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Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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    Mission simple, il n'allait pas dire le contraire. Aller vérifier si les sbires de Maléfiques étaient toujours là... Non pas qu'ils y soient bienvenus, enfin, ils étaient chez eux mais.... Enfin, voir s'ils étaient toujours là, point. Rien de bien difficile à priori. Mais ça pouvait toujours se compliquer d'un autre côté, on avait que trop vu des armées entières marcher sur une ville avec la foi et ne jamais revenir. Si ça paraissait trop simple bah, c'était louche. Mais là ça paraissait différent, tout semblait si calme que Fabrizio ne pensait même pas qu'une tuile pourrait lui tomber sur le coin de la gueule. Ça lui paraissait improbable. Et ce n'était pas la première fois que ses craintes étaient endormies aussi facilement. Il avait failli retarder la mission, et avait voulu paresser toute la matinée, ne rien foutre, tout ça... Y aller vers midi quasiment. Mais là ça aurait été lui même qui se serait retombé sur le poil, carrément. C'était pas son genre quoi, merde !

    Pour tout dire, les environs avaient deux airs bien distincts selon qui les regardait. La forêt pleine de brume calme et opaque étouffait les sentiments de craintes. Pendant un moment, un très court instant l'archevêque pensait que la mission se serait passé sans grand mal. La vue de ces bois calmes et endormis l'avait plongé dans une belle léthargie. Dommage pour lui, car en quittant le bois pour la terre stérile environnant le château de Maléfique, là, il s'était parfaitement réveillé. Tout semblait toujours aussi endormi, infiniment. On lui avait dit que ce monde avait été longtemps endormi, il y avait tout de suite cru. C'était un grand changement, comparé à Paris qui ne dormait que rarement. Au début il n'avait pas aimé l'ambiance douce et mélancolique. Il l'avait même détestée. Elle avait son penchant de glauque et de noirceur. La mélancolie, c'était quand on s'arrêtait et qu'on posait les yeux là où on était, là on on était passé et où on allait. La mélancolie s'était s'enterrer dans le sol pour faire l'autruche et ne plus avancer. Juste pleurer sur le chemin parcouru et avoir peur du lendemain. Oui, il avait pensé qu'il aurait pu être en ce moment à le Cité des Rêves à couler des jours tranquilles et heureux. Mais il n'en avait pas été ainsi. Cela ne servait à rien de pleurer, ça ne ferait ni revivre les morts, ni... rien. Il avait dérivé jusqu'à penser à ça. C'était dire...

    Mais bientôt un trait net coupa ses réflexions plus ou moins joyeuses. La foret laissa place à un terrain vague. Vague et déraisonnablement froid et noir. Le sol était un mélange malhabile de terre dur et craquelée et se sable, se la poussière, comme de la cendre. Rien ne poussait hormis des buissons d'épines. Aucun doute, aucune vie ici ne pouvait rester ni grandir en restant pure. Quelque chose qui vivait ne pouvait rester saine d'esprit de cet endroit en l'ayant fréquenté si souvent. En fait, ce monde avait ça d'effrayant et de mélancolique, qu'à l'instar il était noir et mort.

    Le jeune homme se dirigea sans hésiter sur le ponton de roche qui le séparait encore du château. Il n'avait aucune envie d'y aller, mais ça c'était encore hors de question que de fuir. L'esprit s'habituait aux possibilités, c'est pourquoi on s'imagine ne jamais pouvoir tenir plus par exemple, quand on lâche quelque chose de lourd. Tout particulièrement quand on nous a dit de la tenir un certain laps de temps. Si Angeal lui avait dit que cette mission aurait pu être optionnelle, il se serait dit qu'il serait de bon ton de fuir comme un lumineux qui voit arriver les commandants coalisés.... Pas qu'il ait une basse opinion des combattants de la Lumière, il les estimait, c'était pour l'expression. Mais c'était vrai : il se disait clairement qu'il n'avait aucune raison de fuir, et il ne voulait pas laisser une mission comme ça en plan. Elle semblait toute facile, il ne fallait jamais avoir peur sans raison non ? … Haha, elle est bonne celle-la.

    Tout était désert, pour le moment. Il ne voulait pas s'attarder mais il n'y avait vraiment pas un cochon ici. Étrange, pourtant lors de sa dernière venue ici, il y en avait plein, des escouades.... Il s'en souvenait, les épines des ronciers étaient vraiment des outils pour améliorer la mémoire... Enfin, c'était étrange. Pas un souffle de vent même n'effleurait les pierres ébréchées de la muraille, le ciel chargé ne déversait aucune pluie. Tout semblait millénaire. Tout semblait purement inutilisé et inutilisable. Pourtant... pourtant il lui semblait bien avoir entendu un bruit, à l'instant !

    Il tourna instinctivement la tête et porta la main à la garde de son épée. Nooon, il n'y avait rien ici, absolument rien ! Bizarre, il y croyait subitement de moins en moins...

    « Qui est là !? » demanda-t-il, à qui voulait l'entendre.

    Il se retourna, toujours rien.... décidément, ce château lui foutait la trouille...
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-Ahhhhhhhhhh....
-Fatiguer?
-Et comment! 'Tin! Le chef ma fait veiller toute la nuit, suis content que se sois la relève.
-Oaui, aller va si.
-C'est pas de refus!

Daniel se leva et laissa sa place à Markus, le soleil venait de se montrer sur la ligne d'horizon. Installer dans la salle de contrôle, notre mastodonte regardait les différent écrans qui orner la salle, enfin, il regardait plutôt autre chose, mais sa c'était pas pour les petites âme sensible ou pour les personne innocence. Bref! Il ne faisait pas son travaille, pourtant sur l'un des écrans de contrôle une drôle de lumière clignoter depuis un moment, mais trop 'occuper' le vigile ne l'avait pas remarquer. Dans les couloirs sombres et encore remplit du froid de la nuit, un homme étranger au château se balader sans se rendre compte qu'il venait de pénétré dans une tanière de la coalition noir. Finalement alors que Markus s'était lever pour prendre un café, il vit l'alarme silencieuse déclencher et dans un sursaut se jeta sur le moniteur, l'une des caméra du château se déplaça alors, à la recherche de l'intrus. Un homme en armure, surement pas du secteur, il semblait perdu, mais cela pouvait très bien être un ennemi car leur poste avancer ne figurait pas en 'encore' en territoire conquit. Markus prit l'un des combiner et composa rapidement un numéro. Indrick dormait tranquillement, installer confortablement sur son lit il rêver, des souvenir mêler à des rencontres du passer, il en fut tiré par une sonnerie.

