Ayez confiance...

Nouvelle mission, nouveau monde et bien entendu nouveau problème à résoudre. L'usine de fabrication d'arme allait bientôt ouvrir, l'or était une matière première importante pour les mercenaires alors il ne fallait surtout pas perdre la nouvelle planète ! Erel allait d'ailleurs devoir se montrer très diplomate car sa mission était de mettre Radcliffe dans sa poche...et au passage celle des mercenaires.
Les soûlards de la Baie des naufragés étaient plus facile à convaincre que ce gouverneur avide d'argent et intelligent ! Enfin voyons comment elle allait être accueillit déjà...
Avant de partir de son monde, elle prit le temps de s'habiller correctement, bizarre peut-être mais quand on part voir un homme tel que Radcliffe être bien habillé comptait ! Il est le genre d'homme à ne se fier qu'aux apparences, ainsi Erel mit des bottes noires avec un pantalon moulant tout aussi noire, un débardeur blanc cassé. Simple et confortable pour faire quand même plus mercenaires puis au cas où elle se fasse attaquer tout en restant féminine histoire de paraître plus...agréable !

Erel grimpa dans le premier train en partance de Port Royal vers le Nouveau Monde ! Autant dire que cette fois il n'y avait pas grand monde pour aller dans ce monde, les indiens posaient pas mal de problème apparemment. Erel réfléchit pendant tous le voyage sur la façon dont elle allait aborder Radcliffe et surtout comment elle allait remonter dans son estime.Il était clair que le gouverneur ne faisait pas confiance aux mercenaires alors elle allait sans doute devoir lui rappeler qu'il doit son expédition à ceux-ci mais il est complexe d'aborder le sujet sans mettre le feu au poudre ! La discussion n'est pas le fort de la jeune femme, elle n'aimait pas bavarder pendant trente ans...enfin elle allait devoir faire des efforts ! Radcliffe n'allait sans doute pas être le genre d'homme à se laisser avoir par une paire de fesses. Autant dire que ça n'allait pas être facile.

Le voyage parut très long à la jeune femme alors quand elle fut enfin arrivée, un soupir de satisfaction sortit de sa bouche sans qu'elle s'en rendre vraiment compte. Elle fit aussitôt marche vers le camp des colons, elle devait faire vite car elle ne voulait pas tomber sur des indiens au risque d'avoir des ennuis et franchement elle n'avait pas envie de déclencher une guerre entre les mercenaires et les indiens car il ne manquerait vraiment plus que ça !
Un grand mur de bois se dressait tout autour du camp, pas difficile de les trouver les colons finalement. Un homme pointa son arme sur la jeune femme dés qu'elle s'approcha de la porte, Erel mit ses mains en l'air pour signaler qu'elle ne venait pas pour les attaquer c'est alors que l'homme lui posa la question que tout bon garde pose.

« Qui va là ? »
« Je suis Erel Virgilius Maro, je suis envoyé par les mercenaires pour m'entretenir avec le gouverneur Radcliffe. »
« A quel sujet ? »
« C'est au sujet de notre accord. »
« On n'a pas besoin de vous aujourd'hui, partez ! »

Mais quel accueil ! Franchement plus froid ça existe ? Une voix s'éleva de derrière le mur, elle semblait autoritaire, énervé et bien entendu il devait s'agir de Radcliffe en personne.

« Laisse donc entrer nos amis, Thomas ! »

Il insista beaucoup sur le mot ami dans sa phrase ce qui sonna presque comme une menace pour la jeune femme, à vrai dire elle était plus inquiète qu'autre chose ! Les portes en bois s'ouvrirent, le jeune homme qui l'avait gentiment rejeté devant la porte l'accueillit le fusil à la main et le regard noir, Erel lui sourit, c'est vrai que s'était un peu pour le narguer ! Un autre homme tout maigre, roux et à l'air un peu fou, même carrément à côté de la plaque, l'accueillit, il se présenta comme étant le majordome de Radcliffe, Wiggins. Le gouverneur sortit de sa tente accompagné par une sorte de chien court sur patte avec la queue en tire-bouchon et une tronche toute aplatit ! Elle eut envie de rire, elle s'en abstint évidemment mais autant vous dire que ce fut compliqué car les trois personnages qu'elle avait en face d'elle était tout simplement hilarant. Radcliffe se présenta tel un vrai gentleman, Erel eut même droit à un baise-main auquel la jeune femme n'était pas habitué, elle s'inclina poliment et caressa même l'horrible chien du gouverneur. Le chien grogna en guise de réponse, charmant...
La journée s'annonçait très longue, Radcliffe fit l'énumération des problèmes qu'ils ont rencontré depuis qu'ils fouillent les sols du Nouveau Monde, entre les indiens, les animaux sauvages, les intempéries et bien sûr les maladies en tous genre son discours étaient ennuyeux mais la jeune femme fit mine de s'intéresser à tous ce qu'il racontait alors qu'elle ne l'écoutait que d'une oreille. Il finit par l'emmener dans sa tente pour justement discuter sur l'utilité des mercenaires en ces terres. C'est là que la mission se corse, Erel devait lui donner une bonne raison de partager l'or avec les mercenaires et le fait qu'ils en aient besoin ne touchait certainement pas le gouverneur. En même temps elle n'avait pas de quoi le menacer car les mercenaires n'allaient pas s'occuper eux-mêmes de chercher de l'or car aucun d'eux n'étaient assez malin pour le faire et qu'ils n 'y connaissaient rien ! La carte qu'allait jouer Erel serait décisive dans l'alliance mercenaires-colons.

