Le palais de justice, un endroit charmant! L'accueille y est chaleureuse, tellement qu'il vous en laisse une marque indélébile sur votre corps. Les lieux y sont propre et bien entretenu, si bien que les gens laisse leurs animaux de compagnie, rats et autre rongeurs, se balader tranquillement dans les couloirs du bâtiment. Des cellules à la pointe de la technologie, des barreaux de fer solide, à l'intérieur, une simple planche de bois pourrie comme seul lit, et l'humidité qui envahie la salle, avec de la mousse qui pousse un peu partout par manque de lumière. Oui un endroit charmant pour qui compte veut mourir dans d'atroce souffrance.

Pourquoi je vous parle de ce magnifique endroit? Peut-être parce que j'ai finalement était attraper par les hommes de consul et amener ici avec toute la gentillesse et la finesse d'un gorille névrosée en manque de sexe! Ils sont arriver dans l'auberge ou je me cachet pendant la nuit, sans faire de bruit, ils devaient m'avoir repérer depuis un moment car l'attaque avait était soigneusement organiser. Ils avaient défoncer l'entré de l'auberge avant d'accourir vers ma chambre, je n'avais même pas eut le temps de prendre mon épée qu'ils étaient déjà sur moi. Embarquer c'est peser avant oser dire l'un d'eux! Il avait de la chance de faire 2 mètre et d'avoir 3 copains avec lui, sinon je lui aurai meuler la face! L'homme qui avait organiser ma "capture" se faisait appeler Gilles D'Erengard, d'après ce que j'ai put entendre. De tout les débiles du Consul, il fallait que je tombe sur le plus sadique! Lui et Frollons se ressemble en terme de "technique" pour avoir des informations. Comment je sais tout ça? Et bien j'ai met source.

Le matin pointé son nez, et avec lui la fin de mon voyage dans se monde. Un Soldat vînt ouvrir ma cellule, sans un mot une paire de bras muscles me souleva de ma couche et après m'avoir attacher les mains avec les menottes, m'extirpa de ma "chambre" pour m'amener dehors. Le soleil venait juste de traverser les premières cimes des collines, m'aveuglant. Lorsque ma vue s'habitua au soleil, je la vis enfin, celle qui avait terminer la vie d’innombrable homme en marge de la société. La potence! Outil d'une simplicité enfantine et qui pourtant relever de la cruauté la plus sanglante!

Je monta doucement les marches qui menait à ma mort. J'étais silencieux et heureusement pour moi, il n'y avait personne pour me regarder me tortiller comme un ver, il était trop tôt pour les gens normaux, mais pas assez pour les truands de mon espèce. Je fini par lever les yeux, et quel ne fut pas ma surprise de voir quelque s'un de mes 'amis' de route avec la corde au cou. Quel situation cocasse! J'allais mourir, mais au moins j'irai voir Hadès accompagné. Cette pensée me tira un sourire amuser, me permettant d'oublier l'espace d'un instant la peur qui grandissait dans mon ventre.

L'on me passa la corde au cou, l'un des bandits se mit à hurler à la mort, criant qu'il n'avait rien fait et qu'il n'avait rien à faire ici. Quel comique celui-là! Alors qu'il a surement déjà tuer des tonnes de gens pour leurs bourse, le voilà qui cri grâce?! Le lâche! L'enfoiré! Le salopard! N'a tu donc aucun courage! Déchet de la vie jusqu'à la mort hein? Moi j'ai choisis une autre voie, je ne me plaint pas au contraire! Au contraire de tout ces lâches qui demande la vie! Moi j'assume ce que j'ai fait! Si je pouvais je le clamerai haut et fort! Si je doit mourir autant le faire la tête haute et montré à toutes ces brebis, qu'Harker Yarrick ne sera pas le dindon de la farce, qu'il est au dessus de ces pauvres idiots! Je me mis à éclater de rire, un rire sombre, un rire maléfique.

-BANDE DE FOU ! Vous pensez que me tuer servira à quelque chose? Personne ne peut empecher un homme de devenir ce qu'il souhaite! Vous entendez? Personne! Je part le premier, mais sachet que je vous attendrai de l'autre côté! Car il n'est pas dit qu'Harker Yarrick ne.....