Bon, je m'étais dis que je ne vous noterai pas ce soir... Mais j'ai tellement peu envie de lire Hugo, que je vous préfère ! So let's go !
On ouvre le bal avec mon bouffon vert préféré !
Et j'ai déjà un truc à dire, sur ton premier paragraphe... Tu commences fort ! Quand on sait qui écrit, quand on connait tout ce qui s'est déjà passé, et ce qui se prépare, oser dire : « La Forêt de Sherwood, un monde paisible peuplé d'animaux éloquents. Sherwood et sa petite bourgade tranquille de Nottingham. »... Faut avoir du cran ! J'adore ! Ca colle parfaitement à la vision loufoque de Kefka, où tout peut changer d'un instant à l'autre... dans sa tête. Enfin bref, continuons !
« Nottingham n'a peut-être pas les atouts d'une grande métropole mais elle a néanmoins son petit charme du terroir, avec son identité... » Je ne suis pas tout à fait d'accord... C'est une très grande ville quand même. Après, si tu fais la comparaison avec les villes d'autres mondes, je ne peux qu'être d'accord, on ne s'attend pas du tout à la même densité.
La soirée risque d'être longue ! Je n'ai parcouru que trois paragraphes encore ! Mais j'ai encore envie de m'arrêter sur une de tes phrases : « Au centre de la tempête... mais au combien exposé. ». Normalement, l'endroit le plus sur lors de tempête, sauf erreur de ma part... Mais c'est justement au cœur de celle-ci. Et pourtant, ta phrase montre à quel point votre jeu de chat et de la souris fonctionne dans les deux sens. C'est vraiment le plus malin qui s'en sortira, quelques plumes en moins bien entendu.
Rhalala ! Autant parfois je peux détester te lire, c'est arrivé durant cette guerre (je préférai nettement certains rps de Primus), autant, là, il faut le reconnaître, tu déploies le grand jeu. Mais après tout, c'est normal, c'est votre rencontre, enfin !
Pour que tu saches de quoi je parle, tu viens de décrire les mesures de protection, et tu finis ainsi : « Puis enfin Alpha, Chef de la meute qui se tenait au près (sans espace voyons!) du régent... chargé personnellement de sa protection. ». Tu agis comme si le reste de tes hommes devaient protéger la population, les nobles... Alors qu'en fait, ils ne sont là que pour toi, et pour débusquer Primus. Du grand art !
Pour l'instant, je ne vois pas de défauts, de grosses fautes à mentionner. Non, j'ai plutôt envie de faire ton éloge, ce rp est de toute beauté !
« Kefka ferma les yeux et baissa la tête, joignant entre elles ses mains crochues. Prudemment, il ouvrit un œil et jeta un regard à Alpha... il... il... avait fermé les yeux ?! Et si ça se trouve Roc et les dalmatiens aussi... C'était atroce, il n'avait plus aucune protection... Ainsi au bout de vingt secondes de terreur absolu... »
Le grand n'importe quoi ce Kefka ! Et ses hommes. Non vraiment, on ne peut jamais savoir ce qu'il va exactement faire. On peut tenter de le deviner, mais à moins d'être aussi absurde que lui... Personne ne pourra le déchiffrer complètement. Tu oses, tu oses!^^
Et tu finis sur ce discours pour retourner la foule. C'est... bien. Après tant de grandeur, la fin s’essouffle un peu j'ai envie de dire. Mais ça suit la logique de ton personnage. Il fait devant tout le monde preuve de cruauté... et pourtant il se décrira comme un saint la seconde suivante !
Passons maintenant à la mort-vivante !
C'est déjà plus... Sérieux. Il y a vraiment un clivage entre vos deux styles, vos deux personnages. L'un est absurde, l'autre est raide comme un piquet, au garde à vous. On démarre moins fort que Kefka, même si ça reste très bien.