« Jeune fille, vous n'êtes pas sans savoir que mes hommes se sont occupés de tous les problèmes énumérés précédemment. Sans vous vexer, à part quelques petits travaux sans réels importance, vous apportez plus d'ennuis qu'autre chose ? Votre appât du gain nous mènera à notre perte. »

Sans la vexer...ben voyons ! Erel se mordit la langue durant son discours sinon il en aurait déjà prit plein la tronche ce gros lard ingrat ! Mais son but n'était pas de l'offenser plus qu'il ne l'était déjà alors Erel adopta un comportement calme et réfléchit, elle devait retourner la situation afin que Radcliffe n'ai plus de quoi se défendre et admette que les mercenaires sont utiles.

« Je ne peux vous contre-dire. Cependant, n'est-ce pas vous qui avez limité l'accès des environs aux mercenaires ? »

Radcliffe sourit, un sourire qui fait froid dans le dos, un combat s'engagea entre les deux individus, sans épée mais avec des paroles. Le genre de duel qu'Erel n'avait pas pour habitude de mener mais elle allait vite devoir prendre le pas sur son adversaire car elle ne devait pas échouer !

« Certes, surtout si vous faites allusions à l'altercation que nous avons eu il y a quelques temps avec votre collègue. Il est du genre vulgaire . Mais je suis sûre que vous vous montrerez plus ouverte mademoiselle. »

Et on caresse dans le sens du poil !

« Ce qui m’intéresse à ce jour, Gouverneur, est notre accord. Nous assurons votre sécurité par rapport aux indiens et en échange nous prenons un peu de l'or que vous trouvez. Si les conditions de cette accord ne vous conviennent plus il y a peut-être possibilité de changer quelques points. Sachez cependant qu'en fermant vos portes nous sommes dans l'impossibilité d'étudier le terrain, si vous nous empêchez de travailler alors nous ne pourrons vous protéger efficacement. »

« J'ai perdu beaucoup d'homme à cause des indiens, mademoiselle. Notre accord n'a rien changé à cela, il est donc légitime que je mettes à mal votre parole sachant qu'avant tout votre race est celle des brigands, voleurs et autres criminels ! Vous n'avez pas ma confiance, vous ne l'aurez qu'à condition que vous me montriez votre bonne foi. »

« Que voulez-vous ? Peut-être serais-je en mesure de vous aider. »

« Je n'enverrais jamais une femme se battre ! Votre jolie minois n'est pas censé se trouver sur le champ de bataille ! »

Il se moquait ouvertement de la jeune femme mais elle resta calme, elle sourit comme si les paroles du gouverneur l'avait flatté alors qu'elle avait envie de l'égorger et d'apporter sa tête à Septimus...elle avait le contrôle de ses sentiments, elle ne pouvait pas s'emporter pour un rien surtout pour ne pas donner satisfaction à Radcliffe mais pourquoi cherchait-il à briser son alliance avec les mercenaires ? Car c'est l'impression qu'il donnait, il ne pouvait pas survivre face aux indiens, mais il n'avait pas tord sur le fait que les mercenaires n'étaient pas toujours là pour les aider. Erel prit le temps de réfléchir lorsque soudainement Wiggins entra dans la tente avec un plateau remplit de biscuit et de tasse.

« C'est l'heure du thé, Monsieur ! »

Radcliffe sourit, il posa son gros ventre sur ses genoux en s'asseyant sur sa chaise et il invita Erel à en faire de même. Le chien avait lui aussi droit à son biscuit...même le chien allait finir obèse ! Le thé fut servit dans des tasses en porcelaines blanches bordées de belles dorures, marque de richesse et de prétention. Radcliffe souhaitait certainement lui montrer qu'il ne manquait pas d'argent et qu'ainsi il pouvait appeler n'importe qui pour l'aider.

« Poursuivons, votre aide me serait utile, il faudrait redonner confiance à mes hommes autant qu'à moi ! Récemment nous n'avons pas pu partir à la rivière pour nous approvisionner en nourriture. Si vous savez tenir une canne vous nous serez utile. »

Erel sentit une déflagration de colère dans sa poitrine, entre tenir des cannes et le fait qu'elle soit ouverte, il la prenait pour quoi ? Une fille de joie ? Elle avait envie de lui faire bouffer ses biscuits par le...elle se racla la gorge avant de reprendre la parole.

