A merry-go-round ride for a not cool redhead [ Mission ??? ] [ Déconseillé -16 ] Szp8A merry-go-round ride for a not cool redhead [ Mission ??? ] [ Déconseillé -16 ] 4kdkA merry-go-round ride for a not cool redhead [ Mission ??? ] [ Déconseillé -16 ] 4kdk
Kingdom Hearts RPGConnexion
Kingdom Hearts Rpg
Nous sommes quatorze ans après les évènements de Kingdom Hearts 2. En tant d’années, les choses ont considérablement changé. Les dangers d’hier sont des soucis bénins aujourd’hui, et au fil du temps, les héros ont surgi de là où on ne les attendait pas. Ce sont les membres de la lumière qui combattent jour après jour contre les ténèbres.

Ce n’est plus une quête solitaire qui ne concerne que certains élus. C’est une guerre de factions. Chaque groupe est terré dans son quartier général, se fait des ennemis comme des alliés. Vivre dehors est devenu trop dangereux. Être seul est suicidaire. A vous de choisir.

La guerre est imminente... chaque camp s'organise avec cette même certitude pour la bataille.


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La perte d'un être cher. Voilà quelque chose de bien futile ! On voudrait bien s'en passer mais cela fait partie des choses immuables de la vie. A croire que quelque fois, lors de la création du monde, on se demandes si les précurseurs n'avaient pas un petit coup dans le nez à ce moment là. Mais que fait la police ? Plus qu'assez de voir ces personnes disparaître sans crier gare. Plus qu'assez d'entendre les mœurs pleurer toute les larmes de leur corps mortel en ressassant le passer inutilement. Ça ne sert à rien de pleurer. Alors en selle les mignonnes, l'avenir n'attend que vous ! Que voulez-vous. Les êtres humains sont stupides et s'accrochent futilement au superficiel. Les couinements d'aujourd'hui étaient particulièrement insupportables, quelque chose qui donne envie de donner des claques jusqu'au désiré silence libérateur. Des êtres à taille réduite et aux oreilles pointues quémandaient l'aide du Sanctum, leurs sanglots faisant office de ponctuation. Apparemment un clown, oui un clown à moins que le travesti est mal entendu, s'amuse, cela aussi fait partit d'une description qui a de quoi en rendre sceptique plus d'un, à semer une funeste terreur à travers ses blagues de mauvais goût. En lisant le rapport, Grell tentait plusieurs fois d'étouffer son rire devant le lamento larmoyants des lilliputiens, sans succès plus ou moins, elle étouffait son fou rire dans le revers de son manteau tant bien que mal devant les scènes comiquement meurtrières. Certains avaient servis de quille pour jouer à un bowling humain, une boule de fer géante servant d'arme du crime. D'autres étaient accrochés au sapin de Noël, ou du moins ce qu'il restait d'eux, à savoir leur tête déguisée et maquillée. Un dernière photo montrait les vêtements des lutins en guise de chaussettes, à l'intérieur, les morceaux dépecés de leurs camarades. Sur chacun des cliché, on apercevait le meurtrier, souriant comme un échappé de l'asile, dansant sur les cadavres ou encore donnant la béqué au ventre ouvert d'un lutin avec des bonbons en guise de fourrage. C'était sans doute lui qui avait pris ces photos. Mais quelle originalité en tout cas et ça, Grell l'admirait beaucoup; Ayant un engouement voir un amour inconsidéré pour l'humanité, elle c'était elle même rangée du côté de crime et dont l'horreur a traversé les âges. Elle avait un certain respect pour son collègue, pour ce comique assassin. Cependant, ce dernier avait engendré une tristesse trop bruyante, une tristesse qui parvint très vite aux ecclésiastes. D'après les renseignements, c'est un ancien membre du Consulat, confrérie qui venait beaucoup faire parler d'elle ces temps-ci dans les murs du Sanctum. En bienfaiteurs, les religieux apparaîtraient alors comme un allié pour la faction des arts. Que c'était ingénieux de la part du Primarque. Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, celui qui se coltine la tâche, c'était l'archevêque qui se trouvait là comme une pauvre poire en pouffant à tout bout de champ. Quel bonheur de pouvoir rencontrer un collègue destructeur. Dans d'autres circonstances, Grell Sutcliff et Armand Norliar auraient échangés de croustillantes anecdotes autour d'une tasse de Darjeeling, de quelques pâtisseries, ou d'un verre de bordeaux, riant aux éclats à chaque fois qu'ils prononceraient le mot ' tripes ' ou ' organes ' pour décrire leurs horreurs. Quel dommage qu'un si grand talent doive disparaître de la surface de l'univers. Il aurait disparut comme les autres de toute façon, mais la clémence est de mise pour un homme de spectacle, un homme qui fait rire le peuple. Le monde a besoin de rire. C'était admirable en revanche de la part d'Angeal de reconnaître la valeur de la folle du rouge. Oui. Pour une fois, elle avait de l'importance, même si elle est plutôt sinistre. Cela faisait toujours plaisir de voir la confiance dans les yeux de pieux et sincères hommes d'église, surveillant ses brebis malgré la cécité de sa foi. Un homme d'honneur qui était plutôt sexy quand même. Grell ne manquait jamais de lui envoyer un clin d'œil malicieux et pervers à chaque fois qu'elle le croisait ou bien en lui envoyant des baisers digne d'une jeune fille. Celui-ci répondant froidement en l'ignorant. La flamme de l'amour ne s'éteindra jamais mon petit Angeal !

