la mission en elle-même, elle est bien faite... mais encore une fois, je trouve que tu ne rentres pas assez dans les détails. Cette mission n'était pas prévu pour être très compliqué ou être super détaillé mais il y avait quand même de la matière.

J'aime encore le pessimisme ambiant de tes rps mais ça peut avoir un côté un peu lourd... Fabrizio est pessimiste mais résigné à allez jusqu'au bout, tu le dis à plusieurs reprises dans des rps à toi... et je trouve que tu n'exploites pas assez le côté malgré tout déterminé de Fabrizio. Parfois, je trouve qu'il fait juste plaintif...

Je me trouve très critique sur cette mission mais j'aurais du mal à te dire que j'ai accroché. Tout est cohérent, je ne suis choqué par rien en particulier mais... je ne sais pas du tout pourquoi tu enterres un chameau, par exemple ! On comprend plus ou moins que tu rends service aux deux réfugiés d'Agrabah en échange qu'ils tiennent le cimetière mais ton rp je le trouve... très flou, on s'embrouille assez facilement.

Ce n'est pas une mauvaise mission mais je pense que si tu rentrais un peu plus dans les détails, que tu décrivais plus choses et gens, tes rps en ressortiraient plus fluides et compréhensibles ^^

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