-Hum?
-Chef on n'a un problème.

L'escouade s'était réveiller au appelle de markus et indrick, s'équipent le plus silencieusement possible, leur chef leur avait bien préciser que ce n'était pas un exercice et qu'ils devaient montre leur efficacité. Aussi furtif que des ombres, les hommes avaient complètement encerclé l'inconnu, Markus avait aussi profiter pour plonger le secteur dans la pénombre, ne laissant qu'une faible lumière dû au lever du soleil sur le château. Soudain un bruit se fit entendre, Sam venait de retenir un éternuement, certes faible, mais suffisamment fort pour que l'étranger l'entende. Poussant un juron mental, Indrick ordonna à son escouade de rester immobile et cacher, il afficha un sourire et sortit de sa cachette, mains bien en évidence.

-Du calme l'ami, je ne veut pas vous faire du mal.

(désoler de la nullité du poste)
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    Quand on s'attend pas à quelque chose on a toujours de différentes manières de réagir. Plus ou moins intelligentes en fait. Ça va du « je me laisse bouffer gentiment » au « bordel mais c'est quoi ce truc !? ». Elles se jaugeaient les unes par rapport aux autres par le degré de sûreté qu'encouraient les risques pris par cette réaction. Enfin, c'était comme ça que l'archevêque les classait. Mais y pensait-il pendant qu'il fouillait le château visiblement désert ? Pas du tout. Certes il n'aimait pas ce château, pas du tout même, mais il ne pensait pas aux manières de réagir s'il croisait une forme de vie intelligente ici. Les combattants de Maléfique n'entrant pas en ligne de compte, ils étaient cons comme un porte sans poignée. Plutôt des combattants errants qui se seraient réfugiés dans cette ruine de château glauque qui tombait légèrement en ruines. Honnêtement : même s'il neigeait, qu'il était paumé, à moitié mort de faim et qu'il y avait une table remplie de choses à manger diaboliquement délicieuses, il passerait son chemin. Enfin, là, actuellement il n'avait pas pu passer son chemin et continuait de fouiller l'endroit, aussi désert et glauque qu'a l’accoutumée.

    Enfin, pas si désert que ça... Fabrizio arrivait dans une cour, celle qui était tout juste derrière les murailles, en somme il n'avait fait que le tour du château, il n'y était pas véritablement entré. Sa fouille commençait à peine, seulement, au bout de quelques secondes d'une réflexion portée sur « à quelle vitesse je vais me barrer d'ici puisqu’il y a rien » un bruit attira son attention. Un bruit vague qui avait rebondi en écho sur les murs nus et gris de la forteresse. Et ça semblait proche. Instinctivement le jeune homme se retourna, mais avant qu'il n'eut pu dire un seul mot, des bruits de pas se firent entendre dans son dos. Et encore une fois il se retourna en leur direction. Ok, c'était un fait : il n'était pas seul.

    -Du calme l'ami, je ne veut pas vous faire du mal.

    Ah bein il était drôle lui ! Il débarquait de nulle part en disant ça, ouais il allait le croire !

    Passé le choc de la rencontre (qui ne passait pas en fait, aha...), l'archevêque essaya vainement de trouver quelque chose de convainquant dans le fait que cette homme était inoffensif. C'était le sourire ou ses mains visiblement exposées pour le rassurer qu'il n'allait pas sortir une arme dans son dos ? Dommage, parce que, qui qu'il soit il était tombé sur le type le plus parano du Sanctum. Encore, il aurait pu tomber sur un paysan égaré que, peut-être, il aurait réagit pareil.... Qui savait ? Les Éternels, ils savaient tout, eux au moins... Mais merde ! Y'avait des squatteurs dans le château de Maléfique ! Enfin, un seul, mais au vu du bruit qu'il avait entendu, maintenant situé derrière son dos, il ne pouvait qu'être accompagné, cet homme... Sans trop hésiter, il dégaina son épée... ok, c'était pas la sienne, il l'avait empruntée, la vraie sienne étant plus qu'un cadavre depuis son combat à Sherwood. Il n'avait pas envie de se faire avoir, il n'avait pas envie de laisser une seule chance à cet inconnu.

    « Qu'est-ce que vous foutez-la !? Le château tout entier est interdit d'accès pour les civils, ce que vous n'êtes assurément pas mais vous n'avez quand même pas le droit d'être ici, il y avait des sbires de Maléfique y'a pas un mois ! »

    Bon, il ne devait pas faire grande opposition face à cet inconnu qui, peut importe son air innocent était déjà plus âgé que lui. Il ne savait pas ce qui arriverait par la suite, il n'avait pas envie que cela dégénère...

    « Cet endroit est la propriété du Sanctum, je vous prierait de quitter les lieux. Immédiatement. »

    Vouvoiement poli, air froid qui inspire pas de réponse et on-se-casse-par-ici-messieurs-daaames ~ Hors de question que le premier château abandonné venu soit un refuge pour tous les errants du coin ! Quoique cet air n'avait pas vraient l'air convainquant... C'était que Fabrizio ne s'y attendait même pas à ce que quelqu'un puisse se trouver ici... Que faire... Il aurait juré avoir entendu quelqu'un derrière. Devait-il se retourner pour vérifier ? Ou bien rester sur ses gardes, cet homme voulait effectivement bien prouver qu'il était capable de rien, les mains bien en évidence comme ça. Mais ce n'était pas de ce genre d'homme dont il fallait se méfier ? A l'évidence, même dans une situation plus simple que ça, l'archevêque n'aurait su que faire. Là il n'en savait pas plus de toutes manières... Peut être que finalement, tout allait se passer bien et que cet homme du moins étrange allait débarrasser le plancher sans demander son reste ? Ou alors un commando allait sortir des ruine set le fusiller ! Ou alors il allait tomber sur une mine il il exploserait et adieu monde cruel !?!? …. Ouais. Peut-être qu'il ne risquait rien, en fait, allez, fallait lui laisser sa chance, à ce type....
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Et ben et ben! Qu'est-ce qu'on avait là? Un homme, seul, ou plutôt un ados, au vu de sa taille et de son visage encore innocent et un peu effrayer. Examinant l'intrus, notre lieutenant se calma un peu, s'il ne s'agissait que de ça il n'y avait pas à s'inquiéter, il pourrai facilement régler se problème sans avoir recourt à la force. Tout en s'approchant du jeune garçon, notre chef d'escouade indiqua à son groupe de ne pas bouger, des petites signes rapide que seul ses soldats pouvaient comprendre. Souriant pour essayer de calmer se chevalier, oui parce qu'un mec équiper d'une armure et d'une épée ressemblait au chevalier qu'on voyer dans les livres ou les histoires, sauf qu'il n'avait pas l'air d'un héros et encore moins d'avoir combattu vent et marée.Lorsque le nouvelle arrivant dégaina son épée pour le menacer avec et lui demander ce qu'il faisait ici, notre chef Imita le mec paumer qui est lui aussi perdu stoppa sa marche et afficha un sourire rassurant.

