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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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Ainsi commence ma nouvelle aventure, avec une exhibition de mes capacités ! La princesse de l’envie m’envoie dans le Nouveau Monde afin de trouver et exécuter un autochtone, mais pour quelle raison ? Je m’en moque à vrai dire, je ne suis que le bras armé des désirs d’Ariez et je me fiche des plans sournois qu’elle dresse envers nos ennemis, je me réjouis simplement d’ôter la vie d’un Indien, et particulièrement, lui prouver mon utilité. J’ai entendu dire qu’ils étaient coriaces une fois dans leurs éléments naturels, je suis pressé de vérifier ça par moi-même, mais ma mission ne s’arrête pas là, je dois m’assurer que les sauvages soit convaincus de la responsabilité du Centurio dans ce meurtre, rien de bien compliqué.

L’accès au Nouveau Monde était loin d’être facile, il ne suffisait pas de prendre un vaisseau pour atteindre la forêt, se serait bien trop simple ! Il m’a fallu embarqué sur un navire pour effectuer la traversé, en soit, voguer sur la mer n’est pas un problème, il s’agit surtout de trouver de quoi s’occuper ! Je suis resté plus d’un mois à ne rien faire dans les cales, la palette d’activité est réduite quand on se trouve sur une coquille de noix au milieu de l’océan, et pas question de s’entrainer, il serait tellement simple de percer la coque. Et un beau matin brumeux, le capitaine me rejoignit dans les cales pour m’annoncer la bonne nouvelle.

«
- Pardonner mon intrusion, mais…
- Que me voulez-vous ?
- Nous sommes arrivés au large du Nouveau Monde, nous pouvons commencer la manœuvre d’accostage.
- Vous n’en ferez rien, vous allez immobiliser le navire.
- Mais, l’équipage voudrait retrouver la terre ferme après se long…
- Je me moque de vos envies, mettez un canot à la mer. J’irais dans la forêt avec deux de vos hommes pour récupérer de l’eau pure et nous repartirons.
- Mais nous venons a peine d’arrivé !
- N’oublier pas qui a payé cette expédition ! J’ordonne et vous exécuté ! Alors maintenant, remonter sur le pont et faite ce que je viens de dire !
- Bien monsieur…
»

Quel emmerdeur, je devrais l’amener à terre lui aussi, un appât de plus me serait utile. J’ai vérifié mes armes une dernière fois avant de monter sur le pont, l’équipage au grand complet était la et m’attendait impatiemment, il semblerait que je ne manque pas d’âmes pour m’accompagner… Si vous saviez ce qu’y vous attend.

«  Je sais que vous mourrez tous d’envie de fouler le sol du Nouveau Monde, mais comme je l’ai dit à notre départ, ce n’est qu’un aller-retour, j’ai une affaire à régler dans la forêt et ça ne servirais a rien de s’attarder ici. Mais je ne suis pas idiot, je sais que nous avons besoin d’eau et de vivre, c’est pour cette raison que le capitaine et deux d’entre vous m’accompagneront au sol. Alors, des volontaires ?[/color] »

Suite à ses paroles, les voix ont commencé à s’élever, je me dirigeais vers le canot en attendant d’être rejoint par mon escorte. Le capitaine est arrivé le premier, il nourrissait une haine envers moi depuis le début du voyage, mais restait de marbre en ma présence, trop arrogant pour afficher la moindre émotion en ma présence, il me faisait bien rire. Peu après, deux hommes sont arrivés, il était solidement bâti et devaient avoir fait parler leurs poings pour gagner leurs places, je ne pouvais espérer mieux pour la suite des événements.