Néanmoins, on ressent tout de suite que Primus est mal en point. Ce combat est dans la lignée du reste : tu devrais être allongée, et pourtant tu te bats. C'est complètement stupide de sa part, mais comme je l'ai dis, c'est un soldat. Elle va au combat, elle préférera mourir l'arme à la main. Même si, de part son action, elle met tout le monde en danger, ce que tu montres parfaitement en la faisant déconnecté de tout : douleur comme attaque^^
Seul petit reproche peut-être... Le garde combat longtemps avec toi, il y a le bruit du métal contre le métal. Pourtant il ne crie pas, et personne n'entend le combat.
Ce passage... C'est presque aussi bien que Kefka : « Ils profitaient sans mauvaise attention de l'état pitoyable de la commandante pour parler d'elle comme si elle n'était pas là... Elle n'y prêtait même pas attention. Des minutes passèrent durant lesquelles ils se disputèrent, avant qu'elle ne débarque une nouvelle fois dans la discussion. »
Un peu lourd peut-être d'insister sans cesse sur le fait qu'elle soit à l'ouest. Sauf ici, c'est vraiment bien amené. En plus, tu commences et tu termines sur le redoutable égo de Primus. C'est un soldat oui, mais plus que ça, elle est haut gradé. L'égo accompagne donc la droiture de l'application des ordres.
« Petit Jean tendit à la commandante un faux bec de cigogne attaché à un élastique. » si je ne me trompe pas, c'était également le déguisement de Robin dans le film non ? La première fois que je l'ai lu, ça ne m'a pas frappé. Mais à ce moment-là, je ne te commentais pas^^
C'est parfait, surtout qu'on parlait de lui comme exemple du peuple juste avant. Si tu l'avais voulu, tu aurais même pu faire croire aux paysans que tu étais Robin !
Ah ! J'ai trouvé un... petit défaut dans ton plan si soigneusement huilé :p
« Mais ce qu'il dit fut... vraiment surprenant. Il demandait une minute de silence.
Brusquement Ravness regarda Petit Jean, comme réveillée de sa torpeur. Elle n'attendit pas un signe de sa part, s'apprêta à donner le signal.
La main de Petit Jean agrippa avec force son bras.
" Non, gente dame ! Vous avez perdu la raison ? "
Il murmurait mais sa voix était suffisamment forte pour qu'elle l'entende. Elle lui répondit, surprise, voir inquiète.
" Pourquoi croyez-vous que nous sommes ici, bon sang !? On se fiche de cette prétendue minute de réflexion ! " »
C'est une minute de silence, et non de réflexion^^
Mais surtout... Il a beau murmurer, si tous se taisent, vous serez entendu. Peut-être pas par tous, mais au moins par vos voisins... Ce qui va provoquer des regards outrés, ce qui va attirer l'attention. Tu me suis ? Et pourtant, malgré le fait que vous vous battiez à moitié, que vous parliez... Que Kefka ait les yeux ouverts, comme tu le mentionnes... Rien. Vous avez eu de la chance sur ce coup-ci !
On finissait sur un discours avec Kefka, on peut dire qu'on finit aussi ici avec un discours... ou plutôt une attente de réponse.
C'est très militaire, c'est très posé. C'est très Primus quoi ! On voit vraiment le plan se mettre en place. Tandis qu'avec Kefka, c'est plus nébuleux.
J'insiste vraiment sur vos différences car c'est là qu'est la richesse de ce rp... que dis-je, de cette guerre que tout le monde devrait lire !
Avant de continuer, je vais m'adresser à vous deux. Contrairement aux rpgistes comme Ataketsu, Roxas, ou moi-même, vous avez déjà un... grand potentiel. Donc à moins de tomber sur un mauvais moment, ça peut être difficile de vous noter en mal. Il faut creuser et vraiment chercher la petite bête. Donc ne prenez pas la grosse tête, mais continuez à nous pondre des merveilles ! Et montrez aux autres comment faire.
Et retour au bouffon !
Je dois dire que ton premier paragraphe... casse complètement l'ambiance.