-Ben mon grand, pour tout te dire je me suis écraser ici il y a une semaine environs, tu vois je m'appelle Boris Valiére et je suis Mercenaire, mais mon vaisseau à eut une avarie et il à fini sa course à quelques kilomètres d'ici, j'ai réussit à en sortir vivant moi et mon chat Cassius. On n'a marcher pendant longtemps et on n'a fini par tomber sur ce château, j'ai espérait qu'il y aurai quelqu'un pour nous aider et nous dire ou on était, mais personne, à croire que ce lieu était abandonner depuis plusieurs jours, oui mon gars! Plus une âme qui vivent, mais comme j'étais fatiguer, je suis rester ici quelques temps pour reprendre des forces et là mon chat à disparut alors je suis partit à sa rechercher et je suis tomber sur toi. Je savais pas que s'était un château du sanctum...enfaite c'est qui eux? Tu sais moi je demande qu'à partir mais je peut pas laisser Cassius tout seul ici. Tu peut m'aider à le trouver? Ensuite je me barre, promit!

Bien sur tout ça n'était que mensonge, mais bon il avait l'habitude d'inventer pas mal d'histoire notre Indrick pour impressionner la foule quand il va dans des bars. Même si la tête du jeune homme était plutôt du genre 'dégage et plus vite que sa rien a foutre de tes histoires'. Bah on pouvait toujours essayer non ? Si sa se trouve il va mordre à l'hameçon et en prime soutirait des informations sur se Sanctum dont il connaissait que très peu de chose. Son visage changea soudainement d'être accueillant et lui dit d'un ton très sérieux.

-Mais qui me dit que t'es du Sanctum? Qui me dit que t'es pas de la Coalition noir ou un truc du genre et que t'es venu ici pour me buter hein?!

Il laissa sa question en suspend, une atmosphère tendu venait tout à coup de s'installer et tout on le regardant dans les yeux, notre indrick baissa ses mains et approcha l'une d'elle doucement vers son pistolet sur sa cuisse, il resta ainsi pendant quelques secondes puis la boule éclata, laissant place à un puissant rire de la part du lieutenant qui se redressa un peu et croisa les bras en souriant de nouveau.

-Mais non c'est pas possible, la coa c'est tous des gens bizarres qui ont une armée de sans-coeurs à leurs pieds une saloperie moi je te dit.

Si Ariez l'entendait il se ferai exploser la face par son garde du corps avant de terminer sa vie dans le ventre de l'une de ses invocations. Rien que d'y penser notre lieutenant en avait des frissons, mais bon pour le moment son objectif était de gagner la confiance de cette homme et de le faire sortir d'ici sans qu'il remarque que le lieu est habiter.

-Enfaite bonhomme je connait pas ton nom.
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    Ouais... Ça semblait bien trop facile en fait. Plus cet homme parlait et plus Fabrizio doutait de la véracité de ses dires. En fait à l'origine, il en doutait de moins en moins. C'est vrai ça, c'était possible qu'un gars comme ça vienne s'écraser, le Domaine Enchanté était sur les routes et les cartes alors, normal que des voyageurs y échouent. Pourtant quelque chose ne tournait pas rond. Pas rond du tout. Il imaginait sans cesse cet homme perdre son sourire, et ça il ne savait pourquoi. Au fond de lui il se disait simplement qu'il se faisait des idées, oui, il devait sûrement s'en faire. Ça le rassurait de se savoir aussi con finalement, de penser au mal partout. Parce qu'en fait cet homme était à coup sûr le plus banal qu'il eut u trouver à des kilomètres à la ronde. C'était un coup du sort qu'il était ici ! Et en fait c'était son naturel à se faire des films et des frayeurs pour rien qui lui disait qu'il allait pouvoir le tuer dès qu'il avait le dos tourné. Mais en fait... Plus il se calmait et plus l'archevêque se disait que cet homme lui mentait et le mettait en confiance justement pour le faire passer ad patrès. C'était horrible de se dire qu'il pouvait aussi bien être l'un que l'autre.... N'empêche, l'histoire de son chat... il ne savait pas non plus s'il devait la croire ou pas. C'était pas possible non plus de ne pas connaître le Sanctum, hein ? Et lui, qui serait venu de la Coalition Noire !? Bah voyons...

    « Si j'étais de la Coalition tu serais déjà mort... et quand bien même je serait du Sanctum, mon nom tu peut toujours rêver pour le connaître. Armé comme t'es. »

    Quitte à nouer contact autant qu'il soit le plus distant possible... Histoire de pas se sentir trop con si ça tourne au vinaigre. Il avait remarqué ce geste discret que l'homme avait fait, portant la main à sa cuisse ou pouvait très bien se cacher une arme. Pendant un moment, le jeune homme ne savait plus où se mettre, cherchant des yeux un endroit abrité au cas où. Il avait envie de rentrer vivant quoi !

