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Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.

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    Moi? Je m'appelle Dyrin et si vous voulez savoir comment je suis arrivé là, écoutez-bien parce que je ne vais pas me répéter. J'ai la quarantaine et j'habite depuis mon tout jeune âge à Paris, là où je tiens ma propre boutique d'armes. J'en fais de toutes sorte, ça va aussi bien de la dague au sceptre magique tout en passant par les masses d'armes. Je suis devenu un véritable spécialiste au fil des années. Je peux vous dire que j'en ai vu défiler des guerriers, je me suis même fait un nom. Ce qui m'a le plus souvent dérangé, c'est de vendre des armes à des personnes inexpérimentées. Pour ma défense, je dirais que c'était parce que les affaires ne marchaient pas. Je crois même avoir été la dernière personne à avoir vu certaines de ces personnes. Pour ma part, j'ai aussi beaucoup combattu, j'avais même fermé ma boutique durant toute une année pour aller à la guerre. Après ça, j'ai décidé de ne plus jamais me battre, j'ai vu beaucoup trop d'horreur, trop de personnes mourir. C'est à partir de ce moment que mon chiffre d'affaire à chuté considérablement, comme si tout ceux que je connaissais avaient le même sentiment que moi. La guerre n'apporte que désarroi là où elle passe. Seulement, les armes étaient la seule chose dans laquelle j'excellais. La nuit, je continuais à m'entrainer comme lorsque j'avais quinze ans, j'utilisais toujours un bâton d'environ deux mètres. Il ne me fallait souvent très peu de temps pour forger des armes de grande qualité. C'est ce dernier mois que des trucs étranges se sont produites dans ma boutique. Quand je venais le matin, je retrouvais souvent la totalité des portes et fenêtres grandes ouvertes. Pourtant, je n'avais aucun vol à déclarer. Fait encore plus étrange qui n'est peut-être qu'une coïncidence, le même jour, je voyais toujours le même homme qui venait dans ma boutique. Il avait toujours le visage caché par une capuche et jamais je ne l'avais entendu parler. Enfin ça, c'était avant les évènements d'hier soir... Il s'est approché de moi, à enlever sa capuche et m'a parlé. Qu'est-ce qu'il a dit? Je ne sais pas, je n'ai pas compris le moindre mot mais je me suis évanoui dès qu'il avait fini. Maintenant, je suis là. Où ça? Je ne sais pas, je voyais juste pleins de projecteurs qui m'aveuglaient. Je pouvais à peine distinguer des ombres et des hurlements.

