Le Domaine Enchanté, un monde qui abrite un cœur pur. Le cœur de la Princesse Aurore qui est bien connu pour sa beauté qui rendrait jalouse même la plus fine des roses, son charme à vous couper le souffle et aussi ne pas oublié son sommeil aussi profond que les abysses. Non mais franchement jamais Lili n’avait entendu dire que quelqu’un avait dormie si profondément pendant autant de temps alors que le château se fessait recouvrir par des ronces !!!
Enfin bref, on n’est pas là pour juger la pauvre princesse de cœur qui c’est fait avoir par une simple roue… Commençons donc par l’essentielle : pourquoi Lili était là ? En faite pour ne pas vous mentir, la jeune porteuse de Keyblade était tranquillement entrain de voyager dans son vaisseau gummi. Elle venait de quitter le monde de l’armée Impériale où ce qu’elle avait prévue d’y faire n’a pas du tout eu lieu, et même pire…
La jeune femme aux yeux noisette et au physique des plus banal était assez fatiguée par ce qui c’était passé là-bas, elle commença à bailler une fois en regardant devant elle la « route » qui était toujours la même ; c'est-à-dire noir sans limites et parsemée d’étoiles. Ces choses lumineuses qui étaient enfaite rien que des mondes dont elle ne connaissait à peine un millionième… Et oui connaitre l’existence de d’autres mondes c’était déjà dur pour Lili. Mais en plus ce dire qu’il y en a autant !!! C’est dans ces moments là que la porteuse de Keyblade ce disait qu’elle ne représentait à peine un grain de sable l’Univers. Un grain de sable qui ne pourra rien changer au cours des choses, mais qui avait une détermination pour atteindre son but : réparer son erreur, retrouver la paix intérieur en retrouvant ce qu’avait perdu sa famille, lui venir en aide car la première fois elle n’était pas là.
Perdu dans ses songes, Lili ne remarqua même pas qu’elle bailla pour la dixième fois au moins en à peine dix minutes, ses yeux se fermèrent petit à petit, bercés par le doux mouvement des étoiles autour d’elle, par ce noir profond qui hypnotise… Et comme vous l’avez deviné : elle s’endormit ! Et oui en plus que Lili ne sache pas vraiment bien conduire ; elle s’endort carrément au volant. Vous vous imaginez si elle se serait fait arrêté à ce moment ? C’était Aurore qui devrait être entrain de bien ce moquer de la jeune femme qui l’a bat niveau ridicule sur « A quel endroit vous vous endormez ». Au moins Aurore avait bien fait les choses : elle reposait après s’être endormi, sur un lit confortable avec une belle rose de la même couleur que ces lèvres. Quant à Lili, là elle était tout simplement entrain de ronfler sur le volant de son vaisseau gummi qui perdait de l’altitude et piqua du nez droit sur le monde de…. AURORE ! Comme quoi les grands esprits du sommeil ce rencontre. Forte heureusement, le son et le rouge clignotant du vaisseau fini enfin par réveiller Lili. Qui au début se réveilla doucement comme tirée du lit par le doux soleil. Mais quand elle se rendit compte qu’elle avait perdu le contrôle de son vaisseau et qu’elle allait s’écraser, la panique la remis d’aplomb aussi vite qu’un éclair. Lili regarda le tableau de bord la panique l’avait complètement gagnée et ses yeux partaient dans tout les sens à la recherche d’une solution, elle ne put s’empêcher de parler à soi-même :
« Punaise… Il faut que ça n’arrive qu’à moi ce genre de truc stupide. Zuuuut …. »
Elle était tellement désespérée par son cas que la seule chose qui lui vint à l’esprit c’était de ce taper la tête contre le volant… Mais oui le volant !! Lili se tapa avec la paume de sa main son front et soupira presque de soulagement d’avoir enfin trouver une solution, certes elle aura du y penser avant mais bon… Posant ses deux mains sur le volant elle le tira de tout ses forces vers elle pour le redresser le sol qu’elle approchait à très grande vitesse était couvert de vert. Mais pour être franc ; Lili ne savait pas du tout dans quel monde elle allait atterrir et mourir écrasée ! Ça c’est fort dommage quand même, ne pas savoir dans quel jolie monde on va laisser la vie nous échapper.
Non Lili n’allait pas mourir aussi bêtement ; elle avait avant quelque chose à faire impérativement. Prenant son courage à deux mains, elle mit toutes ses forces sur sa manœuvre pour s’écraser.