« Je devrais savoir me débrouiller. Quand on est mercenaire on apprend à se servir de n'importe quel...instrument. »

Erel sourit d'un air satisfait...quitte à se faire passer pour une prostituée autant en jouer non ? Cependant, elle n'avait pas finis d'entendre le gouverneur jacasser.

« Vous ne partirez pas seule, Thomas viendra avec vous. Sait-on jamais vous aurez peut-être besoin d'aide pour vous défendre si les indiens arrivent ? »

« Quel dommage, moi qui pensait qu'on se tiendrait compagnie, gouverneur. »

Il lança un regard amusé à la jeune femme, il aimait jouer à ce genre de jeu avec les mercenaires, il s'attendait à ce qu'elle craque mais elle lui résistait et autant dire qu'il aimait faire durer le jeu. Ainsi il pensait qu'elle allait craquer lorsqu'elle fera toute les tâches ingrates qu'il lui proposera. Mais s'était mal connaître la jeune femme.
Elle fit une belle révérence au gouverneur et quitta la tente. Dés qu'elle fut sortit, elle rejoint le jeune homme qui l'avait agressé devant la porte du camp, la partie de pêche allait s'avérer pénible. Thomas n'avait clairement pas envie de partir avec une femme et encore moins avec un mercenaire ! Il y avait eu pas mal d'incident entre les hommes de Radcliffe et ceux du centurio, pas mal de mercenaires s'étaient cassés les dents en essayant de les aider alors le jeune homme était méfiant. Cependant lorsqu'il s'agissait d'un ordre, il ne put discuter les ordres de son supérieur surtout lorsque Wiggins lui rabâchent sans cesse en quoi Radcliffe est un homme bon, riche et supérieur à tous.
Les deux jeunes gens partirent alors pour la rivière qui n'était pas très loin du camp. Erel portait les cannes et Thomas portait son fusil avec les appâts. Pêcher n'était pas le fort de la jeune femme, mais elle devait faire de son mieux. Ils s'installèrent sur un rocher au bord de la rivière, ils ne s'adressèrent pas la parole. Leur mutisme permit alors d'entendre un buisson bouger, Thomas se dressa sur ses jambes et pointa son fusil sur le buisson, Erel se mit alors à rire car celui-ci tenait son fusil tel un enfant qui tentait de jouer à la guerre. La jeune femme saisit sa dague et attendit calmement que l'intrus se montre. Un raton-laveur sortit d'un bond en grognant et partit aussi vite qu'il n'était venu. Rien de bien inquiétant. Erel expliqua au jeune homme comment tenir un fusil afin qu'il ne rate pas sa cible, finalement qui protégeait qui ?

Au bout de plusieurs heures à pêcher, ils n'attrapèrent que quelques poissons, pas assez pour ravitailler tous les hommes présents sur le camp. C'est alors que Thomas lui fit une révélation des plus...incongrues.

« Ne vous inquiétez pas, on a bien assez à manger pour tenir quelques semaines encore ! »

« Comment ? Radcliffe m'a dis que vous n'aviez pas pu venir pêcher la dernière fois ! »

« Ah bon ? Enfin ça ne m'étonne pas, il prétend que les indiens posent problème mais j'ai plutôt l'impression que le problème c'est lui ! »

Erel sourit, elle ne fit aucun commentaire mais elle n'allait pas manquer l'occasion d'en faire part à ses supérieurs. Peut-être faudrait-il le remettre à sa place, les mercenaires pouvaient peut-être reprendre le dessus sur lui.

« Dis-moi Thomas, pourquoi vous n'avez plus confiance en nous les mercenaires ? On a tenté de vous aider. »

« La dernière fois qu'un de tes collègues est venu, Radcliffe est devenu complètement fou, il a prétendu que vous l'aviez menacé ainsi nous avons pour ordre de vous éloigner du camp. Alors je...je suis désolé pour t'avoir mal accueillit tout à l'heure. Si tu veux on peut reprendre du début, je suis pas un mauvais garçon dans le fond ! » ricana-t-il en lui tendant la main.

Et un allié en poche ! Radcliffe allait tomber cette fois, le gros problème venait uniquement de lui alors il allait sans doute falloir enquêter plus longuement sur ses motivations ! Erel serra la main de Thomas, ce dernier semblait naïf et il ne savait pas que ses révélations allaient changer la situation du camp !
Ils rentrèrent, Erel confia les poissons à Thomas qui les emmena à la réserve et Erel repartit dans la tente de Radcliffe. Ce dernier lui lança un regard hautain, il ne s'attendait pas à ce qu'elle revienne si vite !

