La encore l’écureuil m’avait accueillie au Quartier Général des mercenaires, apparemment il y avait certains problèmes avec la compagnie des Indes, une organisation du monde de Port Royal, un allié par la passé mais qui ne l’était plus maintenant. . . Mais apparemment les autres avaient la situation en main, il ne me restait plus qu’à accomplir ma mission. Une fois encore je devais partir pour un autre monde, un monde où se trouvait un château appartenant à une Bête et à une femme nommé Belle, drôle d’habitants mais ce monde devait encore être différent de ceux que j’avais déjà croisés auparavant. Dans celui-ci les habitants prenaient la forme d’objets selon Makoto. Si elle me le disait c’est que cela devait être vrai, je ne voyais rien qui pouvait me prétendre le contraire et encore moins qui pouvait m’affirmait qu’elle se payait ma tête…
Une fois arrivé je déposais mes pieds devant le château, une sorte de grand manoir sinistre, l’air même du monde se remplissait de noirceur, pas des ténèbres mais plutôt d’horreur comme une menace qui planait dans l’air, me disant de faire demi-tour. Ce que je ne faisais jamais à moins d’en avoir une bonne raison, et aucune ne se présentait à moi… Je m’avançais donc vers la grille du château, dés que j’eus ma main posé dessus elle s’ouvrit dans un grincement inquiétant. Ou bien on m’attendait ou c’était une invitation à rentrer. Je rentrais sans tenir compte des deux propositions…
Une fois le pont passé, je me retrouvais dans la cour, une cour toute aussi préparé à faire peur que le reste, les statues et les décorations extérieures du château, en particulier les gargouilles qui cette fois ne s’animaient pas, n’évoquaient que la promesse de la douleur à venir à l’intérieur… Je m’arrêtais alors devant la porte où se trouvait deux personnes, ou plutôt deux objets mais vu que l’on m’avait informé je savais tout de suite qu’il s’agissait des domestiques. Après tout ce n’est pas tous les jours qu’on avait la possibilité de voir un chandelier et une horloge tentait d’ouvrir une porte. . . Un spectacle plutôt ridicule je l’avouerais mais c’était justement pour cela que j’étais là…
-Oh ! Une invitée ! Bienvenue au Château !
-Lumière arrête ! Tu vas nous mettre dans l’embarras devant cette personne ! En plus on ne doit amener personne ici !
-Tu voudrais donc laisser cette jeune demoiselle dehors ?
-Lumière souvient toi des ordres du maîiiiiiiitre !!!!!
Pendant qu’il continuait leur petite discussion j’avais observé la façade du château, et l’endroit le plus simple pour accéder à l’intérieur était de monter sur un balcon qui se trouvait sur ma droite, il devait se trouver au premier étage et donc être proche de l’entrée principale, en plus avec toutes les roches, les saillies et les fissures des murs il me serait facile de l’atteindre… Aussi je partais en direction du mur et commençait mon escalade, tandis que les deux autre continuaient à se disputer. Je n’avais eut aucun mal à monter jusqu’au balcon, même si je sentais mes bras assez fatigués par cette montée sportive.
La porte fenêtre du balcon n’était pas fermé, et pour cause, il était peu probable que des personnes passent par là pour entre dans le château. Une fois à l’intérieur je me retrouvais dans une chambre, plutôt belle et bien aménagé, avec un lit en baldaquin et une armoire blanche, je remarquais que la pièce était bien rangée et qu’il n’y avait aucune trace d’un résident quelconque. Je m’engageais alors par la seule porte de la salle. Celle-ci menait à un couloir que j’empruntais également, il s’agissait d’un couloir à sens unique, il était seulement destiné à atteindre cette pièce, au bout de celui-ci se trouvait un escalier assez grand qui descendait en colimaçon. C’est une fois en bas que le plus gros de mon travail allait commencer. . .
Une fois descendue je voyais enfin ce qui bloquait la porte, un énorme Cabot indigo, comme le croyait Makoto, cette fille avait du flair, peut être que je devrais l’écouter plus souvent de temps à autres. . . Il dormait très simplement sur la porte étalait de tous son long. Je m’approchais le plus discrètement possible et sortais ma gunblade. Une fois proche de lui je plongeais directement ma lame dans son corps. Le seul problème était que cela ne l’avait pas tué sur le coup. Il s’agita et m’envoya valser plus loin. Heureusement pour moi j’avais eut la présence d’esprit de tenir fermement mon arme pour ne pas la perdre, et le tapis avait amortis ma chute. Je me remettais sur pied le plus vite possible et voyais qu’il me chargeait comme une bête enragée, je roulais sur le côté pour l’éviter mais déjà il freinait pour me chargeait de nouveau.