    Salut les gars! Moi c'est Thierry et j'suis bien content d'être là. Ouais c'est assez cool et je pense que j'ai toutes mes chances pour ce soir. On me dit souvent que je suis pas futé comme type mais tout le monde dit ça sur les boxeurs. Mais moi, je suis différent! J'ai réussi à venir jusqu'ici et volontairement en plus. J'espère que les gens parient sur moi. En fait pour tout dire, je me baladais tranquille à Sherwood quand j'ai vu deux types louches, y en a souvent faut dire. Mais moi j'ai peur de rien, j'suis un costaud et mes poings peuvent casser les murs. Le truc chiant c'est qu'il faisait nuit et il pleuvait; pas facile pour les suivre. Mais je lâche rien moi, je suis un vrai bulldog, je mord et c'est fini! Puis là d'un coup, ils passent derrière un buisson et POUF! Disparus! J'ai rien compris mais alors rien de chez rien. J'étais pas si con au point de perdre si facilement la trace de deux mecs? Fallait croire que si mais j'ai vite trouvé par où ils étaient partis. Ouais, c'était pas dur, il y avait une plaque qui cachait une échelle qui descendait vraiment très bas. Un peu comme dans Code Lyoko quand on y réfléchi. Puis là je me suis demandé si c'était possible qu'il y ait un monde virtuel avec une intelligence artificielle qui nous en veux. J'étais près à y aller pour découvrir la vérité et à aider ceux qui en avaient besoin! Donc c'est normal que je sois descendu non? Bah si c'est pas le cas faut savoir que je l'ai quand même fait et je suis arrivé en bas. C'était pas simple parce que je garde toujours mes gants de boxe, ça permet que les autres sachent qui ils ont en face d'eux. C'est avec une petite crampe au bras gauche que je suis arrivé dans un tunnel souterrain. Mais j'avais pas vu qu'en fait les deux gars m'attendaient, je m'étais bien fait avoir, ah ça oui. Ils m'ont matraqué avant même que je puisse les voir et quand je me suis réveillé, j'étais attaché à un chaise. C'était comme dans les films, il y avait trois types. Un qui fumait une clope avec un chapeau de gangster et habillé avec un costard vraiment très beau. Il avait aussi une chevalière et je sais pas pourquoi j'ai fais une fixette dessus. Enfin bref, il avait l'air d'être le chef. Il y avait aussi une marmule qui était devant la porte de la pièce, histoire que je puisse pas partir. De toute façon j'étais attaché alors bon, je pouvais pas aller loin. Puis le troisième, c'était sûrement celui qui me faisait le plus flipper. Vous voyez, un regard plus que sadique, pire quand dans les films et il était taché de sang mais genre de la tête aux pieds. Il en avait même sur ses lunettes. À côté de lui il y avait un table avec tout plein d'objets comme des couteaux et des trucs que je sais même pas c'que c'est! J'te jure, j'ai failli en pisser de peur mais j'ai réussi à me retenir. Je crois que c'était surtout l'effet de surprise qu'autre chose qui me faisait cet effet. Je suis pas une fiotte et je suis intelligent alors je trouverais bien un solution! En fait, tout ce qui se passait, je l'avais calculé depuis longtemps. Puis là ils m'ont demandé ce que je faisais là. J'ai balancé tout ce que je savais. Ouais vous voyez, Code Lyoko, Xana et tout ça et que je pouvais les aider. J'ai pas compris sur le coup mais ils se sont fendu la poire puis la chef m'a dit ok. Ouais, un ok tout simple puis il a enchaîné avec un: « Faudra que tu passes des épreuves de sélections d'abord ». J'ai dis oui tout de suite. Me voilà donc là, sous les feux des projecteurs avec tout pleins de gens qui m'acclament.

    Je vous dirais bien d'aller vous faire foutre mais c'est pas tous les jours qu'on me propose de raconter mon histoire. J'ai écumé les flots pendant toute l'année sans même poser ma jambe de bois sur le terre ferme. Mes matelots allaient chercher les vivres pour moi pendant qu'une mousse s'occupait de nettoyer ma cabine. Ce petit gars je l'aime bien, s'il est avec moi c'est parce qu'il voulait devenir mon élève. Je n'avais pas l'habitude de ce genre de choses mais Hakim Le Pirate est bon! Ouais, le pirate c'est moi et je n'avais pas eu le cœur à laisser ce gosse tout seul. Je lui avais dis que s'il arrivait à tenir un an sur le bateau sans descendre une fois, alors je ferais de lui un vrai pirate. Croix de bois, croix de fer, si je mens je vais en enfer! Puis tout a déraillé ce jour là, le jour où cette femme est venu sur le pont de mon navire. Ecoutez-moi bien, une femme sur un navire est toujours synonymes d'emmerdes. C'est pas de la superstition, je dis ça en parlant de vécu. Je vais vous épargner tout ça et revenir à la dernière qui a osé venir. Faisait nuit, comme à chaque fois que le soleil se couche sous l'horizon. C'était un mois d'hiver et il faisait froid. Le moussaillon et moi étions tranquille à regarder la nouvelle lune, enfin ce qu'on en voyait. Je lui racontais une de mes nombreuses aventures à travers les océans. Puis c'est assez mystérieusement qu'on a vu une femme apparaître sur le pont. Ni une, ni deux j'ai dégainé mon sabre. Cette arme en avait vu des vertes et des pas mûres, mais là c'était surtout pour intimider. Je savais pas qui était cette donzelle mais le mousse lui avait l'air de savoir. Tellement qu'il est parti dans ses bras en criant un mot que je n'avais pas prononcé depuis longtemps. Maman... C'était sa mère pourtant je la croyais morte, c'est ce qu'on m'avait dit. Sans dire un mot, j'attendais que souffle le vent. Je ne pensais pas qu'elle profiterait d'une bourrasque pour disparaître avec son fils. Depuis, je ne l'ai jamais revu ce petit gars, je pouvais dire qu'il avait égayé mes journées. Ce que je ressentais était ineffable et j'ai erré seul pendant un long moment. J'avais abandonné mon navire, offrant la direction de mon équipage à mon second. Le jour où j'avais fait cette annonce, aucun de mes hommes n'avait osé parler, c'était mieux ainsi. Même si je n'étais plus un pirate, cela ne voulait pas dire que je vivais dans la légalité. J'essayais de survivre selon mes propres moyens, c'était souvent grâce à des combats clandestins. C'est comme ça que je suis arrivé ici, pour me battre à mort contre d'autres hommes et empocher la récompense.