Le nombre de mètres qui la séparait de la terre ferme se fessaient de plus en plus petit. Lili serra fort les dents et ferma à moitié les yeux se préparant au choc qu’elle avait essayé de faire le moins violant possible… 10 secondes, 9, 8, 7… Là Lili vit une sorte d’étang il lui semblait (à vrai dire elle n’avait pas vraiment le temps de réfléchir sur ce que c’était) et elle n’hésita pas ! 6, 5… Elle tourna sec le volant à droite où elle avait vu cette grande étendu d’eau 4, 3, 2, 1…
PLOUF… In the water ! Le vaisseau gummi se retrouva dans l’eau. Forte heureusement, la matière dont il était composer le fessait flotter comme un bout de bois mort. Quant à Lili ? Elle avait toujours ses mains crispée sur le volant les yeux fermaient, à croire qu’elle attendait encore le choc. Elle ouvrit un œil, en lâchant sans même s’en rendre compte :
« Ça y est, je suis morte… C’est ça le paradis ou les enfers ? »
Lili finit par ouvrir ses deux yeux et constata que ça manœuvre d’éviter le crash avait fonctionné et elle c’était retrouvée dans l’eau et bien vivante. A ce moment précis elle lâcha un énorme soupire qui fit s’envoler quelque oiseaux au loin. Puis ses mains et tous les muscles de son corps se décrispèrent, elle avait tellement été stressée sur le coup, qu’elle émit un petit rire nerveux.
Après quelques minutes, le temps de ce remettre de ses émotions, elle daigna enfin regarder autour d’elle. Lili observa et un sourire s’afficha sur son visage un peu plus serein. La porteuse de Keyblade était tombée pile dans une forêt. Elle n’avait jamais vu d’aussi belle forêt, pourtant elle s’y connait quand même en nature : Lili adorait s’y retrouver pour respirer le calme et la sérénité que dégage un lieu pareil. De plus cette forêt dégagé une passibilité extraordinaire et était très belle. La forêt n’avait presque que de grands chênes abritant tout types d’animaux ; hiboux, écureuils, jolies petites moineaux aux chants mélodieux,… Presque on se dirait encore dans un conte de fée ! Lili se demanda alors :
« Où est-ce que j’ai encore atterri ? C’est bien beau d’être vivante et d’arriver dans une forêt aussi belle mais bon… »
Soudain, elle pensa à une chose qu’elle n’avait pas fait depuis longtemps : profiter ! Et oui depuis qu’elle était parti à l’aventure à travers les mondes, Lili n’avait jamais ne serait-ce qu’une seconde pensait à prendre le temps de respirer et se détendre dans un lieu aussi magique que celui-ci. Et comme elle le pensait : cette occasion ne reviendra surement jamais.
Son vaisseau flottait doucement vers la rive, et quand il percuta avec une douceur extrême celle-ci, Lili sauta d’un pied sur vers la terre ferme. L’herbe y était fraîche ça se voyait rien qu’à l’œil, et l’odeur de ces arbres, cette herbe pure la fit presque frissonner. Elle n’hésita pas une seconde de plus, et après avoir jeté un coup d’œil au alentour pour voir qu’il n’y avait personne, elle enleva ses deux chaussures et marcha pied nus dans l’herbe. Cette sensation lui détendit complètement le corps et l’esprit. Jamais depuis la mort ou plutôt disparition de sa famille, Lili ne c’était sentit aussi bien, serein et calme. Elle marcha quelques minutes au bord de l’eau observant tout et rien ; les rochers gris clairs et bruts qui étaient de l’autre côté de la rive, les arbres vert émeraude, les oiseaux qui gassouillaient, l’eau calme et bleu translucide de l’étang.