    « Et tu l'as vu où ton chat pour la dernière fois ? »

    Question tout à fait inutile et désobligeante désormais que la tendance était un peu plus penchée vers « le type en face de moi est un dingue armée jusqu'au dent et son chat est juste un probable allié prêt à me latter la gueule »

    Comme dit précédemment, cet inconnu avait en effet eu le malheur d'être tombé sur le type le plus parano du Sanctum. Ok, il avait bien envie de lui dire son nom mais moyennant quelques échanges équivalents. Même si cela avait bientôt plus de raisons d'être nécessaire. Tout de même il voulait toujours quelque part que l'histoire finisse bien, ce n'était pas à lui de décider ok mais c'était indépendant de sa volonté. Ce type avait l'air sympa.... Rah c'était son but si tout était juste ! Il cherchait à être sympa alors qu'au fond c'était une teigne sans scrupules ! Sûrement lui même à la solde de la Coalition ! … Oh non... Mais il ne manquerait plus que ça ! C'est pas possible ! Mais il peut en arriver des tuiles en une journée ! Il était même pas huit heures ! Bientôt Grell rappliquerait au Sanctum une nouvelle fois !! … Non, on se calme, c'est juuuste un voyageur qui a perdu son chat.... Aha.... Il ne savait même plus quelle version croire, la version que ce type avait probablement inventée ou la version qu'il avait lui même inventée ! … C'était laquelle la mieux ? … Ou du moins : la moins pire ?

    C'était du délire complait, il ne savait plus quoi penser, et il devait faire vite. Il n'avait pas l'air con sans doute. Peut-être que le « armé comme t'es » avait été la phrase de trop ? Ou bien... Que passer du vouvoiement au tutoiement était déplacé ? C'était sûrement encore un voyageur écrasé ! Mais STOP ! … On s'calme... plus de voyageur, plus de méchant coalisé pu dieu sait quoi.... rieeeen... … Enfin si, le prétendu chat... Ah, il avait une idée qui venait, d'un coup... rengainant son épée, il se tourna et se dirigea vers cet endroit qui était en plein dans son dos. Ouais, un plan génial, court et qui n'avait aucune raison de louper.

    « Je crois avoir entendu votre chat, tout à l'heure juste avant que vous vous montriez... »

    Disant cela, il se rapprocha de l'endroit où il avait entendu ce bruit, à peine une minute auparavant.

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Bon, l'histoire tenait la route, notre chef en était certains, pourtant le gamin là, il en avait pas vraiment l'air convaincu. A sa tête, on aurai dit qu'il faisait un véritable débat politique interstellaire dans sa tête. A croire que se gosse était encore plus déranger que certain membre de la coalition noirs! Indrick garder pourtant un air détendu et calme, les muscles relâcher, il n'avait pas de véritable raison de s'inquiétait, le jeune homme avait beau se montré agressif, il savais qu'il ne risquer rien, pourquoi? Il ne le savais pas sois même, une impression, enfaite il avait plutôt l'impression que l'inconnu aller se blesser tout seul tellement son attitude ressembler à quelqu'un de troubler et en pleine réflexion interne. Bon ok son histoire n'était peut-être pas la meilleur qu'il est pondu mais bon c'est déjà ça, elle était crédible et surtout pas trop abuser! S'il était de la coalition il serai déjà mort? La bonne blague, depuis quand on s'entretue entre allier? Bon ok Indrick avait mentit donc s'était normal qu'il lui dise sa, a cause de la mauvaise réputation de la coalition noire et de son chef. Il veut pas lui donner son nom? Dommage il aurai bien voulu le connaitre, mais bon.

-Dommage mon gars, enfin c'est pas vraiment polie de ne pas se présenter à quelqu'un qui viens de le faire et qui chercher juste un moyen de quitter se lieu en toutes sécurité et vu se que tu ma dit, il se peut que les 'sbires' de maléfique reviennent à tout moment et j'ai pas envie de me faire bouffer par ces trucs.

Mon dieu se que s'était fatiguant de mentir tout en se retenant de rire, il savait très bien que les cochons n'allaient pas venir vu qu'ils les à tuer eux même et même que s'était tout sauf une partit de plaisir! notre lieutenant son rappeler encore. Mais il était aussi un peu énerver, le ton que se gamin avait prit pour lui parler, il n'apprécier pas vraiment, se retenant à grande peine de ne pas le menacer sur le champ et de le faire comprendre qui était le chef. Heureusement pour le membre du Sanctum, celui-ci changea de sujet en lui demandant ou il avait bien put voir son chat imaginaire. Il fit mine de réfléchir et dit.

-Vers les douves je crois, ben oui je connait un peu les lieux après tout sa fait un moment que je glande ici. Tu sais ou c'est ou je doit te montré?

C'est à se moment là que l'inconnu lui dit qu'il avait peut-être vu son chat juste avant, il se retourna et s'avança vers l'endroit ou Sam avait éternuer, heureusement pour notre chef d'escouade, les signes qu'il avait donner leurs avait dit de partir d'ici et de se placer dans l'ombre et surtout de rester à l'affut de son ordre pendant qu'il essayer de se débarrasser du gêneur. Indrick s'approcha de l'homme, faisant mine d'être content et lui dit.

-C'est vrai? Au merci l'ami! Vous me sauver la vie, c'est surement le tout puissant qui vous a fait venir ici! Une fois mon chat retrouver vous n'aurai cas m'inquiéter le chemin du village le plus proche et je disparait de votre vu!

A moins que ce ne sois lui qui disparaisse de sa vu à jamais.

Pendant se temps dans la salle de contrôle, un groupe d'individus étaient accrocher à l'écran d'un écran de caméra de surveillance qui montrait Indrick et le nouvelle arrivant. Une discutions assez houleuse était en plein cœur de l'escouade.

-Il faut le supprimer!
-Ouai! Si on le bute on évite les ennuis.
-Oui mais on se retrouvera avec tout le sanctum dans les fesses et je tiens à vivre encore un peu moi.
-En se calme les mâles en rut, on attend que le chef nous donne le signal, mais pour le moment équiper vous de balle anesthésiante et tenait vous près à l'aider au cas où.
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    -Vers les douves je crois, ben oui je connait un peu les lieux après tout sa fait un moment que je glande ici. Tu sais ou c'est ou je doit te montré?