Une arrivée sur place surprenante puisqu'en arrivant, ses vêtements habituels furent troqués contre une panoplie dans le pur style de Noël. Une pèlerine cramoisi et duveteuse, dont les rebords étaient soulignés par de la laine immaculée. Des bottes à talons de cuir noirs légèrement recourbées également rembourrées par de la laine. Une écharpe veloutée et immaculée se reposait sur ses avants bras. Un bonnet couleur rubis et opale tout ce qu'il y a de plus classique, mais dont on avait rajouté un protubérant badge en forme de cœur, pavanait sur la saillante chevelure de la jouvencelle dégénérée. Admirant ses nouveaux habits dans le reflets des fenêtres environnantes, une détonation se fit entendre, plusieurs même. Une horloge ridiculement décorée de guirlandes sonnait quinze heure de l'après-midi. Malgré l'heure, le soleil se cachait timidement derrière les nuages, donnant plus de sévérité à ce froid de canard mal luné. Tout n'était que neige. Une poudreuse épaisse et parfaite recouvrait la ville. A cet instant, des portes s'ouvrirent, celles qui étaient autour de l'horloge, en élévation comme une petite scène. Des petits personnages en sortaient, deux lutins étaient censé s'embrasser, or, la tête du masculin manquait et le corps féminin ne tenait plus que sur des barres métalliques, dépouillée de la chair de son corps artificiel. Subitement, je le vis. Celui qui se faisait appeler Jakouille était là, semblant s'ennuyer alors qu'il était assis sur le lutin sans tête, faisant tournoyer un bonnet verdâtre du bout de son doigt. Les lèvres de la naine mécanique venait directement se poser sur les fesses de l'artiste. Brusquement, le clown se releva en sautant de joie avant d'embrasser à son tour l'elfe de fer éplucher si on ose dire. Il lui mit un dernier coup de crâne et l'envoya valdinguer au loin dans un ultime coup de pied ridicule. Oui ridicule. Ce n'était pas vraiment une attaque ordinaire, il tournait dans tout les sens avant de poser son talon, qui, décapsula la caboche du robot d'un coup, observant son projectile disparaître au loin avant de s'acclamer lui même, faisant la révérence à un publique imaginaire. Il disparut dans l'obscurité du bastion, les portes se refermant dans un grincement prolongé. On pouvait l'entendre rire. Un rire bien siphonné qui avait de quoi exciter Grell. Ce genre de comportement l'attirait plus qu'autre chose, cette folie furieuse, que tout ça était exaltant ! La belle avait d'ailleurs remarqué son charme et n'en restait pas indifférente au contraire, c'est le genre de physique qui l'émoustille plus qu'autre chose et qui la fait remuer du popotin, trépignant d'impatience, pensant à des choses peu commodes voir obscènes. Une vraie fille de joie.