« La Rébellion est telle la peste... invisible, on ne voit d'elle jamais que ses ravages. Les rebelles et leurs sympathisants, quand à eux... sont plus ou moins semblables aux rats, porteurs de ce fléau. Kefka n'est pas tant gérant que dératiseur et il fait sans nul doute qu'une vois la révolution écrasée, la machinerie infernale de la noblesse mettra le fou dansant hors-circuit. Enfin, avant cela, il reste du temps. Le bouffon devra y passer un jour, c'est notre lot à tous... mais s'il doit partir, alors tout et tout le monde partira avec lui. L'univers est déjà assez merdique en l'état actuel, alors... imaginez ce même monde sans Kefka ! »
On dirait davantage un conteur qui nous lirait son histoire que Kefka pensant. Tu t'adresses à nous, et je trouve que ça colle moins avec le style que tu utilisais jusqu'à présent, surtout le « L'univers est déjà assez merdique ». Ça rompt trop avec ce qu'il se passe. Surtout qu'on s'attendait à ce que tu répondes immédiatement au défi du bouseux puisque le rp de Primus s'arrête sur ton discours.
Ah, une autre chose. Je pensais que c'était une erreur de frappe. Mais ce n'est pas « Sheerwood », c'est Sherwood. Et surtout, relis toi. Tu fais assez souvent dans tes rps des fautes au niveau des temps. Enfin, pas tant des fautes que des bizarreries syntaxiques. Mélanger temps du passé, et temps présent choque lorsqu'on lit.
« " C'est un comble ! Je suis outré... quelle ingratitude. Sale ingrat ! Sont-ce là les remerciement auxquels j'ai le droit pour m'être démener le cul à vous protégez des rebelles ?! Sont-ce là les remercierments pour ses hommes qui risquent chaque jour leur vie à vous défendre ?! Que croyez-vous donc... la Lumière, aussi faussement bonne soit-elle, ne cherche qu'à étendre son térritoire et sa puissance. Hohohohohohohohohohohohohohohoho ! Bande d'ingrat... mais ca ne me fait rien Je ne fait pas ça pour les applaudissements. D'ailleurs... pensez ce que vous voulez, je me fous de la politique. " »
Je ne sais pas si c'est à cause de la grossièreté... Mais j'ai plus l'impression que c'est toi qui parle, et non le manipulateur et génie Kefka. Tu as un grand potentiel comme Primus. Cependant, ce qui vous distingue, c'est que Primus, sur ce que j'ai lu, garde toujours approximativement le même niveau, la même qualité (la seule différence, entre un bon et un mauvais rp, chez lui, c'est si tu es pris dedans ou non^^). Tandis que toi, on peut être emmener dans toutes les directions. Tu incarnes Kefka, c'est clair, mais tu ne le rends pas toujours !
J'ai dis que c'était difficile de vous critiquer, et pourtant je viens de le faire sur... la quasi totalité de ton rp. On va dire que c'était juste un mauvais moment^^
D'autant plus que, la mort du perturbateur, et cet ordre d'acclamations, concluent ton rp en beauté. Une vraie montagne russe ! On retrouve enfin notre Kefka.
Et la cheffe des rebelles maintenant.
Je lis ce début... et j'ai envie de dire (même si ça aurait été dommage de le faire) : enfin une pensée lucide ! Primus oubliant son égo, et qui regarde Kefka sous un nouveau jour. Comme je l'ai dis au début, il ne pourra jamais être totalement compris. Revenir sur ses pas, décider d'annuler... je pense que tu pourras marquer ce jour d'une pierre blanche dans l'histoire de Primus. Kefka doit faire partie des seuls (s'il n'est pas le seul) à avoir eu ce pouvoir^^
Tout ce début de rp sur la folie de Kefka est magnifique, et ça n'en rend le personnage que plus grand. Tu l'as merveilleusement décrit Primus, et je ne voudrai absolument pas lire autre chose à la place. Et le mieux ? C'est que sa folie te touche. Si différent, et pourtant, sur bien des aspects, vous êtes semblables.