« Alors, cette petite partie de pêche fut-elle à votre aise, mademoiselle ? »[/color]

« Oui, même si Thomas est bien plus doué que moi, il a attrapé de plus gros poisson que moi. Qu'aurais-je fais sans son aide ? »

Radcliffe fronça les sourcils, il croisa les bras et tenta de retourner la situation.

« Avez-vous croiser ces maudits indiens ? Ils sont un danger pour nous ! J'espère que vous ferez quelque chose maintenant. »

« Bien entendu, je vais en avertir mes supérieurs, j'espère que le peu de temps que nous avons passé à discuter vous aura permis de reprendre confiance en notre bonne foi, gouverneur ! »

« Oui, ça suffira pour l'instant disons. Mais je peux toujours changer d'avis ! »

Erel sourit, elle eut envie de lui balancer un « nous aussi on peut changer d'avis » mais elle se ravisa et elle fit de nouveau une petite révérence face au colon. Elle quitta le Nouveau Monde, Septimus allait être heureux de voir que ce gros lard ne partageait pas forcément les mêmes envie qu'eux, il souhaitait la guerre, il y a toujours des hommes comme ça, il voulait l'or pour lui tous seul. Plus on en a plus, on en veut ! Cependant ces motivations restaient flou ainsi Erel désira poursuivre cette mission cependant il fallait qu'elle en ai l'autorisation par Septimus.

Nouveau commentateur ! Je te préviens tout de suite, je suis spécialisé dans la mention des défauts ! J'oublie souvent de mentionner les bons points, puisque l'important dans un commentaire, c'est d'aider le rpiste à s'améliorer !

« Nouvelle mission, nouveau monde et bien entendu nouveau problème à résoudre. L'usine de fabrication d'arme allait bientôt ouvrir, l'or était une matière première importante pour les mercenaires alors il ne fallait surtout pas perdre la nouvelle planète ! »
Ton intro était bonne. Tu liais ton rp précédent avec le nouveau en étant succincte, en expliquant la raison de ta visite dans ce monde, l'importance que cela avait pour les merços.
« Avant de partir de son monde, elle prit le temps de s'habiller correctement, bizarre peut-être mais quand on part voir un homme tel que Radcliffe être bien habillé comptait ! »
Mais ! Malheureusement, tu t'étends ensuite ! Si l'action s'explique parfaitement, tu ne vas pas voir le bouseux du coin après tout, elle est... redondante. Tu nous faisais presque un début in medias res, et tu reprends au début, pire encore, tu n'es pas encore parti.
Travaille tes intros pour qu'elles soient intéressantes, et brèves ! Ou alors qu'elles soient importantes dans l'histoire de ton perso.

« La discussion n'est pas le fort de la jeune femme, elle n'aimait pas bavarder pendant trente ans...enfin elle allait devoir faire des efforts ! »
Les voyages entre mondes sont toujours un peu difficile... Comment les rendre intéressants ? Pour ça, deux choix : le début in medias res, tu zappes tout simplement le voyage ; ou tu réfléchis à tes options, et tu évoques les difficultés liées à ta mission... et ta personnalité.
Tu as encore besoin de travailler tes transitions, cependant j'aime bien le fait que tu rapportes la mission à toi, à tes propres difficultés. En l'occurrence, les dialogues, le fait que tu aies un tempérament pour l'action.
« Radcliffe n'allait sans doute pas être le genre d'homme à se laisser avoir par une paire de fesses. Autant dire que ça n'allait pas être facile. »
Parce qu'il faut une faute à ce paragraphe ! «  Il est le genre d'homme à ne se fier qu'aux apparences, ainsi Erel mit des bottes noires avec un pantalon moulant tout aussi noire, un débardeur blanc cassé. » Dans le paragraphe précédent, tu jouais sur une tenue des plus... sexy, pour tenter de le séduire (même si, comme tu le dis, si Radcliff te juge sur ta tenue, pour une mission diplomatique, mieux aurait valu un tailleur!). Donc pourquoi cette tenue si tu sais qu'elle sera inefficace... et qu'elle peut t'apporter plus de problèmes que tu n'en auras déjà ?

« Le voyage parut très long à la jeune femme alors quand elle fut enfin arrivée, un soupir de satisfaction sortit de sa bouche sans qu'elle s'en rendre vraiment compte. »
Ça ne m'intéresse pas vraiment, mais avec ta phrase, j'ai juste envie de te dire une chose : qu'est-ce qui a fait que le voyage était si long ? Tu as réussis à nous faire passer l'ennuie du voyage, l'inaction la plus totale, par tes réflexions sur la mission. Et dès le paragraphe suivant, tu nous relances dessus, donnant envie de savoir pourquoi c'était si long, sans pour autant développer l'idée. Il faut que tu arrives à choisir entre les deux^^
« Elle fit aussitôt marche vers le camp des colons, elle devait faire vite car elle ne voulait pas tomber sur des indiens au risque d'avoir des ennuis et franchement elle n'avait pas envie de déclencher une guerre entre les mercenaires et les indiens car il ne manquerait vraiment plus que ça ! »
La zone d'atterrissage de la Shin-ra est proche du camp des colons, camp dont les sauvages ne s'approchent pas ! Donc impossible que tu puisses déclencher une guerre, à moins de te perdre et de prendre le mauvais chemin ! Quant à la guerre Sauvage/Mercenaires, elle est d'or et déjà présente bien qu'assez sporadique. Les colons nous ont engagé pour les protéger, les aider.