    Salut les ploucs, non, je vais pas me présenter, vous me connaissez suffisamment j'espère bien. J'étais tranquille quand mon ordre de mission est enfin tombé. J'allais enfin pouvoir aller dans un autre monde que je ne connaissais pas. Ça fait toujours plaisir de découvrir d'autres trucs et de montrer sa puissance et celle de la Coalition. C'est Ariez qui m'a dit d'aller à Sherwood en fait. Au début je croyais que c'était une mission de diplomatie histoire de renforcer nos liens avec une famille riche. C'était un peu de ce goût là mais avec un truc que j'aime en prime, foutre la merde. Sauf que là on devait pas savoir que c'était moi. Donc cette famille, les Tiberon, m'ont invité dans une de leurs résidences, à Sherwood comme je l'ai dis plus haut. Si je devais y aller c'est parce qu'une partie de la famille complote, je n'ai pas trop compris si c'était contre nous mais le fond est là. Donc, je vais devoir tuer le patriarche discrètement pour que son fils lui succède. Lui, il est déjà au courant de ce qui va se passer et il est beaucoup plus à même de coopérer avec nous. Je me suis donc pointé avec mon vaisseau perso. Parce que ça fait classe et que j'avais pas à côtoyer les loubards des transports en commun. Ils sont venus me chercher direct à la gare, je préfère me garer là-bas c'est plus sûr. Donc on n'a pas mis longtemps à arriver chez eux et c'était une belle baraque. Tout en classe et en grandeur. Ils m'ont présenté à toute leur p'tite famille et à leur pote et associés. J'avais pas l'air très différente dans cet endroit, on ne me dévisageait pas déjà. Le seul truc que m'avait dit le fils du patriarche c'est que c'était pas ce soir là que je devais régler ma petite affaire. C'était pas grave, j'étais pas pressée même si je n'avais pas grand chose à leur dire. En réalité j'étais plutôt songeuse à ce que je devais faire. Ce n'était pas dans mon habitude de faire dans la discrétion mais j'allais trouver quelque chose pour ça. J'étais invitée à voir un combat sur lequel se jouaient beaucoup de gros paris. Pas besoin de dire que c'était clandestin et surtout à mort. J'aimais voir ce genre de lutte depuis toujours. Donc on était tous là, dans une sorte de tribune en hauteur qui faisait tout le tour de terrain de combat. Les projecteurs éblouissaient les combattants, ça hurlait de partout alors que rien n'avait encore commencé. Le problème c'est qu'il manquait un des guerriers pour pouvoir débuté. Je voulais trop voir ça pour laisser cette scène s'arrêter prématurément. J'ai alors demandé si je pouvais participer et personne n'y voyait d'objection. Le fils m'a juste dit qu'il était primordial que je survive. Comme si j'étais trop conne pour le savoir... j'ai sauté de suite en plein milieu du terrain, les grilles s'ouvraient et on était tous là, chacun avec ses propres armes et ses propres convictions.