La jeune femme se mordit un peu la lèvre ; elle venait de penser à une chose. Pourquoi ne pas se baigner dans l’eau ? Depuis combien de temps elle n’avait pas piqué une petite tête ? Cela remonte bien loin lors de son adolescence… Bref ne parlons pas du passé et profitons du présent. Mais Lili n’avait pas de maillot de bain et était en plus très timide. Et ce dénuder pour faire trempette ce n’était pas du tout son genre. Elle n’aimait pas mais vraiment pas montrer son corps et ses peu de formes… Mais cette eau était vraiment pire que le diable sur la tentation : elle frémissait légèrement créant des vagues qui hypnotise l’esprit, cette couleur qui vous donne envie de plonger votre regard et bien plus, cette fraîcheur qui fait du bien. Une vraie tentation qui prit finalement le dessus sur la gêne de Lili. Elle mit sa pointe de pied droite dans l’eau clair et se rendit compte qu’elle était vraiment bonne en plus. Elle poussa un soupire et céda à la tentation…
La jeune porteuse de Keyblade décida alors, après avoir vérifié d’être bien seul pour la centième fois, de se déshabiller, et elle plongea sans hésitation dans l’eau claire et fraîche. Nageant un peu sous l’eau après son plongeon elle releva sa tête de l’eau pour respiré une grande bouffé d’air frais. Rien ne pouvait lui faire plus de bien… Elle resta dans l’eau à nager, faire l’étoile de mers, s’amuser un peu pendant un certain temps. Soudain elle se dit qu’elle avait bien profité et qu’il était temps de quitter cette belle eau si elle ne voulait pas avoir la peau toute fripée. Sortant de l’eau, elle vit qu’un rayon de soleil transperçait les branches des arbres. Elle allait d’un petit pas sautillant à l’endroit où le rayon touchait l’herbe pour s’y laisser sécher. Cela ne dura que quelques minutes à peine car le soleil était suffisamment chaud et pas trop non plus. Sa peau sécha rapidement mais ses cheveux étaient encore mouillés. Elle alla quand même s’habiller, car se promener dénudée comme ça, lui donnait une gêne. Elle avait l’impression d’être épiée, elle se sentait tellement mal dans sa peau que d’être accoutrée comme cela dans un si grand espace l’a rendait extrêmement gênée. Bref, elle se rhabilla donc en retournant là où elle avait mis ses vêtements.
Quand elle enfila son haut, elle entendit un hennissement. Ce qui sur le coup la fit sursauter… Des chevaux ?! Un grand sourire s’afficha sur son doux visage où quelques gouttes ruisselé du à ses cheveux mi-long et détachés qui n’étaient pas secs. Lili adorait les animaux, mais encore plus les chevaux, ces animaux si majestueux, gracieux qui dégagé une force hors normes, mais avec une douceur sans égale. Ces êtres qui pour Lili représentait la liberté, la beauté et la force morale et physique… Bref, la jeune femme pourrait vous écrire un roman sur ces créatures magnifique.
Or Lili n’en avait jamais vu en liberté, et n’entendant pas de bruits de fers tapés au sol ou de voix humaines, elle se dit qu’ils étaient sûrement en liberté. Sans plus attendre, la femme s’avança et traversa la forêt en direction du hennissement qu’elle avait entendu. De plus en plus qu’elle s’approchait du lui, elle sentait la présence de ses pachydermes.
Soudain elle arriva devant une clairière et vit ce qu’elle avait envie de voir ; cinq chevaux magnifiques aux couleurs de robes différentes ; l’un gris pommelé, l’autre alezan, l’un noir, un autre couleur isabelle et le dernier était baie. Ils étaient magnifique, tellement que Lili se retrouva le souffle coupé. Mais ils étaient sauvages et sa ce voyait, car à peine Lili s’approcha d’eux en quittant son buisson où elle les avait observé, qu’ils s’arrêtèrent de brouter et levèrent leurs encolures musclés. Leurs oreilles qui s’étaient redressé en direction du bruit ce tournèrent avec la tête vers Lili.
La jeune femme s’arrêta donc dans son mouvement ; elle était là debout juste devant le buisson et à une dizaine de mètres des cinq chevaux. Elle s’adressa à eux pour les rassurer. Elle avait déjà eu des contacts avec des chevaux, et savait un peu comment s’y prendre.