«
- J’espère que vous êtes prêt à vous défendre, j’ai entendu dire que les Indiens ne rigolaient pas avec les colons.
- Ce n’est pas des indigènes dont je me méfie…
- Qu’ils viennent ! Ils goûteront à nos fusils, pas vrais Roger ?
- Tu la dis Fred !
- Et bien, quelle joie de vous avoir avec moi…
»

Je n’ai pas hérité des plus malins de l’équipage, à peines ont-ils ouvert la bouche que j’ai déjà envie de les abattre, et quant au capitaine, je souris déjà à l’idée de le voir mourir. Les deux balourds ont commencé à ramer vers le rivage, il nous a fallu plus d’un quart d’heure pour enfin poser pied à terre. Nous avons accosté dans une petite crique non loin du camp des mercenaires, comment je le savais ? Un drapeau portant les couleurs du Centurio flottait fièrement au sommet des barricades, je remercierai la Coaliton pour m’avoir fourni les bonnes coordonnées, je ne perdrais pas de temps à chercher le camp avec un cadavre sur le dos. De notre position, il m’était impossible d’apercevoir les activités des colons, outre une dizaine hommes faisait le guet autour des murs, l’alarme serait automatiquement donnée à notre approche, aussi furtive soit-elle, j’espère que mes acolytes comprendront ça, je me suis retourné vers eux et leur aient dit :

« Avec un peu de chance, les colons ne nous ont pas remarqué, et ça ne doit pas changer ! Vous deux, tirer le canot dans la forêt, vite ! »

J’ai laissé le capitaine entrer le premier dans la forêt, par sécurité, si je pouvais espérer avoir passé inaperçu aux yeux des colons, il en était tous autre pour les Indiens. Il était possible qu’ils nous aient remarquées et prépare une embuscade à l’orée des bois. Heureusement pour le capitaine, aucune flèche ne vint se planter dans son petit corps, la zone semblait sûre. Une fois les deux autres arrivés, nous avons pu cacher le canot et commencé notre expédition, les rares cartes que j’avais trouvées indiquèrent une rivière plus au nord, et les quelques informations recueillies dans un bar à Londres jurèrent la présence d’indigène dans les alentours de se même fleuve, que le Nouveau Monde est petit. Nous avons marché tous ensemble pendant une longue heure, Fred et Roger ouvrait la marche en poussant les tonneaux pendant que le capitaine et moi même restons en arrière, je restais tout de même sur mes gardes, dans cette grande forêt, nous n’étions pas à l’abri de la moindre attaque. Les Indiens pouvaient être cachés derrière chaque arbre, buisson ou autre élément du décor, à me lire, on pourrait se dire que je suis parano, mais la vérité est bien plus simple, je n’ai pas envie de mourir dans cet endroit, pas maintenant. Mais une chose de sure, si je veux tuer un Indien, il va falloir nous faire remarquer.

«
- Hé les gars, on est loin des colons maintenant, rien ne vous empêche de parler.
- Mais… Les Indiens…
- Il n’y a rien à craindre, sinon vous seriez mort depuis longtemps.
- Ah bah oui, vous avez raison boss... Hé Roger ! Premier arrivé est un gros nul
- Parler ? Brillante idée…
»
Le reste du trajet fut… Divertissants, les deux idiots n’ont pas arrêté de parler, je ne pouvais rêver meilleur dénouement, il était impossible de rester discret avec ce vacarme, à moins que le seul Indien patrouillant dans la forêt soit sourd. J’avais beau faire attention aux moindres détails, regarder au sommet de chaque arbre, je ne voyais personne, mais je gardais l’étrange sensation d’être observé, et cela, depuis notre entrée dans la forêt.

«
- Chef ! La rivière est devant nous !
- J’ai remarqué, merci. Allez puiser de l’eau et chasser.
- Bah et vous ?
- Occupe toi des tes affaires et je m’occupe des miennes…
»

