Jack Wildmoore était sur le pont de son Cheval Blanc, prêt à prendre d’assaut le camp des colons. La pitoyable tentative des mercenaires en envoyant le blondinet n'avait fait que renforcer sa détermination. Il allait éradiquer ces misérables, un vrai bain de sang baptiserait cette terre, mêlant les sang anglais et indiens sans distinction.
Ses hommes derrière lui trépignaient d'impatience. C'était normal après deux semaines d'attente et de fuite. Finalement, ils allaient tuer et s'enrichir – du moins c'est ce qu'ils s'imaginaient. Le noble entendit le bruit du fer sortant de son fourreau. Avec un sourire, il donna l'ordre au navigateur de faire atterrir son vaisseau et d'abaisser la passerelle. Une attaque rapide et brutale laisseraient les colons trop stupéfaits pour réagir.
Toutefois, lorsque la passerelle toucha terre, ce fut au capitaine d'être pris au dépourvu. En effet, ses futures victimes, arme au poing, foncèrent sur lui et son équipage, bien décidés à ne pas faire de quartier. Se reprenant, il donna l'ordre d'attaquer, et dégaina lui-même son épée tout en se jetant contre un colon qu'il décapita rapidement. Ses adversaires avaient été prévenu, ou avaient anticipé l'attaque. Maudits soient les mercenaires pour cet imprévu, et la Shin-ra pour leur retard.
Un de ses lieutenants tomba près de lui, et Wildmoore ne perdit pas de temps pour embrocher l'assassin. Le sang teintait le pont de son Cheval Blanc de sang et rendait les déplacements malaisés et incertains. En plus d'esquiver, ou parer les coups d'épées, il devait également prendre garde à ne pas glisser, devant ainsi sans défense face à n'importe quelle attaque. Le fracas des armes résonna à ses oreilles avant de se calmer peu à peu. Que se passait-il ?
Jetant un rapide regard autours de lui, Jack vit qu'il était le seul survivant. Les colons l'entouraient de toute part. Comment la situation avait-elle dégénéré à ce point ? Ses hommes étaient forts, il les avait recruté pour cette qualité. Le désespoir s'empara de lui, mais il resta droit, et garda une face fière. S'il devait mourir, il ne partirait pas en suppliant pour sa vie, mais en se battant. Alors qu'il bondissait vers son premier adversaire, un coup de feu retentit et le toucha à l'épaule droite. La douleur lui fit lâcher son arme, et il s'écrasa au sol, en gémissant.
Une ombre immense le domina soudainement, une arme fumante à la main gauche, une épée étincelante et immaculée à la main droite. Le nouveau venu portait une armure sombre, et des vêtements violets. Si son esprit était embué par la souffrance, il ne l'était pas suffisamment pour ne pas reconnaître l'homme qui lui faisait face.
-Vous avez été sot de penser pouvoir me défier. Je n'ai pas besoin des mercenaires pour me débarrasser de rats comme vous.
Jack Wildmoore sourit. Son sourire, le dernier il le savait, était rempli de toute l'arrogance, de toute la noblesse et la haine qu'il possédait en lui. Son adversaire leva son épée, et le décapita nette avec une force surprenante. Sa tête voltigea dans les airs, et frappa violemment contre la porte de sa cabine où les deux traîtres étaient toujours inconscients.
Jeu 3 Avr 2014 - 17:02Ses hommes derrière lui trépignaient d'impatience. C'était normal après deux semaines d'attente et de fuite. Finalement, ils allaient tuer et s'enrichir – du moins c'est ce qu'ils s'imaginaient. Le noble entendit le bruit du fer sortant de son fourreau. Avec un sourire, il donna l'ordre au navigateur de faire atterrir son vaisseau et d'abaisser la passerelle. Une attaque rapide et brutale laisseraient les colons trop stupéfaits pour réagir.
Toutefois, lorsque la passerelle toucha terre, ce fut au capitaine d'être pris au dépourvu. En effet, ses futures victimes, arme au poing, foncèrent sur lui et son équipage, bien décidés à ne pas faire de quartier. Se reprenant, il donna l'ordre d'attaquer, et dégaina lui-même son épée tout en se jetant contre un colon qu'il décapita rapidement. Ses adversaires avaient été prévenu, ou avaient anticipé l'attaque. Maudits soient les mercenaires pour cet imprévu, et la Shin-ra pour leur retard.
Un de ses lieutenants tomba près de lui, et Wildmoore ne perdit pas de temps pour embrocher l'assassin. Le sang teintait le pont de son Cheval Blanc de sang et rendait les déplacements malaisés et incertains. En plus d'esquiver, ou parer les coups d'épées, il devait également prendre garde à ne pas glisser, devant ainsi sans défense face à n'importe quelle attaque. Le fracas des armes résonna à ses oreilles avant de se calmer peu à peu. Que se passait-il ?
Jetant un rapide regard autours de lui, Jack vit qu'il était le seul survivant. Les colons l'entouraient de toute part. Comment la situation avait-elle dégénéré à ce point ? Ses hommes étaient forts, il les avait recruté pour cette qualité. Le désespoir s'empara de lui, mais il resta droit, et garda une face fière. S'il devait mourir, il ne partirait pas en suppliant pour sa vie, mais en se battant. Alors qu'il bondissait vers son premier adversaire, un coup de feu retentit et le toucha à l'épaule droite. La douleur lui fit lâcher son arme, et il s'écrasa au sol, en gémissant.
Une ombre immense le domina soudainement, une arme fumante à la main gauche, une épée étincelante et immaculée à la main droite. Le nouveau venu portait une armure sombre, et des vêtements violets. Si son esprit était embué par la souffrance, il ne l'était pas suffisamment pour ne pas reconnaître l'homme qui lui faisait face.
-Vous avez été sot de penser pouvoir me défier. Je n'ai pas besoin des mercenaires pour me débarrasser de rats comme vous.
Jack Wildmoore sourit. Son sourire, le dernier il le savait, était rempli de toute l'arrogance, de toute la noblesse et la haine qu'il possédait en lui. Son adversaire leva son épée, et le décapita nette avec une force surprenante. Sa tête voltigea dans les airs, et frappa violemment contre la porte de sa cabine où les deux traîtres étaient toujours inconscients.