Je me mettais alors en garde pour lui faire front et mettais mon arme en avant, je recevais la puissance du choc en pleine face, il était fort, très fort, je n’arrivais pas à tenir. Il me propulsa en l’air et m’envoya contre l’un des piliers de la grande salle. Le choc fut rude et je m’écrasais au sol en toussant. Il m’avait surement brisé au moins une côté au vue de la douleur qui me submergeait. Par contre à entendre les bruits il chargeait de nouveau en ma direction. Je pointais mon arme sur lui et lui tirait quelques balles, mais cela ne semblait rien lui faire. Je roulais alors sur le côté hors de sa portée. Il ne me restait plus qu’à jouer avec sa force.
Je me relevais et attendais patiemment sa prochaine attaque, il chargeait de nouveau sauf qu’au lieu de l’éviter par un quelconque côté je décidais de sauter pour monter sur son dos. Ce qui était une mauvaise idée, il avait deviné ma manœuvre et levait la tête pour me mordre comme un vulgaire os à moelle. Prise d’une soudaine envie de ne pas finir comme nourriture je mettais mon arme en avant et frappait là où se trouvait son œil droit, une sorte de tourbillon jaune. Face à ce choc le cabot se replia en arrière, blessé. J’en profitais pour le charger en employant le reste de ma force, je tournais sur moi-même comme un mini-tourbillon et me projetait sur lui. En l’attaquant au niveau des pattes, du corps et de la tête le plus rapidement possible.
Une fois que je m’éloignais de mon adversaire je le voyais se désintégrer petit à petit. Une fois que j’eus la certitude qu’il avait entièrement disparus, je me dirigeais vers la porte d’entrée et l’ouvrait. Les deux domestiques se disputaient encore sans s’être rendu compte de rien. Ils réagirent seulement lorsque j’avais ouvert la porte.
-Bon dieu cette demoiselle a réussi ! Merci mademoiselle … ?
-Lightning…
-Grand merci à vous Lightning, voulez-vous vous reposer dans nôtre demeure ?
-Lumière !
-Non. . . Au revoir . . .
Et c’est ainsi que je repartais de ce monde de terreur, et assez étrange. Mais au moins ma mission était accompli, maintenant j’allais me reposer un peu avant de reprendre mes recherches. J’avais encore une personne à retrouver . . .
Mar 7 Sep 2010 - 22:53Une fois arrivé je déposais mes pieds devant le château, une sorte de grand manoir sinistre, l’air même du monde se remplissait de noirceur, pas des ténèbres mais plutôt d’horreur comme une menace qui planait dans l’air, me disant de faire demi-tour. Ce que je ne faisais jamais à moins d’en avoir une bonne raison, et aucune ne se présentait à moi… Je m’avançais donc vers la grille du château, dés que j’eus ma main posé dessus elle s’ouvrit dans un grincement inquiétant. Ou bien on m’attendait ou c’était une invitation à rentrer. Je rentrais sans tenir compte des deux propositions…
Une fois le pont passé, je me retrouvais dans la cour, une cour toute aussi préparé à faire peur que le reste, les statues et les décorations extérieures du château, en particulier les gargouilles qui cette fois ne s’animaient pas, n’évoquaient que la promesse de la douleur à venir à l’intérieur… Je m’arrêtais alors devant la porte où se trouvait deux personnes, ou plutôt deux objets mais vu que l’on m’avait informé je savais tout de suite qu’il s’agissait des domestiques. Après tout ce n’est pas tous les jours qu’on avait la possibilité de voir un chandelier et une horloge tentait d’ouvrir une porte. . . Un spectacle plutôt ridicule je l’avouerais mais c’était justement pour cela que j’étais là…
-Oh ! Une invitée ! Bienvenue au Château !
-Lumière arrête ! Tu vas nous mettre dans l’embarras devant cette personne ! En plus on ne doit amener personne ici !
-Tu voudrais donc laisser cette jeune demoiselle dehors ?
-Lumière souvient toi des ordres du maîiiiiiiitre !!!!!
