Grell, n'était pas de bonne humeur, et je me suis dépêché de sortir de la même salle qu'elle! Oh bon sang j'ai failli me faire violer et ensuite porter un Tutu rose en chevauchant Dumbo en tenant Bambi en laisse qui irait renifler le derrière des gens! C'est horrible!
Mais c'était là une bonne aubaine, une vraie mission! Une qui fallait pile poil poule pour se remettre les idées en place! Ha! Mais avant ça...
J'étais passé par la cantine, ouaip', j'ai demandé une grosse ration de bouffe au cuistot, il m'a regardé et m'a demandé "Pourquoi?" j'ai vite répondu "Mission!", au début il semblait penser que ma mission était de vider la cantine, mais non, après un instant de parlotte, je lui annonçais que je devais nettoyer le pont d'un maximum de Sans-Cœur! La bouche béant, il me voyait enfiler la viande... Je partis rapidement de la pièce, de peur d'être en retard vu le regard menaçant de Grell.
J'aperçus les gardes, ils ne devaient pas être au courant, je les avertis alors, bol de soupe non terminé en main : "Camarade! Quand j'aurais passé le seuil de cet entrée, vous fermerez le pont levis derrière moi!". Je m'emparais d'un drapeau avec le blason du Sanctum... Je m'avançais sur le bois craquant, drapeau sur le dos, bol de soupe en main, arrivé sur le pont, j'entendis l'un des gardes. "LE DIACRE HENRI ORDONNE DE LEVER LE PONT LEVIS!"
Je souriais, en regardant le pont, je terminais le bol de soupe... Je regardais en face de moi, et je jetais le conteneur par terre, se brisant en éclat. Avec force, je plantais le drapeau dans la pierre
Le pont était anormalement calme, je regardais le paysage, et frappait du pied sur le sol, un coup qui était provocateur, Serres-De-Corbeaux en mains...
Un cri de guerre, vint briser le calme ambiant.
-Venez bande de larve! Vos pathétiques ambitions si existent-elles ne peuvent rien contre le Domaine enchanté! Le Sanctum, de part la volonté des Éternels, vous boutera hors de ce monde! Et me font l'honneur de me désigner pour le début de cette tâche! LE TRIOMPHE OU L'AGONIE!
Et voila, sur ce dernier mot, je débutais ma charge, arme en main, je courrais vers le pont, pont d'où commençaient à affluer les sans-cœurs d'ailleurs, armure sur le dos! Je me chargerais de rendre le pont plus sûr. Le premier coup fut donné pendant ma charge! De rage, j'heurtais violemment un gros sans-cœur, d'une charge de l'épaule! Avec force! Je le repoussais en arrière et le fit chuter sur ces semblables! Alors que moi, je tombais par terre, expulsé par ce tas de graisse ténébreuse! Me relevant, j'aperçus les sans-cœurs, en surnombre. Je souriais, et je me mis à donner des coups! La vermine? Elle mourrait! Certains monstres d'une caste supérieure arrivaient à esquiver certains de mes coups! Mais la mort s'emparaient vite d'eux!
J'étais encerclé, je les regardais, ils grouillaient, remuaient, ils n'attendraient pas longtemps avant de m'attaquer, je frissonnais, non de peur, mais d'impatience! Certaines techniques que je n'avais pu utiliser avant, je les montrerais ici!
-Je vais tous vous faire tomber, vous aller manger le sol! VOUS LA SENTIREZ PASSER!
Mes poings se mirent à briller d'énergie, de même que ma lame... Je me mis à tourner sur moi même, la lame étendue, les sans-coeurs commençaient à s'avancer, dangereusement! Et, ma volonté ne vacillant point, je me mis à hurler "RESSENTEZ, L'ECHO DE MON ÂME!", un souffle, puissant, tranchant comme le faux de la mort, de nombreux sans-cœurs disparurent, ceux qui restaient continuaient leur charge, je souriais et lançais mon arme, elle partit droit, changea subitement de direction! Formant des cercles à chaque tour, je frappais les sans-cœurs qui me bondissaient encore dessus, on pouvait entendre, le bruit de ces sales bestioles, le son des coups, et surtout, le bruit des armures qui tombaient par terre! Les coups fusaient, tel une pluie de météorite, la lame tranchait et revenait!