    Il avait définitivement pas une tête de type sympa... Quand même, d'un côté oui, il avait l'air sympa en tous points mais il y avait quelque d'autre qui puait l'arnaque dans ses dires. L'archevêque attendait qu'il fasse une erreur dans ses propos ou dans ses gestes pour lui coller son épée contre la gorge en cinq-sept. En fait la vraie question était la suivante et il se la posait depuis quelques secondes à peine. Mais elle lui parut assez idiote pour qu'il se dise à lui même qu'il s'était aventuré assez loin sur le chemin de l'erreur. Il se rendait maintenant compte qu'en plus de cette question qu'il se posait, il voyait bien qu'il n'y avait personne d'autre ici. Alors c'était soit il avait doublement raison soit il allait se rendre ridicule en deux temps trois mouvements.

    «  Bien, je crois que nous avons fait fausse route, tous les deux ! »

    Le jeune homme se retourna, il souriait. Il haissait les épaules en terminant sa phrase, comme si cela n'avait pas d'importance. Généralement quand il tirait cette tête c'était tout simplement qu'il avait en tête un plan qu'il pensait assez génial. Assez génial pour que durant un court laps de temps il se sente en sécurité. Il ne pouvait tout bêtement rien lui arriver. Il ne savait pas ce que cet homme pouvait faire, quels étaient ses buts de ses envies mais il était sûr d'une chose, il ne ferait pas long feu ici. Ouais, ça, il en était quasi sûr. Pourquoi ? Ah ça, il tenait le plan le plus infaillible qu'il avait jamais fait, il était sûr qu'il marcherait ! (c'était d'ailleurs pour cela qu'il ne lui avait pas conçu de fin, dans son grand et brillant et immense et classieux intellect inébranlable) Il n'était pas voué à l'échec, cette fois-ci, selon lui. Ce fut sans peur qu'il se rapprocha de l'inconnu. Il put enfin le détailler à sa convenance, n'ayant plus de méfiance envers lui. Un visage somme-toute de forme banale mais balayé par les épreuve du temps et des lames. Cette idée renforçait celles du jeune homme, son plan allait être un succès ! Ce ne fut qu'a quelques pas, vraiment très peu, de ce prétendu voyageur, qu'il dégaina son épée et fit un pas en avant vers l'homme qu'il attrapa au collet, approchant rapidement un des bords tranchants de l'arme contre son cou.

    « Je me suis pas présenté tout à l'heure, moi c'est Fabrizio Valeri, archevêque du Sanctum ! Et je crois que j'ai bien fait de passer ici aujourd'hui, j'ai pas été déçu ! »

    Ouais, c'était ça le plan. Et, pour sublimer sa fin et probable et sure chute, il n'avait pas de suite, là c'était le final. Comment ça s’extasier pour rien ? Enfin ! Il avait toutes les raisons de s'extasier vu ce qu'il allait ramener au château tiens ! Ça ferait sûrement bonne impression au Primarque.

    « Le tout puissant m'a fait venir ici ? Oh, peut-être dans tes mensonges, ici il n'y a que les Eternels qui jugent de ce qui doit être ou pas. Tu vas me suivre sans faire d'histoires, je te préviens au cas où, si tu veut pas finir à pourrir par terre dans ton propre sang. »

    Quiconque regarderait cela d'un point de vue un tant soit peu extérieur, il pensait notamment à Angeal, mais là il s'imaginait un Angeal fier, serait apparemment dépassé par tant de sottise. Il n'avait aucun chef d'inculpation contre cet inconnu et ne savait pas ce qui allait lui retomber sur le poil dans plus ou.. beaucoup moins longtemps. Il espérait que tout finisse bien, là selon lui il y avait cent pourcent de chances pour que cela finisse bien. Mais d'un autre côté il ne connaissait pas du tout cet homme.

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Et voilà! C'était arriver! Pourquoi il faut toujours que rien ne se passe comme prévu? Hein?! Pour une fois! Une seule fois, le mec aurai put simplement croire le mensonge de Indrick, ben oui il avait pourtant essayer de ne pas pondre un trop gros! Mais il semblerai qu'il est encore 'trop fait', s'il le pouvait il se serai donner une claque. Il avait pourtant eu pendant un bref instant la sensation d'avoir réussit à gagner la confiance de se gamin, mais non comme toujours! C'était à croire que notre homme était maudit en se qui concerne raconté des histoires à dormir debout. Et voilà que le destin en avait décider autrement, le jeune homme, l'avait prit par surprise, il avait dégainer son arme et l'avait pointé vers un lieutenant étonner.

« Je me suis pas présenté tout à l'heure, moi c'est Fabrizio Valeri, archevêque du Sanctum ! Et je crois que j'ai bien fait de passer ici aujourd'hui, j'ai pas été déçu ! »

C'est en poussant un soupir qu'Indrick regarda se fameux Fabrizio, il devait vraiment être fort pour l'avoir découvert aussi vite.

« Le tout puissant m'a fait venir ici ? Oh, peut-être dans tes mensonges, ici il n'y a que les Eternels qui jugent de ce qui doit être ou pas. Tu vas me suivre sans faire d'histoires, je te préviens au cas où, si tu veut pas finir à pourrir par terre dans ton propre sang. »

"Ohoh!! Il a dit quoi là?! Mon sang?! Attend! c'est une blague! il va pas me tuer comme sa sans procès! Ah non ouf, il veut juste que je le suive sans faire d'histoire pour ENSUITE me tuer sans somation.....ET IL PENSER VRAIMENT QUE JE VAIS ME LAISSER FAIRE COMME ÇA?!!! "

Indrick posa sa main sur son pistolet, il était près à réagir s'il était vraiment sur le point de se faire tuer, mais il savait qu'il n'avait que peu de chance de tiré à temps. C'est à se moment là que plusieurs projeteur s'allumère, illuminant la place ou ce tenait le lieutenant et son agresseur, aveugler pendant un court instant, les deux cibles entendirent une voix qui fit sourire le prisonnier.

-A l'homme à l'épée, laisser partir cette homme sur le champ ou vous serez abattu sur le champ! Rendez-vous, vous etez cerner.

Marianne tenait un mégaphone pendant que le reste de l'escouade se mettez en position arme pointé vers le jeune inconnu qui avait oser menacer lors lieutenant. Ils le tueraient sans hésiter, mais leur charger contenant des balles paralysante, une seul pouvait mettre K.O un homme de gabarit impressionnant alors imaginer sur cet enfant.