S'aventurant par la porte principale, le fougueux scélérat n'était pas monté là haut comme ça en un Pouf. L'entrée était déjà fermée, c'était bien sa veine. Mais sachez, que si il n'y a pas d'entrée, autant en faire une. Grell démarra sa tronçonneuse et d'un geste sûr, pressa la détente pour éventrer le bois de bon cœur. Défonçant du pied ce qu'il restait, il pénétra dans les appartements du Père Noël. Ce dernier n'était pas là. Jacky l'avait sans doute séquestré quelque part, attendant le moment propice pour s'amuser avec le vieux. Il y avait des corps de lutins en veux-tu en voilà, une véritable génocide burlesque. La même tragédie que celle du sapin mais cette fois-ci, les yeux s'allumaient et une étoile géante lumineuse transperçait la bouche de l'un d'eux dans la cime de l'arbre. Des cadeaux étaient répandus ici et là. Par prudence et à en juger par les traces de sang, Grell ne préférait pas les ouvrir au risque de tomber sur une mauvaise surprise. C'est involontairement, alors qu'elle contemplait un lutin enrubanné suspendu au plafond, qu'un cadeau s'ouvrit en donnant un coup de pied dans le cartons. Le paquet assez conséquent contenait une marionnette livide, les fils de la marionnette étaient fait avec les divers intestins des gnomes. La poupée elle, c'était un nabot, nu, mais maquillé si j'ose dire, ou plutôt trempé dans un pot de peinture verte. Des motifs d'étoiles de même couleurs étaient peints sur le corps tailladé. Il ne respirait plus, comme tout les autres d'ailleurs. Tout à coup, le travesti s'esclaffa devant le génie d'un tel cauchemar. La façon dont il avait orchestré ses meurtres, le résultat surtout, cela tenait d'un démon talentueux. Elle tentait tant bien que de résister à l'ivresse d'une telle scène baignée dans le rouge. Arrivant dans l'atelier, il y avait plusieurs tapis roulant, moteur en marche mais ils n'avançaient pas. Tout simplement parce que des membres bloquaient les rouages. S'avançant prudemment, rictus au lèvre, outil de jardin à disposition, une fenêtre se brisa. L'individu se posa au dessus de l'imposant machine et des confettis surgirent derrière lui alors que celui-ci prenait une pose désinvolte. Jacky était là devant lui. Une posture drôlement machiavélique, il semblait juger d'un simple regard son opposant, le visage calme mais souriant.

'' ♪ Le Roudoudou n'a pas de femme,
Il en fait une avec sa canne
Il l'habille en feuilles de choux.
Voilà la femme du Roudoudou. ♫ ''


Armé d'un canne en bois, il pointait Grell du bout de sa canne en le désignant comme la femme de l'ancien. Riant aux propos du chanteur improvisé, les discours n'étant pas son fort, elle lui envoya une boule de flamme noires que sa cible esquiva sans problème, provoquant l'explosion d'un luminaire. Grell monta sur les tapis et c'est avec stupeur qu'ils reprirent leur marche. Jacky descendait, pour tenir compagnie à son visiteur, affichant tout les deux un sourire macabre. C'était un véritable de concours pour du dentifrice, celui qui aurait le plus beau et inquiétant rictus. Ils se fixaient tout les deux dans le blanc des yeux pendant quelque secondes avant de foncer l'un sur l'autre. Quelques pichenettes bien placé de la part du clown exaspérait bien vite la jouvencelle alors qu'elle tentait de lui asséner des estoc à tout bout de champ. Son ennemi lui envoya une flopée d'huile qui aveuglait la lady. Un coup bas qui profita au Comédien et la repoussa un peu plus loin de coups de pieds et d'un dernier coup de canne sur la poitrine. S'essuyant le visage et le verre de ses lunettes en vitesse. Il aperçu de nouveau le visage gai et agité de son agresseur. Elle para la ruée de coup, profitant de l'effet de surprise pour faire jouir sa tronçonneuse contre Jacky, il avait arrêter l'attaque avec sa canne. Grell ricanait doucement à ce geste inutile.