« Mais quel accueil ! Franchement plus froid ça existe ? »
Ton dialogue avec le garde... est des plus étranges. Non seulement il n'est pas froid, mais en plus, les mercenaires ont libre accès au camp. Après, tu es nouvelle au Centurio, tu décides donc d'introduire une scène où les colons ne te connaissent pas. Mais ! Comment se fait-il que Radcliff sache qui tu es ? Effectivement, ta mission est une requête des merços, pas des colons, donc ils n'ont pas été prévenu de ton arrivée (et s'ils l'ont été, le dialogue n'a alors plus d'intérêt). Tu as fait les choses à moitié, et tu n'as absolument pas rendu un aspect de froideur dans ce court échange^^
« elle semblait autoritaire, énervé et bien entendu il devait s'agir de Radcliffe en personne. »
Radcliff est le chef du camp certes, c'est le gouverneur. Mais sous lui, il y a quand même une hiérarchie. Comment peux-tu savoir qu'il s'agit de la voix de Radcliff ? Et si ça voix est autoritaire, effectivement, elle présente aussi du mépris, de la froideur... mais pas de colère. Pas sans motif du moins.

« Il insista beaucoup sur le mot ami dans sa phrase »
Être précis, c'est une bonne chose. Mais pas besoin non plus de décrire toutes les évidences ! Le lecteur sait que le mot ami vient de la phrase!^^
« [...]ce qui sonna presque comme une menace pour la jeune femme, à vrai dire elle était plus inquiète qu'autre chose ! »
Il me semble avoir lu dans ta présentation que tu étais un peu lâche, et ici tu le présentes un peu bien que ce semble bizarre une menace sortie de nulle part. Jusqu'à présent, tu te montrais sûre de toi. Ici, tu présentes un autre aspect de ta personnalité. J'espère juste que tu le poursuivras, et que ce n'est pas juste un rappel dans l'air!
« Un autre homme tout maigre, roux et à l'air un peu fou, même carrément à côté de la plaque, l'accueillit, il se présenta comme étant le majordome de Radcliffe, Wiggins. Le gouverneur sortit de sa tente »
Pas besoin de répéter le verbe, si tu avais dis que Wiggins se tenait à côté de Thomas, on aurait compris pourquoi, surtout que tu précises au lecteur (bien que je ne vois pas trop pourquoi tu saurais qu'il est le majordome) qui il est.
J'ai davantage de problème avec la suite. La phrase autoritaire et énervé appartenait donc à Wiggins (soit dit en passant, il a peut-être un air un peu fou, mais certainement pas à côté de la plaque) ce qui... ne lui correspond absolument pas. Le majordome est quelqu'un d’extrêmement enjoué, tenant absolument à respecter sa place, et à bien faire son travail. Je le vois mal enguirlander quelqu'un alors qu'il est également assez froussard.
« Elle eut envie de rire, elle s'en abstint évidemment mais autant vous dire que ce fut compliqué car les trois personnages qu'elle avait en face d'elle était tout simplement hilarant. »
Dans un même paragraphe, tu passes sur la frayeur... à l'insolence, à l'insouciance. C'est assez étrange, surtout que tu n'accordes aucune place pour le développement de ces émotions, et leurs transitions. Et avant le rire, je pense que dans une situation où l'on craint quelque chose (encore plus lorsqu'on craint pour sa vie), on ressent du soulagement, avant l'hilarité et la moquerie, pour s'être monté la tête pour rien.
J'ai précisé plus haut que tu n'avais pas besoin d'être toujours précise pour des choses évidentes. Tu as ici un cas où les choses ne le sont pas, et il aurait été bien d'approfondir les choses !
« Radcliffe se présenta tel un vrai gentleman, Erel eut même droit à un baise-main auquel la jeune femme n'était pas habitué, elle s'inclina poliment et caressa même l'horrible chien du gouverneur. ! »
Jusqu'à présent, si ma mémoire ne me fait pas défaut, trois mercenaires ont présenté Radcliff, et on a tous eu notre manière de faire : Natsu s'est opposé à lui, l'a humilié, et ce dernier s'est aplati ; Auron s'est opposé à lui, mais avec plus de manière et de tact, et bien que ce dernier se soit aplati... ça semblait plus vraisemblable ; enfin, je l'ai toujours présenté comme un immonde bâtard arrogant qui nous considère comme des esclaves à son service... ce que nous sommes en quelque sorte. Toutes ses visions sont à peu près cohérente avec ce que nous présente Pocahontas. Là tienne l'est également. Sauf qu'elle ne correspond pas à la situation ou plutôt à la personne vers qui ces bonnes manières sont dirigées. Radcliff... nous paie. Il n'a pas besoin de faire son lèche-botte. C'est un aristocrate, il est manipulateur, cupide. Il n'est « gentil » que lorsque ça peut lui servir, et seulement envers ceux qui peuvent lui rendre service, tout en pouvant le punir. Comme le roi d'Angleterre, pas les Mercenaires. A l'avenir, prends-y garde !
« son discours étaient ennuyeux ! »
Ce n'est pas la première faute que je remarque (et je me suis amélioré, avant je relevais presque toutes les fautes que je voyais), et je pense que c'est juste un défaut d’inattention. Tu utilises le pluriel pour un sujet singulier. Une relecture évitera probablement ça à l'avenir!^^
« les mercenaires n'allaient pas s'occuper eux-mêmes de chercher de l'or car aucun d'eux n'étaient assez malin pour le faire »
Hum, je te conseille d'éviter de dire ce genre de choses à d'autres mercenaires. Pas sûr qu'ils le prennent avec humour ! Certes, Natsu a beau être un peu... impulsif et stupide parfois, la majorité des mercenaires réfléchissent un minimum ! Techniquement, ils pourraient chercher l'or. C'est juste qu'ils ont mieux à faire de leur journée et talents.
« La carte qu'allait jouer Erel serait décisive dans l'alliance mercenaires-colons. »
Je t'avais donné le rp de Natsu pour que tu rattrapes ses erreurs, et que tu apaises un peu les relations entre Radcliff et les mercenaires qui ont été tendues depuis. Je n'ai pas voulu te donner plus car ça te faisait de la lecture en plus pour rien : tu as tout le temps pour le faire, si tu le désires. En revanche, je dois te dire que l'alliance est déjà forgée, il s'agit plus d'aplanir les coins qu'autre chose.