(Désoler mais j'ai vraiment pas était inspirait pour cette réponse je sais que c'est de la merde ^^' mais je voulait pas te faire trop attendre.)
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    -A l'homme à l'épée, laisser partir cette homme sur le champ ou vous serez abattu sur le champ! Rendez-vous, vous etez cerner.

    Comment expliquer en une phrase que le plan avait bien merdé comme il fallait ? Et bien en fait c'était tout expliqué. D'un côté, le jeune homme était heureux que son idée eut été juste mais cette joie fut de courte, très courte durée même. Comment dire... il regrettait même avoir raison et aurait préféré que cet homme ne soit qu'un touriste égaré ayant perdu son chat. Et pas un mercenaire qui lui hurlait dessus ! Et pas seul, qui plus était. Pour le moment Fabrizio n'avait entendu qu'un seul allié, une alliée pour être précis. Et si les projecteurs ne s'étaient pas allumés par une quelconque commande automatique, cette alliée n'était pas la seule de son état. Il craignait ce fait car il n'avait aucune idée de leur expérience du combat. Mais c'était un fait, un simple fait qui était réel depuis quelques secondes. Un des deux principaux castels du Domaine Enchanté était pris par un groupe d'inconnus qui voulaient en découdre apparemment. Mais une question se posait encore, s'il n'avait pas apposé d'intentions hostiles en annonçant qu'il était membre du Sanctum, auraient-ils réagi différemment ? Se seraient-ils tous montrés ou l'auraient-ils abattu froidement ? Aucune raison de garder un gêneur en vie, non ? Oh, misère... Il s'était fourré dans une de ces merdes pas possibles... Et en plus, comme si ce n'était pas déjà assez apparemment, l'homme en face de lui avait trèèès mal prit cet affront. Que faire, le retour de la question principale concernant la suite des opérations ?

    Il fallait faire vite, car il ne savait pas combien ils étaient en face. Et honnêtement, il espérait sincèrement qu'ils n'étaient que deux. Allez, un couple ! Ça le ferait mieux qu'une unité dans ce trou paumé ! … Pourquoi un couple viendrait dans un endroit aussi déprimant même pour une mission, aucune idée, mais c'était peut-être quelque chose à creuser... Quoi ? C'était une idée comme une autre. Une idée... il en tenait une. Sans trop chercher à savoir si cela marcherait ou non, il recula rapidement de quelques pas et lança un sort d'air, non pas sur son opposant, mais sur le sol. Alors qu'il se barrait vers un lieu couvert -un bout de muraille à moitié écroulé hors de vue des murailles où étaient planqué l'allié au mégaphone et son ennemi principal- un nuage de poussière plutôt opaque s'élevait et se déployait paresseusement dans l'air. Ça avait marché. Pour le moment du moins, il lui fallait trouver une solution. Il n'avait pas d'autres armes sur lui que son épée et regrettait son manque de vigilance à l'égard d'une mission qui lui avait parue toute simple. Que devait-il fait maintenant ? Trahir sa position en hurlant des conditions à ce parfait inconnu ? Ou bien se barrer lâchement pour prévenir des renforts ? Alors ça, il se le demandait. Il prévoyait en tout cas de faire ni l'un ni l'autre, c'était sûr. L'un était idiot et l'autre lâche. Le jeune homme ferma les yeux, cherchant sans aucune doute une bien meilleure solution. Étrangement, il n'en voyait aucune viable sans nécessiter de faire quelque chose de con. Il ne connaissait pas l'armement ennemi, il n'avait aucune idée de leurs positions exactes et de leur nombre également. Il priait les Éternels qu'ils ne fussent que deux. Mais ça il l'avait déjà dit. Et il se répétait avec ça.

    Il ne se battait jamais mieux qu'au corps à corps, et c'était en fait l'occasion rêvée. Il réitéra les sorts d'air pour élevé de la poussière autour de la zone, il ne voulait pas que des armes a distance puissant l'atteindre aussi bêtement que lorsqu'il était à découvert. Il n'hésita pas trente secondes de plus pour se demander quoi faire : il chargea dans la direction supposée de l'homme. Autant profiter du peu de visibilité. Et il abattit son épée sur la forme qu'il voyait dans la poussière. Ah, oui, inconvénient de sa super technique trop géniale c'était qu'il y voyait autant qu'une taupe dans sa galerie. Exit donc le truc super précis qui tue en un seul coup, parce qu'en un combo entier il ne fut même pas sûr d'avoir atteint son adversaire. Enfin, nécessité faisait loi. Parce que quand on est pas sûr de son coup on plante des navets ! Bein là en l'occurrence l'archevêque il était sûr de son coup. Sur de son efficacité, sur du style et de la classe a moitié étouffé de poussière et même qu'il avait dérapé sur un caillou après le troisième coup, mais pas sûr que les coups allaient effectivement toucher la cible. Tant pis. C'était joué.

    « T'aurais jamais du venir ici, vous auriez jamais du en fait !! » hurla-t-il à qui voulait l'entendre. Oui, il hurlait, et il était bien con de le faire, il avait pas une couverture à gérer lui ? Tant pis... Il aurait essayé au moins... « Peut importe d'où et de comment et à combien vous êtes venus mais vous allez repartir en cinq-sept ! »



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Alors analysant la situation, Indrick était coincer avec un drôle de gars qui semblait être envoyer par le Sanctum, le menaçant avec son épée, le lieutenant était en bien mauvaise posture. Heureusement pour lui, son escouade avait réussit à réagir en conséquence, en encerclant l'intrus et allumant des projecteurs pour l'aveugler. Marianne avait ensuite ordonner de lâcher son arme et de se rendre sans faire d'histoire. Pendant un moment Indrick se demandait bien se que le jeune homme en face de lui pouvait bien penser, il espérait juste qu'il n'allait pas faire ,dans un élan de folie, une bêtise du genre 'j'élimine les méchants!' et décide de transpercer le pauvre soldat d'en face qui n'avait pas vraiment envi de passer l'arme à gauche! Des gouttes de sueur froide se mirent à couler sur le visage du nouveau maitre des lieux, il ne savait pas grand chose sur le Sanctum, mais pour il était sur d'une chose, c'était qu'ils n'étaient pas à prendre à la légère et qu'ils pouvaient être imprévisible! Enfin ça s'était se qu'il penser. Mais ce n'était pas pour autant qu'Indrick allait se laisser faire! Si l'homme l'attaquer, c'est sur qu'il ripostera avec tout ce qu'il avait! Pendant se temps derrière les lumières, le reste de l'escouade attendaient, arme en joue, prêt à en découdre avec cette étranger, Marianne tenait toujours son mégaphone dans la main, elle était tendu, comme le reste du groupe, elle ne savait pas comment leur ennemis réagirait à cette apparition, mais dans la hâte et la précipitation, ils n'avaient put crée un véritable plan de secours.