    -Et voici pour vous Dyrin l'expert en arme, Thierry le boxeur, Hakim le Pirate et Aliatris Moonshadow! Faites vos paris et amusez-vous bien.

    -Alors comme ça on fait venir des femmes maintenant? Pitoyable...

    Ta gueule connard!

    C'était direct et je savais que c'était cette saleté de pirate qui allait en prendre plein la gueule le premier. Avant que je me retrouve là, on m'avait parlé des quelques type qui se trouvaient là. Entre un boxeur décérébré, un pirate misogyne, et un vieux maitre d'arme, j'avais l'embarra du choix. C'était lui qui allait crever la bouche ouverte avant les autres. Puis ça tombait bien parce que le boxeur s'en prenait au vioque, j'avais donc le champ libre pour commencer. Il puait l'alcool pire que moi quand je prends une cuite, je peux dire que c'est assez horrible. Tu m'étonnes qu'il a le contact difficile avec les femmes. C'est pas tellement qu'il soit macho, mais il fouette le nez que ça en fait presque pleurer. Puis si j'étais là c'était pour casser de l'homme. Il avait pas aimé que je lui réponde celui-là alors il a chargé comme un taureau. Ça m'a un peu surpris sur le moment mais au lieu d'esquiver j'ai voulu l'arrêter net tu vois mais c'est qu'il avait du muscle. Je l'avais chopé au niveau des poignets mais il forçait plus que moi et il m'a fait trébucher. J'ai tout de suite roulé sur le flanc pour éviter le coup d'épée dans la gueule. C'est limite trop prévisible, à chaque fois que quelqu'un met un autre à terre, il veut le frapper de suite.

    -Et Dyrin a gagné contre Thierry!

    V'là que ça allait se corser! Maintenant ils pouvaient être à deux contre moi. J'panique jamais mais là j'avais les glande de pas avoir été plus rapide pour éviter ce désagrément. Je me suis reconcentré sur le pirate, fallait pas que je finisse avec son épée dans le bide et là sans prévenir, je vois un bâton s'approcher. J'ai cru que j'allais l'avoir pile entre les deux yeux mais j'ai vite compris que non. Ouais, c'est Hakim qui s'est tout pris dans la tronche. Il est tombé raide par terre. Il a absolument rien compris à ce qu'il lui arrivait. Sans mettre trop de temps à réfléchir j'ai sauté au dessus de lui en tendant le bras vers le haut. Quand je suis retombé sur lui, j'ai baissé mon bras juste au niveau de son visage. Je ne vais rien vous décrire de cette scène hideuse, sauf que ça sentait le cochon grillé à des kilomètres.

    -Je ne veux pas me battre contre une femme.

    -Comme c'est mignon, mais tu vois, on peut pas abandonner ici.

    -Je te l'ai dis, je ne me battrais pas contre toi.