'' Hu hu ! On dirait que le spectacle commence pour de bon, c'est du sérieux. Mais face à moi, tout craque, se brise et se déchire. Tout ne vaut plus qu'une vulgaire brindille ! ''

Le bois ne tenait pas très longtemps bien sûr et les multiples lames virent déchiqueter une partie de l'épaule du clownesque ennemi. Le quidam se dégagea en vitesse de l'emprise de l'actrice, paradant en passant une allègre main dans ses cheveux en faisait des yeux de biche à son dangereux prétendant. Son désengagement était d'ailleurs peu commun puisqu'il bondit en arrière avant de reculer à l'aide de ses mains tel un acrobate. Grell avançant et Jacky reculant, pour ne pas se laisser emporter par le tapis roulant. L'assaillant croisa ses bras et divers couteaux et poignards vinrent se placer entre ses doigts finement gantelés de blanc. La lady réussit à en esquiver quelque uns ou à en parer, mais deux d'entre eux réussirent à se planter dans sa cuisse. Elle ne comprenait pas. Quelque chose clochait. Il lançait ses couteaux mais impossible d'analyser leur trajectoire, comme si ils disparaissaient. Sutcliff ne pouvait que balancer sa faux en protégeant les parties sensiblement mortelles. Cette histoire sentait mauvais. Armand recommença cette pluie de métal toujours le même résultat. Un autre couteau réussi à se planter dans son bassin. Assez près de lui, elle tenta une percée en faisant tournoyer sa tronçonneuse sur elle même. Un chant. Des os se broyaient sous l'emprise métallique motorisée, elle avait réussi à lui planter la lame dans le côté gauche. Une toupie apparut devant elle, s'étant mis sur ses bras, il tenta de l'attaquer avec une saccade, toutefois, la belle avait réussi à en réchapper en sautant en arrière, tailladant par la même occasion une partie des jambes de l'hostile dérangé. Commençant à perdre beaucoup de sang, il se fit un garrot aussi vite que possible en déchirant sa chemise. La pluie tranchante se pointait encore une fois. Elle aperçu la technique de sa cible, il faisait disparaître les couteaux juste après les avoir lancés. Ingénieux. Mais pas plus que Grell. Il lança son arme en direction de Jacky tel le Discobole, déviant les couteaux et lui entaillant le bras, l'outil se plantant dans la machine. Il monta soudainement de nouveau sur la machine et tenait une corde enter ses mains.

'' Il parle comme un idiot, il s'habille comme un idiot mais ne vous y méprenez pas, c'est VRAIMENT un idiot ! Ta-dam ! Voici notre invité spécial, j'ai l'honneur de vous présenter, le Pain Perdu ! Euh... Je veux dire le Père Noël ! en tirant la dite corde, un vieil homme presque nu était attaché, bâillonné avec un charbon, sa longue barbe tâché de sang. Alors le vieux ! Moi aussi je t'ai apporté un cadeau et ça va être grandiose. il montrait un cadeau gros comme une armoire, il bougeait dans tout les sens en émettant un sifflement. Une jolie bombinette qui va pas tarder à péter. Ha ha ! Tel est prit qui croyait prendre ! Et maintenant on salue et son se retire. Ciao ma belle ! ''