Pendant qu’il continuait leur petite discussion j’avais observé la façade du château, et l’endroit le plus simple pour accéder à l’intérieur était de monter sur un balcon qui se trouvait sur ma droite, il devait se trouver au premier étage et donc être proche de l’entrée principale, en plus avec toutes les roches, les saillies et les fissures des murs il me serait facile de l’atteindre… Aussi je partais en direction du mur et commençait mon escalade, tandis que les deux autre continuaient à se disputer. Je n’avais eut aucun mal à monter jusqu’au balcon, même si je sentais mes bras assez fatigués par cette montée sportive.
La porte fenêtre du balcon n’était pas fermé, et pour cause, il était peu probable que des personnes passent par là pour entre dans le château. Une fois à l’intérieur je me retrouvais dans une chambre, plutôt belle et bien aménagé, avec un lit en baldaquin et une armoire blanche, je remarquais que la pièce était bien rangée et qu’il n’y avait aucune trace d’un résident quelconque. Je m’engageais alors par la seule porte de la salle. Celle-ci menait à un couloir que j’empruntais également, il s’agissait d’un couloir à sens unique, il était seulement destiné à atteindre cette pièce, au bout de celui-ci se trouvait un escalier assez grand qui descendait en colimaçon. C’est une fois en bas que le plus gros de mon travail allait commencer. . .
Une fois descendue je voyais enfin ce qui bloquait la porte, un énorme Cabot indigo, comme le croyait Makoto, cette fille avait du flair, peut être que je devrais l’écouter plus souvent de temps à autres. . . Il dormait très simplement sur la porte étalait de tous son long. Je m’approchais le plus discrètement possible et sortais ma gunblade. Une fois proche de lui je plongeais directement ma lame dans son corps. Le seul problème était que cela ne l’avait pas tué sur le coup. Il s’agita et m’envoya valser plus loin. Heureusement pour moi j’avais eut la présence d’esprit de tenir fermement mon arme pour ne pas la perdre, et le tapis avait amortis ma chute. Je me remettais sur pied le plus vite possible et voyais qu’il me chargeait comme une bête enragée, je roulais sur le côté pour l’éviter mais déjà il freinait pour me chargeait de nouveau.
Je me mettais alors en garde pour lui faire front et mettais mon arme en avant, je recevais la puissance du choc en pleine face, il était fort, très fort, je n’arrivais pas à tenir. Il me propulsa en l’air et m’envoya contre l’un des piliers de la grande salle. Le choc fut rude et je m’écrasais au sol en toussant. Il m’avait surement brisé au moins une côté au vue de la douleur qui me submergeait. Par contre à entendre les bruits il chargeait de nouveau en ma direction. Je pointais mon arme sur lui et lui tirait quelques balles, mais cela ne semblait rien lui faire. Je roulais alors sur le côté hors de sa portée. Il ne me restait plus qu’à jouer avec sa force.
Je me relevais et attendais patiemment sa prochaine attaque, il chargeait de nouveau sauf qu’au lieu de l’éviter par un quelconque côté je décidais de sauter pour monter sur son dos. Ce qui était une mauvaise idée, il avait deviné ma manœuvre et levait la tête pour me mordre comme un vulgaire os à moelle. Prise d’une soudaine envie de ne pas finir comme nourriture je mettais mon arme en avant et frappait là où se trouvait son œil droit, une sorte de tourbillon jaune. Face à ce choc le cabot se replia en arrière, blessé. J’en profitais pour le charger en employant le reste de ma force, je tournais sur moi-même comme un mini-tourbillon et me projetait sur lui. En l’attaquant au niveau des pattes, du corps et de la tête le plus rapidement possible.
Une fois que je m’éloignais de mon adversaire je le voyais se désintégrer petit à petit. Une fois que j’eus la certitude qu’il avait entièrement disparus, je me dirigeais vers la porte d’entrée et l’ouvrait. Les deux domestiques se disputaient encore sans s’être rendu compte de rien. Ils réagirent seulement lorsque j’avais ouvert la porte.
-Bon dieu cette demoiselle a réussi ! Merci mademoiselle … ?
-Lightning…
-Grand merci à vous Lightning, voulez-vous vous reposer dans nôtre demeure ?
-Lumière !
-Non. . . Au revoir . . .
Et c’est ainsi que je repartais de ce monde de terreur, et assez étrange. Mais au moins ma mission était accompli, maintenant j’allais me reposer un peu avant de reprendre mes recherches. J’avais encore une personne à retrouver . . .