Mais ça ne pouvait pas durer^^
« Le noble s'effondra sous le regard médusé de chacuns qui avaient enfin arrêté d'applaudir. Le carreau tiré était trop petit et discret pour que chacun sache d'où venait le tireur... »
Bon, déjà, la répétition est assez lourde... chacun, chacun, chacun. On a compris. En plus, je pense que la phrase n'est pas des plus efficaces. Le premier chacun, je pense que tu aurais du dire « le peuple », tandis qu'au second, tu aurais du dire « quiconque ». La phrase aurait été mieux construite ainsi.
« Cinq carreaux d'arbalètes pour cinq archers cachés dans la foule. Ils avaient tous tiré une fois chacun et avaient de suite caché leur arme des regards, ne tirant déjà plus. Dix secondes passèrent, dix secondes de silence mais d'agitation. Elle n'osait pas continuer les attaques, inquiétée par la présence des arbalétriers du régent postés sur les toits. Ils seraient les premiers à distinguer les arbalétriers rebelles postés au sol. En somme, ils devaient absolument se débarasser d'eux en priorité. Les rebelles étaient dans la même position que Kefka... Ils ne pouvaient se mettre à découvert tant que les archers de l'autre camp étaient en vie. »
Je ne sais pas toi, mais ce passage me dérange beaucoup. Tes archers ont tiré, ils ne peuvent donc plus être repéré par les archers de Kefka, donc pourquoi s'inquiéter ? Si ces mêmes archers étaient si dangereux, pourquoi n'avoir pas prévu de s'en débarrasser avant d'attaquer ? Et enfin... Kefka est déjà à découvert, tandis que les rebelles, mêmes sans archer, ont plutôt intérêt à toujours être dissimulé. C'est pratiquement l'inverse du dernier rp de Kefka. Tu commences bien, et vers la fin, il y a un petit cafouillage^^
« De son psychisme, elle guida l'arme de l'arbalétrier ennemi, empêchant l'oiseau d'arracher l'arme à son emprise... L'arme pointa la direction de l'estrade et toujours de son psychisme, elle appuya sur la détente. » De nouveau une lourdeur avec la répétition d'arme. A moins que ce soit fait exprès ? Tu voulais peut-être insister vraiment sur l'objet dont tu prenais à distance possession ?
« La tactique était... simple, voir évidente : Forcer le bouffon à se méfier de ses hommes, d'une manière ou d'une autre. Bien sûr, il finirait par se rendre compte, si ce n'était pas déjà fait, que l'arbalétrier n'avait pas tiré intentionnellement... Quand bien même, il se rendrait compte que les armes de ses alliés pouvaient se retourner contre lui. »
Ce paragraphe... j'ai presque envie de dire qu'il anéantit tous tes efforts. Jusqu'à présent, tu avais un plan parfaitement huilé, audacieux. Tu étais un soldat, un chef qui savait comment se battre à découvert, mais également dans les batailles éclairs et tordues. Et là, tu passes pour une simplette... Pire encore, tu fais passer Kefka pour un simplet. Alors que vous êtes loin de l'être, même avec une tactique évidente mise en place.
Mon petit bouffon !
« Une pluie de carreau tombé du ciel abat un à un les hommes de Kefka. Alpha reste au côtés du régent, comme la stratégie l’exige. Les soldats font barrage de leurs boucliers et de leurs corps... un bon soldat ne meurt pas avant d'en recevoir l'ordre. » Même remarque que sur ton précédent rp. Je pourrai regarder un documentaire sur votre guerre, je pense que j'entendrai la même phrase. Ce n'est juste pas... toi^^
Un rp court, et pourtant il se passe beaucoup de choses en réaction aux attaques des rebelles. Et je dois dire qu'encore une fois, Kefka montre son égo et son assurance infaillible en son plan, et ses chances de succès. Et c'est ça qui plaît.