    Il était chiant pour un vieux. Il était pas loin de gagner parce qu'il n'avait pas l'air fatigué du tout mais non, je suis une femme alors il veut pas? Sérieux, c'est quoi le problème, il croit que je suis nulle c'est ça et que je ne mérite pas un combat contre lui? Je veux bien qu'il soit maitre d'arme mais fallait pas pousser non plus. Alors j'ai voulu lui décocher un bonne droite. C'est marrant parce que j'utilise mes mains que pour la magie d'habitude mais de toute façon ça n'avait servi à rien. Il avait détourné mon coup de simple coup de bâton. Ça m'avait même pas fait mal, il était doué et c'est sûrement ce qui me plaisait le plus chez lui. Fallait juste que je trouve la faille dans sa défense et ça le ferait. Comme j'avais pas envie de faire dans l'originalité et que ça commençait un peu à me gaver, j'ai utilisé le sable présent dans la terre pour le ralentir. Déjà comme ça il restait au même endroit même s'il pouvait toujours se déplacer. L'avantage c'est que chaque grain qui parcourait son corps lui rongeait la santé lentement. Après je sais pas ce qu'il s'est passé mais il s'est énervé d'un coup et il voulait réellement m'éclater la cervelle. J'ai lui ai donné un coup de pied retourné enchainé d'un coup dans le ventre avec l'autre pour finir avec un coup de poing enflammé. Quand il est tombé il avait encore les fringues en feu mais c'est comme s'il ne sentait rien. C'est là que j'ai commencé à voir sa peau fondre étrangement pour laisser voir des parties mécaniques. Au début je pensais juste à un prothèse mais tout son corps était comme ça. On avait oublié de me dire que c'était un robot celui-là. Pour dire vrai, ce n'était que la première fois que j'en voyais un de mes propre yeux. Tout ça pour dire que c'était beaucoup moins intéressant qu'au début. Là, je me suis dis qu'il fallait que je brouille ses sens (s'il en a) pour me tirer d'un guerrier de ce genre. Plusieurs répliques de moi-même apparaissaient alors un peu partout sur le terrain. Bien sûr ce n'était en fait que des projections, elles n'avaient aucune consistance et ne pouvaient en aucun cas blessé. Mais je me suis dis que ça pourrait bien m'aider. Il ne savait plus où donner de la tête et j'en profitais pour l'attaquer d'un peu partout avec mes jambes. Mais quand les organisateurs du combat avaient remarqué que ce n'était qu'une machine, ils ont stoppé le terrain et en une dizaine de tir, le maître d'arme a été troué de part en part à plusieurs endroits de son corps. J'étais déçue de la fin du combat même si c'est moi qui avait gagné.

    Le soir on était donc chez la famille Tiberon assez tranquillement à table. Je m'emmerdais à mourir alors je suis allé un peu dehors. C'est là que le fils est venu pour me dire que ce soir serait idéal pour que son père « parte ». Ce qui était bien c'est que le vieux s'endormait tôt puisqu'il était légèrement malade. C'est vers trois heures du mat' que je lui ai discrètement rendu visite. Il dormait comme un bébé que s'en était presque touchant. J'avais une corde avec moi que je lui ai serré autour du cou. Puis j'ai serré encore plus fort jusqu'à qu'il ne puisse plus respirer, il a très vite perdu connaissance. Ensuite je l'ai attaché à la poutre de sa chambre. J'ai refais son lit, bien mis ses chaussures côte à côte. Il parait que les suicidaire font souvent ça, bien ranger leurs affaires avant de faire le grand saut. Ensuite j'ai mis une chaise près de lui que j'ai couché sur le côté comme s'il l'avait poussé pour tomber. Le lendemain matin c'était l'affolement dans toute la maison, même son fils faisait la comédie, je n'y aurait vu que du feu si je n'avais pas été au courant. Finalement, une heure plus tard on m'a laissé partir, ce que j'ai fais sans attendre et je ne suis pas allé parler au nouveau chef de famille. J'ai appris plus tard qu'ils ont découvert que c'était un faux suicide et qu'un des neveux de l'ancien chef des Tiberon a été accusé.
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Alooors ! Déjà, les trois premières mini-histoire était bien sympa ^^ Le combat organisé j'ai bien aimé, c'était sympa e bien écrit ^^ Mais le combat contre Dryn (le maitre d'armes)... Ça me fait un peu l'effet "Ça me saoule, j'ai trop écrit alors je m'arrange pour qu'on le tue vite et je passe à la suite". Alors la suite, je t'avoue que je suis un peu déçue ^^ J'aurais préféré que tu y ailles plus en finesse, que tu mettes plus de temps, que tu envisages les possibilités que... Enfin tu vois ^^ Mais ca reste une bonne mission que j'ai beaucoup aimé, même si c'est pas du tout ce à quoi je m'attendais ^^

55 (10 bonus) points d'expérience + 700 munnies + 4 PS (1 force, 2 Dextérité et 1 défense)
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