Il semblait fuir par les toits. Pas le temps. Grell détacha le Père Noël, en reprenant son arme par la même occasion, et envoya dehors le gros qui se ramassait lamentablement dans la neige glacé. Pris de pitié, elle lui donna son manteau, mis en pièce par les multiples assauts de la cible, de peur que le grand bienfaiteur des enfants sages n'aient plus de cadeaux à cause d'une pneumonie ou autre. S'approchant de la boîte, elle s'ouvra brutalement, laissant voir une dizaine de Sans-Cœurs Détonateur, attachés les uns aux autres par de grotesques rubans alors qu'ils tentaient de s'échapper de leur étreinte. Alors qu'elle s'apprêtait à les supprimer d'un unique coup, le funeste pointant vers le haut guidant ses prières avec sa lame ensanglantée, les yeux de toute ces bêtes noir affichaient le nombre un. Mince !

'' ♪ Le Roudoudou tombe malade,
On l'emmène à l'hôpital,
L'hôpital était fermé,
Le Roudoudou a explosé... BAOUM !! ♫ ''


Une explosion protubérante se manifestait. Le souffle des flammes saccageant l'atelier envoyait Grell plus loin, une épaisse fumée noir provenait de l'usine à jouets. En ouvrant les yeux avec difficulté, elle se retrouvait au beau milieu du manège, celui-ci ayant été transformé en une sorte d'arène par, on ne cite même plus son nom, Armand Norliar. Les chevaux et autres montures du carrousel tournait autour de la plateforme de métallisée. Admirant les dégâts, en tentant de mettre de côté cet affreux maux de tête, une musique vieillotte flottait dans l'atmosphère. Un trou béant offrait une magnifique vue intérieur de l'atelier, complètement détruit par l'explosion. Un ourson en peluche dont il manquait la moitié du corps, des petits soldats de bois brûlant, des poupées de porcelaines brisées. Un rire saccadé se fit entendre. Jacky encore lui ! Il montait un cheval de bois dont il avait modifié la peinture, une sucrerie à la bouche, un nœud rouge autour de la tête en trépignant sur son destrier souriant vert avec des tâches bleus. Il avait d'ailleurs relooké toute les autres canassons. La damoiseau bardé de pansements à l'allure ridicule croqua une dernière fois sa sucrerie pour finalement descendre de la selle et être face à face à Grell.

'' Pomme de reinette et pomme d'api,
Tapis tapis rouge.
Pomme de reinette et pomme d'api,
Tapis tapis gris.
Cache ton poing derrière ton dos,
sinon t'auras un coup de marteau ! ♫ ''


Et c'est ce qu'il fit. Ses chansonnettes étaient exaspérantes mais elles dictaient ses prochaines actions. Il sortit un marteau en plastique, genre celui plein d'air et qui couine et réapparut près de Grell en le tapotant sur la tête avec. Cette dernière l'attrapa par le col et lui mit un coup de tête dont il n'était pas près de se relever, le nez en sang. Titubant, l'ennemi cherchait à reprendre connaissance mais le divin jugement frappa froidement avec le sourire de la satisfaction. La lame de sa tronçonneuse se planta dans le thorax, le transperçant de part et d'autre. Arrêtée, elle se mit soudainement en marche, vomissant une belle quantité de cruor qui se répandait sur le sol et un ou deux organes par la même occasion aux couleurs chatoyantes.

'' Ah l'amour ! Maculée de rouge c'est une pièce bien romantique que nous avons jouez là Armand. Dommage. Vous étiez intéressant et je me serais même éprit de vous dans d'autres circonstances. Nous aurions fait l'amour sur le coin de la cheminée, les yeux des cadavres nous enviant. Or le destin en a voulut ainsi, il en va d'une réalité immuable, une fatalité. Désolé Armand. dit-il en retirant sa tronçonneuse dans une énorme craquement, sa victime le souffle court souriant encore. Le rideau rouge vient de tomber. Trop sentimental peut-être. Vous m'avez déçue. Vous ne m'intéressez plus. En fin de compte, vous étiez pareil à vos victimes. Vous n'avez pas le droit de porter du rouge. elle lui enleva son manteau et en plus de ça, lui coupa le plus de cheveux qu'elle pouvait à l'aide d'une pair de ciseaux qui était dans ses poches, rangeant les cheveux en boucle, accrochés par un nœud qui était autour de sa tête. Ainsi se termine le spectacle de votre minable vie... Au revoir... Monsieur. ''