« Tout doux, je ne vous veux aucun mal… »
Certains chevaux tapèrent du sabot le sol pour montrer qu’ils étaient le plus fort, d’autre soupirèrent l’air bruyamment. Mais après quelques instants, ils se rendirent compte que la jeune femme ne leur voulait aucun mal. Donc ils se calmèrent, certains même se remirent à brouter. Lili avança d’un pas puis s’arrêta de nouveau pour habituer les bêtes à son approche. Elle continua ainsi jusqu’à ce trouver à deux trois mètre du cheval gris pommelé. Elle tendit la main où elle avait mis un morceau de pomme qu’elle avait trouvé sur un pommier non loin. Le cheval approcha son bout de museau pour sentir ce que Lili avait dans sa main. Quand celui-ci ce rendit compte que c’était une pomme il avança un peu plus… Mais à ce moment là quelque chose fit du bruit et tous les chevaux ainsi que Lili se figèrent sur place près à partir au triple galop du côté opposé au danger. Lili et les chevaux avaient les yeux rivées sur l’endroit exact où le bruit c’était fait entendre…
Enfin bref, on n’est pas là pour juger la pauvre princesse de cœur qui c’est fait avoir par une simple roue… Commençons donc par l’essentielle : pourquoi Lili était là ? En faite pour ne pas vous mentir, la jeune porteuse de Keyblade était tranquillement entrain de voyager dans son vaisseau gummi. Elle venait de quitter le monde de l’armée Impériale où ce qu’elle avait prévue d’y faire n’a pas du tout eu lieu, et même pire…
La jeune femme aux yeux noisette et au physique des plus banal était assez fatiguée par ce qui c’était passé là-bas, elle commença à bailler une fois en regardant devant elle la « route » qui était toujours la même ; c'est-à-dire noir sans limites et parsemée d’étoiles. Ces choses lumineuses qui étaient enfaite rien que des mondes dont elle ne connaissait à peine un millionième… Et oui connaitre l’existence de d’autres mondes c’était déjà dur pour Lili. Mais en plus ce dire qu’il y en a autant !!! C’est dans ces moments là que la porteuse de Keyblade ce disait qu’elle ne représentait à peine un grain de sable l’Univers. Un grain de sable qui ne pourra rien changer au cours des choses, mais qui avait une détermination pour atteindre son but : réparer son erreur, retrouver la paix intérieur en retrouvant ce qu’avait perdu sa famille, lui venir en aide car la première fois elle n’était pas là.
Perdu dans ses songes, Lili ne remarqua même pas qu’elle bailla pour la dixième fois au moins en à peine dix minutes, ses yeux se fermèrent petit à petit, bercés par le doux mouvement des étoiles autour d’elle, par ce noir profond qui hypnotise… Et comme vous l’avez deviné : elle s’endormit ! Et oui en plus que Lili ne sache pas vraiment bien conduire ; elle s’endort carrément au volant. Vous vous imaginez si elle se serait fait arrêté à ce moment ? C’était Aurore qui devrait être entrain de bien ce moquer de la jeune femme qui l’a bat niveau ridicule sur « A quel endroit vous vous endormez ». Au moins Aurore avait bien fait les choses : elle reposait après s’être endormi, sur un lit confortable avec une belle rose de la même couleur que ces lèvres. Quant à Lili, là elle était tout simplement entrain de ronfler sur le volant de son vaisseau gummi qui perdait de l’altitude et piqua du nez droit sur le monde de…. AURORE ! Comme quoi les grands esprits du sommeil ce rencontre. Forte heureusement, le son et le rouge clignotant du vaisseau fini enfin par réveiller Lili. Qui au début se réveilla doucement comme tirée du lit par le doux soleil. Mais quand elle se rendit compte qu’elle avait perdu le contrôle de son vaisseau et qu’elle allait s’écraser, la panique la remis d’aplomb aussi vite qu’un éclair. Lili regarda le tableau de bord la panique l’avait complètement gagnée et ses yeux partaient dans tout les sens à la recherche d’une solution, elle ne put s’empêcher de parler à soi-même :
« Punaise… Il faut que ça n’arrive qu’à moi ce genre de truc stupide. Zuuuut …. »
Elle était tellement désespérée par son cas que la seule chose qui lui vint à l’esprit c’était de ce taper la tête contre le volant… Mais oui le volant !! Lili se tapa avec la paume de sa main son front et soupira presque de soulagement d’avoir enfin trouver une solution, certes elle aura du y penser avant mais bon… Posant ses deux mains sur le volant elle le tira de tout ses forces vers elle pour le redresser le sol qu’elle approchait à très grande vitesse était couvert de vert. Mais pour être franc ; Lili ne savait pas du tout dans quel monde elle allait atterrir et mourir écrasée ! Ça c’est fort dommage quand même, ne pas savoir dans quel jolie monde on va laisser la vie nous échapper.
Non Lili n’allait pas mourir aussi bêtement ; elle avait avant quelque chose à faire impérativement. Prenant son courage à deux mains, elle mit toutes ses forces sur sa manœuvre pour s’écraser.