Le coup du cercueil n'était absolument pas nécessaire. Tout ceux qui ont lu les précédents rps savent que c'est une mascarade pour faire venir la rebellion, un pari risqué. Et pourtant, mettre ici que le cercueil est vide... c'est, je pense, un trait de génie. On le sait, et pourtant, il ose le faire. Aucune restriction à sa folie.^^
Repassons à la jeune femme ! (J'en suis à peu près à la moitié... ca fait déjà deux heures que j'y suis et 5 pages words!)
« Le plan était aussi malléable que stricte... Chacun des rebelles ne devait agir que dans un certain cas et pas un autre, et surtout pas sous impulsion. » Cette phrase je pense résume tes rps jusqu'à présent. La partie militaire, et la partie émotionnelle. Comme lors de la minute de silence qui t'a surprise. Tu voulais agir, mais on t'a retenu car ça ne faisait partie d'aucune des variables. J'aime beaucoup !
Je n'ai pas grand chose à dire... C'est très bon, on sent les efforts que tu fais, on vit les échecs que tu vis. Et au final, on est du côté de Primus. On veut qu'elle gagne, même si elle se montre aussi impitoyable que le bouffon. Non franchement, je n'ai rien à dire. Ce rp me plait beaucoups.
Que va faire le bouffon ?
Tout ce qu'on peut dire, c'est qu'un grand malade dirige ce monde. Non mais franchement, Kefka mérite sa place à l'asile^^
Et pourtant, on est comme lui. Excité, et effrayé de ce qui peut lui arriver. On veut sa mort, mais on veut aussi savoir jusqu'à quel point sa folie peut nous emmener.
Il perd le contrôle... Tu nous le montre. Mais on sent qu'il en faut plus, toujours plus pour vraiment lui nuire. Primus et toi nous faîtes de véritables icones. Le premier à mourir sera un martyre... Enfin, peut-être pas Kefka ;)
Bon, petit bémol, encore ces temps que tu mélanges.
Mais sinon, la fin est... un vrai feu d'artifice, ce qu'on attend de votre rencontre. Et ce que tu réalises littéralement.
Et la mourante dans tout ça ?
Dans vos rps, il ne s'écoule pas beaucoup de temps. Jusqu'à présent, on pourrait dire que moins de 5 minutes se sont écoulées. Mais tout ce qui se passe en 5 minutes, c'est juste hallucinant ! Et ce, autant sur le plan physique, dans vos actes, que psychologique, et votre... évolution. Si Kefka éprouve de la peur, toi tu éprouves de la haine. Et pour un soldat d'aussi longue date que toi, qui commande, qui est impitoyable... Je trouve ça énorme. Honnêtement, si prochainement Primus ne se convertissait pas en nonne ou je ne sais quoi d'autre qui l’entraîne loin de la guerre... je serai déçus. Après ce rp, après cette guerre, elle continuera peut-être à se battre un peu, pour empêcher des gens de mourir, mais elle ne pourra que se haïr davantage, et vouloir se retirer... Enfin, c'est mon avis d'après ma lecture^^
Et la tension monte. Je le sais, ce n'est pas la fin de cette guerre. Mais en vous lisant, on pourrait être amener à y penser. Un de vous deux mourra sur cette place, c'est presque impossible autrement. Après tant d'efforts, tant d'énergies déployées... Tant de vies sacrifiées (bien que les rebelles s'en tirent mieux que les paysans ou les gardes).
Il y a cependant un passage que je ne comprends pas... « Son drapeau blanc apparût dans sa main... Que la nuit remplace la soirée ne servirait à rien, la sphère continuerait à éclairer la place. Elle devait couvrir le soleil, empêcher les lumières de sévir dans la ville. » Tu dis que faire venir la nuit ne servirait à rien.. Mais tu crées des nuages pour qu'il fasse sombre ? Du moins, que le seul éclairage soit celui provenant des maisons en feu (et après tu te plains que certains crament des forêts^^). Pourtant, même avec des nuages, il peut faire suffisamment jour pour qu'on y voit mieux qu'en pleine nuit. De même, des flammes aussi ardentes et nombreuses peuvent être largement suffisante pour ne pas gêner la vision plus de quelques secondes, le temps de s'adapter peut-être.