Alors que tout le monde semblait perdu dans leurs réflexions, le jeune archevêque du Sanctum se mit en mouvement. Avant même que l'escouade est pût esquiver le moindre geste, un imposant nuage de poussière s'éleva dans les airs les déstabilisant un instant. Indrick en profita pour s'éloigner, on ne sais jamais, Fabrizio risquait d'apparaitre à n’importe quel moment. Arrivant à hauteur du reste de son groupe, le lieutenant prit la parole.

-Il ma vraiment fait peur se gars! Mais il est coincer, vous avez prit des tranquillisant ou des balles ?

-Tranquillisant, ne sachant pas trop comment réagir à se genre de situation
-Ok c'est dommage, mais on va essayer de l'avoir vivant. Attendes que le nuage se dissipe et endormes moi cet énergumène. Une fois neutraliser on l'enfermera dans les cachots dans une des cellules spéciale.

Une fois les préparatif fini, se fût l'attente, un long et ennuyeux moment de silence, ennuyeux? Ah pardon, je voulais dire stressant! Car oui quand on attend un ennemie qui peut surgir de nul part, sa vous fait toujours stresser un max! Mais la poussière commençait à retomber et ils pourraient à nouveau voir Fabrizio. C'est à se moment qu'un nouveau coup de vent apparut, soulevant une nouvelle fois la masse de terre fine dans les airs. Markus poussa un juron à l'attention du jeune homme, disant qu'il se cachet comme un lâche, mais des bruits de pas le stoppèrent dans son élans d'éloges. Des bruits de pas, il arrivait! Sans attendre, les armes se braquèrent sur l'origine du son, des coups d'épées se firent aussi entendre et bientôt se fût la fois de l'agresseur qui semblait complétement perdu dans sa propre masse de poussière. Il ne fallut pas longtemps à notre escouade pour ouvrir le feu à son tour vers l'ombre en mouvement, ils ne pouvaient pas le tuer certes, mais une balle anesthésient sa fait toujours mal quand sa injecte son produit. Par contre elles étaient plus lente que la normale, espérant seulement que l’archevêque n'ait pas de bon réflexe.
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    Alors, pour répondre à une hypothétique question, oui, l'archevêque avec d'excellents réflexes. Ce qui ne l'empêcha pas, à l'instant même où il termina sa courte tirade, de s'arrêter de frapper dans le vide, sentant une vive douleur dans son épaule. Et merde, pensa-t-il pratiquement immédiatement après, il avait bel et bien entendu un coup de feu, il était pas con quoi. Sa première pensée fut dirigée vers le nuage de poussière, ça y était, il était à découvert ? Après un bref regard vers la direction d'où venait le coup, approximativement, il cligna plusieurs fois des yeux, se sentant bizarrement déconnecté des faits qui se déroulaient autour de lui. Lâchant son arme, il porta la main à l'endroit où le coup l'avait atteint. Ledit coup avait traversé les protections sur son bras, et s'était fiché bien profondément dans la chair, une fine traînée de sang en coulait doucement. Le regard vague, il essaya de retirer le projectile. Pourtant, il n'y parvint pas. LA Désagréable impression que son corps s'engourdissait le faisait frémir. A partir de sa blessure, il sentait l’assommant poids du sommeil atteindre tout son corps. Il ne pensa plus à lancer de sort, à reprendre son épée à laquelle il ne jeta qu'un vague regard inintéressé. Sans prendre garde, il tomba à genoux dans la poussière.

    Ce fut à ce moment qu'ils commença à s'inquiéter. Son cœur battait vite, il ne savait pas ce qu'il lui arriver, ressentant uniquement une sourde envie de fermer les yeux et de se laisser aller dans les griffes d'un long et agréable sommeil. Même cette terre noire, ces quelques pavés et cette poussière lui paraissaient si géniaux pour s'endormir. Il serra les poings, faiblement, essayant de se réveiller. En secouant la tête, un flot de pensées le submergea, non, il ne comprenait pas ce qui se passait. Il avait de moins en moins peur. Pourtant il craignait toujours quelque chose, dans les dernières secondes où il resta droit, à genoux par terre, il se souvenait de cette impression. Plus il essayait d'y penser, plus il l'oubliait. Plus il s'enfonçait dans un nuage opaque et complètement artificiel en fait. Sans trop penser à ce qu'il faisait, il se releva, lentement, pour se rapprocher de là où venait le tir. Il ne savait pas vraiment quoi faire, ok, mais c'était une idée comme une autre. Une volonté plutôt idiote.

    « C'est pas comme si... comme si j'allais vous laisser faire quoi... »

    Il sentit à peine le contact du sol alors qu'il atterrit face contre terre. Bordel, Angeal allait encore être fier de lui tiens, c'était un point encore à rajouter à la liste de ses exactions, ok elle était mince mais il y avait déjà une tuerie sauvage dans un bordel, le désordre dans le tribunal, les fenêtres explosées un peu partout dans le palais alors qu'il était à la poursuite des fan(atique)s de Grell... Ça faisait déjà une liste imposante. Triste fin pour lui, s'il était amené à calancher ici. Il avait toujours eu une peur panique de la mort, de la douleur qui l'entourait. Mais là, il n'y avait eu que cette pointe acérée qui était venue tranquillement l'endormir. Lentement, ses yeux se fermèrent, sans qu'il le voulut mais sans qu'il ne put l’empêcher.