Le nombre de mètres qui la séparait de la terre ferme se fessaient de plus en plus petit. Lili serra fort les dents et ferma à moitié les yeux se préparant au choc qu’elle avait essayé de faire le moins violant possible… 10 secondes, 9, 8, 7… Là Lili vit une sorte d’étang il lui semblait (à vrai dire elle n’avait pas vraiment le temps de réfléchir sur ce que c’était) et elle n’hésita pas ! 6, 5… Elle tourna sec le volant à droite où elle avait vu cette grande étendu d’eau 4, 3, 2, 1…
PLOUF… In the water ! Le vaisseau gummi se retrouva dans l’eau. Forte heureusement, la matière dont il était composer le fessait flotter comme un bout de bois mort. Quant à Lili ? Elle avait toujours ses mains crispée sur le volant les yeux fermaient, à croire qu’elle attendait encore le choc. Elle ouvrit un œil, en lâchant sans même s’en rendre compte :
« Ça y est, je suis morte… C’est ça le paradis ou les enfers ? »
Lili finit par ouvrir ses deux yeux et constata que ça manœuvre d’éviter le crash avait fonctionné et elle c’était retrouvée dans l’eau et bien vivante. A ce moment précis elle lâcha un énorme soupire qui fit s’envoler quelque oiseaux au loin. Puis ses mains et tous les muscles de son corps se décrispèrent, elle avait tellement été stressée sur le coup, qu’elle émit un petit rire nerveux.
Après quelques minutes, le temps de ce remettre de ses émotions, elle daigna enfin regarder autour d’elle. Lili observa et un sourire s’afficha sur son visage un peu plus serein. La porteuse de Keyblade était tombée pile dans une forêt. Elle n’avait jamais vu d’aussi belle forêt, pourtant elle s’y connait quand même en nature : Lili adorait s’y retrouver pour respirer le calme et la sérénité que dégage un lieu pareil. De plus cette forêt dégagé une passibilité extraordinaire et était très belle. La forêt n’avait presque que de grands chênes abritant tout types d’animaux ; hiboux, écureuils, jolies petites moineaux aux chants mélodieux,… Presque on se dirait encore dans un conte de fée ! Lili se demanda alors :
« Où est-ce que j’ai encore atterri ? C’est bien beau d’être vivante et d’arriver dans une forêt aussi belle mais bon… »
Soudain, elle pensa à une chose qu’elle n’avait pas fait depuis longtemps : profiter ! Et oui depuis qu’elle était parti à l’aventure à travers les mondes, Lili n’avait jamais ne serait-ce qu’une seconde pensait à prendre le temps de respirer et se détendre dans un lieu aussi magique que celui-ci. Et comme elle le pensait : cette occasion ne reviendra surement jamais.
Son vaisseau flottait doucement vers la rive, et quand il percuta avec une douceur extrême celle-ci, Lili sauta d’un pied sur vers la terre ferme. L’herbe y était fraîche ça se voyait rien qu’à l’œil, et l’odeur de ces arbres, cette herbe pure la fit presque frissonner. Elle n’hésita pas une seconde de plus, et après avoir jeté un coup d’œil au alentour pour voir qu’il n’y avait personne, elle enleva ses deux chaussures et marcha pied nus dans l’herbe. Cette sensation lui détendit complètement le corps et l’esprit. Jamais depuis la mort ou plutôt disparition de sa famille, Lili ne c’était sentit aussi bien, serein et calme. Elle marcha quelques minutes au bord de l’eau observant tout et rien ; les rochers gris clairs et bruts qui étaient de l’autre côté de la rive, les arbres vert émeraude, les oiseaux qui gassouillaient, l’eau calme et bleu translucide de l’étang.