« « Jeune fille, vous n'êtes pas sans savoir que mes hommes se sont occupés de tous les problèmes énumérés précédemment. Sans vous vexer, à part quelques petits travaux sans réels importance, vous apportez plus d'ennuis qu'autre chose ? Votre appât du gain nous mènera à notre perte. »  »
Outre la gentillesse de notre bien-aimé Gouverneur, la raison pour laquelle je reprends ce passage, c'est pour commenter ton choix de couleur. Tu as choisi le rouge, comme pour la voix autoritaire que tu avais attribué à Radcliff plus tôt. Seulement, comme je l'ai déjà remarqué, la voix appartenait à Wiggins puisque le Gouverneur sortait de sa tente à ton entrée. Vérifie bien que tu as choisis les bonnes couleurs pour tes dialogues ! Il ne faudrait pas qu'on puisse confondre les personnages si le dialogue est composé de plus de 2 personnes dans un lieu ouvert.

« Erel se mordit la langue durant son discours sinon il en aurait déjà prit plein la tronche ce gros lard ingrat ! »
Erel est impulsive, d'où le fait que tu te retiennes, ce qui est un point positif (bien que tu aurais pu en rajouter un peu, rendre vraiment difficile ce calme que tu te dois d'avoir... notamment en ayant vraiment rendu Radcliff... Radcliff, avec son attitude hautaine, et la volonté de t'écraser volontairement ou en montrant à quel point c'est difficile pour elle, qu'elle doit se concentrer sur sa respiration, planter ses ongles dans ses paumes... tu as compris l'idée. En revanche, elle semble avoir déjà été intimidé par sa 'menace' pesant sur le mot ami, et elle sait qu'il a du pouvoir sur ce camp, et en partie envers les Mercenaires. Il ne serait pas impossible qu'il exige ta mort en réparation d'insulte. Si je comprends qu'elle puisse vouloir l'insulter... en aucun cas elle n'aurait pu le faire. Erel est lâche, elle n'aurait pas pris un risque inutile juste parce qu'un type lui crache dessus, même si ça ne l'empêche pas d'éprouver cette haine, cette colère... au second plan, juste derrière la soumission et la peur.