Sur ces mots, c'est un rouge à lèvre qui prit la place entre ses doigts gantelés et elle maquillait, maquillait, maquillait. Une fois le travail achevé, l'œuvre d'art, le laideron maculé de beauté, les chœurs d'acier chantaient encore et virent purger le corps de l'oublié jeune homme. Cisaillant les membres un à un, c'est une mélodie charcutière que jouait le moteur, on aurait dit qu'il ricanait de joie, cette joie de pouvoir dévorer la chair rouge et boire ce vin de grande qualité, celui d'une ennemi vaillant. Dés que le rouge vient masquer les visages, c'est une rage sans précédente, non, une véritable osmose intérieur qui gagne cette possédée par le malin, exaltée. Les rayures prennent une couleur vermeille qui ne s'en ira jamais, comme un vestige. Les boyaux volaient dans tout les sens, coulant sur le bois peinturluré des chevaux du manège. Grell Sutcliff venait de terminer sa passion, une passion qui sublime ses propres sentiments et où plus rien n'existe, sauf peut-être le rouge. La tête intact, elle la prit sous le bras pour épargner ce monde qui a déjà connu une hantise sanglante sans nom. La belle allait vers le Père Noël, en le regardant, toujours souriante, alors que lui était sous le choc. Un explosion encore retentit. Jacky devait l'avoir prévue et c'est le manège qui en pâtissait cette fois. Les boiseries volaient en éclat, les montures répandues ici et là. Un dernier long soupir. Elle contemplait le Père Noël, en pleure. Elle posa sa main toujours sur l'épaule de l'ancêtre, avec ce rictus inébranlable.

''' Ne vous inquiétez pas. Voyez ça comme un renouveau. Et tout ce qui est nouveau est meilleur. Le Sanctum enverra une équipe pour réparer ce que nous pouvons. Nous sommes désolé pour toutes ces pertes mais, nous vous aiderons aussi longtemps qu'il le faudra pour que tout redevienne comme avant et que la joie revienne, voir peut-être encore mieux que vos souvenirs poussiéreux. ''

C'est un sombre jour, alors que sonne vingt heure de l'après-midi. Un sombre jour pour cette fête de la joie.
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Bon... Bon... Bon.

Alors le début de ton texte où tu parles de la futilité de perdre un être cher, j'ai détester pour des raisons personnelles et j'ai eu envie de frapper mon ordi, ton personnage et toi. Je ne serais pas objectif et tu n'y es pour rien, alors je vais zapper cette partie.

Alors le reste... Hmmm... Tu te souviens ? Je te disais il y a déjà quelques temps que tu décrivais trop et que c'était mal dosé. Pas toujours fluide et difficile à lire.

Et bien là, je suis content, parce que tu as enfin réussit à trouver le bon équilibre. Tu décris, encore et encore mais putain... Tu le faits bien, c'est fluide et même si ca reste parfois dur à lire, dans l'ensemble je n'ai pas eut à me forcer. Tu as respecter Jaky et mieux encore, tu le joues mieux que moi. Tu es dans ton élément, la folie humaine et les tripes. Je ne vois presque aucun défaut (même si tu peux faire mieux) et pour une fois... Tout est clair, rien n'est brouillon. Je ne saurais dire s'il est meilleur que celui avec Stark ou égal. Tout ce que je sais c'est que tu mérites un bonus.

55 (10bonus) points d'expérience + 500 munnies (50bonus) + 2 PS en force et 2 en dextérité
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