Le bouffon (et enfin les ¾!!!)
Bon le même problème de lumières s'appliquent, mais tu n'as fais que reprendre à la suite de Primus donc ça se comprend^^
Et encore ton problème de temps. J'espère juste que tu y feras attention les prochaines fois !
Kefka est enfin en danger, l'attaque est directe... et personne ne peut s'en débarrasser si ce n'est lui. Je dois dire que ce n'est pas trop tôt. J'aime bien tes petits jeux, tes manipulations. Mais montrer toute l'étendue de ton pouvoir une fois de temps en temps est nécessaire ! Et ici, c'est ce que tu fais. Peut-être un poil confusément cela dit. Primus est plus à l'aise que toi dans ce genre de descriptions.
« il ordonnait à celui qui donne les ordres de donner des ordres » J'ai juste envie de revenir sur cette phrase par rapport à ce que je disais à Primus. Ici, la répétition peut paraître lourde au premier abord. Seulement, la situation, la phrase, le ton. Tout montre que c'est du Kefka tout craché. Donc tout passe comme sur des roulettes. La répétition en devient comique (pas du grand comique mais tout de même).
Le petit chaperon rouge.
Si tout à l'heure, on pouvait penser que tu étais sur le point de gagner... Il semblerait que la situation ce soit inversé. Et a vrai dire, le match nul ne semble pouvoir être atteint que grâce à ton plan si strict et malléable.
Ton rp est bien, agréable à lire. Et si j'ai quelque chose de négatif à y redire, c'est peut-être seulement sur sa logique. Sur ton incroyable ténacité. Empoisonnée, blessée, affaibli par la répétition de grands pouvoirs psychiques. Et tu tiens debout, tu tiens tête à 4 ennemis. D'accord, tu ne les bats pas, mais tu ne meurs pas non plus. Il aurait été si facile de t'encercler, d'attaquer ensemble et de te vaincre^^
Le bouffon (ça se voit que je fatigue, les commentaires sont considérablement réduits pour des rps de même longueur XD)
« Kefka surgit d'une ruelle comme un diable monté sur ressort, surprenant l'ancien Shériff qui ne se démonta pas pour autant et dégaina aussitôt son arme... ». j'dois être con, ou fatigué... Mais le shériff s'étant échappé depuis au moins trois minutes, Alpha et toi poursuivant Primus... Comment passes tu les rebelles qui gardent la sortie, pour te retrouver devant l'ancien shériff ? Devant Primus ? Le lien m'échappe...
Néanmoins... cette rencontre, pour ta part, finis parfaitement. Et c'est presque... amical. Plus d'attaque, plus de coup tordus (mis à part les mines). Juste Kefka et son égo. Juste lui face à son ennemi. Je ne pense pas que tu aurais pu mieux finir, sincérement.
La guerrière
Tout comme pour Kefka, c'est une fin sans faute. Si ce n'est, comme je l'ai dis, ton incroyable résistance^^
Je pourrai commenter un peu plus, te dire tout ce qui va. Mais je pense que tu le sais, et comme mon lit m'appelle, je vais vous dire ce que vous avez gagné !
Pour Primus (commençons par les filles) :
Cerbère : 75 points d’expérience + 750 munnies + 7 PS (1 en psychisme, 2 en défense, et 4 en vitesse [vu tout ce que tu cours... ça ne te fera pas de mal]). En prime tu reçois une cape neuve de rebelle ainsi qu'un arc et deux douzaines de flèches.
Pour Kefka :
Cerbère : 75 points d’expérience + 750 munnies + 7 PS (4 en défense, 2 en dextérité, 1 en vitesse). En prime tu reçois 50 munnies du noble mort, ainsi qu'une cape des rebelles souillée de sang (un beau trophée non?).
Dim 16 Fév 2014 - 0:31