- Et il y a... Toujours quelque chose qui ne va pas, qui ne tourne pas rond. Il y a toujours un grain de sable dans l’engrenage de ses projets. C'est toujours pareil, Ariez bricole, rafistole, colmate les failles de son plan de domination mégalomaniaque à l'arraché. A tel point qu'elle n'avance plus, que plus rien n'avance... Et de toute façon, il y a toujours un détail qui cloche. C'était ce qu'elle voulait, tout ce qu'elle voulait... mais il faut se méfier de ce que l'on souhaite. Qu'en est-il de sa vie maintenant ? Sa stature inter-mondiale de conquérante effrayante... Ariez celle qui ne demande jamais et exiges toujours. Que pense-t-elle du succès ? Ça craint... C'est une horreur, elle a trop de pression, à chaque instant. Trop d'insolent faibles et désarmés, de puissants inactifs. Ces derniers temps... Hormis sa défaite reconnue face aux mercenaires, l'évasion de tout son cachot et l'extorsion de trente mille munnies, il ne se passe rien. La guerre entre La Lumière et la Coalition Noir serait si simple ! Si à cotés il n'y avait pas tout ses groupes qui s'en mêlent. Le Consulat reste calme et attends le premier moment de faiblesse... De l'un ou l'autre des camps pour s'imposer. Sans oublier cette alliance douteuse avec la Shinrah, qui risque de se transformer en conflit d’intérêt pour un rien. Et ce groupe dont on n'entend jamais parler... La Congrégation de l'ombre... Ouuuh attention, ils ont l'air de faire très peur ceux-là... Est-ce qu'Ariez est trop vite devenu cette personne la plus crainte, haït et dangereuse qui soit ? Oui ! Mais est-elle devenu mature pour autant ? Non ! Car Ariez est resté un enfant... On ne voit pas beaucoup d'oiseaux au Château de la bête, ils ne restent pas très longtemps au sol, à cause des loups... Puis ils s'envolent et disparaissent dans des labyrinthe de nuage. Ariez voulait pouvoir faire comme eux... et elle l'a fait. Sans dire un mot à personne, elle s'était rendu à la fin des mondes... La Princesse ne savait pas exactement ce qu'elle cherchait ici, elle cherchait tellement de choses ici...
Mais déjà, elle avait la paix et la sérénité. En un mot, la Solitude qui est parfois... une triste amie. Personne ne viendrait lui parler de chose insignifiantes... ou au contraire de projet irréalisables. Ariez est à l'image du Ciel Noir qui hante jour et nuit la Cité du Crépuscule. Ce que la grande Princesse Ibel fait affecte tout le monde... et chaque mouvement, même minime de sa Coalition l'affecte. C'était ça, sa vision d'un vrai groupe. Un chef, tout en haut, prêt à tout faire pour ses proches collaborateur.
La Princesse Ibel se tenait droite et digne, comme la véritable Princesse qu'elle est. Ceci... n'est rien de plus qu'une preuve de respect envers ce monde... sans-cœur. Le Seuil de vide est un seuil donnant sur la véritables Fin des mondes... Il y avait une bonne dose d’ombres mais elles n'osait même pas l'approcher. Plus un cœur est corrompu pas les ténèbres, moins il devient appétissante
. Puis ces pauvres sans-coeur n'osait même pas s'approcher de la maitresse incontesté de la symbiose ! Bien sur il y a Bell... Les deux plus puissants invocateur qui soit ! Bell es Ariez...
Le seuil du vide... Ariez s'y promène. Elle flâne, les pensés un peu ailleurs, Le seuil du vide, ne l'inquiétait à peine. Au contraire, sa simple venue avait semble-t-il provoqué des petits groupes de ses ombres... Sans s'en être rendu, compte... Cinq groupes de dix ombres l'encerclaient.
Il a en ce lieu une énorme concentration ténèbres aux même endroit... Car tout est ténèbres ici et on est jamais à l’abri de quelques surprises ce que ce soit... Même si, disons-le franchement... Le seuil du vide est naze et pour Ariez, c'était un ennui cruel qui l’envahissait C'était ça son pèllerinage... Se plonger au cour des ténèbres ! Un voyage au cœur de c e qu'il n'a de plus noir... De plus dangereuses... Les pires sans-coeur sont ici. Ariez pouvait mourir ici... ou revenir plus forte qu'elle ne l'a jamais été.
Elle ne savait pas ce qu'elle cherchait ici... Mais les ténèbres eux, le savait avant même qu'elle ne viennent au monde. Ariez était excédé, tout le monde... tout le temps lui demande ci, pourquoi, comment, où, comment ça merde ? De la solitude, du calme et un pèlerinage au creux des ténèbres.... Elle ne savait pas ce qu'elle cherchait, tout est confus... Mais ce qu'elle est venu chercher, elle le trouvera.... ou périra en essayant.
Elle profitait du seuil du vide... juste un peu, avant de véritablement chercher ce que elle était venu chercher, sans savoir ce qu'elle cherche...
Ariez était ic parce qu'elle ne savait pas, ne savait plus...