Lorknaar n’avait pas voulu se reposer de trop après sa dernière mission, Joe le remarqua et s’en étonna tout autant que nous ! Il émit néanmoins le désire de ménager le nouveau venu et lui expliqua sa prochaine mission : terroriser les villageois.
*Mouais, j’ai pas forcément besoin de me reposer mais si ça c’est du repos, je veux bien me reposer tous les jours ! Ghéhéhé*
Quelques instants plus tard, le chasseur se rendit dans la caserne afin de voir la fameuse garde noire qui allait l’accompagner dans le but d’accomplir son agréable travail. Une fois sur place, il vit la dizaine de soldat s’équiper d’armures, épées ou hache.
*Prenez quelques bâtons et gourdins aussi messieurs, on ne tue pas ce soir ! Enfin, pas physiquement en tout cas. Ah et pensez à enrouler vos pieds dans des draps pour ne pas faire de bruit en marchant.*
*Bien monsieur ! * répondirent en cœur les dix soldats accompagnant le chasseur
Après cinq minutes d’attentes, Lorknaar put voir deux files de cinq soldats, se tenant au garde à vous, prêt à se rendre dans la cité pour y effectuer leur « dur » labeur. Lorsqu’ils sortirent du château, le soleil noir dardait sa lumière crépusculaire sur la citée tout entière, ils marchèrent silencieusement pendant environs cinq minutes avant d’arriver aux portes de la fameuse citée. L’idée que Lorknaar avait eu de faire envelopper les pieds des soldats avec de la toile était très pratique en considérant la situation : le village dormait et, puisque leurs pieds étaient emmitouflés, ils ne réveillèrent personnes.
Lorknaar fit faire halte aux gardes noirs. Il ordonna à l’un d’entre eux de se mettre au milieu quartier pendant qu’il divisait le reste de la troupe en trois groupes de, attention calcul compliqué, trois soldats chacun ! Par la suite, il envoya chacun des groupes devant une maison différente où ils durent attendre la suite de son plan. C’est alors que Lorknaar leur fit signe, ils entrèrent chacun dans la maison pour en sortir les familles qui s’y trouvaient et ils les trainèrent devant le garde resté dans la rue et les mirent à genou, ils continuèrent ainsi jusqu’à rassembler une vingtaine de personnes de tout âge dans la rue. Tout le monde ne se laissa pas faire et il y eut quelques coups de gourdins qui se perdirent et quelques bleus se créèrent par ci par là.
Bonsoir messieurs dames, nous ne voulions pas vous déranger mais on nous a dit qu’une infraction à la loi 87 point 6 avait été commise, nous venons donc pour rétablir l’ordre que nous représentons !
Un villageois se leva alors et cria vers Lorknaar : Mais enfin, qu’est-ce que vous racontez ?! On a rien fait nous, on est innocent !
Lorknaar se rapprocha alors brusquement de cet homme et lui asséna un puissant coup de poing qui renvoya le rebelle droit sur le plancher des vaches. Lorknaar commença à parler mais il ne s’énervait pas et restait aimable, courtois et souriant sauf que sourire n’avait rien de rassurant, bien au contraire ! Ce sourire était des plus carnassier et sadique.
*Mais justement mon bon monsieur, vous êtes trop innocent à mon goût et à celui de la coalition noire, nous trouvons cela des plus suspects !*
Les villageois commençaient à échanger des regards inquiets, ils ne savaient ce qu’ils faisaient là ni ce qui allait leur arrivé… Leur inquiétude et leur peur se lisait sur leur visage et Lorknaar se délectait de ces sentiments. Il ordonna aux gardes de se poster tout autour des villageois et de frapper le premier qui oserait bouger ! Il prit alors sa lance en main et tourna en rond autour d’eux, laissant la pointe de sa lance gratter le sol ce qui émettait un son strident…
*Comment dit-on encore ? C’est le renard qui passe c’est bien ça ?*
Une petite fille régit à ce que Lorknaar avait dit et tourna la tête pour ouvrir la bouche mais le garde le plus proche lui asséna un coup qui l’assomma direct. Les parents de l’enfant se ruèrent sur leur fille et se prirent, eux-aussi, un coup de gourdin sur le coin de la tête.