Je restais debout, les sans-cœurs s'étaient volatilisés... Le corps, recouvert de blessure, de déchirure, un calme, inquiétant...
Je me posais par terre, haletant, reprenant ma respiration...
... Était-ce terminé?
Je le pensais.
Le sol se mit à trembler, je repris mon arme en main, je n'avais plus que mes jambières... Et quelque chose de gros allait arriver.
J'aperçus un sans-cœur, sauter depuis le bas du pont, arriver en face de moi, à quelques dizaines de mètres!
La créature était deux fois plus grande qu'un ours, on aurait dit un corps humain, noir, sans tête, avec quatre bras, et des yeux sur le torse! Je regardais la bête, et la bête, elle, m'épiait de ses yeux....
Je me mis en position de combat, j'entendis un bruit sourd, comme si elle tentait d'hurler, elle chargeait en ma direction, je me mis à courir vers elle aussi, son pas était pesant et lent, le mien était léger et rapide. Arrivée devant moi et moi devant elle, on se mit à se frapper comme on le pouvait, elle de ses quatre bras, moi de mon arme et de mon poing, on se contrait, jusqu'à quelle réussisse à attraper mon poing, elle me souleva comme un vulgaire doudou! Elle me montra le gout du sol, et me lança au loin, j'atterris avec du mal sur mes jambes, le monstre se mit à faire un bruit assez régulier, comme si elle riait!
Il était temps de montrer, ce qu'on m'a vraiment enseigné!
Je jetais mon arme à terre et je me mis à courir, devant le monstre, je lui donnait des dizaines de coups de poings! La bête, étonnée de ne rien sentir tendis que je la frappais, à main nue, elle riait, se moquait de moi! Pendant que je m'acharnais sur son semblant de torse, ses deux bras supérieurs croisés et inférieur sur les hanches, fatiguée de ce petit jeu, elle me reprit entre ses mains, me prit au dessus de sa tête, et commença à me broyer! La douleur... S'emparait de moi, mes hurlements perçaient le paysage, les gardes, paniqués, se bousculaient pour préparer la défense!
Je tendis la main vers mon épée, le monstre, lui, riait de plus belle, toujours, et encore! L'épée répondit à mon appel, et se dirigea vers ma main...
C'était le moment.
Le monstre, Se paralysa, plus aucune force ne s'exerçait sur moi, j'eus du mal à me libérer de son restant d'emprise... Le monstre, totalement paralysé, regardait le ciel de tout ses yeux, avant de lâcher un autre son, plus long, plus fort mais surtout, plaintif! Il tombait à genou, je tombais avec ses bras, roulant à quelques mètres de là, je me relevais, le bras gauche brisé... La bête, se tenant avec les bras inférieurs, ses mains parcouraient son torse pour savoir ce qui n'allait pas, d'où lui provenait cette douleur...
Je m'approchais, titubant, et je regardais le monstre.
-Le temps est venu pour toi, infâme créature, retourne dans les ténèbres d'où tu viens!
La bête émit un cris étouffé, comme si elle refusait son destin. Je sautais sur son dos, et planta la lame de mon épée dans le ventre! Avec mes forces restantes, je fis un geste puissant, pour la trancher à la verticale jusque là où se situerait le cou!
Le monstre ne bougeait plus, je sautais, me ratant et tombant au sol, fatigué, me relevant avec le peu de force qu'il me restait, je rangeai ma lame et partit chercher les morceaux de mon armures, les pièces récupérables, je retournais vers le château, où m'attendraient, des sujets, des gardes et des camarades, m'acclamant pour cet acte de bravoure, d'avoir rendu, un peu plus sûr, le pont du Domaine Enchanté...
