La nuit. Le moment parfait choisit par les esprits criminels pour commetre leurs méfaits dans la plus grande des discrétion. Les rares lumières produites ne projettes que d'inquiétantes ombres rampant au sol, ce que la plupart prendrait pour un sans-coeur si il ne s'agissait pas du château de la Lumière. Mais cela ne retire en rien le côté maléfique de ceux qui projette ces images de peur pour intimider ceux assez fou pour se risquer au loin de la rassurante radiance qui empli le monde chaque jour.

La nuit donc. De petits bruits peuvent s'entendre résonner dans les couloirs vides, rien que les gardes jurerait d'anormal, tout au plus doit il s'agir de quelques insectes venant du jardin errant paisiblement sur la pierre froide. Mais nopn, la vérité est bien différente, car les petites pattes velues et griffus qui font tinter leurs ongles appartiennent bien à des mammifères. Petits, sournois ... et en route pour commetre un vol.

De petits voleurs rampent à travers le bâtiments, un objectif en tête, un plan déjà rôdé. Il s'agit de s'emparer de munnies "abandonnés" dans les appartements, un cambriolage en règle, discret, sans trace. Jamais de grosses valeurs, pour éviter d'éveiller de soupçons, mais assez pour que leur chef soit satisfait et voie sa propre richesse s'agrandir pour son propre plaisir. Qui est il, vous demandez vous ? Mais souhaitez vous vraiment le savoir ? Non bien sûr ... vous ne voudriez pas que celui ci sache que vous savez, hein ? Ce serait dommageable.

Mais ... voilà qu'une ombre bien plus silencieuse semble suivre subreptissement le petit groupe de malfrats, restant tout autant que possible discrète dans son approche. De qui - ou quoi - s'agissait-il ? C'est un mystère que personne ici ne saurait percer si il n'avait notre point de vue privilégié. Et encore ... invisible, se glissant rapidements entre les meubles de la première pièce où nos voleurs venaient d'entrer, usant eux même d'une méthode bien pratique, faisant sauter une sécurité (que l'un d'eux limasse fort longtemps avant mais que personne ne remarquit en son temps) et s'ouvrant une porte vers les richesses du monde.

Mais déjà les affreux ne firent pas compte de leur nombre et l'un de leur membres avait été amputé de leur groupe sans que personne ne se doute de rien. Continuant d'avancer sans crier gare, aucun d'entre eux ne pouvait s'attendre à ce qui allait se passer. Un fin sifflement à peine perceptible se fit entendre et voilà un autre d'entre eux mis sur le carreau sans même que la menace ne soit identifiable. Mais cette fois ci les deux individus restant étaient sur le qui-vive. Les ombres se faisaient plus fuyantes, esquivaient, se faufilaient ...

Un bruit sourd. Cette fois c'était certain, quelqu'un était sur leur trace. Lui, maintenant seul, cherchait désespérement a comprendre quel était cette menace non prévu dans leur plan pourtant bien huilé avec le temps. Qui aurait pu les suivre ? Comment ?

Mais la seule chose que pu voir le rat fut une lame arrivant d'on ne sait où, frappant avant même que lui même ne réalise ce qui ce passait. Envoyé rouler sur près d'un mètre, il bouscula un rideau, révélant sous un rayon lunaire une guerrière à leur taille Lyria, la "grande soeur de Saria, était devenue cette nuit le nouvel adversaire de Ratigan et ses sbires. Puisse elle vous protegez, humains inconscients du danger qui se terre dans vos fondations !