Mais enfin, pourquoi faites-vous cela ?!
C’était à nouveau le rebelle de tout à l’heure qui faisait de siennes. Lorknaar se dit que laissé cet homme répondre sans en subir les conséquences laisserait les autres penser qu’ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient et il décida de réagir !
*Vous vous commencez à me courir mon cher monsieur, nous allons faire un exemple de votre cas : écoutez-moi bien vous tous, que ceux qui veulent désobéir aux membres de la coalition réalise leur erreur et vois ce qui va leur arriver !*
Lorknaar jeta l’homme sur le sol, se saisi de sa lance pour entailler les bras du villageois, ce dernier hurla au contact du métal qui s’enfonçait doucement dans sa peau et il failli tomber dans les pommes lorsque son sang se mit à couler mais le chasseur ne le laissa pas s’évanouir, il le frappa pour le réveiller et fit au signe à un des gardes de récolter le sang dans une flasque qu’il avait pris dans le laboratoire de Joe.
Une fois le sang récolté, il jeta le rebelle dans les bras d’un des gardes en lui ordonnant de le laisser là mais de fermer ses plaies pour ne pas qu'il meurt.
*Quant à vous tous, souvenez-vous bien de ce qu’il vient de se passer et rappelez-vous bien qui sont vos maîtres !*
Lorknaar se mit à peindre un message sur le mur d’une maison à l’aide du sang récolté. Les villageois purent regarder le message après quelques secondes : La coalition ne vous oublies pas, souvenez-vous en !
C’est après avoir fini de peindre le message que Lorknaar fit signe aux gardes de se bouger en assommant les villageois pour qu’ils restent là jusqu’au matin et ils partirent en direction du château, leur tâche accomplie.
Mer 17 Sep 2014 - 13:51*Mouais, j’ai pas forcément besoin de me reposer mais si ça c’est du repos, je veux bien me reposer tous les jours ! Ghéhéhé*
Quelques instants plus tard, le chasseur se rendit dans la caserne afin de voir la fameuse garde noire qui allait l’accompagner dans le but d’accomplir son agréable travail. Une fois sur place, il vit la dizaine de soldat s’équiper d’armures, épées ou hache.
*Prenez quelques bâtons et gourdins aussi messieurs, on ne tue pas ce soir ! Enfin, pas physiquement en tout cas. Ah et pensez à enrouler vos pieds dans des draps pour ne pas faire de bruit en marchant.*
*Bien monsieur ! * répondirent en cœur les dix soldats accompagnant le chasseur
Après cinq minutes d’attentes, Lorknaar put voir deux files de cinq soldats, se tenant au garde à vous, prêt à se rendre dans la cité pour y effectuer leur « dur » labeur. Lorsqu’ils sortirent du château, le soleil noir dardait sa lumière crépusculaire sur la citée tout entière, ils marchèrent silencieusement pendant environs cinq minutes avant d’arriver aux portes de la fameuse citée. L’idée que Lorknaar avait eu de faire envelopper les pieds des soldats avec de la toile était très pratique en considérant la situation : le village dormait et, puisque leurs pieds étaient emmitouflés, ils ne réveillèrent personnes.
Lorknaar fit faire halte aux gardes noirs. Il ordonna à l’un d’entre eux de se mettre au milieu quartier pendant qu’il divisait le reste de la troupe en trois groupes de, attention calcul compliqué, trois soldats chacun ! Par la suite, il envoya chacun des groupes devant une maison différente où ils durent attendre la suite de son plan. C’est alors que Lorknaar leur fit signe, ils entrèrent chacun dans la maison pour en sortir les familles qui s’y trouvaient et ils les trainèrent devant le garde resté dans la rue et les mirent à genou, ils continuèrent ainsi jusqu’à rassembler une vingtaine de personnes de tout âge dans la rue. Tout le monde ne se laissa pas faire et il y eut quelques coups de gourdins qui se perdirent et quelques bleus se créèrent par ci par là.