Sam 12 Fév 2011 - 22:36Mais c'était là une bonne aubaine, une vraie mission! Une qui fallait pile poil poule pour se remettre les idées en place! Ha! Mais avant ça...
J'étais passé par la cantine, ouaip', j'ai demandé une grosse ration de bouffe au cuistot, il m'a regardé et m'a demandé "Pourquoi?" j'ai vite répondu "Mission!", au début il semblait penser que ma mission était de vider la cantine, mais non, après un instant de parlotte, je lui annonçais que je devais nettoyer le pont d'un maximum de Sans-Cœur! La bouche béant, il me voyait enfiler la viande... Je partis rapidement de la pièce, de peur d'être en retard vu le regard menaçant de Grell.
J'aperçus les gardes, ils ne devaient pas être au courant, je les avertis alors, bol de soupe non terminé en main : "Camarade! Quand j'aurais passé le seuil de cet entrée, vous fermerez le pont levis derrière moi!". Je m'emparais d'un drapeau avec le blason du Sanctum... Je m'avançais sur le bois craquant, drapeau sur le dos, bol de soupe en main, arrivé sur le pont, j'entendis l'un des gardes. "LE DIACRE HENRI ORDONNE DE LEVER LE PONT LEVIS!"
Je souriais, en regardant le pont, je terminais le bol de soupe... Je regardais en face de moi, et je jetais le conteneur par terre, se brisant en éclat. Avec force, je plantais le drapeau dans la pierre
Le pont était anormalement calme, je regardais le paysage, et frappait du pied sur le sol, un coup qui était provocateur, Serres-De-Corbeaux en mains...
Un cri de guerre, vint briser le calme ambiant.
-Venez bande de larve! Vos pathétiques ambitions si existent-elles ne peuvent rien contre le Domaine enchanté! Le Sanctum, de part la volonté des Éternels, vous boutera hors de ce monde! Et me font l'honneur de me désigner pour le début de cette tâche! LE TRIOMPHE OU L'AGONIE!
Et voila, sur ce dernier mot, je débutais ma charge, arme en main, je courrais vers le pont, pont d'où commençaient à affluer les sans-cœurs d'ailleurs, armure sur le dos! Je me chargerais de rendre le pont plus sûr. Le premier coup fut donné pendant ma charge! De rage, j'heurtais violemment un gros sans-cœur, d'une charge de l'épaule! Avec force! Je le repoussais en arrière et le fit chuter sur ces semblables! Alors que moi, je tombais par terre, expulsé par ce tas de graisse ténébreuse! Me relevant, j'aperçus les sans-cœurs, en surnombre. Je souriais, et je me mis à donner des coups! La vermine? Elle mourrait! Certains monstres d'une caste supérieure arrivaient à esquiver certains de mes coups! Mais la mort s'emparaient vite d'eux!
J'étais encerclé, je les regardais, ils grouillaient, remuaient, ils n'attendraient pas longtemps avant de m'attaquer, je frissonnais, non de peur, mais d'impatience! Certaines techniques que je n'avais pu utiliser avant, je les montrerais ici!
-Je vais tous vous faire tomber, vous aller manger le sol! VOUS LA SENTIREZ PASSER!
Mes poings se mirent à briller d'énergie, de même que ma lame... Je me mis à tourner sur moi même, la lame étendue, les sans-coeurs commençaient à s'avancer, dangereusement! Et, ma volonté ne vacillant point, je me mis à hurler "RESSENTEZ, L'ECHO DE MON ÂME!", un souffle, puissant, tranchant comme le faux de la mort, de nombreux sans-cœurs disparurent, ceux qui restaient continuaient leur charge, je souriais et lançais mon arme, elle partit droit, changea subitement de direction! Formant des cercles à chaque tour, je frappais les sans-cœurs qui me bondissaient encore dessus, on pouvait entendre, le bruit de ces sales bestioles, le son des coups, et surtout, le bruit des armures qui tombaient par terre! Les coups fusaient, tel une pluie de météorite, la lame tranchait et revenait!