La jeune femme se mordit un peu la lèvre ; elle venait de penser à une chose. Pourquoi ne pas se baigner dans l’eau ? Depuis combien de temps elle n’avait pas piqué une petite tête ? Cela remonte bien loin lors de son adolescence… Bref ne parlons pas du passé et profitons du présent. Mais Lili n’avait pas de maillot de bain et était en plus très timide. Et ce dénuder pour faire trempette ce n’était pas du tout son genre. Elle n’aimait pas mais vraiment pas montrer son corps et ses peu de formes… Mais cette eau était vraiment pire que le diable sur la tentation : elle frémissait légèrement créant des vagues qui hypnotise l’esprit, cette couleur qui vous donne envie de plonger votre regard et bien plus, cette fraîcheur qui fait du bien. Une vraie tentation qui prit finalement le dessus sur la gêne de Lili. Elle mit sa pointe de pied droite dans l’eau clair et se rendit compte qu’elle était vraiment bonne en plus. Elle poussa un soupire et céda à la tentation…
La jeune porteuse de Keyblade décida alors, après avoir vérifié d’être bien seul pour la centième fois, de se déshabiller, et elle plongea sans hésitation dans l’eau claire et fraîche. Nageant un peu sous l’eau après son plongeon elle releva sa tête de l’eau pour respiré une grande bouffé d’air frais. Rien ne pouvait lui faire plus de bien… Elle resta dans l’eau à nager, faire l’étoile de mers, s’amuser un peu pendant un certain temps. Soudain elle se dit qu’elle avait bien profité et qu’il était temps de quitter cette belle eau si elle ne voulait pas avoir la peau toute fripée. Sortant de l’eau, elle vit qu’un rayon de soleil transperçait les branches des arbres. Elle allait d’un petit pas sautillant à l’endroit où le rayon touchait l’herbe pour s’y laisser sécher. Cela ne dura que quelques minutes à peine car le soleil était suffisamment chaud et pas trop non plus. Sa peau sécha rapidement mais ses cheveux étaient encore mouillés. Elle alla quand même s’habiller, car se promener dénudée comme ça, lui donnait une gêne. Elle avait l’impression d’être épiée, elle se sentait tellement mal dans sa peau que d’être accoutrée comme cela dans un si grand espace l’a rendait extrêmement gênée. Bref, elle se rhabilla donc en retournant là où elle avait mis ses vêtements.
Quand elle enfila son haut, elle entendit un hennissement. Ce qui sur le coup la fit sursauter… Des chevaux ?! Un grand sourire s’afficha sur son doux visage où quelques gouttes ruisselé du à ses cheveux mi-long et détachés qui n’étaient pas secs. Lili adorait les animaux, mais encore plus les chevaux, ces animaux si majestueux, gracieux qui dégagé une force hors normes, mais avec une douceur sans égale. Ces êtres qui pour Lili représentait la liberté, la beauté et la force morale et physique… Bref, la jeune femme pourrait vous écrire un roman sur ces créatures magnifique.
Or Lili n’en avait jamais vu en liberté, et n’entendant pas de bruits de fers tapés au sol ou de voix humaines, elle se dit qu’ils étaient sûrement en liberté. Sans plus attendre, la femme s’avança et traversa la forêt en direction du hennissement qu’elle avait entendu. De plus en plus qu’elle s’approchait du lui, elle sentait la présence de ses pachydermes.
Soudain elle arriva devant une clairière et vit ce qu’elle avait envie de voir ; cinq chevaux magnifiques aux couleurs de robes différentes ; l’un gris pommelé, l’autre alezan, l’un noir, un autre couleur isabelle et le dernier était baie. Ils étaient magnifique, tellement que Lili se retrouva le souffle coupé. Mais ils étaient sauvages et sa ce voyait, car à peine Lili s’approcha d’eux en quittant son buisson où elle les avait observé, qu’ils s’arrêtèrent de brouter et levèrent leurs encolures musclés. Leurs oreilles qui s’étaient redressé en direction du bruit ce tournèrent avec la tête vers Lili.
La jeune femme s’arrêta donc dans son mouvement ; elle était là debout juste devant le buisson et à une dizaine de mètres des cinq chevaux. Elle s’adressa à eux pour les rassurer. Elle avait déjà eu des contacts avec des chevaux, et savait un peu comment s’y prendre.
« Tout doux, je ne vous veux aucun mal… »
Certains chevaux tapèrent du sabot le sol pour montrer qu’ils étaient le plus fort, d’autre soupirèrent l’air bruyamment. Mais après quelques instants, ils se rendirent compte que la jeune femme ne leur voulait aucun mal. Donc ils se calmèrent, certains même se remirent à brouter. Lili avança d’un pas puis s’arrêta de nouveau pour habituer les bêtes à son approche. Elle continua ainsi jusqu’à ce trouver à deux trois mètre du cheval gris pommelé. Elle tendit la main où elle avait mis un morceau de pomme qu’elle avait trouvé sur un pommier non loin. Le cheval approcha son bout de museau pour sentir ce que Lili avait dans sa main. Quand celui-ci ce rendit compte que c’était une pomme il avança un peu plus… Mais à ce moment là quelque chose fit du bruit et tous les chevaux ainsi que Lili se figèrent sur place près à partir au triple galop du côté opposé au danger. Lili et les chevaux avaient les yeux rivées sur l’endroit exact où le bruit c’était fait entendre…
Dernière édition par Lili le Mar 9 Aoû 2011 - 23:29, édité 1 fois