    Et ce fut le noir. Ni froid, ni chaud, pas douloureux mais pas doux non plus. Le néant total. Fabrizio n'avait jamais bu jusqu'à tomber dans le coma, pas encore du moins, il ne savait pas ce que c'était. Alors il n'avait pas de points de comparaison. Ce n'était pas désagréable, mais il ne voudrait sûrement pas recommencer. Ce fut surtout le réveil qui fut le plus dur, aussi dur que l'endormissement fut simple. Se tirer des limbes du néant était tout sauf une chose aisée, surtout lorsqu'il avait été provoqué. Pendant un moment, le jeune homme reste dans le vide total, sans avoir une mesure précise du temps qui s'écoulait. Il ne savait pas si une seconde était bien une seconde ou une minutes. Il essayait de penser à diverses choses, sans vouloir les penser, comme dans un rêve. Ça, c'était à la fois désagréable et agréable. Bientôt, ce vague sentiment de rien se dissipa et il fut de retour progressivement au froid de la réalité. Froid qui s'insinua dans tour son corps. Alors qu'il entrouvrit les yeux, tout lui revint progressivement, jusqu'à la douleur qui s'était répandue comme le sang sur son bras droit. Ok... rien n'était onirique. Rien n'avait été rêvé, il s'était pas endormi dans les bois en allant au château de Maléfique.

    Et au vu de la déco, il était chez Maléfique. Noir, toujours du noir. Le noir de la terre sur laquelle il était allongé, le noir des murs de pierre, le noir du ciel par l'ouverture réduite bien trop haute pour qu'il l'atteigne, ouais, la déco c'était made in ténèbres, et cela ne le rassurait pas du tout.

    Il attendit quelques secondes, quelques minutes, que ses sens lui reviennent. Bientôt, il s'assit à même le sol, remarquant qu'on l'avait fouillé pour lui retirer toutes ses armes. Et merde... Il finit tant bien que mal par se redresser, s'appuyant contre le mur pour conserver son équilibre. Tout son corps était engourdi comme s'il avait dormi des heures sans bouger, ce qu'il avait probablement fait.. ; ou alors c'était le froid, parce qu'il remarquait tout juste que dans la pièce le chauffage c'était pas une des occupations premières. Aucun feu, aucune chaleur. Génial. Il s'approche de la grille de la cellule -yep, une cellule-, fallait pas appeler ça un palace.

    « Hé ! » hurla-t-il, rajoutant un bon coup de pied dans la grille. « Vous allez me laisser sortir ouais !? »

    Aucune réponse... fallait s'y attendre. Sans trop prendre son mal en patience, il empoigna de ses deux mains la grille et essaya de la faire bouger, en gueulant, s'il vous plaît. « Vous perdez rien pour attendre ! Vous avez aucun droit ici, les droits sont au Sanctum !! ». Rapidement, il s'arrêta, pris de nausées. Les effets de ce truc qu'ils avaient utilisé pour l'endormir ? Ça il en savait rien.

    C'était pas gagné... c'était même déjà bien perdu pour le moment.
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Enfin ! Enfin ils l'avaient fait! Après tout le temps qu'avait passer Indrick pour faire partir cet homme du sanctum du château sans se faire attraper. Bon d'accord, il n'avait pas réussit et le jeune homme l'avait même menacer avec son arme, découvrant la supercherie par la même occasion. Il n'avait sa vie sauve que par l'intervention inopiné du reste de son escouade qui avait eut le réflexe de tendre une embuscade pour piéger le jeune Archevêque. Pendant un moment notre lieutenant avait crût que l'intrus allait l'attraper et se servir de lui comme bouclier humain, mais étrangement, il ne l'avait pas fait, il avait juste reculer en voyant les projecteurs et en entendant Marianne lui ordonner de se rendre. Mais alors qu'Indrick voyait déjà l'affaire régler dans sa tête, le jeune Fabrizio envoyer une puissance rafale de vent sur le sol se qui eu pour effet de crée un épais nuage de poussière, recouvrant toute la scène et obstruant la vue des propriétaire des lieux. Notre chef d'équipe ne se laissa pas pour autant perturber plus que cela, et une fois l'effet de surprise du nuage dissiper dans son esprit, il s'éloigna de la dernière position visuel de son ennemi pour retrouver le reste de son groupe.

Le Lieutenant demandant à son subalterne des informations sur leurs munitions, Tranquillisant, même si celui-ci aurai voulu terminer avec cette histoire au plus vite, Indrick se dit qu'il serai plus sage de le maintenir en vie et d'informer Ariez que le Sanctum n'allait pas tarder à réagir à l'absence d'un de leur membre. Ordonnant à son escouade de faire feu à vue, les soldats se mirent en position et attendirent. Il ne fallut pas longtemps pour que leur cible ne se montre, même si cela avait parut une éternité pour Markus qui n'en pouvait plus d'attendre. La poussière tomba tout doucement, leur rendant petit à petit la vision du secteur, mais une ombre apparut dans le nuage, ils entendirent la voix de l'homme. S'aidant de celle-ci, les soldats de la coalition noir ouvrirent le feu. L'homme ne tarda pas à se prendre une balle, dans le bras, et malgré la rapidité du produit, Fabrizio s'approcha vers eux, il semblait lutter contre l'effet du tranquillisant. légèrement effrayer par cette attitude, les hommes s'apprétairent à ouvrir de nouveau le feu pour lui envoyer une nouvelle dose, mais l'archevêque fini par tomber à terre, endormit.

Une fois assurait qu'il était bien sous l'effet de la drogue, Indrick et ces hommes lui fouillèrent et le dépouillèrent de toutes ses armes et autres affaire, ne le laissant qu'un simple vêtement, même si Marianne avait insister sur le fait de lui retirait 'toutes' ses affaires. On installa le nouvelle 'hôte' dans sa chambre sans prendre des gants, une fois la porte de sa cellule fermer et le champ de force activer, Daniel et Markus, qui avaient été choisie pour l'amener, se dépêchèrent de rejoindre le reste du groupe, laissant ainsi le pauvre homme seul et dans le noir.

Pendant se temps Indrick et le reste du groupe étaient en train d'expliquer la situation à Ariez. Mais manque de pot, ils ne tombèrent que sur un membre de la coa qui leurs dit qu'elle n'était pas disponible et qu'ils pouvaient lui laisser le message. Une fois l'information transmise, le lieutenant ordonna que la sécurité sois doubler et que chacun sois sur le qui-vive, avec cette arrivait, il ne fallait pas s'attendre à se que les prochains arrivant sois aussi 'facile' à attraper.
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