Je restais debout, les sans-cœurs s'étaient volatilisés... Le corps, recouvert de blessure, de déchirure, un calme, inquiétant...
Je me posais par terre, haletant, reprenant ma respiration...
... Était-ce terminé?
Je le pensais.
Le sol se mit à trembler, je repris mon arme en main, je n'avais plus que mes jambières... Et quelque chose de gros allait arriver.
J'aperçus un sans-cœur, sauter depuis le bas du pont, arriver en face de moi, à quelques dizaines de mètres!
La créature était deux fois plus grande qu'un ours, on aurait dit un corps humain, noir, sans tête, avec quatre bras, et des yeux sur le torse! Je regardais la bête, et la bête, elle, m'épiait de ses yeux....
Je me mis en position de combat, j'entendis un bruit sourd, comme si elle tentait d'hurler, elle chargeait en ma direction, je me mis à courir vers elle aussi, son pas était pesant et lent, le mien était léger et rapide. Arrivée devant moi et moi devant elle, on se mit à se frapper comme on le pouvait, elle de ses quatre bras, moi de mon arme et de mon poing, on se contrait, jusqu'à quelle réussisse à attraper mon poing, elle me souleva comme un vulgaire doudou! Elle me montra le gout du sol, et me lança au loin, j'atterris avec du mal sur mes jambes, le monstre se mit à faire un bruit assez régulier, comme si elle riait!
Il était temps de montrer, ce qu'on m'a vraiment enseigné!
Je jetais mon arme à terre et je me mis à courir, devant le monstre, je lui donnait des dizaines de coups de poings! La bête, étonnée de ne rien sentir tendis que je la frappais, à main nue, elle riait, se moquait de moi! Pendant que je m'acharnais sur son semblant de torse, ses deux bras supérieurs croisés et inférieur sur les hanches, fatiguée de ce petit jeu, elle me reprit entre ses mains, me prit au dessus de sa tête, et commença à me broyer! La douleur... S'emparait de moi, mes hurlements perçaient le paysage, les gardes, paniqués, se bousculaient pour préparer la défense!
Je tendis la main vers mon épée, le monstre, lui, riait de plus belle, toujours, et encore! L'épée répondit à mon appel, et se dirigea vers ma main...
C'était le moment.
Le monstre, Se paralysa, plus aucune force ne s'exerçait sur moi, j'eus du mal à me libérer de son restant d'emprise... Le monstre, totalement paralysé, regardait le ciel de tout ses yeux, avant de lâcher un autre son, plus long, plus fort mais surtout, plaintif! Il tombait à genou, je tombais avec ses bras, roulant à quelques mètres de là, je me relevais, le bras gauche brisé... La bête, se tenant avec les bras inférieurs, ses mains parcouraient son torse pour savoir ce qui n'allait pas, d'où lui provenait cette douleur...
Je m'approchais, titubant, et je regardais le monstre.
-Le temps est venu pour toi, infâme créature, retourne dans les ténèbres d'où tu viens!
La bête émit un cris étouffé, comme si elle refusait son destin. Je sautais sur son dos, et planta la lame de mon épée dans le ventre! Avec mes forces restantes, je fis un geste puissant, pour la trancher à la verticale jusque là où se situerait le cou!
Le monstre ne bougeait plus, je sautais, me ratant et tombant au sol, fatigué, me relevant avec le peu de force qu'il me restait, je rangeai ma lame et partit chercher les morceaux de mon armures, les pièces récupérables, je retournais vers le château, où m'attendraient, des sujets, des gardes et des camarades, m'acclamant pour cet acte de bravoure, d'avoir rendu, un peu plus sûr, le pont du Domaine Enchanté...