J’ai regardé ses incapables continuer leur route vers la rivière, j’espère qu’ils seront assez doués pour servir d’appât. J’ai décidé de prendre un peu de hauteurs pour continuer ma mission et suivre discrètement l’équipage, sincèrement, avec le bruit qu’il faisait, je ne sais pas ce qu’il faudrait pour attirer un Indien. Le feuillage des arbres était une bonne couverture, mes hommes ne risquaient pas de me remarquer, ou même un Indien, s’il y en a un assez fou pour attaquer mes hommes, je pourrais lui sauter directement dessus, on verra qui sera l’ange de la mort des forêts. De mon perchoir, je voyais Fred et Roger remplir les tonneaux pendant que le capitaine était occupé à charger les fusils, encore deux petits sauts et je serais juste à l’heure hauteur, mais quelqu’un était déjà là… Une ombre se dressait à travers les feuillages, un homme, il bandit son arc et tira une flèche en direction de mes hommes, elle se plantait directement dans la gorge de Roger, le choc le plaqua au sol, il ne bougeait plus. Je profitais de cet instant pour sauter vers l’ombre, mes faux dégainées pour donner un coup rapide, mais une fois arrivé, l’ombre avait déjà disparu de son perchoir.

« ROGER !!! ENFANT DE SALAUD JE VAIS TE TUER »

L’indigène avait déjà sauté dans la rivière, et dominais de toute sa taille mon deuxième homme, Fred a essayé de lui décocher une droite, mais l’Indien esquiva facilement le coup pour écraser son tomahawk sur le crâne de mon deuxième homme, il était bon. Il sortait de la rivière et se dirigeait vers le capitaine, de mon perchoir, je pouvais l’observer tant que je voulais, l’indien n’était pas tellement différent de moi, sauf leur peau, de couleur ocre, ils étaient tout aussi musclés et avide de sang. Il se dirigeait lentement vers sa nouvelle proie, balançant son arme d’une main à l’autre, le capitaine tentait désespérément de charger son arme, je pourrais attendre une minute de plus pour le voir mourir devant moi, mais je ne dois pas louper cette fenêtre. L’autochtone dominait le capitaine et était prêt à donner le coup de grâce, c’était mon moment, je sautais en direction de mon ennemi toutes lames dehors pour atterrir sur ses épaules et donner un coup rapide sur son torse, le choc propulsa l’indien à plusieurs mêtres.

«
- Vous ? Mais pourquoi ?
- Tais toi, si tu veux vivre, aide moi…
- Mais il est mort ! Vous l’avez abattu !
- Tu crois ?
»

L’Indien c’était relevé et courrait dans notre direction, l’arme au poing et impatient dans découdre, il avait beau avoir une entaille partant du nombril jusqu’à l’épaule, il ne semblait pas en être dérangé. Je me mettais en position pour le recevoir pendant que le capitaine restait immobile, figé par la peur, il m’était inutile. Je me suis propulsé dans sa direction et arrivé à sa hauteur, j’ai fait un pas sur la gauche afin de le contourner et asséner un deuxième coup rapide dans son dos et faire apparaître une nouvelle coupure sur sa peau d’ocre, le combat s’annonçait facile. Je pensais l’avoir mit à terre avec ce coup, ou bien l’avoir affaibli mais pas du tout, il c’était retourné rapidement pour se jeter sur moi, j’eu juste le temps de faire une roulade mais mon adversaire était bien plus rapide que moi, il avait eu le temps de se redresser et de se ruer à nouveau vers moi, l’Indien m’attrapa au niveau du coup et me maintenais au sol. Je voyais son tomahawk se lever, prêt à s’abattre sur mon visage.

« Non, pas comme ça, pas maintenant ! »

Un coup de feu retentit, l’arme tombait à côté de moi pendant qu’une rose de sang apparaissait sur l’épaule de mon ennemi, la prise se faisait de moins en moins important, je profitais de ce relâchement pour poser mon pied droit sur le torse de l’homme et le jeter en arrière. Je récupérais mes armes et me relevais pour remarquer le capitaine derrière moi, je devais mon salut à cet homme, il était toujours figé avec l’arme fumante pointée dans notre direction, pas si inutile finalement, je l’épargnerais peut-être. L’indigène tentait difficilement de se relever, il semblerait que les balles soit plus efficaces que les lames, je me dirigeais vers lui, je concentrais mon énergie ténébreuse dans mes lames et une fois arrivé à sa hauteur, je portais un coup directement dans son cou, ma faux était enfoncé dans son corps et le sang commençait à couler de sa bouche, mais ma victime continuait de me regarder avec défi. Je rangeais ma deuxième faux et dégainais mon pistolet, je collais le canon de mon arme sur son front et pressais la détente, j’avais mon cadavre.