« Il se moquait ouvertement de la jeune femme mais elle resta calme, elle sourit comme si les paroles du gouverneur l'avait flatté alors qu'elle avait envie de l'égorger et d'apporter sa tête à Septimus...elle avait le contrôle de ses sentiments, elle ne pouvait pas s'emporter pour un rien surtout pour ne pas donner satisfaction à Radcliffe mais pourquoi cherchait-il à briser son alliance avec les mercenaires ? Car c'est l'impression qu'il donnait, il ne pouvait pas survivre face aux indiens, mais il n'avait pas tord sur le fait que les mercenaires n'étaient pas toujours là pour les aider. Erel prit le temps de réfléchir lorsque soudainement Wiggins entra dans la tente avec un plateau remplit de biscuit et de tasse. »
Je profite de cette pause dans votre échange verbale pour commenter ce que tu as déjà écrit, en commençant par la pause justement.
Encore une fois, je regrette que tu n'explores pas plus les sentiments d'Erel, que tu décrives à quel point elle a du mal, et ce qu'elle doit faire pour se dominer, autant sa colère que sa lâcheté, pour montrer une image tout en confiance.
Passons maintenant au dialogue lui-même.
Je dois dire que je ne suis pas emballé par lui. Tu présentes ça comme une joute verbale, un échange d'argument logique, comme une partie d'échec. Seulement, cette partie d'échec serait joué par deux débutants un peu craintif de perdre leurs pièces, et doit être remporté par la petite nouvelle... alors qu'elle a l'habitude de jouer aux dames. Les échanges sont assez mous, et je t'imaginais davantage jouer sur la séduction plutôt que sur la logique envers Radcliff. Il a beau être un aristocrate arrogant, il n'en reste pas moins un homme. Devenir sa maîtresse par exemple aurait pu faire l'affaire. Durant ta séduction des hommes de Port Royal, tu as prouvé que tu pouvais le faire. Et si l'idée de sexe déplait tant à Erel... il y a d'autres moyens pour charmer un homme. Tu aurais pu devenir une aède pour lui, une musicienne, une bouffonne... Bref, pleins d'autres options plutôt qu'un simple dialogue qui se doit de reposer sur la psychologie de Radcliff, mais aussi toutes les actions et intentions passées, présentes et futures des Mercenaires dont tu n'as pas forcément connaissance. Par exemple, tu dis que Radcliff nous restreint l'accès... Mais c'est faux. Les Mercenaires et le Gouverneur ont beau être en froid, les travaux sont accomplis, et personne parmi les colons n'oseraient s'opposer aux Mercenaires, surtout face à des types comme Auron ou Natsu (à cause de leur renommée, de leur puissance) ou Septimus et Pamela (qui ont plus ou moins fait ami-ami avec les travailleurs colons, donc aucun conflit entre eux). Bref, tu vois ce qui cloche?^^
Je n'ai généralement aucune véritable idée de comment la mission doit se faire, puisque tout membre peut choisir de la réussir ou de l'échouer, et ce de nombreuses manières différentes. Et même lorsque c'est le cas, que le résultat s'approche de mes attentes ou non, ça ne fait aucune différence, tant que c'est bien fait !

« Il lança un regard amusé à la jeune femme, il aimait jouer à ce genre de jeu avec les mercenaires, il s'attendait à ce qu'elle craque mais elle lui résistait et autant dire qu'il aimait faire durer le jeu. »
Le dialogue reste le même (bien que tu fasses intervenir l'idée de fille de joie... il reste malheureusement plat, et dans un sens, celui de Radcliff), mais passons.
Outre le fait que tu fasses intervenir l'idée de pêche, le plus marquant est sans doute cette phrase. Je ne sais pas si tu as vu Pocahontas, mais en aucun cas Radcliff ne peut s'amuser à ce que quelqu'un lui tienne tête, même s'il pense avoir raison de lui à la fin. Ce type est un sadique, il aime écraser les autres immédiatement, et ne peut supporter la moindre opposition. Alors y prendre du plaisir ? C'est impossible. Il se doit d'être le plus fort, le meilleur.
« Dés qu'elle fut sortit, elle rejoint le jeune homme qui l'avait agressé devant la porte du camp, la partie de pêche allait s'avérer pénible. »
Je relève une autre erreur, et cette fois, c'est assez gênant. Il faut que tu décides quel accord de temps tu veux pour ton rp. Soit tu utilises le présent, comme avec 'elle rejoint', soit les temps du passé. Certains pensent que changer de temps entre paragraphes peut passer, que ce n'est pas gênant (ce n'est pas mon cas). En revanche, on s'accorde tous pour dire que dans un même paragraphe, pire une même phrase, ça ne se fait pas. Ça romps complètement la lecture, et ça peut la rendre confuse dans l'ordre chronologique des événements. Primus te l'avait déjà fait remarqué avec la mention de ton apprentissage à la forge, puis par toi-même. Autre chose encore : « Cependant lorsqu'il s'agissait d'un ordre, il ne put discuter les ordres de son supérieur » Les temps ont une valeur précise. Le passé simple évoque une action ponctuel, unique. Ici, Thomas ne peut jamais discuter un ordre, donc le passé simple ne convient pas, il aurait fallu un imparfait.