Bonsoir messieurs dames, nous ne voulions pas vous déranger mais on nous a dit qu’une infraction à la loi 87 point 6 avait été commise, nous venons donc pour rétablir l’ordre que nous représentons !
Un villageois se leva alors et cria vers Lorknaar : Mais enfin, qu’est-ce que vous racontez ?! On a rien fait nous, on est innocent !
Lorknaar se rapprocha alors brusquement de cet homme et lui asséna un puissant coup de poing qui renvoya le rebelle droit sur le plancher des vaches. Lorknaar commença à parler mais il ne s’énervait pas et restait aimable, courtois et souriant sauf que sourire n’avait rien de rassurant, bien au contraire ! Ce sourire était des plus carnassier et sadique.
*Mais justement mon bon monsieur, vous êtes trop innocent à mon goût et à celui de la coalition noire, nous trouvons cela des plus suspects !*
Les villageois commençaient à échanger des regards inquiets, ils ne savaient ce qu’ils faisaient là ni ce qui allait leur arrivé… Leur inquiétude et leur peur se lisait sur leur visage et Lorknaar se délectait de ces sentiments. Il ordonna aux gardes de se poster tout autour des villageois et de frapper le premier qui oserait bouger ! Il prit alors sa lance en main et tourna en rond autour d’eux, laissant la pointe de sa lance gratter le sol ce qui émettait un son strident…
*Comment dit-on encore ? C’est le renard qui passe c’est bien ça ?*
Une petite fille régit à ce que Lorknaar avait dit et tourna la tête pour ouvrir la bouche mais le garde le plus proche lui asséna un coup qui l’assomma direct. Les parents de l’enfant se ruèrent sur leur fille et se prirent, eux-aussi, un coup de gourdin sur le coin de la tête.
Mais enfin, pourquoi faites-vous cela ?!
C’était à nouveau le rebelle de tout à l’heure qui faisait de siennes. Lorknaar se dit que laissé cet homme répondre sans en subir les conséquences laisserait les autres penser qu’ils pouvaient faire ce qu’ils voulaient et il décida de réagir !
*Vous vous commencez à me courir mon cher monsieur, nous allons faire un exemple de votre cas : écoutez-moi bien vous tous, que ceux qui veulent désobéir aux membres de la coalition réalise leur erreur et vois ce qui va leur arriver !*
Lorknaar jeta l’homme sur le sol, se saisi de sa lance pour entailler les bras du villageois, ce dernier hurla au contact du métal qui s’enfonçait doucement dans sa peau et il failli tomber dans les pommes lorsque son sang se mit à couler mais le chasseur ne le laissa pas s’évanouir, il le frappa pour le réveiller et fit au signe à un des gardes de récolter le sang dans une flasque qu’il avait pris dans le laboratoire de Joe.
Une fois le sang récolté, il jeta le rebelle dans les bras d’un des gardes en lui ordonnant de le laisser là mais de fermer ses plaies pour ne pas qu'il meurt.
*Quant à vous tous, souvenez-vous bien de ce qu’il vient de se passer et rappelez-vous bien qui sont vos maîtres !*
Lorknaar se mit à peindre un message sur le mur d’une maison à l’aide du sang récolté. Les villageois purent regarder le message après quelques secondes : La coalition ne vous oublies pas, souvenez-vous en !
C’est après avoir fini de peindre le message que Lorknaar fit signe aux gardes de se bouger en assommant les villageois pour qu’ils restent là jusqu’au matin et ils partirent en direction du château, leur tâche accomplie.