«
- Capitaine, pousser les cadavres de nos acolytes dans la rivière, je ne veux pas de trace de leurs morts ici.
- Mais nous devons ramener les corps aux familles.
- Pourriez-vous, ne serait-ce qu’une fois, obéir à mes ordres !!! Jeter ses cadavres à l’eau ! Et après ramener au moins un tonneau à notre embarcation.
- Je refuse, nous ne laisserons pas leurs corps pourrir ici !
»

Je tirais un nouveau coup de feu, cette fois en direction du capitaine, il m’était parfaitement insupportable, je poussais son cadavre dans la rivière avec celui des deux autres idiots, il m’aurait été utile au final, je regardais leurs cadavres entrainés par le courant de la rivière, une bonne chose de faite. Je me redirigeais vers l’Indien, récupérais son arme et soulevais son cadavre, maintenant, je devais le mettre en évidence, et si possible, pas loin du Centurio.

J’avais récupéré les baïonnettes sur les armes amener par mon ex-équipage, il me serait utiles pour mon exposition, j’ai ensuite marché plus d’une heure en direction des colons, pour finalement apercevoir leurs bannières, l’endroit était parfait. Il y avait un gros hêtre à côté du sentier tracé par les mercenaires, j’ai adossé le corps sur l’arbre, la tête en direction de la rivière, il fallait passer un message, le laisser ici serait inutile. J’ai pris une baïonnette dans la main gauche pour ensuite soulever le corps par le poignet, j’ai maintenu le corps contre l’arbre en plantant la lame dans sa chaire et le bois, j’ai répété l’opération pour l’autre poignet et une dernière pointe enfoncer dans le coup. Ce n’était pas super ragoutant, mais le message était clair, maintenant, il me faillait une preuve de mon travail pour la princesse. J’attrapais la crête iroquoise de l’Indien et avec une de mes faux, je lui arrachais son scalp, se serait un beau trophée et une belle preuve de mon exploit, maintenant que ma tâche accomplie, je peux rejoindre le canot et ramer jusqu’au navire

« Désolé les gars, mais on ses faits prendre en embuscade par un Indien et je suis le seul survivant, ses moches mais c’est la vie. Maintenant, on devrait repartir au plus vite ! Et on se va se rationner, je ne veux pas que l’un d’entre vous retourne sur terre pour se faire descendre. Si vous avez besoin, je suis dans les cales. »

Encore un mois à ne rien faire, j’espère que mon travail n’a pas été inutile.


Dernière édition par Death le Mar 6 Mai 2014 - 21:50, édité 1 fois
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Alors, alors ^^

Première mission et... je suis quand même contente ^^ Ça fait depuis longtemps à la Coalition Noir qu'on manque de méchant... vraiment méchant et brutasse. J'aime assez mais attention ! Tu peux tuer autant de PJ que tu veux mais ne tues pas les PJ important ou qui peuvent servir. Là en l’occurrence il n'y a pas eu ^^ Après, tuer à tord et à travers... c'est vite lassant, mais on verra comment tu tournes ça dans tes futurs missions !

Le combat m'a déçu... il est bien, disputé, l'Indien promet d'être un adversaire coriace ! Mais ca se termine trop vite... et si ca passe, j'aurais préférer que le combat avec l'Indien dure plus longtemps. En tout cas, je note que tu sais être clair dans les combats et c'est appréciable !

Sinon le déroulement... j'aime bien l'intro, les personnes que tu faits intervenir, tout ça. Tu fait une introduction qui met dans l'ambiance et tu respectes le nouveau monde. Bon... dans l'ensemble c'est une bonne mission ^^, mais attention, il y a quelques erreurs d'inattentions.

Difficile : 35 xp -350 munies - 4 PS en.. un en vitesse et trois en dextérité.
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