« Au bout de plusieurs heures à pêcher, ils n'attrapèrent que quelques poissons, pas assez pour ravitailler tous les hommes présents sur le camp. »
La partie de pêche... était aussi passionnante que le voyage à l'aller. Je ne vois pas vraiment de raison pour que tu l'ais inclut dans ta mission. L'idée proposée par Radcliff, j'aurai pu comprendre. Il te le propose, tu refuses. Mais le fait que tu acceptes... quel est l'intérêt, si ce n'est te permettre de te montrer 'brave' face à un raton-laveur en pleine forêt (alors même que ton inquiétude était les sauvages, et que Radcliff a bien précisé que c'est dangereux... drôle de réaction de le prendre sereinement) et d'être seul avec Thomas (et de sympathiser alors qu'il te détestait d’emblée) ?

« Erel sourit, elle ne fit aucun commentaire mais elle n'allait pas manquer l'occasion d'en faire part à ses supérieurs. Peut-être faudrait-il le remettre à sa place, les mercenaires pouvaient peut-être reprendre le dessus sur lui. »
Petite parenthèse pour dire que les dialogues ne sont vraiment pas ton point fort ! Tu as ce point commun avec Erel^^
Passons sur le fait que Radcliff ait menti, que Thomas te révèle presque que les colons conspirent contre lui. Non, le plus important, c'est ce paragraphe. Ta mission était justement de 'reprendre le dessus', mais sans toutefois le 'remettre à sa place' puisque c'est cet élément qui est à l'origine de ta mission ! A partir de ce point... je ne sais pas si je dois considérer que tu as échoué ou non. Il reste encore quelques lignes avant la fin, mais il me semble que tu n'as fait que parler, sans rien apporter de concret à la situation. Ni plus, ni moins envers Radcliff mais juste une tentative de créer encore plus de problèmes au campement avec le mécontentement des colons.

« Et un allié en poche ! Radcliffe allait tomber cette fois, le gros problème venait uniquement de lui alors il allait sans doute falloir enquêter plus longuement sur ses motivations ! Erel serra la main de Thomas, ce dernier semblait naïf et il ne savait pas que ses révélations allaient changer la situation du camp ! »
Parler d'allié à ce stade, sans développement de ta relation avec Thomas, comment tu l'as fait tombé sous ta coupe, c'est clairement prématuré. De plus, même s'il était notre allié... il n'est qu'un larbin. Sa parole ne vaut pas grand chose pour les Mercenaires, et surtout, même si on n'en prend compte, l'important c'est Radcliff. C'est lui qui est en affaire avec le Centurio, c'est lui qui gère le camp. Donc il ne tombera pas, du moins pas si facilement et pour une raison créée de base par Natsu sans vrai logique. Quant à ses motivations, il est facile d'en trouver une raisonnable. Radcliff désire juste nous avoir sous sa coupe, sans contre-partie afin de conserver l'or. Et jusqu'à présent, il donne effectivement plus qu'il ne reçoit donc les Mercenaires ne sont toujours pas sorti d'affaire !

« « Oui, même si Thomas est bien plus doué que moi, il a attrapé de plus gros poisson que moi. Qu'aurais-je fais sans son aide ? »

Radcliffe fronça les sourcils, il croisa les bras et tenta de retourner la situation. »
Hum... Je ne comprends pas ce passage. Jusqu'à présent, tu as fait en sorte que Radcliff te rabaisse. Là, tu joues encore ton rôle d'ingénue, tu dis exactement ce que Radcliff pense que tu es... et il tente de 'retourner la situation' ?

« Elle quitta le Nouveau Monde, Septimus allait être heureux de voir que ce gros lard ne partageait pas forcément les mêmes envie qu'eux, il souhaitait la guerre, il y a toujours des hommes comme ça, il voulait l'or pour lui tous seul. Plus on en a plus, on en veut ! Cependant ces motivations restaient flou ainsi Erel désira poursuivre cette mission cependant il fallait qu'elle en ai l'autorisation par Septimus. »
Bon, finissons ça vite ! La conclusion est... beaucoup plus rapide que l'intro, presque un peu brutale. Mais ça n'a pas besoin d'être un final éclatant après tout.
J'ai cependant quelques petites choses d'autres à dire. Tout d'abord, si tu as lu le rp de réunion entre mercenaires, tu sais que le groupe désire ardemment la guerre. Il en a besoin après tout puisqu'il est payé pour se battre. Donc l'envie de Radcliff est partagé. Le fait qu'il veuille de l'or pour lui seul... c'est évident, et pour l'instant, Primus pourrait finir par décider que ça arrivera, et les Mercenaires seraient évincés. Il faut vraiment rétablir les relations avec Radcliff, même si je conçois que ça puisse se faire en plusieurs rps différents (et si possible avec différentes personnes), ce qui serait la meilleure des choses.
Enfin... ta dernière phrase, avec la répétition du 'cependant' sans ponctuation est lourde. Qu'une conclusion ne soit pas grandiose, ok. Mais veille à soigner au moins sa construction pour la rendre légère, fluide^^

Mission très facile : 5 points d'expérience + 50 munnies + 1 PS en psychisme pour ce self-control !